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- InvitéInvité
Re: *Le Big-Bang n'existe pas
Jeu 08 Mai 2008, 13:03
Aka, je viens de poster mon long (trop long?) témoignage sur mon expérience ovni. Je développerai plus tard sur les infinis impossibles, si vous le permettez: je ne peux pas passer ma journée devant l'écran d'ordinateur!.
A thefly,
Les différences de température au cœur de l'univers initial s'expliquent dans le cadre de la théorie quantique du moins, par la relation d'incertitude fondamentale due à Werner Heisenberg. La différence de température entre le vide spatial (environ 3K soit -270°C) et celle du cœur des étoiles entre 13 et 100 milliards de degré (hors explosion de super nova) n'est donc pas de mille milliards, mais beaucoup moins. Elle s'explique par le phénomène auto-amplifié de la gravitation qui allume les réactions nucléaires au sein d'une gigantesqsue masse peu conductrice de la chaleur.
A thefly,
Les différences de température au cœur de l'univers initial s'expliquent dans le cadre de la théorie quantique du moins, par la relation d'incertitude fondamentale due à Werner Heisenberg. La différence de température entre le vide spatial (environ 3K soit -270°C) et celle du cœur des étoiles entre 13 et 100 milliards de degré (hors explosion de super nova) n'est donc pas de mille milliards, mais beaucoup moins. Elle s'explique par le phénomène auto-amplifié de la gravitation qui allume les réactions nucléaires au sein d'une gigantesqsue masse peu conductrice de la chaleur.
- theflyEquipe du forum
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Re: *Le Big-Bang n'existe pas
Jeu 08 Mai 2008, 14:24
Alain02
La physique quantique n’est elle pas inconciliable avec la theorie du big-bang ?
Je m’explique : toutes les grandeurs de physiques del’univers ,dimensions, densité, T°, habituellement regies par le relativité, relèvent alors de la mécanique quantique !
Le probleme c’est que la relativité ignore les particules elementaires et la mécanique quantique ignore l’existance de l’espace temps. Or, relativité et quantique, sont toutes les 2 convoquées dans le scenario du big bang (pour l’instant zero).
Je tient a dire, que je ne suis qu’un amateur de physique, et que certaine de mes idées peuvent etre completement , comment dire…absurdes.
Si je remet en cause le big bang, c’est uniquement parce que je suis tombé sur cette lettre ouverte(voir lien 1er post), signé par des scientifiques réputés, qui n’ont pas eut peur de la perdre(leur reputation)
La physique quantique n’est elle pas inconciliable avec la theorie du big-bang ?
Je m’explique : toutes les grandeurs de physiques del’univers ,dimensions, densité, T°, habituellement regies par le relativité, relèvent alors de la mécanique quantique !
Le probleme c’est que la relativité ignore les particules elementaires et la mécanique quantique ignore l’existance de l’espace temps. Or, relativité et quantique, sont toutes les 2 convoquées dans le scenario du big bang (pour l’instant zero).
Je tient a dire, que je ne suis qu’un amateur de physique, et que certaine de mes idées peuvent etre completement , comment dire…absurdes.
Si je remet en cause le big bang, c’est uniquement parce que je suis tombé sur cette lettre ouverte(voir lien 1er post), signé par des scientifiques réputés, qui n’ont pas eut peur de la perdre(leur reputation)
- InvitéInvité
Re: *Le Big-Bang n'existe pas
Jeu 08 Mai 2008, 18:20
J'adore cette phrase parfaitement exacte: "relativité et quantique, sont toutes les 2 convoquées dans le scenario du big bang" et sont inconciliables.
Il est clair que la physique quantique approche mieux de la réalité que la relativité dont la théorie vient d'être mise en défaut sur un point subtil (cf. La Recherche d'avril 2008 qui se trouve encore sans doute dans les bibliothèques publiques.).
Mais ce qui la handicape, à mon avis, c'est de vouloir tout expliquer par des particules ad hoc de champs de jauge comme le fameux boson de Higgs. Le caractère élémentaire, donc microscopique de ces particules empêche la théorie de prendre en compte, sans doute par un effet d'émergence, la réalité macroscopique que nous vivons. Inversement la relativité est handicapée d'être partie d'effets macroscopiques.
Quand on pourra tout expliquer sur le big bang et notamment pourquoi il n'est pas resté un trou noir sans temps et sans espace mais est devenu l'univers qu'on connaît, on ne sera pas loin du graal!
Il est clair que la physique quantique approche mieux de la réalité que la relativité dont la théorie vient d'être mise en défaut sur un point subtil (cf. La Recherche d'avril 2008 qui se trouve encore sans doute dans les bibliothèques publiques.).
Mais ce qui la handicape, à mon avis, c'est de vouloir tout expliquer par des particules ad hoc de champs de jauge comme le fameux boson de Higgs. Le caractère élémentaire, donc microscopique de ces particules empêche la théorie de prendre en compte, sans doute par un effet d'émergence, la réalité macroscopique que nous vivons. Inversement la relativité est handicapée d'être partie d'effets macroscopiques.
Quand on pourra tout expliquer sur le big bang et notamment pourquoi il n'est pas resté un trou noir sans temps et sans espace mais est devenu l'univers qu'on connaît, on ne sera pas loin du graal!
- theflyEquipe du forum
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Re: *Le Big-Bang n'existe pas
Jeu 08 Mai 2008, 19:09
nous sommes donc d'accord
l'univers reel est probablement plus complexe que celui généré par les modeles mathemathiques de nos physiciens
c'etait un plaisir de debattre avec vous alain.
l'univers reel est probablement plus complexe que celui généré par les modeles mathemathiques de nos physiciens
c'etait un plaisir de debattre avec vous alain.
- Patrick1Equipe du forum
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Re: *Le Big-Bang n'existe pas
Jeu 08 Mai 2008, 21:47
Oui l'histoire de notre univers est passionante et nous interpelles tous.
merçi de vos lumieres.
merçi de vos lumieres.
- InvitéInvité
Re: *Le Big-Bang n'existe pas
Sam 10 Mai 2008, 00:48
Aka,
Si l'univers était infini et "ouvert", constitué d'un espace comme le concevait Newton c'est-à-dire pas courbé du tout, il y aurait deux solutions pour les astres qu'il contiendrait:
- Soit il y aurait un "noyau" contenant toutes les galaxies au milieu d'une infinité de néant mais l'on ne comprend pas pourquoi celles-ci ne se seraient pas éloignées à des distances infinies au fil du temps si l'univers est éternel.
- Soit cet univers contiendrait une infinité d'astres dans un espace infini. Naturellement cet un univers qui n'aurait pas eu de commencement (des étoiles nouvelles seraient apparues à mesure de la "mort" des autres ayant épuisé leur énergie en hydrogène, puis hélium etc.). Alors dans ce cas, quelle que soit la direction vers laquelle un observateur porterait son regard, il y aurait dans l'axe exactement la lumière d'une étoile. L'univers serait tout entier aussi lumineux que la surface d'une étoile et ... aussi chaud puisqu'avec le temps il serait à l'équilibre thermique.
Puisque le ciel est obscur la nuit hormis quelques "lumignons" d'étoiles, c'est le paradoxe d'Olmers. Il impose que l'univers n'est pas infini. Mais s'il n'est pas infini, que se passe-t-il si l'on va "tout droit" pendant suffisamment longtemps ? Eh bien on "revient" de là où l'on est parti, irrésistiblement! L'image la meilleure pour rendre cela compréhensible est d'imaginer que nous vivions non pas dans un espace à trois dimensions avec une longueur, une largeur et une épaisseur, mais un monde "plat" à deux dimensions (épaisseur inexistante). les habitants de cet univers, (s'ils pensent!) auront du mal à concevoir qu'en allant droit devant eux, toujours tout droit (en apparence), ils reviennent de là où ils étaient partis mais à l'opposé du sens de leur départ. Nous verrons tout de suite, nous, que leur "univers" au lieu d'être un plan est une sphère... Un tel univers à la surface d'une sphère est donc sans limite: ils peuvent toujours avancer devant eux mais il est cependant fini: la surface de la sphère à une aire finie, calculable.
Einstein, disait que nous vivons dans un espace apparemment plat à trois dimensions "plongé" dans un espace courbe à quatre dimensions, à l'image du plan à deux dimensions "plongé" dans une troisième dimension qui le transforme en surface de sphère. Ce faisant, il n'expliquait pas pourquoi les atomes n'avaient que trois dimensions et non pas quatre de même que les objets macroscopiques. pourquoi les habitants du monde précédent restent-ils prisonniers de leur sphère (immatérielle) s'ils vivent en réalité dans un monde à trois dimensions et pourquoi n'ont-ils pas eux-mêmes trois dimensions?
Certains ont alors proposé pour surmonter cette difficulté que si nous allions toujours tout droit nous n'arrivions pas à l'endroit d'où nous étions partis mais dans un duplication de celui-ci un peu comme si en parcourant un rouleau de papier peint on retrouvait régulièrement le même motif. Ainsi l'univers pouvait rester à trois dimensions d'espace. Mais comme un tel univers serait aussi infini, le problème de sa température et de sa luminosité se poseraient...
Le problème de l'infini du temps est encore plus redoutable. Car le temps n'est pas, comme une vulgaire dimension d'espace, "inerte". Il y a une "flèche" du temps sur laquelle s'enchaînent des événement successifs, liés les uns aux autres par un phénomène de causalité. Or si le temps a toujours existé, avant le temps présent, actuel, il s'est donc écoulé une infinité de temps. Donc on ne parvient jamais au temps présent! On est toujours avant! Notons que ce paradoxe insoluble s'applique aussi à Dieu. Si Dieu est éternel, il n'a pas encore eu le temps de créer notre monde...
Pourtant il semble être au-delà de nos capacités intellectuelles (en tout cas des miennes) d'imaginer un "début" du temps tout autant qu'une fin.
Alors que l'absence d'espace peut l'être. On peut imaginer qu'il n'y ait pas eu d'univers. Qu'il n'y ait rien. N'était-ce pas le cas pour nous avant que nous naissions? La solution est peut-être alors que parler de temps sans parler d'espace et parler d'espace sans parler de matière et de rayonnement n'a pas de sens. Le temps n'existe que si "quelque chose" change d'état avec lui. Or précisément l'agitation permanente semble bien être la marque des composants fondamentaux de la matière, cette matière, réelle ou virtuelle du vide quantique, qui structurant l'espace, le fonde.
Einstein a créé la notion de continuum d'espace-temps. parler de l'espace sans le temps ou vice versa n'a aucun sens. La présente réflexion (sans équations!) établit que cette notion n'est valide qu'élargie en un continuum énergie-matière-espace-temps indivisible.
PS Pour l'analyse de l'impossibilité de l'infinitésimal réel, c'est-à-dire de l'impossibilité de fractionner à l'infini l'espace ou le temps, je me permets de vous renvoyer à ma contribution de la rubrique "La vitesse de la lumière et les voyages interstellaires".
Si vous souhaitez des éclaircissements, je suis à votre disposition.
Si l'univers était infini et "ouvert", constitué d'un espace comme le concevait Newton c'est-à-dire pas courbé du tout, il y aurait deux solutions pour les astres qu'il contiendrait:
- Soit il y aurait un "noyau" contenant toutes les galaxies au milieu d'une infinité de néant mais l'on ne comprend pas pourquoi celles-ci ne se seraient pas éloignées à des distances infinies au fil du temps si l'univers est éternel.
- Soit cet univers contiendrait une infinité d'astres dans un espace infini. Naturellement cet un univers qui n'aurait pas eu de commencement (des étoiles nouvelles seraient apparues à mesure de la "mort" des autres ayant épuisé leur énergie en hydrogène, puis hélium etc.). Alors dans ce cas, quelle que soit la direction vers laquelle un observateur porterait son regard, il y aurait dans l'axe exactement la lumière d'une étoile. L'univers serait tout entier aussi lumineux que la surface d'une étoile et ... aussi chaud puisqu'avec le temps il serait à l'équilibre thermique.
Puisque le ciel est obscur la nuit hormis quelques "lumignons" d'étoiles, c'est le paradoxe d'Olmers. Il impose que l'univers n'est pas infini. Mais s'il n'est pas infini, que se passe-t-il si l'on va "tout droit" pendant suffisamment longtemps ? Eh bien on "revient" de là où l'on est parti, irrésistiblement! L'image la meilleure pour rendre cela compréhensible est d'imaginer que nous vivions non pas dans un espace à trois dimensions avec une longueur, une largeur et une épaisseur, mais un monde "plat" à deux dimensions (épaisseur inexistante). les habitants de cet univers, (s'ils pensent!) auront du mal à concevoir qu'en allant droit devant eux, toujours tout droit (en apparence), ils reviennent de là où ils étaient partis mais à l'opposé du sens de leur départ. Nous verrons tout de suite, nous, que leur "univers" au lieu d'être un plan est une sphère... Un tel univers à la surface d'une sphère est donc sans limite: ils peuvent toujours avancer devant eux mais il est cependant fini: la surface de la sphère à une aire finie, calculable.
Einstein, disait que nous vivons dans un espace apparemment plat à trois dimensions "plongé" dans un espace courbe à quatre dimensions, à l'image du plan à deux dimensions "plongé" dans une troisième dimension qui le transforme en surface de sphère. Ce faisant, il n'expliquait pas pourquoi les atomes n'avaient que trois dimensions et non pas quatre de même que les objets macroscopiques. pourquoi les habitants du monde précédent restent-ils prisonniers de leur sphère (immatérielle) s'ils vivent en réalité dans un monde à trois dimensions et pourquoi n'ont-ils pas eux-mêmes trois dimensions?
Certains ont alors proposé pour surmonter cette difficulté que si nous allions toujours tout droit nous n'arrivions pas à l'endroit d'où nous étions partis mais dans un duplication de celui-ci un peu comme si en parcourant un rouleau de papier peint on retrouvait régulièrement le même motif. Ainsi l'univers pouvait rester à trois dimensions d'espace. Mais comme un tel univers serait aussi infini, le problème de sa température et de sa luminosité se poseraient...
Le problème de l'infini du temps est encore plus redoutable. Car le temps n'est pas, comme une vulgaire dimension d'espace, "inerte". Il y a une "flèche" du temps sur laquelle s'enchaînent des événement successifs, liés les uns aux autres par un phénomène de causalité. Or si le temps a toujours existé, avant le temps présent, actuel, il s'est donc écoulé une infinité de temps. Donc on ne parvient jamais au temps présent! On est toujours avant! Notons que ce paradoxe insoluble s'applique aussi à Dieu. Si Dieu est éternel, il n'a pas encore eu le temps de créer notre monde...
Pourtant il semble être au-delà de nos capacités intellectuelles (en tout cas des miennes) d'imaginer un "début" du temps tout autant qu'une fin.
Alors que l'absence d'espace peut l'être. On peut imaginer qu'il n'y ait pas eu d'univers. Qu'il n'y ait rien. N'était-ce pas le cas pour nous avant que nous naissions? La solution est peut-être alors que parler de temps sans parler d'espace et parler d'espace sans parler de matière et de rayonnement n'a pas de sens. Le temps n'existe que si "quelque chose" change d'état avec lui. Or précisément l'agitation permanente semble bien être la marque des composants fondamentaux de la matière, cette matière, réelle ou virtuelle du vide quantique, qui structurant l'espace, le fonde.
Einstein a créé la notion de continuum d'espace-temps. parler de l'espace sans le temps ou vice versa n'a aucun sens. La présente réflexion (sans équations!) établit que cette notion n'est valide qu'élargie en un continuum énergie-matière-espace-temps indivisible.
PS Pour l'analyse de l'impossibilité de l'infinitésimal réel, c'est-à-dire de l'impossibilité de fractionner à l'infini l'espace ou le temps, je me permets de vous renvoyer à ma contribution de la rubrique "La vitesse de la lumière et les voyages interstellaires".
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- Patrick1Equipe du forum
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Re: *Le Big-Bang n'existe pas
Sam 10 Mai 2008, 18:49
Alain02 a écrit:Aka,
- Soit il y aurait un "noyau" contenant toutes
les galaxies au milieu d'une infinité de néant mais l'on ne comprend
pas pourquoi celles-ci ne se seraient pas éloignées à des distances
infinies au fil du temps si l'univers est éternel.
- Soit cet
univers contiendrait une infinité d'astres dans un espace infini.
Naturellement cet un univers qui n'aurait pas eu de commencement (des
étoiles nouvelles seraient apparues à mesure de la "mort" des autres
ayant épuisé leur énergie en hydrogène, puis hélium etc.). Alors dans
ce cas, quelle que soit la direction vers laquelle un observateur
porterait son regard, il y aurait dans l'axe exactement la lumière
d'une étoile. L'univers serait tout entier aussi lumineux que la
surface d'une étoile et ... aussi chaud puisqu'avec le temps il serait
à l'équilibre thermique
Si vous souhaitez des éclaircissements, je suis à votre disposition.
allez j'en rajoute et désolé de ma bétise si ce que je dis est une absurdité.
Et si l'univers est bien plus vaste que ça un big-bang par si et un autre par la séparé par des centaines de milliard de parsec. avec nos apareil de mesure ont ne verrais que notre bulle et de temps à autre un phénoméne inexplicable comme une galaxie qui serais plus vielle que notre univer....
mais généralement les galaxies issues d'une autres bulles n'aurais quasiment
aucunes chance de croiser notre routes . et la lumiere et la chaleurs des autres univers serait épuisé avant d'arriver à nous.
- InvitéInvité
Re: *Le Big-Bang n'existe pas
Sam 10 Mai 2008, 19:10
Patrick,
Si, dans un espace "plat", galiléen en quelque sorte et infini, il y avait des univers-îles ÉTERNELS (sinon se poserait le problème de leur création spontanée et l'impossibilité, depuis l'infini éloignement de l'origine du temps, d'atteindre un jour l'instant de leur création), aussi éloignés qu'ils fussent les uns des autres, la lumière de chacun d'eux ayant l'éternité devant elle, aurait atteint TOUS les autres et cet univers serait à la température du cœur des étoiles. Ce qui exclurait toute vie comparable à la nôtre.
Si, dans un espace "plat", galiléen en quelque sorte et infini, il y avait des univers-îles ÉTERNELS (sinon se poserait le problème de leur création spontanée et l'impossibilité, depuis l'infini éloignement de l'origine du temps, d'atteindre un jour l'instant de leur création), aussi éloignés qu'ils fussent les uns des autres, la lumière de chacun d'eux ayant l'éternité devant elle, aurait atteint TOUS les autres et cet univers serait à la température du cœur des étoiles. Ce qui exclurait toute vie comparable à la nôtre.
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Re: *Le Big-Bang n'existe pas
Sam 10 Mai 2008, 20:02
Merci Alain pour les précisions c'est gentil, je lirais ça demain attentivement, le début que j'ai commencé à lire m'a déjà bien éclairé
- Cell_MaleyEquipe du forum
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Re: *Le Big-Bang n'existe pas
Sam 10 Mai 2008, 23:15
Personnellement, depuis que je m'intéresse au phénomene (adolescence) j'ai toujours pensé qu'il n'y avait jamais eu de Big-Bang.
Peut etre que l'univers connu par l'homme est situé dans un trou noir situé lui meme dans un univers plus grand encore...
Je pense que les scientifiques sont presques aussi perdus que nous autres, il faudra attendre l'arrivée de quelqu'un d'exceptionnel tel que l'était nicolas tesla, quelqu'un qui a un cerveau différent, qui a des aptitudes superieures aux autres humains,ainsi que de nouvelles technologies, pour faire avancer tout cela.
Mais j'ai grand espoir que les prochains téléscope GEANTS vont nous devoiler quelques informations precieuses.
Peut etre que l'univers connu par l'homme est situé dans un trou noir situé lui meme dans un univers plus grand encore...
Je pense que les scientifiques sont presques aussi perdus que nous autres, il faudra attendre l'arrivée de quelqu'un d'exceptionnel tel que l'était nicolas tesla, quelqu'un qui a un cerveau différent, qui a des aptitudes superieures aux autres humains,ainsi que de nouvelles technologies, pour faire avancer tout cela.
Mais j'ai grand espoir que les prochains téléscope GEANTS vont nous devoiler quelques informations precieuses.
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