Page 2 sur 4 • 1, 2, 3, 4
- Obicrik-EnobiUfologue
Age : 56
Nombre de messages : 31
Inscription : 15/06/2008
Localisation : ille et vilaine
Emploi : aide domicile
Passions : observer le monde
Règlement : Règlement
Points de Participation : 5999
Re: 2008: le 5/07 vers 1h30- Bretignolle sur mer (85)
Lun 07 Juil 2008, 21:17
Difficile de s'empecher de faire un rapprochement avec les guirlandes thailandaise.
Lumieres nombreuses, qui flottent, qui semblent ressembler en certains points aux observations qui ont étés decrite en Vendée.
Incontestablement ce ne sont pas des lampions qui ont étés vues. Cela doit il relancer l'affaire de l'ile d'yeu?
Pour ma part, a défaut de croire les voyages interplanétaire impossible, je crois en la parole d' autrui. A tort ou a raison, mais j'y crois. Meme si certains détails me troublent et laissent parraitre des inexactitudes, je met ça sur le compte de la narration. Pas toujours facile de relater des faits...encore moins quand ils sont "extraordinnaire"
Tu as vu quelque chose...Mais quoi? Je ne le dirai pas à ta place.
Deux ou trois choses...
Touché par l'influence médiatique de ta région ces derniers temps, tu joues...
Tu es victime d'une bande de plaisantins qui se sont amusé dans les dunes a votre insu...
tu as observé une des nombreuses actions de "presences vivante et intelligeante venu d'on ne sait ou"...Et dans ce cas que peuvent ils bien chercher chez nous ? ...eux qui ont tout ce que nous n'avons pas . Qu'avons nous qu'ils n'ont pas?
Lumieres nombreuses, qui flottent, qui semblent ressembler en certains points aux observations qui ont étés decrite en Vendée.
Incontestablement ce ne sont pas des lampions qui ont étés vues. Cela doit il relancer l'affaire de l'ile d'yeu?
Pour ma part, a défaut de croire les voyages interplanétaire impossible, je crois en la parole d' autrui. A tort ou a raison, mais j'y crois. Meme si certains détails me troublent et laissent parraitre des inexactitudes, je met ça sur le compte de la narration. Pas toujours facile de relater des faits...encore moins quand ils sont "extraordinnaire"
Tu as vu quelque chose...Mais quoi? Je ne le dirai pas à ta place.
Deux ou trois choses...
Touché par l'influence médiatique de ta région ces derniers temps, tu joues...
Tu es victime d'une bande de plaisantins qui se sont amusé dans les dunes a votre insu...
tu as observé une des nombreuses actions de "presences vivante et intelligeante venu d'on ne sait ou"...Et dans ce cas que peuvent ils bien chercher chez nous ? ...eux qui ont tout ce que nous n'avons pas . Qu'avons nous qu'ils n'ont pas?
- Dam468Equipe du forum
Age : 75
Nombre de messages : 574
Inscription : 18/05/2008
Localisation : 79500
Emploi : retraité
Passions : ufologie
Règlement : Règlement
Points de Participation : 6565
Re: 2008: le 5/07 vers 1h30- Bretignolle sur mer (85)
Lun 07 Juil 2008, 21:59
Bonsoir n0mad.. avez-vous pensé à des pêcheurs nocturnes,
engoncés dans leurs cirés et s'éclairant à l'aide de lampes torches ?
engoncés dans leurs cirés et s'éclairant à l'aide de lampes torches ?
- Jean CurnonixCulture Scientifique
Age : 64
Nombre de messages : 1984
Inscription : 31/05/2008
Localisation : France
Emploi : Actif
Passions : Divers
Règlement : Règlement
Points de Participation : 8325
Re: 2008: le 5/07 vers 1h30- Bretignolle sur mer (85)
Lun 07 Juil 2008, 22:37
Bonsoir Dam468,
Oui n0mad a pensé à cette hypothèse dont il formule qu’elle ne cadre pas avec ce qu’il a observé, ni pour des piétons, ni pour des cyclistes.
Cordialement,
Jean
Oui n0mad a pensé à cette hypothèse dont il formule qu’elle ne cadre pas avec ce qu’il a observé, ni pour des piétons, ni pour des cyclistes.
Cordialement,
Jean
- n0madNouveau membre
Age : 44
Nombre de messages : 4
Inscription : 06/07/2008
Localisation : France
Emploi : Emploi
Passions : Loisir
Règlement : Règlement
Points de Participation : 5976
Re: 2008: le 5/07 vers 1h30- Bretignolle sur mer (85)
Mar 08 Juil 2008, 00:02
OK,
beaucoup de doute ici, ça ne m'étonne pas.
J'ai également pensé à des surfeurs de nuit...mais d'après les vidéos que j'ai pu voir sur cette discipline ça ne correspond pas : ils le font avec un minimum d'éclairage, et jamais équipé de lumières sur eux. Il me semble que la lune n'était pas pleine - et toute manière il y avait beaucoup de nuage - cela aurait donc masqué la lumière naturelle.
Enfin, ci c'etait une personne avec une lampe frontale, la lumière aurait du s'estomper voire s'eclipser si jamais celui si nous tournait le dos. Dans mon cas elles etaient toujours visibles sauf lorsqu'elles disparaissaient définitivement.
C'est complétement dingue, jvais aller voire un psy si ça continue !
beaucoup de doute ici, ça ne m'étonne pas.
Un bon plateau de fruis de mer c'est toujours agréable...!Des E.T qui vont à la pêche aux crabes?
non jamais. Pour j'en regarde des séries de SF !Aviez-vous déjà vu un ET de ce type quelque part avant le soir de la rencontre?
Je doute à présent de ce que j'ai vu autour de ces lumières. Néanmoins, le fait que la lumiere passe au rouge puis au orange n'est pas une hallucination - le changement de spectre était trop parfait - comme un feu de signalisation.Si de fixer longtemps une lumière rouge produira
une tache d'éblouissement vert sur la rétine (car le vert est la
couleur complémentaire du rouge, de fixer longtemps une lumière ne fera
pas voir une silhouette humaine.
Pour voir les crabes qu'ils ramassent ? :o) On pourrait imaginer une lumière pour quadriller un secteur type "sonar"...Pourquoi le font-ils sinon pour attirer l'attention des hommes, vous en l'occurence?
Je regarde un peu plus le ciel !Ce qu'il serait intéressant que vous signaliez
dans les prochains jours et prochaines semaines, c'est si votre
"conception du monde" a été modifiée
Je n'en ai jamais vu mais je me doute de quoi il s'agit. Je doute que cela puisse être ça étant donné que les lumières couvraient une surface large de 200-300m....ils en aurait fallu des plaisantins !Difficile de s'empecher de faire un rapprochement avec les guirlandes thailandaise.
Absolument pas. Sur l'ile d'yeu ce sont des phénomènes météo. Tu peux voir les mêmes boules rouges en dans un pays nordique comme la finlande il me semble tous les mois.Cela doit il relancer l'affaire de l'ile d'yeu?
Mon récit est entier. Il s'agit ici d'observations narrées - pas d'un rapport scientifque. Néanmoins quelles sont ces inexactitudes que je leve le doute ?laissent parraitre des inexactitudes
Je n'habite pas en vendée. Je n'étais pas au courant de la polémique de l'ile d'yeu avant dimanche dernier - date à partir de laquelle j'ai fait des recherches. A vrai dire, avant cette date, tout ce qui parlait d'ovni je passais dessus....Touché par l'influence médiatique de ta région ces derniers temps, tu joues...
Probable...mais ils se sont donné beaucoup de mal pour deux personnes sachant qu'il y en avait une 30aine d'autres "au camp" (500m plus loin) - de là d'où nous venions. Mais bon, cela reste une des explications les plus rationnelles.Tu es victime d'une bande de plaisantins qui se sont amusé dans les dunes a votre insu...
Il faudrait leur poser la question ou aller chez eux pour voire leur déco....!tu as observé une des nombreuses actions de
"presences vivante et intelligeante venu d'on ne sait ou"...Et dans ce
cas que peuvent ils bien chercher chez nous ? ...eux qui ont tout ce
que nous n'avons pas . Qu'avons nous qu'ils n'ont pas?
Oui j'y ai pensé, mais ça ne colle pas avec le déplacement des lumières. J'ai également pensé à des chercheurs d'or...mais je voie mal comment une personne peut se déplacer de façon linaire (de façon parfaite) au milieu des rochers. Et quelle genre de lampe peut doubler d'intensité dans le blanc puis passé immédiatement au rouge puis au orange ?avez-vous pensé à des pêcheurs nocturnes,
engoncés dans leurs cirés et s'éclairant à l'aide de lampes torches ?
J'ai également pensé à des surfeurs de nuit...mais d'après les vidéos que j'ai pu voir sur cette discipline ça ne correspond pas : ils le font avec un minimum d'éclairage, et jamais équipé de lumières sur eux. Il me semble que la lune n'était pas pleine - et toute manière il y avait beaucoup de nuage - cela aurait donc masqué la lumière naturelle.
Enfin, ci c'etait une personne avec une lampe frontale, la lumière aurait du s'estomper voire s'eclipser si jamais celui si nous tournait le dos. Dans mon cas elles etaient toujours visibles sauf lorsqu'elles disparaissaient définitivement.
C'est complétement dingue, jvais aller voire un psy si ça continue !
- Jean CurnonixCulture Scientifique
Age : 64
Nombre de messages : 1984
Inscription : 31/05/2008
Localisation : France
Emploi : Actif
Passions : Divers
Règlement : Règlement
Points de Participation : 8325
Re: 2008: le 5/07 vers 1h30- Bretignolle sur mer (85)
Mar 08 Juil 2008, 00:57
Bonsoir n0mad,
Ayez présent à l’esprit, davantage que le « psy » à aller consulter, que toute société consciente possède une culture et des concepts réalisant un système de représentations largement accepté, c'est-à-dire un paradigme, un ensemble de croyances théoriquement et méthodologiquement interconnectées, ceci dans chacun des domaines particuliers auxquels accède la conscience collective constituant cette société.
Notre paradigme cosmologique actuel induit l’impossibilité du voyage interstellaire et donc le rejet de la possibilité même d'observer des engins d'origine extraterrestre dans notre écosystème terrestre. Il faut vraiment comprendre cela et l’avoir constamment présent à l’esprit.
Dans le milieu scientifique il n’est pas de meilleur moyen de torpiller sa carrière que d’avouer s’intéresser à l’ovni en tant qu’objet d’études … qui est tabou. Il faut le faire en cachette, en donnant le change avec des publications autres.
Rappelons-nous qu’un paradigme permet la sélection, l’évaluation et la critique des idées qui sont à la base de notre compréhension du monde. La "science normale", académique, travaille dans le cadre d’un paradigme donné, parce que celui-ci s’est révélé efficace bien qu’il comporte des hypothèses sous-jacentes, non prouvées. Certaines de ces hypothèses peuvent être valables de manière approchée. De nouveaux faits observés peuvent donc venir les contredire quand on regarde au-delà des frontières du domaine où la validité de ces hypothèses avait été vérifiée. Ceci conduit à ce que Thomas Kuhn appelle une "crise" (La structure des révolutions scientifiques, chez Flammarion). Il la situe au moment où la communauté scientifique prend déjà assez largement conscience du fait que le paradigme antérieur ne suffit plus pour rendre compte des nouveaux faits observés. Nous en vivons, je pense, les prémices que l’Internet et des sites tels que celui-ci, sur lequel vous avez choisi de témoigner de votre observation, vont accroître.
Notre paradigme, notamment pour ce qu’il en est du domaine cosmologique, est à revoir de manière drastique !
Cordialement,
Jean
Vous semblez prendre conscience de ce que constitue l’emprise de notre paradigme actuel, et le cartésien que vous croyez (du verbe croire) être a ancré en lui de telles "certitudes" qu’il en vient à douter de la réalité de données d’observation !n0mad a écrit: C'est complétement dingue, jvais aller voire un psy si ça continue !
Ayez présent à l’esprit, davantage que le « psy » à aller consulter, que toute société consciente possède une culture et des concepts réalisant un système de représentations largement accepté, c'est-à-dire un paradigme, un ensemble de croyances théoriquement et méthodologiquement interconnectées, ceci dans chacun des domaines particuliers auxquels accède la conscience collective constituant cette société.
Notre paradigme cosmologique actuel induit l’impossibilité du voyage interstellaire et donc le rejet de la possibilité même d'observer des engins d'origine extraterrestre dans notre écosystème terrestre. Il faut vraiment comprendre cela et l’avoir constamment présent à l’esprit.
Dans le milieu scientifique il n’est pas de meilleur moyen de torpiller sa carrière que d’avouer s’intéresser à l’ovni en tant qu’objet d’études … qui est tabou. Il faut le faire en cachette, en donnant le change avec des publications autres.
Rappelons-nous qu’un paradigme permet la sélection, l’évaluation et la critique des idées qui sont à la base de notre compréhension du monde. La "science normale", académique, travaille dans le cadre d’un paradigme donné, parce que celui-ci s’est révélé efficace bien qu’il comporte des hypothèses sous-jacentes, non prouvées. Certaines de ces hypothèses peuvent être valables de manière approchée. De nouveaux faits observés peuvent donc venir les contredire quand on regarde au-delà des frontières du domaine où la validité de ces hypothèses avait été vérifiée. Ceci conduit à ce que Thomas Kuhn appelle une "crise" (La structure des révolutions scientifiques, chez Flammarion). Il la situe au moment où la communauté scientifique prend déjà assez largement conscience du fait que le paradigme antérieur ne suffit plus pour rendre compte des nouveaux faits observés. Nous en vivons, je pense, les prémices que l’Internet et des sites tels que celui-ci, sur lequel vous avez choisi de témoigner de votre observation, vont accroître.
Notre paradigme, notamment pour ce qu’il en est du domaine cosmologique, est à revoir de manière drastique !
Cordialement,
Jean
- Dam468Equipe du forum
Age : 75
Nombre de messages : 574
Inscription : 18/05/2008
Localisation : 79500
Emploi : retraité
Passions : ufologie
Règlement : Règlement
Points de Participation : 6565
Re: 2008: le 5/07 vers 1h30- Bretignolle sur mer (85)
Mar 08 Juil 2008, 06:50
Bonjour..n0mad a écrit:OK,
beaucoup de doute ici, ça ne m'étonne pas.
C'est complétement dingue, jvais aller voire un psy si ça continue !
allez n0mad.. ne vous inquiétez pas sur votre acuité ou vos facultés mentales, je voulais seulement vous faire reconsidérer cette hypothèse après en avoir essayé quelques autres,
les déplacements linéaires et les changements de couleur sont assez déroutants, et je comprends que vous ayiez du mal à les décrire et les interpréter en restant logique et rationnel..
- InvitéInvité
Re: 2008: le 5/07 vers 1h30- Bretignolle sur mer (85)
Mar 08 Juil 2008, 13:04
Jean Cumonix a raison: la science officielle ne veut pas entendre parler d'extraterrestres nous visitant parce qu'elle n'a aucune théorie cosmologique pour expliquer comment ils peuvent nous atteindre sans passer des millénaires de périlleuse traversée du cosmos, exposée aux radiations, aux météorites, aux dangers des trous noirs et aux dangers inconnus de l'humanité. Elle ne peut abandonner la relativité einsteinienne des géodésiques d'espace-temps qui pouvait à expliquer ce qui restait définitivement inexplicable dans le cadre de la physique de Newton, une expérience d'optique (Michelson et Morley), qui établissait sans aucun doute que la lumière atteint un appareil de mesure avec la même vitesse c quelle que soit la vitesse propre de l'appareil de mesure.
Oui mais aujourd'hui, une autre expérience d'optique affinée depuis trente ans jusqu'à celle de l'Institut d'optique et d'information quantique de Vienne établit irréfutablement un autre fait (cf. La Recherche d'avril 2008) qui met en échec la relativité einsteinienne: dans certain cas (photons "intriqués") la conséquence d'un fait apparaît avant sa cause!!! Ce qui revient à dire: si le vase est cassé aujourd'hui, c'est que je vais le laisser tomber demain!!!
AUCUNE autre explication que celle-là: "la conséquence précède la cause" n'est valide, aucune! Ce qui laisse à penser sur ce "qu'est" le temps et sur ce "qu'est" l'espace à l'échelle particulaire, où plutôt sur ce qu'est cette l'espace-temps AU NIVEAU particulaire, là où la matière est indissociable de ses niveaux d'énergie
La théorie de Sakharov-Petit en définissant une sorte d'anti-univers qui ne soit pas le miroir exact du nôtre est peut-être une piste de recherche pour l'établissement de la nouvelle théorie, théorie devenue indispensable à la survie même de l'humanité compte-tenu des problèmes environnementaux qui se pose à elle. Mais elle n'explique pas les résultats désarçonnants des dernières expérience d'optique quantique puisqu'elle fait de la gravité le seul vecteur de transmission d'énergie d'un "feuillet" à l'autre, alors que dans l'expérience de Vienne qui a succédé à celle d'Alain Aspect à Orsay, la gravitation et les ondes gravitationnelles ne jouent aucun rôle.
Le fondement de tout ce qui existe étant, inévitablement, de l'information "irréductible", faut de quoi tout ne serait que chaos, le défi mental qui se pose aux cerveaux humains est d'arriver à renverser la proposition "évidente": "l'information s'inscrit dans le temps" avec donc la cause qui précède la conséquence, à "le temps s'inscrit dans l'information" dans laquelle, au moins APPAREMMENT, la conséquence peut précéder la cause, la "flèche du temps" par une sorte "d'effet tunnel" ("effet tunnel qui est aussi "quelque chose" qui défie la "logique" issue de "l'expérience" de vie de l'être humain) peut avoir un "double sens" au niveau nanoscopique des particules du moins avant la "décohérence", c'est-à-dire quand l'information "remonte" jusqu'à nous.
Des effets quantiques "géants" ont déjà été observés sur des atomes ultra froids. Et si le secret des voyages "cosmiques" des ET reposait sur des effets quantiques "géants" qui modifierait la flèche du temps?
Flèche dont le sens "normal" va du passé vers l'avenir en passant par un "présent" qui n'est pas infinitésimal mais au moins égal au temps de Planck, pour, par successions d'inversions infinitésimales du futur vers le passé, se déplacer en "arrêtant" le temps de l'univers extérieur Et pendant ce temps(!), les ET ne vieilliraient pas ni rien à l'intérieur du vaisseau.
Et comme l'espace est inextricablement lié au temps, tous les deux étant des "images" à notre échelle de la même information fondamentale, rien n'empêche de penser que ces effets quantique "géants" ne puissent être utilisés pour modifier "localement" c'est-à-dire dans et autour du vaisseau les propriétés de l'espace, de manière par exemple à modifier les distances pour "s'approcher" de son but et "s'éloigner" de son point de départ et ainsi de "voyager" sans dépense renouvelée d'énergie, une fois l'effet créé.
Une des conséquences de ce type de déplacement serait que l'énergie cinétique qui est proportionnelle au carré de la vitesse instantanée (e = 1/2mv² à vitesse très infra luminique), n'augmenterait pas car d'une certaine façon, il n'y aurait pas de "vitesse".
Partant,cet effet la limite de vitesse absolue que représente "c", la vitesse de la lumière, serait sans objet et le paradoxe des jumeaux de Langevin ("Celui qui a voyagé en subissant de grandes accélération et décélérations vieillit moins vite que celui qui est resté "immobile"") serait résolu: un extraterrestre pourrait s'éloigner de millions d'années lumière de chez lui et y revenir presque instantanément. Je dis presque car il lui faudrait sans doute s'arrêter pour "faire le point" de temps à autre dans l'espace-temps ordinaire, celui dans lequel nous vivons (après un nombre donné d'oscillations vers le passé, par exemple) afin de ne pas "rater" son objectif final, tout étant en mouvement dans l'espace: planètes sur leur orbite, systèmes stellaires dans leurs galaxies, galaxies elles-mêmes. Il ne faudrait pas passer à côté sans s'en apercevoir!
Oui mais aujourd'hui, une autre expérience d'optique affinée depuis trente ans jusqu'à celle de l'Institut d'optique et d'information quantique de Vienne établit irréfutablement un autre fait (cf. La Recherche d'avril 2008) qui met en échec la relativité einsteinienne: dans certain cas (photons "intriqués") la conséquence d'un fait apparaît avant sa cause!!! Ce qui revient à dire: si le vase est cassé aujourd'hui, c'est que je vais le laisser tomber demain!!!
AUCUNE autre explication que celle-là: "la conséquence précède la cause" n'est valide, aucune! Ce qui laisse à penser sur ce "qu'est" le temps et sur ce "qu'est" l'espace à l'échelle particulaire, où plutôt sur ce qu'est cette l'espace-temps AU NIVEAU particulaire, là où la matière est indissociable de ses niveaux d'énergie
La théorie de Sakharov-Petit en définissant une sorte d'anti-univers qui ne soit pas le miroir exact du nôtre est peut-être une piste de recherche pour l'établissement de la nouvelle théorie, théorie devenue indispensable à la survie même de l'humanité compte-tenu des problèmes environnementaux qui se pose à elle. Mais elle n'explique pas les résultats désarçonnants des dernières expérience d'optique quantique puisqu'elle fait de la gravité le seul vecteur de transmission d'énergie d'un "feuillet" à l'autre, alors que dans l'expérience de Vienne qui a succédé à celle d'Alain Aspect à Orsay, la gravitation et les ondes gravitationnelles ne jouent aucun rôle.
Le fondement de tout ce qui existe étant, inévitablement, de l'information "irréductible", faut de quoi tout ne serait que chaos, le défi mental qui se pose aux cerveaux humains est d'arriver à renverser la proposition "évidente": "l'information s'inscrit dans le temps" avec donc la cause qui précède la conséquence, à "le temps s'inscrit dans l'information" dans laquelle, au moins APPAREMMENT, la conséquence peut précéder la cause, la "flèche du temps" par une sorte "d'effet tunnel" ("effet tunnel qui est aussi "quelque chose" qui défie la "logique" issue de "l'expérience" de vie de l'être humain) peut avoir un "double sens" au niveau nanoscopique des particules du moins avant la "décohérence", c'est-à-dire quand l'information "remonte" jusqu'à nous.
Des effets quantiques "géants" ont déjà été observés sur des atomes ultra froids. Et si le secret des voyages "cosmiques" des ET reposait sur des effets quantiques "géants" qui modifierait la flèche du temps?
Flèche dont le sens "normal" va du passé vers l'avenir en passant par un "présent" qui n'est pas infinitésimal mais au moins égal au temps de Planck, pour, par successions d'inversions infinitésimales du futur vers le passé, se déplacer en "arrêtant" le temps de l'univers extérieur Et pendant ce temps(!), les ET ne vieilliraient pas ni rien à l'intérieur du vaisseau.
Et comme l'espace est inextricablement lié au temps, tous les deux étant des "images" à notre échelle de la même information fondamentale, rien n'empêche de penser que ces effets quantique "géants" ne puissent être utilisés pour modifier "localement" c'est-à-dire dans et autour du vaisseau les propriétés de l'espace, de manière par exemple à modifier les distances pour "s'approcher" de son but et "s'éloigner" de son point de départ et ainsi de "voyager" sans dépense renouvelée d'énergie, une fois l'effet créé.
Une des conséquences de ce type de déplacement serait que l'énergie cinétique qui est proportionnelle au carré de la vitesse instantanée (e = 1/2mv² à vitesse très infra luminique), n'augmenterait pas car d'une certaine façon, il n'y aurait pas de "vitesse".
Partant,cet effet la limite de vitesse absolue que représente "c", la vitesse de la lumière, serait sans objet et le paradoxe des jumeaux de Langevin ("Celui qui a voyagé en subissant de grandes accélération et décélérations vieillit moins vite que celui qui est resté "immobile"") serait résolu: un extraterrestre pourrait s'éloigner de millions d'années lumière de chez lui et y revenir presque instantanément. Je dis presque car il lui faudrait sans doute s'arrêter pour "faire le point" de temps à autre dans l'espace-temps ordinaire, celui dans lequel nous vivons (après un nombre donné d'oscillations vers le passé, par exemple) afin de ne pas "rater" son objectif final, tout étant en mouvement dans l'espace: planètes sur leur orbite, systèmes stellaires dans leurs galaxies, galaxies elles-mêmes. Il ne faudrait pas passer à côté sans s'en apercevoir!
- Obicrik-EnobiUfologue
Age : 56
Nombre de messages : 31
Inscription : 15/06/2008
Localisation : ille et vilaine
Emploi : aide domicile
Passions : observer le monde
Règlement : Règlement
Points de Participation : 5999
Re: 2008: le 5/07 vers 1h30- Bretignolle sur mer (85)
Mar 08 Juil 2008, 19:31
voila quelques inexactitudes. J'aurais pu tout aussi bien dire "quelques approximations" laissant une place a de l'aléatoire.
...que je met sur le compte de la narration, et de ton esprit (trop?) cartesien.
Enfin, cela n'empeche que je crois sincerement ton histoire, et que tout comme toi je suis bien incappable d' y donner un sens et une verité absolu.
...ah si! j'aurais carrément aimé etre a ta place, meme si j'aurais peut etre autant voir plus flipper que toi.
Une derniere chose. Tu parle de consommation de biere. ok! Mais beaucoup savent que les soirées sur les plages s'agrementent de consomation moins avouable qui peuvent etre propice a ce genre de situation (d'autant plus si mélangé a de l'alcool). Je ne te demande pas si c'est le cas. Toi seul le sait. Je dis cela simplement car ce peut etre une piste a explorer.
environ 50m après le panneau de la ville
J'ai donc bu 2-3 bières
On en compte entre 6 à 12. Ces lumières blanches grosses comme un point doivent être à une distance de 100 à 200m. Elle flottent à environ 10m du sol. Il fait nuit noire, ce n'est pas évident de juger après coup.
Mon esprit cartésien à du mal à l'écrire tellement je sais que c'est sur-réel. Je voie comme une forme humaine, avec une "capuche" et des bras un peu plus long que la normale (comme si mon coude arrivait au milieu de mon avant bras). Cela me fait penser à un druide comme dans les films à caractère mystique. Je pense alors à une secte - comme on voie dans les films ! Probablement la distortion de ma rétine mélangé avec un peu d'immagination
...et sans doute d'autre en fouillant tout le texte.On marche d'une allure pas trop affolée, mais pas relaxe non plus
...que je met sur le compte de la narration, et de ton esprit (trop?) cartesien.
Enfin, cela n'empeche que je crois sincerement ton histoire, et que tout comme toi je suis bien incappable d' y donner un sens et une verité absolu.
...ah si! j'aurais carrément aimé etre a ta place, meme si j'aurais peut etre autant voir plus flipper que toi.
Une derniere chose. Tu parle de consommation de biere. ok! Mais beaucoup savent que les soirées sur les plages s'agrementent de consomation moins avouable qui peuvent etre propice a ce genre de situation (d'autant plus si mélangé a de l'alcool). Je ne te demande pas si c'est le cas. Toi seul le sait. Je dis cela simplement car ce peut etre une piste a explorer.
- Jean CurnonixCulture Scientifique
Age : 64
Nombre de messages : 1984
Inscription : 31/05/2008
Localisation : France
Emploi : Actif
Passions : Divers
Règlement : Règlement
Points de Participation : 8325
Re: 2008: le 5/07 vers 1h30- Bretignolle sur mer (85)
Mer 09 Juil 2008, 01:59
Bonjour Alain02,
Lecture très intéressante que celle de votre message ci-dessus dont se dégage principalement l’interrogation selon laquelle :
(Nota : ceux que cela intéresse pourront lire de Roger Balian, physicien théoricien à l’Institut de Physique Théorique, CEA Saclay, membre de l’Académie des Sciences, l’article, ici au format pdf, > "La physique quantique à notre échelle" < Lire notamment le paragraphe 15. ASTROPHYSIQUE, pages 87 et 88.)
Cela vient de ce que les lois quantiques gouvernent de façon sous-jacente la plupart des propriétés et des caractéristiques des processus ou des corps qui nous environnent. Même la vie, dans la mesure où elle dépend de processus physico-chimiques au niveau de la molécule d’ADN, ne pourrait être décrite en dehors des lois quantiques.
Pour autant il faut se garder de l’invoquer pour cautionner tel ou tel phénomène "extraordinaire".
Il en est ainsi, par exemple, de « l’effet tunnel » que vous évoquez mis en pratique notamment avec le microscope à effet tunnel. Dans une enceinte sous vide, une pointe métallique mise sous tension survole à quelques dixièmes de nanomètre (10 puissance moins 10 mètre) une surface que l’on souhaite examiner. Par effet tunnel, des électrons peuvent passer de la pointe à la surface en traversant l’épaisseur de l’espace vide qui les sépare. On arrive ainsi à cartographier le relief d’une surface de manière très précise. Néanmoins la chute de probabilité de cette traversée, l’effet tunnel, est vertigineuse quand on augmente la masse, au point que l’on peut parier sans trop de risque qu’aucun objet macroscopique composé typiquement de 10 puissance 23 atomes n’a pu traverser de barrière conséquente, notamment pour effectuer un déplacement interstellaire, depuis la naissance de l’univers.
Concernant la « flèche du temps », on peut dire que deux particules qui interagissent avec des flèches du temps inverses se repoussent, gravitationnellement.
Les grandeurs t et tinv ne sont que des coordonnées, et rien d'autre.
Il ne s'agit que de l'inversion de la coordonnée temps, pas du temps propre.
(Un exemple que je donne souvent pour schématiser : Eratosthène – pour moi l’un des plus grands génies que notre Terre ait portés – est né en 276 avant J.C. et mort en 194 avant J.C., cela n’empêchait pas l’eau d’une clepsydre de s’écouler normalement)
Grâce aux travaux du mathématicien Jean-Marie Souriau (Structure des Systèmes Dynamiques, 1974, Dunod, page 198, équation 14.67) on sait qu'inversion de la coordonnée temps et inversion de la masse (et de l'énergie) sont des phénomènes conjoints.
(Nota : pour les spécialistes, l'inversion du temps résulte de l'action des "composantes antichrones du groupe de Poincaré". Quand à l'inversion de la masse et de l'énergie elle découle de l'action du groupe sur son espace des moments.)
On ne peut pas communiquer par rayonnement électromagnétique entre ces 2 feuillets : la seule communication possible est d’ordre gravitationnel, la matière "positive" de l’un (la nôtre) et la matière "négative" de l’autre se repoussant suivant "anti-Newton". (En découle que si des exocivilisations ont trouvé le moyen de contourner la barrière luminique – par transfert hyperspatial entre les 2 feuillets, comme évoqué dans d’autres posts – on ne conçoit alors pas pourquoi elles communiqueraient à grande distance par radio dans la mesure où la vitesse de ces ondes électromagnétiques est limitée par la barrière luminique >>> nous avons là une possible explication de l’insuccès des différents programmes SETI)
Je vous suggère sincèrement de vous intéresser sans a priori au modèle de Sakharov-Petit. Je pense que vous serez intellectuellement séduit par la possibilité qu’il offre au voyage interstellaire, outre le fait qu’il comble lacunes et problèmes non élucidés du modèle cosmologique standard.
Par exemple, il propose le seul modèle valide de quasar, et exclut le trou noir dont nous n’avons détecté aucun spécimen malgré plus de 4 décennies de recherche, aucun … malgré tout ce qu'il s’en écrit, s’en dit, s’en raconte, s’en exploite, s’en dessine, à un point tel que nous sommes quasiment tous convaincus de l’existence de cet objet.
Le "phénomène trou noir" est à l’antipode du "phénomène ovni" :
- trou noir : >>> le directeur d’un institut de cosmologie et de gravitation, un Français a été jusqu’à prononcer :
« Bien que l’on n’ait jamais eu la preuve formelle de leur existence, les scientifiques ne doutent plus maintenant de l’existence des trous noirs »
- VET (pour reprendre votre acronyme) >>> bien que nous ayons des milliers de témoignages d’observation visuelle et instrumentale d’engins dont nous ne savions pas et ne savons toujours pas reproduire les déplacements dans notre écosystème terrestre, la très grande majorité des scientifiques nie la possibilité de telles observations.
Cordialement,
Jean
Lecture très intéressante que celle de votre message ci-dessus dont se dégage principalement l’interrogation selon laquelle :
Contrairement à ce que l’on a souvent tendance à croire, la physique quantique ne concerne pas que l’échelle microscopique : il faut également y avoir recours pour expliquer nombre de phénomènes macroscopiques.Alain02 a écrit: Et si le secret des voyages "cosmiques" des ET reposait sur des effets quantiques "géants" qui modifierait la flèche du temps?
(Nota : ceux que cela intéresse pourront lire de Roger Balian, physicien théoricien à l’Institut de Physique Théorique, CEA Saclay, membre de l’Académie des Sciences, l’article, ici au format pdf, > "La physique quantique à notre échelle" < Lire notamment le paragraphe 15. ASTROPHYSIQUE, pages 87 et 88.)
Cela vient de ce que les lois quantiques gouvernent de façon sous-jacente la plupart des propriétés et des caractéristiques des processus ou des corps qui nous environnent. Même la vie, dans la mesure où elle dépend de processus physico-chimiques au niveau de la molécule d’ADN, ne pourrait être décrite en dehors des lois quantiques.
Pour autant il faut se garder de l’invoquer pour cautionner tel ou tel phénomène "extraordinaire".
Il en est ainsi, par exemple, de « l’effet tunnel » que vous évoquez mis en pratique notamment avec le microscope à effet tunnel. Dans une enceinte sous vide, une pointe métallique mise sous tension survole à quelques dixièmes de nanomètre (10 puissance moins 10 mètre) une surface que l’on souhaite examiner. Par effet tunnel, des électrons peuvent passer de la pointe à la surface en traversant l’épaisseur de l’espace vide qui les sépare. On arrive ainsi à cartographier le relief d’une surface de manière très précise. Néanmoins la chute de probabilité de cette traversée, l’effet tunnel, est vertigineuse quand on augmente la masse, au point que l’on peut parier sans trop de risque qu’aucun objet macroscopique composé typiquement de 10 puissance 23 atomes n’a pu traverser de barrière conséquente, notamment pour effectuer un déplacement interstellaire, depuis la naissance de l’univers.
Concernant la « flèche du temps », on peut dire que deux particules qui interagissent avec des flèches du temps inverses se repoussent, gravitationnellement.
Les grandeurs t et tinv ne sont que des coordonnées, et rien d'autre.
Il ne s'agit que de l'inversion de la coordonnée temps, pas du temps propre.
(Un exemple que je donne souvent pour schématiser : Eratosthène – pour moi l’un des plus grands génies que notre Terre ait portés – est né en 276 avant J.C. et mort en 194 avant J.C., cela n’empêchait pas l’eau d’une clepsydre de s’écouler normalement)
Grâce aux travaux du mathématicien Jean-Marie Souriau (Structure des Systèmes Dynamiques, 1974, Dunod, page 198, équation 14.67) on sait qu'inversion de la coordonnée temps et inversion de la masse (et de l'énergie) sont des phénomènes conjoints.
(Nota : pour les spécialistes, l'inversion du temps résulte de l'action des "composantes antichrones du groupe de Poincaré". Quand à l'inversion de la masse et de l'énergie elle découle de l'action du groupe sur son espace des moments.)
Il n’y a aucune incompatibilité entre les deux, puisque par construction géométrique les 2 feuillets de Sakharov-Petit sont non-connexes, les photons de l’un des feuillets ne pouvant géométriquement pas voyager dans l’autre, bien que les 2 feuillets soient conjoints et "imbriqués" l’un dans l’autre.Alain02 a écrit:La théorie de Sakharov-Petit […] n'explique pas les résultats désarçonnants des dernières expérience d'optique quantique puisqu'elle fait de la gravité le seul vecteur de transmission d'énergie d'un "feuillet" à l'autre, alors que dans l'expérience de Vienne qui a succédé à celle d'Alain Aspect à Orsay, la gravitation et les ondes gravitationnelles ne jouent aucun rôle.
On ne peut pas communiquer par rayonnement électromagnétique entre ces 2 feuillets : la seule communication possible est d’ordre gravitationnel, la matière "positive" de l’un (la nôtre) et la matière "négative" de l’autre se repoussant suivant "anti-Newton". (En découle que si des exocivilisations ont trouvé le moyen de contourner la barrière luminique – par transfert hyperspatial entre les 2 feuillets, comme évoqué dans d’autres posts – on ne conçoit alors pas pourquoi elles communiqueraient à grande distance par radio dans la mesure où la vitesse de ces ondes électromagnétiques est limitée par la barrière luminique >>> nous avons là une possible explication de l’insuccès des différents programmes SETI)
Je vous suggère sincèrement de vous intéresser sans a priori au modèle de Sakharov-Petit. Je pense que vous serez intellectuellement séduit par la possibilité qu’il offre au voyage interstellaire, outre le fait qu’il comble lacunes et problèmes non élucidés du modèle cosmologique standard.
Par exemple, il propose le seul modèle valide de quasar, et exclut le trou noir dont nous n’avons détecté aucun spécimen malgré plus de 4 décennies de recherche, aucun … malgré tout ce qu'il s’en écrit, s’en dit, s’en raconte, s’en exploite, s’en dessine, à un point tel que nous sommes quasiment tous convaincus de l’existence de cet objet.
Le "phénomène trou noir" est à l’antipode du "phénomène ovni" :
- trou noir : >>> le directeur d’un institut de cosmologie et de gravitation, un Français a été jusqu’à prononcer :
« Bien que l’on n’ait jamais eu la preuve formelle de leur existence, les scientifiques ne doutent plus maintenant de l’existence des trous noirs »
- VET (pour reprendre votre acronyme) >>> bien que nous ayons des milliers de témoignages d’observation visuelle et instrumentale d’engins dont nous ne savions pas et ne savons toujours pas reproduire les déplacements dans notre écosystème terrestre, la très grande majorité des scientifiques nie la possibilité de telles observations.
Cordialement,
Jean
- Jean CurnonixCulture Scientifique
Age : 64
Nombre de messages : 1984
Inscription : 31/05/2008
Localisation : France
Emploi : Actif
Passions : Divers
Règlement : Règlement
Points de Participation : 8325
Re: 2008: le 5/07 vers 1h30- Bretignolle sur mer (85)
Mer 09 Juil 2008, 02:22
Re-bonsoir Alain02,
Les travaux d’Alain Aspect que vous évoquez ci-dessus sont relatifs au "Paradoxe EPR" basé sur une expérience de pensée proposée en 1935 par Albert Einstein, Boris Podolsky et Nathan Rosen, dans le but de mettre en évidence des contradictions que tous 3 supposaient quant à la mécanique quantique (que l'on dénomme aujourd'hui physique quantique).
Ce n’est que plus tard, grâce au développement technologique de l’instrumentation expérimentale, que l’expérience a pu être concrètement réalisée.
L'expérience est la suivante. Imaginons un laboratoire tapissé de détecteurs de photons. Au milieu de la pièce, plaçons un atome stimulé de façon telle qu'il émette simultanément deux photons se déplaçant dans des directions exactement opposées.
C'est bien ce que l'on observe : lorsque l'un détecteur indique la capture d'un photon, le détecteur placé du coté opposé fait de même.
Jusqu'ici, pas de problème. Mais analysons la situation du point de vue de la physique quantique. Selon cette dernière, les photons n'ont pas de direction particulière avant d'être détectés, tout comme un électron n'a pas de position précise. Ainsi, toutes les directions ont une probabilité d'émission identique, du moins tant que nous n'observons pas les particules. Ce n'est que lorsque nos détecteurs capturent l'un des photons que le choix d'une direction se produit.
C'est là le problème. Le premier photon ne se voit affecté d'une direction particulière qu'au moment où nous le capturons. Et de même pour le deuxième photon. Pourtant, lorsqu'elles sont détectées, les deux particules se trouvent dans des directions exactement opposées. Comment les deux photons peuvent-ils apparaître simultanément aux extrémités opposées de la pièce s'ils n'ont pas échangé d'information au départ ?
Remarquons que la taille du laboratoire est sans importance. Si nous plaçons nos détecteurs aux quatre coins de la Galaxie, le résultat sera identique. Les deux photons, même séparés par des dizaines de milliers d'années-lumière, seront détectés au même moment dans des directions exactement opposées, bien qu'ils ne savaient pas où ils allaient avant d'être observés.
Pour Einstein et ses deux collègues, un tel paradoxe montrait que la mécanique quantique n'était pas une description satisfaisante de la réalité. La situation resta confuse jusqu'en 1982, lorsque Alain Aspect montra que la physique quantique avait bel et bien raison.
Alain Aspect réalisa une expérience similaire à la précédente et fut en mesure de prouver que les photons se comportaient exactement comme la physique quantique le prédisait. Ils n'échangeaient aucune information au départ et n'apprenaient leur direction qu'au moment de la capture. Ce qui ne les empêchait pas d'apparaître finalement dans des directions exactement opposées. La situation était donc véritablement paradoxale, elle n'était pas liée à une faille de la physique quantique.
Pour expliquer le paradoxe EPR, il nous faut remettre en cause la vision classique du monde microscopique. En effet, la situation pose problème car nous considérons les deux photons comme des entités distinctes possédant des propriétés locales. Par contre, le paradoxe n'en est plus un si nous considérons que les deux particules forment un système avec des propriétés globales non localisées dans l'un ou l'autre des photons.
Dans cette interprétation, les deux photons, même séparés par des millions d'années-lumière, sont en contact permanent. Ils n'ont pas besoin d'échanger d'information à l'aide d'un moyen classique limité par la vitesse de la lumière. Les deux particules peuvent donc apparaître dans des directions opposées sans s'être consultées au préalable. Le paradoxe EPR nous oblige ainsi à introduire un nouveau concept, celui de "non-séparabilité". Les particules ne peuvent pas toujours être décrites comme des entités totalement indépendantes, mais doivent parfois être considérées comme de simples éléments d'un tout.
Mais attention à la confusion fréquente, cette non-séparabilité ne permet absolument pas d’échanger instantanément une information entre deux points de notre univers observable.
J’ai réalisé un petit crobard didactique pour une meilleure compréhension de tous :
Du dessus du milieu d’un grand aquarium, je lâche une petite bille. Une onde se forme à sa surface.
Deux détecteurs de vagues, A et B, sont placés à équidistance du point d’impact de la bille. Ils détecteront l’apparition de l’onde exactement au même moment, simultanément … sans qu’aucune information instantanée n’ait été échangée entre eux.
Cordialement,
Jean
Les travaux d’Alain Aspect que vous évoquez ci-dessus sont relatifs au "Paradoxe EPR" basé sur une expérience de pensée proposée en 1935 par Albert Einstein, Boris Podolsky et Nathan Rosen, dans le but de mettre en évidence des contradictions que tous 3 supposaient quant à la mécanique quantique (que l'on dénomme aujourd'hui physique quantique).
Ce n’est que plus tard, grâce au développement technologique de l’instrumentation expérimentale, que l’expérience a pu être concrètement réalisée.
L'expérience est la suivante. Imaginons un laboratoire tapissé de détecteurs de photons. Au milieu de la pièce, plaçons un atome stimulé de façon telle qu'il émette simultanément deux photons se déplaçant dans des directions exactement opposées.
C'est bien ce que l'on observe : lorsque l'un détecteur indique la capture d'un photon, le détecteur placé du coté opposé fait de même.
Jusqu'ici, pas de problème. Mais analysons la situation du point de vue de la physique quantique. Selon cette dernière, les photons n'ont pas de direction particulière avant d'être détectés, tout comme un électron n'a pas de position précise. Ainsi, toutes les directions ont une probabilité d'émission identique, du moins tant que nous n'observons pas les particules. Ce n'est que lorsque nos détecteurs capturent l'un des photons que le choix d'une direction se produit.
C'est là le problème. Le premier photon ne se voit affecté d'une direction particulière qu'au moment où nous le capturons. Et de même pour le deuxième photon. Pourtant, lorsqu'elles sont détectées, les deux particules se trouvent dans des directions exactement opposées. Comment les deux photons peuvent-ils apparaître simultanément aux extrémités opposées de la pièce s'ils n'ont pas échangé d'information au départ ?
Remarquons que la taille du laboratoire est sans importance. Si nous plaçons nos détecteurs aux quatre coins de la Galaxie, le résultat sera identique. Les deux photons, même séparés par des dizaines de milliers d'années-lumière, seront détectés au même moment dans des directions exactement opposées, bien qu'ils ne savaient pas où ils allaient avant d'être observés.
Pour Einstein et ses deux collègues, un tel paradoxe montrait que la mécanique quantique n'était pas une description satisfaisante de la réalité. La situation resta confuse jusqu'en 1982, lorsque Alain Aspect montra que la physique quantique avait bel et bien raison.
Alain Aspect réalisa une expérience similaire à la précédente et fut en mesure de prouver que les photons se comportaient exactement comme la physique quantique le prédisait. Ils n'échangeaient aucune information au départ et n'apprenaient leur direction qu'au moment de la capture. Ce qui ne les empêchait pas d'apparaître finalement dans des directions exactement opposées. La situation était donc véritablement paradoxale, elle n'était pas liée à une faille de la physique quantique.
Pour expliquer le paradoxe EPR, il nous faut remettre en cause la vision classique du monde microscopique. En effet, la situation pose problème car nous considérons les deux photons comme des entités distinctes possédant des propriétés locales. Par contre, le paradoxe n'en est plus un si nous considérons que les deux particules forment un système avec des propriétés globales non localisées dans l'un ou l'autre des photons.
Dans cette interprétation, les deux photons, même séparés par des millions d'années-lumière, sont en contact permanent. Ils n'ont pas besoin d'échanger d'information à l'aide d'un moyen classique limité par la vitesse de la lumière. Les deux particules peuvent donc apparaître dans des directions opposées sans s'être consultées au préalable. Le paradoxe EPR nous oblige ainsi à introduire un nouveau concept, celui de "non-séparabilité". Les particules ne peuvent pas toujours être décrites comme des entités totalement indépendantes, mais doivent parfois être considérées comme de simples éléments d'un tout.
Mais attention à la confusion fréquente, cette non-séparabilité ne permet absolument pas d’échanger instantanément une information entre deux points de notre univers observable.
J’ai réalisé un petit crobard didactique pour une meilleure compréhension de tous :
Du dessus du milieu d’un grand aquarium, je lâche une petite bille. Une onde se forme à sa surface.
Deux détecteurs de vagues, A et B, sont placés à équidistance du point d’impact de la bille. Ils détecteront l’apparition de l’onde exactement au même moment, simultanément … sans qu’aucune information instantanée n’ait été échangée entre eux.
Cordialement,
Jean
Page 2 sur 4 • 1, 2, 3, 4
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum