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(1976) L'incident Ovni de Téhéran pilote Major Parviz Jafari
Il s'agit d'un des plus célèbres cas de poursuite avion de chasse/OVNI. A Téhéran, Iran, le 19 septembre 1976, après minuit, au-dessus de la capitale de l'Iran, eurent lieu deux tentatives successives d'intercepter un ovni détecté par les radars au sol et largement signalé par des civils qui le voyaient au-dessus de la ville. A chaque tentative, un contact visuel eut lieu, et les pilotes tentèrent d'armer leur missile et de le lancer, mais à chaque fois les systèmes d'armes furent immédiatement désactivés.
Major Parviz Jafari F-4E Phantom II 3-6544
Lire le dossier complet sur le blog: L'incident Ovni de Téhéran Major Parviz Jafari (1976)
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Re: (1976) L'incident Ovni de Téhéran pilote Major Parviz Jafari
brillante sur une aire d’environ 2 à 3 km [de rayon]. L’équipage descendit de son altitude de 25000 à 15000 [pieds], en continuant à observer et à marquer [mentalement] la position de l’objet. Ils avaient [ensuite] quelques difficultés pour adapter leur vision nocturne en vue de l’atterrissage. Après avoir tourné plusieurs fois autour de Mehrabad, ils ont pu s’engager dans un atterrissage rectiligne normal.
E. Il y avait beaucoup d’interférences sur UHF et chaque fois qu’ils passaient par la direction magnétique de 150° à partir de Mehrabad, ils perdaient les communications (UHF et interphone), tandis que le système de navigation inertielle (INS) fluctuait de 30° à 50°. L’unique avion civil qui s’approcha à ce moment de Mehrabad connut [aussi] des défaillances de communication dans la même région (Kilo Zulu), mais il ne signala pas avoir vu quelque chose [d’anormal. Les pilotes ont cependant tendance à ne rien dire dans ce cas.] Pendant que le F-4 était engagé dans une longue approche finale [pour atterrir], l’équipage remarqua un autre objet de forme cylindrique avec de fortes lumières stables aux deux extrémités et une lumière pulsante au milieu. Suite à leur
demande, la tour [de contrôle] déclara qu’il n’y avait pas d’autre trafic connu dans cette zone. La tour ne l’a pas vu quand l’objet passa au-dessus du F-4, mais après que le pilote leur dit de regarder entre les montagnes et la raffinerie, ils ont pu l’apercevoir.
F. En lumière du jour, l’équipage du F-4 fut transporté en hélicoptère dans la région où l’objet avait apparemment atterri. Rien ne fut remarqué à l’endroit où ils pensaient que l’objet s’était posé (dans le lit d’un lac asséché), mais quand ils se mirent à tourner vers 10 l’ouest de cette zone, ils captèrent un signal pulsé très notable. À l’endroit où ce signal était le plus intense, il y avait une petite maison avec un jardin. Ils atterrirent et
demandèrent à ses habitants s’ils avaient remarqué quelque chose d’étrange au cours de la dernière nuit. Ces personnes racontèrent qu’il y eut un bruit intense et une lumière très brillante, comme un éclair. L’avion et la zone où l’objet est supposé avoir atterri sont examinés pour détecter des traces possibles de radiations... (deux lignes supprimées). Plus d’informations seront communiquées dès qu’elles sont disponibles. »
Ce document, appelé « mémorandum pour la documentation », fut rédigé par le Colonel Jerry Johnon et le Colonel Olin Mooy, officiers de l’USAF auprès du MAAG (US Military Assitance and Advisory Group) à Téhéran. Cet organisme avait été mis au courant par le Général Azarbarzin de la Force Aérienne de l’Iran. Le Colonel Mooy a assisté à l’interview du second pilote, mais il ne disposa que d’une courte version du récit du premier pilote[4].
C’est lui qui signa ce document, tandis que le Colonel Frank B. McKenzie du DAO (US Defense Attache Office) l’a envoyé par télétype aux instances citées dans l’introduction.
McKenzie dit à Bob Pratt, qui l’interrogea par téléphone, que cela faisait partie de leur job. Cet événement était inhabituel et il avait suscité une réaction importante dans les journaux locaux [3]. McKenzie a affirmé que les sources étaient multiples. La figure 3 reproduit la fin du document et montre qu’il a dû être « déclassifié », mais d’autres données sont encore toujours traitées comme un Secret d’État.
La découverte du ‘rapport d’évaluation’ de la DIA
À la fin de 1978, Todd Zechel, un des fondateurs du CAUS (Citizens against UFO Secrecy) découvrit un autre document remarquable. Il s’agit d’un rapport d’évaluation, rédigé déjà le 22 septembre 1976 par le Major Roland Evans de l’USAF, sur un formulaire préétabli. En 1979, Richard Hall a pu l’interviewer par téléphone. Il devint Colonel, mais en 1976, il était Analyste des capacités militaires pour l’Agence de Renseignement de la Défense (DIA) à Washington. Il a précisé [3] que son domaine de compétence était « la guerre électronique » et
que ce qui était important à ses yeux, c’est que plusieurs systèmes électroniques avaient été bloqués en même temps. « J’aimerais savoir comment cela est possible… Cela ne se limitait pas à un brouillage, mais coupa ces systèmes et les rendit complètement inopérants… capacité électronique était très intéressante et cela dépasse de loin ce que n’importe quel pays que je connais est capable de faire…Ces effets électromagnétiques devaient être étudiés. »
Cette Figure 3 : La dernière partie du rapport du rapport de la DIA
La figure 4 fournit une copie de ce rapport d’évaluation, tel qu’il a été fourni. La qualité visuelle est médiocre, mais c’est un document qui prouve que le Service de renseignement technique des Etats-Unis attachaient une grande importance à ce qui s’était passé. Le sigle IR qui apparaît deux fois dans la partie supérieure désigne l’Iran. Dans les rubriques suivantes, il est précisé que « la fiabilité fut confirmée par d’autres sources » et que « la valeur du renseignement est élevée », c’est-à-dire unique, opportune et de signification majeure.
Figure 4 : Copie du rapport d’évaluation de la DIA
Sous la rubrique ‘remarques’, l’analyste à ajouté : « Un rapport exceptionnel. Ce cas est un classique, qui répond à tous les critères requis pour une étude valable du phénomène ovni :
a. L’objet a été vu par plusieurs témoins à partir de différents endroits (Shamiran, Mehrabad, le lit du fleuve asséché) et différents points de vue (aéroportés et au sol).
b. La crédibilité de beaucoup des témoins était élevée (un général de la Force aérienne, des équipages qualifiés de vol et des contrôleurs aériens expérimentés.)
c. L’observation visuelle fut confirmée par radar.
d. Des effets EM similaires ont été rapportés par trois avions distincts.
e. Il y eut des effets physiologiques semblables sur certains membres d’équipage (perte de vision nocturne due à la luminosité de l’objet).
f. Les ovnis ont fait preuve de manoeuvrabilité dans des proportions inhabituelles. » Il est normal que l’USAF s’inquiéta de la capacité de rendre inopérant différents systèmes électroniques et en particulier la commande de tir à des distances de l’ordre de 30 à 50 km. Il serait totalement illogique que cela n’ait pas fait l’objet de recherches plus approfondies, mais on n’a pas nécessairement compris comment cela fut réalisé.
Un document du Centre de Guerre Électronique
Des demandes introduites auprès de la NSA sur base du FOIA ont livré en 1981 encore un autre document intéressant. Il s’agit d’un article du Capitaine Shields, paru dans le « MIJI Quarterly » qui est éditée par le Centre de Guerre Électronique dans le cadre de l’USAF Security Service [9]. L’abréviation MIJI vient de « Meaconing, Intrusion and Jamming Incidents. » Le terme ‘Meaconing’ veut dire que la réception d’un signal de positionnement suscite le renvoi d’un autre signal à la même fréquence, pour brouiller le système de
navigation de l’émetteur.
Cet article reprend le contenu du rapport de l’attaché militaire, mais le Capitaine Shields disposait d’une version non expurgée, puisqu’il dit qu’à 00h30, quatre coups de téléphone arrivèrent en succession rapide au poste de commandement de la Force Aérienne Iranienne à Téhéran. Il mentionne aussi que l’officier supérieur n’a pas pu convaincre ceux qui appelaient, lorsqu’il leur dit que qu’ils voyaient des étoiles. Quant à l’objet lumineux qui
s’approcha très rapidement du second F-4, c’est le choix des mots qui importe : « Le pilote tenta de tirer une fusée AIM-9 sur l’objet nouveau, mais fut empêché par une perte de courant dans le panneau du contrôle des armements. Les communications UHF avec la tour de contrôle et les communications entre pilote et co-pilote étaient perdues simultanément. » Près de la maison où le signal du ‘beeper’ était le plus fort, « on prit des dispositions pour effectuer différents tests. » C’est plus explicite, mais comme il est normal pour des Services secrets, l’indication la plus significative est à la fois cachée et bien mise en évidence.
Il s’agit du titre : « Maintenant vous le voyez et l’instant après, vous ne le voyez plus. » L’auteur attire donc l’attention sur le fait que cet ovni avait la capacité de changer très brusquement de place en étant alors invisible. Cela ne l’a pas laissé indifférent.
La figure 5 reproduit ce titre et l’introduction [2]. Elle montre aussi que ce texte fut vraiment ‘secret’ avant de devenir ‘confidentiel’ et d’être enfin ‘déclassifié’. D’après la couverture de ce numéro de la revue MIJI, c’était seulement prévu pour le 31 décembre 2008.
Figure 5 : Le début de l’article de la revue MIJI, en 1978
L’introduction est révélatrice : « À un moment donné dans sa carrière, chaque pilote peut s’attendre à rencontrer des événements étranges, inhabituels, qui ne seront jamais expliqués de manière adéquate ou complète par la logique ou des enquêtes ultérieures. L’article qui suit raconte justement un épisode de ce genre, tel qu’il fut rapporté par les équipages de deux F-4 Phantom de la Force Aérienne Impériale de l’Iran vers la fin de 1976. Aucune information supplémentaire ou explication des événements étranges n’est apparue. Cette histoire sera stockée dans des classeurs et probablement oubliée, mais cela constitue une lecture
intéressante et peut-être perturbante. »
On sent une certaine frustration. Est-ce que personne ne fait attention à ces données ? Est ce qu’on nous cache les résultats des études qui s’y rapportent ou est-on incapable d’y voir clair ? Evans a détaillé son point de vue [3] : « Les effets EM étaient très intéressants pour moi, en tant qu’officier de guerre électronique… L’ovni n’a pas seulement brouillé les communications (en les couvrant d’autres bruits). Il les coupa. Il les rendit inopérants… Peu importe ce que sont les ovnis, ces effets EM devraient être étudiés… J’ai toujours trouvé
énigmatique que toute l’investigation fut abandonnée. » Au début de ses enquêtes, le Capitaine Ruppelt [10] eut également l’impression que l’USAF était incroyablement indifférente ou négligente en matière d’ovnis. Beaucoup d’autres données ont cependant démontré que ce type de recherches furent toujours menées de manière ultra-secrète. Le Centre de Guerre Électronique n’en était pas informé, mais les études sur des ‘sujets avancés’ ont toujours été soumises à une très forte compartimentation. Cet article démontre cependant
que ce Centre eut au moins connaissance de certaines données. En fait, on dirait que même la plupart des ufologues cherchent très peu à comprendre les effets EM des ovnis, pourtant bien documentés. C’est encore plus vrai de leur capacité d’effectuer des sauts brusques, de changer d’apparence et de devenir même partiellement ou entièrement transparents. Certains auteurs y ont même vu un argument pour envisager
« l’hypothèse paranormale. » C’est le cas, par exemple, de Hynek et de Vallée [10].
À mes yeux, ceci n’est qu’une solution de facilité, dont on doit se méfier aussi longtemps qu’on n’a pas exploité les indices disponibles pour comprendre la physique qui est sous-jacente à la propulsion et aux propriétés caractéristiques fondamentales des ovnis. Dans toute recherche, il y a une hiérarchie à respecter. Ces problèmes m’interpellent en tant que physicien et il y a des pistes à explorer, sans devoir faire appel à des espaces parallèles, par exemple.
L’interview du Général Azarbarzin Bob Pratt téléphona déjà le 3 janvier 1977 au Lt. Général Abdullah Azarbarzin, le numéro un de la Force Aérienne Impériale de l’Iran. Il confirma effectivement que cet incident eut lieu et marqua son accord pour donner plus de détails, mais c’est John Cathcart, éditeur du National Enquirer, qui réalisa cette interview par téléphone, le 4 janvier 1977. Nous en extrayons les parties les plus significatives [2]. Le Général précise, par exemple, que chacun des deux F-4 avait un équipage de deux personnes, qu’ils ont réalisé tous les deux un « verrouillage » radar sur l’ovni et que celui-ci a fortement perturbé l’électronique de trois avions : les deux F-4 et un avion civil. Le général a parlé de « jamming », ce qui désigne normalement un brouillage par d’autres signaux, mais ce terme peut être utilisé aussi dans un sens plus général. Azarbarzin insiste fortement sur le fait qu’on n’a jamais donné l’ordre de tirer sur l’ovni.
« Il était inoffensif. Nous n’avions aucune raison pour tirer dessus. Nous voulions seulement nous en approcher le plus possible. » Cela n’empêche pas que le pilote du second F-4 ait voulu tirer, lorsqu’il se sentit menacé. Cela résultait d’un réflexe d’autodéfense, naturel ou acquis. Lorsque le Général a interrogé ce pilote, il lui a dit : « tout était verrouillé (sur la cible), mais quand j’ai atteint la distance de tir, tout le système s’est éteint : le contrôle de feu, la radio, les aides à la navigation et même l’interphone. » Le Général confirme que le
mécanisme de la mise à feu fut bloqué à une distance de 15 à 20 miles de l’objet. [C’est considérable, mais n’implique pas qu’on a spécifiquement voulu empêcher le tir. Il est plus probable qu’on voulait en quelque sorte paralyser, sans effets permanents.]
Quand on interroge le numéro 1 de la Force Aérienne Impériale Iranienne sur les investigations ou études qu’elle compte encore entreprendre, le Général répond : « Non, non. Nous n’en faisons pas. Tout ce que nous avons fait, c’est de fournir toutes les informations. C’était la demande (request) des États-Unis. Nous avons donné toutes les informations à notre MAAG. Je pense qu’ils les ont envoyées à l’organisation aux État-Unis » [qui est en charge de ce type d’études.] « Nous n’avons fait rien d’autre depuis lors. » Vous voulez dire que vous avez transmis l’information à l’USAF ? « Oui. » Est-ce qu’ils l’exigeaient ? « Eh bien ! En réalité, ils ont cette procédure [institutionnalisée.] Si nous avions des informations sur les ovnis, nous devions simplement échanger toute cette information et c’est ce que nous avons fait. » [L’USAF attache donc beaucoup d’importance à ce type d’informations, sans qu’on puisse s’attendre à en recevoir en retour.]
Est-ce que vous considérez vous-même cet incident comme très étrange et inexplicable ? Le Général répond : « C’est vrai. Je peux le dire, parce que nous avons trouvé (found out) que la technologie qu’ils utilisaient pour perturber les systèmes électroniques était quelque chose que nous n’avions jamais eu et que nous ne possédons pas. Cela n’existe pas, puisque cela s’est produit dans une très large bande. Ce ‘jammer’ était capable de perturber différentes fréquences en même temps. C’est très inhabituel. »
Avez-vous vu des rapports des équipages impliqués ou avez-vous parlé avec eux ? « Je les ai interviewés. J’ai parlé avec eux. » Et vous croyez ce qu’ils disent, parce qu’ils sont des pilotes expérimentés ? Le Général est très affirmatif : « oui, oui, nous pouvions les croire. Il n’y a pas de doute. Il n’y a pas de doute. » Il mentionne alors qu’un des pilotes « a décrit la forme du cockpit… Il était hémisphérique. La couleur de la lumière à l’intérieur était
différente de ce qu’il y avait à l’extérieur.
C’était proche du jaune. » Rien qui ressemble à n’importe quel véhicule aérien ? « Non, non, non. Pas du tout. » Parfois les ovnis étaient beaucoup plus rapides que les F-4 ? « Oui, la vitesse fut estimée à Mach 3… C’est ce qu’on a calculé… Quant à l’accélération ultra-rapide, résultat du temps nécessaire pour passer d’une vitesse nulle à Mach 3, aucun autre objet volant [terrestre] n’en est capable. »
En 1994, on a interviewé plusieurs acteurs importants de l’incident de Téhéran dans le cadre d’une émission de télévision américaine [12]. Yaddi Nazeri [apparemment le copilote du premier F-4] a confirmé qu’ils ne sont pas parvenus à rattraper cet objet, bien que leur avion se déplaça à Mach 2. « C’est alors que j’ai pensé que c’est un ovni. Aucun pays n’avait ce type d’objet volant. J’ai donc pensé que cet engin est d’une autre planète. »
Le Général Yousefi qui ordonna la montée des F-4 reconnut que lui aussi, il acceptait cette idée. « À cause de l’expérience que j’ai vécue le 19 septembre 1976, je crois qu’il y a quelque chose là haut. Nous ne savons pas ce que c’est ou d’où ça vient. » Il précisa que le second F-4 essaya à nouveau de poursuivre l’ovni. Bien qu’il volait à Mach 2, il ne réussit pas à s’approcher de l’ovni. L’équipage décida alors d’atterrir à l’aéroport de Mehrabad, mais pendant l’approche, la tour de contrôle l’avertit que maintenant, il était lui-même suivi. Pirouzi raconta que le pilote était paniqué et que lorsque l’objet est passé au-dessus de Mehrabad, à une altitude de seulement 650 à 750 m, la tour de contrôle perdit tout courant, bien que d’autres parties de l’aéroport n’étaient pas affectées. L’ovni qui fut perçu à la fin était de forme cylindrique, aussi grand qu’un bus de tourisme, avec des lumières très fortes et continues aux deux extrémités et des impulsions lumineuses au milieu. [Ceci rappelle la
figure 1, étant donné que les lumières aux extrémités pouvaient avoir changé de couleur et être pulsées plus rapidement.]
Le Général Azarbarzin, également interviewé dans le cadre de cette émission, a précisé que le copilote du second F-4 a vu que l’objet avait la forme d’un disque et il a confirmé que le cockpit avait l’air d’une demi-sphère. À l’intérieur de celle-ci, on perçut une lumière assez faible, orange ou jaunâtre, mais pas d’équipage. Toute la commission d’enquête aurait été convaincue que l’ovni avait délibérément bloqué l’électronique des deux F-4 et de la tour de contrôle, [au lieu d’admettre simplement un effet secondaire du système de propulsion.]
Le Général fut très franc: « Je ne peux pas ignorer l’existence des ovnis. Ils essayent de trouver une voie pour contacter les gens de la Terre, [ce qui requiert une préparation, pour que ce contact ne soit pas trop bouleversant.] Azarbarzin aurait dit par ailleurs à Bruce Maccabee [13] que les rapports complets de l’investigation ont été remis à l’USAF. Le Gouvernement américain dispose donc encore d’autres documents que les trois que nous avons cités (venant de McKenzie, Evans et Shields). Il le fait sans doute dans l’espoir de pouvoir en tirer un avantage stratégique, mais il lui est également difficile de reconnaître qu’il a menti au monde
entier et désinformé la communauté scientifique pour un sujet d’une telle importance.
L’opinion d’un sceptique
L’incident de Téhéran est également très révélateur en ce qui concerne la méthodologie des soi-disant « sceptiques. » L’Américain Philip Klass en est un. Il a affirmé dans un de ses livres [14] que ceux qui le soir du 18 septembre 1976, ont téléphoné au contrôle aérien et au poste de Commandement de la Force Aérienne à Téhéran auraient simplement vu un objet astronomique, probablement Jupiter. Le reste serait dû à l’incompétence des pilotes et à des pannes purement accidentelles de leurs équipements.
J’ai vérifié que le 18 septembre 1976, Jupiter s’est levé à Téhéran à 21h38. À 22h30, ce qui est l’heure du premier coup de téléphone à Pirouzi, cette planète ne se trouvait évidemment pas au-dessus d’une maison au nord-est de Téhéran. À minuit, ce qui est probablement l’heure à laquelle Pirouzi observa lui-même le ciel, Jupiter se trouvait à une élévation de 27°45’ et dans l’azimut de 85°17’ par rapport au Nord. Ce n’est manifestement pas au nordest de la ville. Puisque Bruce Maccabee a indiqué sur une carte la position de l’aéroport de Téhéran et les endroits à partir desquels les premières observations visuelles furent signalées [15], nous pouvons même dire que la direction par rapport au Nord était au maximum égale à 50°, ce qui est encore loin de 85°. Toutes les déclarations de Monsieur Klass dans cette affaire sont ahurissantes, comme dans d’autres cas où il s’est exprimé. Il a retenu un seul élément : à l’oeil nu, la lumière ressemblait à celle d’une étoile, puisque cela correspondait à ses préconceptions. Il escamote toutes les autres données et est toujours décidé à combattre ce qui ne lui plaît pas. Pour lui, il ne peut pas y avoir d’ovnis, éventuellement extraterrestres. Ce n’est pas une hypothèse de travail, mais une idée fixe, obsessionnelle, faisant perdre le sens des réalités.
Conclusions
Les observations visuelles faites par six personnes à Téhéran, par le contrôleur aérien Pirouzi et ses collègues, par l’officier de garde au poste de Commandement de la Force Aérienne de l’Iran et par le Général Yousefi, ainsi que par les équipages des deux F-4 qui sont montés l’un après l’autre, donc par au moins 16 personnes, démontrent qu’il y eut réellement un objet insolite dans le ciel de l’Iran au cours de la nuit du 18/19 septembre 1976. Ceci est même confirmé par des verrouillages radar et des anomalies EM qui impliquent plusieurs pilotes de ligne. Il n’est pas réaliste d’affirmer simplement que tous ces témoins étaient des « personnes enclines aux fantaisies » et qu’il n’y eut « pas d’effets physiques. »
Le comportement de cet ovni était hautement remarquable, à cause de ses changements d’apparence, ses mouvements de saltation et sa capacité de se mouvoir à d’énormes vitesses, avec des accélérations fulgurantes. En outre, il était capable de rendre différents systèmes électroniques inopérants à une distance de l’ordre de 30 à 50 km.
Les intentions de l’intelligence qui se cache derrière le phénomène ovni se sont révélées de manière assez directe. L’ovni n’était pas agressif, mais il a réagi de manière préventive à ce qui aurait pu être menaçant. Il a cependant voulu attirer l’attention et démontrer sa supériorité. Cela a un sens pour une intelligence ET, effectuant parfois des expériences de type psychosociologique, pour voir si la société humaine est encore engluée dans des croyances et des préjugés ou si elle est capable de « voir » les faits tels qu’ils sont ? Est-ce que nous cherchons à les comprendre ? Avons-nous acquis une maturité suffisante pour qu’un contact ne soit pas traumatisant ? Ne devrions nous pas nous demander nous-mêmes pourquoi il y a encore toujours des blocages culturels, psychologiques et politiques à cet égard ?
Références
1. http://en.wikipedia.org/wiki/1976_Tehran_UFO_incident (1976 Tehran UFO Incident).
2. http://mufon.com/famous_cases/1976%20Iran%20Part%201%20MUFON%20Case%20File.pdf
3. http://www.ufoevidence.org/Cases/CaseSubarticle.asp?ID=209 (The Pentagon’s Classic UFO Case).
4. B. Maccabee : An update on the 1976 Iranian jet chase, MUFON UFO J. May 2006, 2-11, June 2006, 13-15.
5. L. Fawcett and B.J. Greenwood : Clear Intent. The Government Coverup of the UFO Experience. Prentice
Hall, 1984. p.81-86.
6. http://home.att.net/~jbaugher1/f4_44.html (Phantom with Iran).
7. Iranian Air Force Jets Scrambled, NICAP, The UFO Investigator, November 1976.
http://www.cohenufo.org/iranafjet.html (The Iranian AF Jet Encounter, 1976).
8. C.A. Huffer : Information Bulletin 7, 1-7, UFO SIG (Special Interest Group of Am. Mensa), 30 Sept. 1977.
9. H.S. Shields : Now You See IT, Now You Don’t, MIJI Quarterly, n°3, 1978, 8-12.
10. E.J. Ruppelt : The Report of Unidentified Flying Objects, Ace books, 1956.
11. J.A. Hynek and J. Valée: The Edge of Reality, Henry Regnery Co, 1975, voir p. xiii, 34, 60-61, 258-263
12. S. Michaels : Sightings, Simon & Schuster, 1996, p. 177-185.
13. http://www.answers.com/topic/1976-tehran-ufo-incident-1 (1976 Tehran UFO incident).
14. P.J. Klass : UFOs: The Public Deceived, Promeheus Books, 1983.
15. http://brumac.8k.com/IranJetCase/IRANIAN%20JET%20CASE.doc (Iranian Jet Case).
http://www.meessen.net/AMeessen/Teheran.pdf
Le cas de Téhéran en 1976:
Chasseur Attaque au sol Reconnaissance F-4 Phantom [/g](2) ( Mc Donnell Douglas USA 1963 ).
Constructeur: Mc Donnell Douglas
1er vol:
F-4 C Phantom ( Chasseur biplace biréacteurs ) 1963.
RF-4 C Phantom ( Chasseur Reconnaissance Biplace Biréacteurs ) 1963.
F-4 D Phantom 2 ( Version chasseur attaque au sol ) 1965.
RF-4D Phantom 2 ( Version modernisé reconnaissance) 1965.
et de nombreuses autres versions tels que F-4E,F-4B, F-4J, F-4N, F-4S....
Motorisation: 2 réacteurs General Electric J79-GE-10
Poussée: 2* 8120 Kgp
Dimensions:
Envergure: 11,71 m
Longueur: 17,78 m
Reservoirs: ?
Masse à vide: ? Kg
Masse maxi: 28 300 Kg
Charge militaire: ?
Vitesses:
Maxi: 2 360 Km/h
Maxi au niveau de la mer: ?
Mini: ?
Rayon d'action: 1 000 Km ( en combat ).
Plafond: 18 590 m
Pays utilisateurs: USA, Japon, Royaume Uni
Autre: Radar Doppler AWG10 ( F-4J )
DES INTERCEPTEURS "IRANIENS" DESARMES PAR UN OVNI:
...........................................
A Téhéran, Iran, le [g]19 septembre 1976[/g], eut lieu un cas historique: après minuit, au dessus de la capitale de l'Iran, eurent lieu deux tentatives successives d'intercepter un ovni [g]détecté par les radars au sol[/g] et largement signalé par des civils qui le voyaient au-dessus de la ville. A chaque tentative, [g]un contact visuel[/g] eut lieu, et les pilotes tentèrent d'armer leur missile et de le lancer, mais à chaque fois les [g]systèmes d'armes[/g] furent immédiatement [g]désactivés[/g].
L'incident a été mis la première fois en évidence par la fuite d'un rapport d'évaluation de l'agence de renseignement de la défense US (DIA) vers le NICAP en 1976. Un rapport de trois pages du Département de la Défense (DOD) sous forme de télétype sur le cas a été obtenu par Charles Huffer en 1977 sous la Loi de Liberté de l'Information (FOIA). Une copie du rapport d'évaluation de la DIA était attachée au message. Les caractéristiques principales du message sont reprises ici, avec les extraits cités.
Déroulement:
A environ 12:30 du matin l'Air Force Command Post recoit les appels de civils au sujet d'un objet rougeoyant dans le ciel. L'observation effective de cet objet rougeoyant lumineux les a menés à envoyer un chasseur à réaction F-4 "Phantom" de Shahrokhi AFB pour l'étudier. Le F-4 décolla à 01:30 du matin et vola vers un point à 40 milles marins au Nord de Téhéran.[g] Alors que le F-4 arrivait sur l'objet, toute son instrumentation et ses moyens de communications (fréquence ultra-haute et intercom) ont été perdues.[/g] Le pilote a interrompu l'interception et s'est dirigé de nouveau vers sa base.
"When the F-4 turned away from the object and apparently was no longer a threat to it, the aircraft regained all instrumentation and communications." A second F-4 was scrambled at 1:40 a.m. and the electronics officer acquired a radar lock-on at 27 nautical miles, 12 o'clock high position with the rate of closure at 150 knots. As the range decreased to 25 nautical miles, "the object moved away at a speed that was visible on the radar scope and stayed at 25 nautical miles."
"Quand le F-4 s'est éloigné de l'objet et n'était apparemment plus une menace pour lui, l'avion a regagné toute son instrumentation et sa capacité de communications."
[g]Un deuxième F-4 a été envoyé[/g] à 1:40 du matin et l'officier de l'électronique a acquis au radar l'objet à 27 miles marins, 12 heures de position élevée avec une vitesse d'approche de 150 noeuds.[g] "Alors que la distance entre l'objet et l'avion diminuait à 25 milles marins l'objet s'est écarté à une vitesse qui était évidente sur le radar et est resté constamment éloigné de 25 milles nautiques." [/g]
Le message de DOD a indiqué que la taille mesurée par le radar était comparable à celle d'un avion de transport Boeing 707, bien qu'il ait été difficile discerner sa taille visuelle en raison de son éclat lumineux intense. Les lumières clignotantes comme un stroboscope furent observées par les témoins visuels au sol, elles étaient arrangées dans un pattern alternant les bleus, verts, rouges, et une lumière orange, formant un rectangle. La séquence de clignotement des lumières était tellement rapidement que [g]toutes les couleurs pouvaient être vues en même temps.[/g]
Pendant que la poursuite continuait, [g]un autre objet brillamment lumineux a émergé du premier objet[/g] et se dirigea directement vers le F-4 comme un missile, à vitesse élevée. Le pilote a essayé de mettre le feu à un missile AIM-9 dirigé vers l'OVNI, [g]"mais à ce moment son pupitre de commande d'armes s'est instantanément bloqué et il a perdu toutes les communications (fréquence ultra-haute et interphone)[/g]. A ce moment le pilote fit une manoeuvre tournante et un piqué en G négatif pour fuiir. Pendant qu'il tournait l'objet a prise sa suite à ce qui a semblé être environ 3-4 milles marins. Pendant qu'il continuait de s'éloigner loin de [g]l'objet primaire le deuxième objet est allé à l'intérieur de son virage[/g] puis est retourné à l'objet primaire qu'il a rejoint dans une trajectoire parfaite."
Peu de temps après le rendez-vous et le fusionnement des deux objets,[g] un autre objet a émergé de l'autre côté de l'objet primaire et a filé droit vers le sol[/g]. L'équipage F-4 l'a observé approcher la terre en comptant voir une explosion, mais à la place il a semblé ralentir et atterrir doucement, illuminant le terrain. Le pilote est descendu à environ 15.000 pieds et a continué à observer et marquer la position de l'objet atterri, avant de revenir sa base. Sur le vol de retour [g]ils ont éprouvé quelques problèmes de vision de nuit[/g] qui ont rendu leur atterrissage difficile.
Au lever du jour l'équipage du F-4 a été conduit à l'emplacement d'atterrissage (un asséché d'un lac) en hélicoptère, mais rien ne put être trouvé. Pendant qu'ils tournaient autour de l'Ouest des lieux ils ont reçu un appel d'un beepeur. Voyant une petite maison au point où le signal était le plus fort, ils ont débarqué et ont interrogé les habitants des environ pour savoir s' ils avaient noté quelque chose d'inhabituel la nuit d'avant. Les gens ont mentionné un bruit fort et un flash lumineux puissant.
L'évaluation par la DIA dit qu'il s'agit d'un[g] "rapport exceptionnel. Ce cas est un classique qui répond à tous les critères nécessaires pour une étude valide du phénomène OVNI." [/g]L'analyse précise que les performances de l'OVNI sont "époustouflantes," notant que l'objet volant à montré une de [g]"capacité de manoeuvre extraordinaire."[/g] En 1997, Richard Hall a dépisté l'auteur du rapport de la DIA et l'a interviewé par téléphone. A ce moment-là, l'auteur a exprimé sa bonne volonté pour témoigner en public de ce qu'il sait sur ce cas.
C'est un cas capital, reconnu par une agence de renseignement des USA, où un OVNI a rencontré un avion militaire, et a réagi d'une façon intelligente et supérieure à la tentative d'interception de l'avion en arrêtant temporairement les systèmes d'armes de l'avion.
.....................................................
Analyse rapide
1)L'ovni détecte le chasseur
2) l'ovni "sature" l'électronique du chasseur.
3)L'ovni "envoie" une sorte de drone.
4)Le "drone" est plus maneuvrant que le chasseur.
5)L'ovni "emet" des ondes et des lumieres qui blessent
les yeux des pilotes....
(Ces derniers possédant pourtant un masque anti-éblouissement!)
Les differentes maneuvres de l'ovni démontrent ici une reaction "intelligente" face aux actions des deux chasseurs.
En conclusion:
L'ensemble des maneuvres et poursuites de F-4
ainsi que les échos/radar ayant été "enregistrées",
ce témoignage est devenu incontournable.
De plus,ce cas discrétement occulté au public,
est une preuve incontournable de la realité
d'une présence étrangére sur notre planéte.
Aucune technologie terrienne actuelle
n'étant capable de realiser de telles maneuvres
face à ces deux chasseurs spécialisés en lutte/ECM.
Remarque:
Le cas du Captain Mantell,lors de sa tentative d'interception, semble trés proche de ce type d'observation.
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Re: (1976) L'incident Ovni de Téhéran pilote Major Parviz Jafari
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Re: (1976) L'incident Ovni de Téhéran pilote Major Parviz Jafari
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Re: (1976) L'incident Ovni de Téhéran pilote Major Parviz Jafari
et dire qu'il y a 15 jours je citais justement son cas dans un de mes commentaires du forum...
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Re: (1976) L'incident Ovni de Téhéran pilote Major Parviz Jafari
Ce n'est que du fantasme rationaliste ...
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Re: (1976) L'incident Ovni de Téhéran pilote Major Parviz Jafari
A mon avis, les raisons de la mort du pilote T. Mantell .
Janvier 1948 , je pense que le pilote d’avion Mantell ,a été victime de son imprudence , en effet ,alors qu’il regagnait sa base avec sa patrouille ,le carburant de son avion était à son bas niveau , il a reçu l’information qu’un objet volant inconnu ce trouvant pas loin de sa patrouille , il a décidé d’y aller à la rencontre de cet objet dans le ciel , ses compagnons de la patrouille on regagné leur base , le carburant de leurs avions était à niveau bas .
Qu’elle était son imprudence ?
En premier lieu, le carburant de son avion était à son niveau bas, avant d’y aller à la poursuite de l’ovni, il aurait dû suivre ses compagnons de vol et rejoindre sa base.
Deuxièmement, au contact visuel avec l’objet volant (ovni), il a décidé de le poursuivre alors que l’ovni regagnait à la verticale les hautes altitudes, cela nous démontre que l’ovni évitait le contact avec l’avion de Mantell, et puis si nous cherchons sur l’histoire sur ces ovnis depuis leur apparition, il n’y a jamais eu des preuves sérieuses d’attaques ovnis contre des avions.
L’avion un Mustang P-51, un avion à hélices, moteur à pistons, T. Mantell, il aurait dû réfléchir et éviter de poursuivre l’ovni dans le ciel plus que le plafond du vol de son avion et dans une position verticale, pourquoi ?
Dans cette poursuite de l’ovni par l’avion de Mantell dans une position verticale , le niveau du carburant dans le réservoir des ailes de l’avion, qui était déjà à un niveau bas tout au début, surement là, le reste de la réserve du carburant dans cette position de l’avion qui poursuit l’ovni à la verticale, n’alimentait plus le moteur de l’avion, ça sera surement le décrochage de l’avion et sa chute au sol, et puis autre chose, cette affaire était aggravé par la rareté de l’oxygène nécessaire au mélange de l’air avec le carburant à une certaine attitude, et cela, ça ne doit pas être suffisant pour alimenter le moteur à pistons de l’avion, on poursuivant l’ovni dans les hautes atmosphères, l’avion finira son vol par un décrochage et chuter au sol par une insuffisance d’alimentation de son moteur de carburant .
Et puis autre chose aussi, l’avion surement, n’était pas équipé de masque à oxygène pour la sécurité du pilote à haute altitude, et cela pourra aussi amener le pilote de perdre connaissance par manque d’oxygène .
Il a été dit :
Cet avion était performant à basse altitude, mais , il a été dit aussi sur cette avion :
(L’avion Mustang reste par contre handicapé par les limitations de son moteur en altitude. )
- HocineEquipe du forum
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Re: (1976) L'incident Ovni de Téhéran pilote Major Parviz Jafari
Il me semble que dans cette affaire, il manquait quelque chose, qu’on a évité de parler, le constructeur de l’avion F4 Mc Donnell Douglas, n’aurait il pas envoyer ses spécialistes enquêter et expertiser, sur la raison pourquoi deux avions F4 ont perdu leurs systèmes de navigation dans la même nuit, dans une opération aérienne nocturne contre un engin volant inconnu (ovni) ?
Ces avions F4, devraient ils pas être sous garanti après leur vente à l’Iran à cette époque là en 1976 ? Et ajouter à cela, un incident technique sur un avion doit être signalé à son constructeur, pour corriger le défaut qui pourra surgir sur d’autres avions du même type.
Je voulais dire par là, que les constructeurs d’avions , surement ils sont au courant depuis longtemps sur ce problème ovni dans l’espace aérien terrestre, il y va de la sécurité de leurs avions , civils et militaires , l’armée leur demandera des avions de chasse de plus en plus performants , capables de tenir tête face à ces ovnis , et surement , ils « planchent » depuis longtemps dans le secret , de trouver la solution pour un type d’avion ultra performant qui puisse faire face à ces ovnis , il doit y avoir derrière tous ça des « gros sous » à qui (les constructeurs d’avions » trouvera la solution .
- InvitéInvité
Re: (1976) L'incident Ovni de Téhéran pilote Major Parviz Jafari
Ces problèmes sont connus depuis le début du phénomène ovni.
Richard Haines a effectué un excellent travail sur ce sujet.
Exemple: https://www.nicap.org/papers/92apsiee.htm
Cordialement,
Julien
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Re: (1976) L'incident Ovni de Téhéran pilote Major Parviz Jafari
On remarque après ces informations ci-dessus sur ces ovnis face à un contact aérien avec des avions, ils nous ont montré, que ces engins avaient le moyen de créer des dommages à des avions civils ou militaires, mais ils ne sont jamais passé à l’action d’une agression, le pilote d’avion F4 iranien Jafari , s’il a subit dangereusement un problème face à un ovni avec l’affolement de ses appareils de bord , son problème n’était que de courte durée , tous ses appareils de bord ont repris leurs fonctions normales , lorsque qu’il décida de renoncer à affronter l’ovni et de regagner sa base , il me semble que l’ovni était conscient du risque que courrait l’avion et son pilote avec des instruments de bord incontrôlables , il a évité à l’avion de se crasher au sol ,on « libérant » l’avion de son champ d’attraction , et montré par là ses intentions pacifiques .
A de milliers de km de là, les systèmes de sécurité des bases militaires de missiles nucléaires (Malstrom … USA ) étaient déréglés par des vols d’ovni, ont repris leurs fonctions normalement après le passage de ces ovnis , ces engins dans le ciel ont remis l’installation nucléaire en service .
Est-ce qu’après cela, nous ne pourrions pas relever comme indices ou enseignement de ces « prouesses » ovni, et réfléchir à ces faits ovni, qui nous donnent par là un « diagnostic » ou une ébauche, qui nous permet de les comprendre, un « avant-gout » d’un monde qui nous est étranger ?
Il me semble, que ces ovnis n’ont aucune intention de modifier les cours des choses dans nos affaires terriennes, c’est comme s’ils respectent une consigne de ne pas s’immiscer dans les affaires terriennes.
Il me semble aussi , que ces contacts à distance de ces ovnis avec des appareils on vol dans l’espace, et des installations au sol, ils ne sont qu’une affaire de sécurité, un vol d’ovni au dessus d’une base de missiles nucléaire en temps de la guerre froide , pouvait déclencher une « riposte nucléaire » sur un ordre venu du dirigeant du pays survolé, qui pourra prendre ce survol d’ovni par une attaque de missiles adverse.
Mais l’important dans cette affaire, c’est que ces ovnis nous ont démontré, qu’ils agissent à distance sur un avion, est là, est ce qu’ils ne peuvent pas agir sur leurs engins ovni, on maitrisant leurs vols sans aucun autre système de vol connu ou utiliser par les terriens ? Sans réacteur, sans tableau de bord, surement ils pilotes ces ovnis mentalement, ceux qui s’est passé du contact à distance de ces ovnis avec des avions, et des installations terriennes, ça devrait être une source qui nous dirige sur une technique de vol , qu’utilisent ces ovnis pour arriver sur terre, oui, ils peuvent faire disparaitre leurs ovnis instantané sur place dans le ciel ( cela a été vu) , et je crois que là ,c’était leur moyen de voyager d’un point à un autre dans l’espace , ils se téléportent .
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