- Benjamin.dResponsable du forum
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Entre Roth et Neufgrange (Moselle): de petites sphères rejoignent une grosse
Ven 13 Juin 2008, 11:45
Entre Roth et Neufgrange (Moselle): de petites sphères rejoignent une grosse sphère munie de hublots...
C'est Robert Fischer qui a recueilli tous les éléments concernant ce troisième (et pour l'instant, dernier) cas d'observation de deux phénomènes distincts, et qui nous l'expose:
Le 5 novembre 1990, à 18 h 55, Mme Clouet et son fils (âgé de 4 ans) quittent le domicile des beaux-parents de celle-ci, à Roth, et se dirigent en voiture vers Neufgrange. Le trajet est bien connu de ces deux personnes, qui l'empruntent souvent. La distance entre les deux villages est de 2 200 m. A 19 h 03, Mme Clouet a son attention attirée par une lumière sur sa gauche. A ce moment, le véhicule est à la hauteur de l'étang de Neufgrange, sur le chemin appelé « route de Roth ». Mme Clouet voit, à la hauteur des arbres bordant le côté opposé de l'étang, une boule plus sombre que le ciel environnant, éclairée par une rangée de hublots carrés émettant une lumière jaune. Cette boule peut avoir un diamètre de 20 à 30 mètres, l'éloignement étant évalué à environ 300 mètres.
Stupéfaits, Mme Clouet et son fils voient l'engin, qui était précédemment immobile, se mouvoir lentement d'ouest en est, survoler la forêt et les suivre à distance ! L'objet se trouve dans l'axe du château qui se dresse sur les bords de l'étang. A ce moment, Mme Clouet aperçoit sur sa droite, haut dans le ciel (entre 45 et 60°) un ensemble de six ou sept boules groupées, qui semblent se diriger, en chutant, vers la sphère de gauche. Elles ont l'aspect d'étoiles filantes quant à la couleur, blanc vif, et ont toutes « la taille d'un petit avion ». Ces boules disparaissent derrière la sphère de gauche.
La conductrice accélère alors (la voiture ne s'était pas arrêtée, mais roulait à faible allure, pratiquement au pas). L'objet suit la voiture... Les témoins perdent le contact avec l'ovni à l'entrée du village: il disparaît derrière les arbres et les maisons.
Le trajet a duré dix minutes, dont trois ont été consacrées à l'observation proprement dite. De retour à la maison, les deux témoins font part de leur observation à M. Clouet. L'enfant aura énormément de mal à s'endormir, et fera par la suite de nombreux cauchemars. Décidément, l'affaire du 5 novembre est toute simple... à condition de faire totalement abstraction de ce que disent les témoins !
Les vagues d'apparitions d'ovnis sont caractérisées, entre autres choses, par leur étalement dans le temps. Si l'on observe le déroulement des deux autres grandes vagues françaises (automne 54 et milieu des années soixante-dix), on constate une montée, plus ou moins rapide, de la fréquence des observations, un pic d'activité, puis une retombée assez progressive. Dans le cas de la vague belge, le début est si nettement marqué, avec les observations au nord-est de Verviers, qu'on peut situer le début des événements au 29 novembre 89, peu après 17 h. Le reflux est, en revanche, beaucoup plus progressif. On peut également observer la distribution dans le temps de la vague européenne de 1946, ou même de la vague française d'août 98. Mais qu'en est-il des événements du 5 novembre 90 ? Tous les cas paraissent tellement bien groupés autour de 19 h, que la durée du pic de forte activité est de l'ordre de grandeur de l'erreur qu'on peut commettre quand on oublie de regarder sa montre, ou quand on a une montre plus ou moins bien réglée.
Il existe quand même (nous en avons vu des exemples) un bon nombre de cas où les témoins ont noté l'heure précise (avec une incertitude de l'ordre de 1 minute seulement), et beaucoup fournissent une estimation de la durée de leur observation. On aura noté que ces durées varient assez peu d'un cas à un autre, et sont le plus souvent voisines de 1 minute ou une minute et demie. Deux cas font exception, avec une durée anormalement longue: une dizaine de minutes. Dans celui de Cuhem, l'enquête du journal local ayant été faite très peu de temps après l'incident, on peut accorder un certain crédit à cette estimation de durée. Le second exemple nous est donné par le témoignage (rapporté par le Midi Libre du 8 novembre) du pilote d'un biréacteur d'une compagnie privée, qui à 19 h, survolait la région de Châteaudun: il parle également d'une dizaine de minutes. Mais rien (hormis peut-être cette durée trop longue) ne nous permet d'affirmer que ce phénomène (simultanément observé par deux autres équipages, un de la TAT et l'autre d'Air France) n'était pas la rentrée de la fusée Proton. Il existe un certain nombre d'observations qui montrent que les événements du 5 novembre, considérés dans leur ensemble, présentent effectivement une structure comparable à celle des autres vagues d'OVNI. Voyons maintentant plusieurs cas qui illustrent cet étalement dans le temps. Peu d'observations antérieures à 18 h 55 ont été signalées, et la documentation les concernant est trop succincte, à la seule exception du cas que voici.
5 : Cette étrange amnésie nous rappelle celle de deux des quatres joggers de Linas (voir LDLN 359), et la tendance d'un troisième à minimiser l'incident.
http://home.nordnet.fr/~phuleux/5novembr6.htm
C'est Robert Fischer qui a recueilli tous les éléments concernant ce troisième (et pour l'instant, dernier) cas d'observation de deux phénomènes distincts, et qui nous l'expose:
Le 5 novembre 1990, à 18 h 55, Mme Clouet et son fils (âgé de 4 ans) quittent le domicile des beaux-parents de celle-ci, à Roth, et se dirigent en voiture vers Neufgrange. Le trajet est bien connu de ces deux personnes, qui l'empruntent souvent. La distance entre les deux villages est de 2 200 m. A 19 h 03, Mme Clouet a son attention attirée par une lumière sur sa gauche. A ce moment, le véhicule est à la hauteur de l'étang de Neufgrange, sur le chemin appelé « route de Roth ». Mme Clouet voit, à la hauteur des arbres bordant le côté opposé de l'étang, une boule plus sombre que le ciel environnant, éclairée par une rangée de hublots carrés émettant une lumière jaune. Cette boule peut avoir un diamètre de 20 à 30 mètres, l'éloignement étant évalué à environ 300 mètres.
Stupéfaits, Mme Clouet et son fils voient l'engin, qui était précédemment immobile, se mouvoir lentement d'ouest en est, survoler la forêt et les suivre à distance ! L'objet se trouve dans l'axe du château qui se dresse sur les bords de l'étang. A ce moment, Mme Clouet aperçoit sur sa droite, haut dans le ciel (entre 45 et 60°) un ensemble de six ou sept boules groupées, qui semblent se diriger, en chutant, vers la sphère de gauche. Elles ont l'aspect d'étoiles filantes quant à la couleur, blanc vif, et ont toutes « la taille d'un petit avion ». Ces boules disparaissent derrière la sphère de gauche.
La conductrice accélère alors (la voiture ne s'était pas arrêtée, mais roulait à faible allure, pratiquement au pas). L'objet suit la voiture... Les témoins perdent le contact avec l'ovni à l'entrée du village: il disparaît derrière les arbres et les maisons.
Le trajet a duré dix minutes, dont trois ont été consacrées à l'observation proprement dite. De retour à la maison, les deux témoins font part de leur observation à M. Clouet. L'enfant aura énormément de mal à s'endormir, et fera par la suite de nombreux cauchemars. Décidément, l'affaire du 5 novembre est toute simple... à condition de faire totalement abstraction de ce que disent les témoins !
Les vagues d'apparitions d'ovnis sont caractérisées, entre autres choses, par leur étalement dans le temps. Si l'on observe le déroulement des deux autres grandes vagues françaises (automne 54 et milieu des années soixante-dix), on constate une montée, plus ou moins rapide, de la fréquence des observations, un pic d'activité, puis une retombée assez progressive. Dans le cas de la vague belge, le début est si nettement marqué, avec les observations au nord-est de Verviers, qu'on peut situer le début des événements au 29 novembre 89, peu après 17 h. Le reflux est, en revanche, beaucoup plus progressif. On peut également observer la distribution dans le temps de la vague européenne de 1946, ou même de la vague française d'août 98. Mais qu'en est-il des événements du 5 novembre 90 ? Tous les cas paraissent tellement bien groupés autour de 19 h, que la durée du pic de forte activité est de l'ordre de grandeur de l'erreur qu'on peut commettre quand on oublie de regarder sa montre, ou quand on a une montre plus ou moins bien réglée.
Il existe quand même (nous en avons vu des exemples) un bon nombre de cas où les témoins ont noté l'heure précise (avec une incertitude de l'ordre de 1 minute seulement), et beaucoup fournissent une estimation de la durée de leur observation. On aura noté que ces durées varient assez peu d'un cas à un autre, et sont le plus souvent voisines de 1 minute ou une minute et demie. Deux cas font exception, avec une durée anormalement longue: une dizaine de minutes. Dans celui de Cuhem, l'enquête du journal local ayant été faite très peu de temps après l'incident, on peut accorder un certain crédit à cette estimation de durée. Le second exemple nous est donné par le témoignage (rapporté par le Midi Libre du 8 novembre) du pilote d'un biréacteur d'une compagnie privée, qui à 19 h, survolait la région de Châteaudun: il parle également d'une dizaine de minutes. Mais rien (hormis peut-être cette durée trop longue) ne nous permet d'affirmer que ce phénomène (simultanément observé par deux autres équipages, un de la TAT et l'autre d'Air France) n'était pas la rentrée de la fusée Proton. Il existe un certain nombre d'observations qui montrent que les événements du 5 novembre, considérés dans leur ensemble, présentent effectivement une structure comparable à celle des autres vagues d'OVNI. Voyons maintentant plusieurs cas qui illustrent cet étalement dans le temps. Peu d'observations antérieures à 18 h 55 ont été signalées, et la documentation les concernant est trop succincte, à la seule exception du cas que voici.
5 : Cette étrange amnésie nous rappelle celle de deux des quatres joggers de Linas (voir LDLN 359), et la tendance d'un troisième à minimiser l'incident.
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