Un témoignage exceptionnel de RUSSIE, extrait de ‘‘OVNI – No

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Un témoignage exceptionnel de RUSSIE, extrait de ‘‘OVNI – Nous ne sommes pas seuls’’) de Johannes Von Buttlar

(édité en Espagne pour ‘‘France loisirs’’ le 4ème trim. 1979)


En été 1952, un gigantesque objet en forme de cigare apparut au dessus de Voronej, près du Don. D’une longueur d’au moins 800 mètres, il descendit lentement à environ 2.000 mètres, et s’immobilisa pendant un long moment à cette attitude. Des milliers de personnes, qui purent observer l’objet en plein jour, furent prises de panique. Mais soudain il disparut, comme évanoui dans les airs. Peu après des avions de combat surgirent, manifestement à la recherche de l’objet volant. Les pilotes stupéfaits venaient de regagner leur base après de vaines recherches, quand le mystérieux objet reparut au dessus de la ville à l’endroit même où on l’avait vu disparaître. Laissant dans son sillage une traînée orange très lumineuse, le ‘‘cigare’’ s’éleva presque à la verticale et disparut à une vitesse vertigineuse.





Dans une usine fabricant des blindés (lieu et date furent gardés secrets) une explosion extraordinairement violente faillit déclencher une crise internationale, les Russes considérant l’accident comme un sabotage dont ils semblèrent attribuer la responsabilité aux agents américains. Or, seuls des objets volants, aperçus dans la région une semaine auparavant étaient réellement en cause. Plusieurs témoins racontèrent comment ils avaient vu en plein jour une boule de feu descendre sur l’usine. Suivit une formidable explosion. Pensant quelques minutes tout le secteur se trouva enveloppé dans un nuage de poussière et de détritus.



Après l’explosion, un disque stationna longuement dans l’atmosphère au-dessus des décombres, comme si l’on cherchait à s’assurer que la mission avait été parfaitement exécutée. Sitôt que des avions de combat surgirent, le disque s’éloigna à très grande vitesse.



Un fait ajoutait encore au mystère : aucune des personnes présentes sur les lieux n’avaient été blessée. En effet quelques minutes avant l’explosion, la sirène de l usine avait retenti de sorte que tous les travailleurs avaient eu le temps de chercher abri. Or, comme l’enquête devait le déterminer, personne n’avait actionné le dispositif d’alarme, ce que la position de la manette correspondante suffisait d’ailleurs à prouver.




Le phénomène ovnis plongea les Soviétiques dans la même perplexité que les américains. La CIA disposait de renseignements ‘‘de première main’’ par l’intermédiaire du GRU, abréviation soviétique désignant le service secret de l’armée soviétique. Plus exactement par l’intermédiaire d’un lieutenant-colonel du GRU, Youri Pojov, en réalité agent de la CIA ainsi que les soviétiques allaient le découvrir en 1958.



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