Page 2 sur 5 • 1, 2, 3, 4, 5
- filiadeusMembre Confirmé
Age : 46
Nombre de messages : 9
Inscription : 25/09/2008
Localisation : deux sèvres
Emploi : assistante commerciale
Passions : équitation, tir a l'arc
Règlement : Règlement
Points de Participation : 5905
Re: Un ovni cause la panique en Inde
Dim 04 Jan 2009, 18:00
Pour la vision du ballon de foot, il pourrait s'agir des bombes qui actuellement brulent, blessent et tuent.
http://fr.news.yahoo.com/fc/inde.html
http://fr.news.yahoo.com/fc/inde.html
- InvitéInvité
Re: Un ovni cause la panique en Inde
Dim 04 Jan 2009, 19:23
J'aime la langue bifide du « chupacabra » dont le « portrait robot » a été effectué semble-t-il par Christian Aguirre sur les indications d'autres personnes que reproduit videodraft. Rappelons que cette langue très spécifique sert aux serpents qui n'ont pas de palais, à mettre en contact régulièrement la poussière du sol avec leurs deux glandes olfactives situées dans l'espace buccal.
Autrement dit cette langue est une adaptation, au sens darwinien du terme et selon la loi de la sélection naturelle, à la reptation avec la tête au ras du sol. Ce qui signifie qu'une langue bifide à destination olfactive n'est pas du tout adaptée à la bipédie. Un « chupacabra », être en principe biologique, issu de la sélection naturelle et donc adapté à son mode d'ambulation, n'a aucun intérêt à avoir une langue bifide si loin du sol. Ce détail invalide tout le témoignage.
Si le chupacabra est biologique. Car naturellement s'il s'agit d'une mise-en-scène avec un « robot » « déguisé », c'est tout différent!
Les animaux terrestres nocturnes, mammifères, oiseaux et même crocodiliens ont la sclérotique couverte d'infimes écailles réflectrices qui obligent la lumière passée à travers les cellules de la rétine sans interférer avec la rhodopsine à effectuer un retour. Ce second passage augmente la probabilité de déclencher la modification de la rhodopsine, laquelle provoquera l'émission d'un signal nerveux à destination du cerveau. Avec les mêmes cellules rétiniennes, cette réflexion double la sensibilité de l'œil en vision nocturne. Avec cependant le risque d'un éblouissement le jour.
Naturellement, ces réflecteurs, véritables micro-miroirs biologiques renvoient toutes les longueurs d'ondes de lumières, en particulier les bleues et les jaunes. Donc, quand on voit briller les yeux, par exemple, d'un chat dans la nuit, on les voit émettre sinon de la lumière blanche, du moins de la lumière jaune. Jamais de la rouge, lumière à laquelle les yeux des animaux nocturnes sont d'ailleurs les moins sensibles.
Les animaux diurnes comme les êtres humains, n'ont pas de micro-miroirs réflecteurs. Si la puissante lumière d'un flash pénètre soudain dans leur globe oculaire parce que l'iris est très dilaté dans la nuit, d'un être humain, elle peut être reflétée par le fin réseau d'artérioles qui nourrissent les cellules de la rétine. C'est le fameux effet « yeux rouges » des photos prises la nuit où sous le faible éclairage électrique et qu'on essaie de ne pas avoir sur les photos. Mais cela n'a pas de rapport avec le phénomène de luminescence permanente allégué pour les « chupacabras ».
L'être représenté par l'artiste sur l'indication d'un ou de plusieurs témoins est bipède et néanmoins digitigrade... Ce qui doit être extrêmement fatigant pour lui car cela ne lui procure qu'un tout petit polygone de sustentation alors que la bipédie élève son centre de gravité! (Essayez de mesurer combien de temps vous resterez debout sur la toute pointe des pieds!) Si canidés, félidés, mustélidés, rongeurs sont digitigrades, c'est qu'ils sont aussi quadrupèdes, ce qui leur donne un grand polygone de sustentation. À vouloir « animaliser » une silhouette « hominoïde », l'artiste ou le(s) témoin(s) ont abouti à une aberration évolutive!!!
On pourra m'objecter que « l'animal » retrouve un attitude de quadrupède pour une course rapide, plus rapide que la course bipède, par bonds horizontaux, comme en effectue un chien. Mais dans ce cas, les longues griffes des « pattes » avant doivent perdre rapidement leur piquant en s'enfonçant dans le sol.
Il faudrait, soit qu'elles soient rétractiles comme celles de félidés, soit qu'elles n'aient pas de rôle pour tuer la proie comme pour les canidés. Sauf que les loups et chiens, tout comme les hyènes d'ailleurs, ont à défaut de griffes avant coupantes, une mâchoire « tueuse » très développée... ce qui n'est pas le cas du portrait-robot de « chupacabra ».
Bref, tout dans ce dessin est aberrant. Il ne figure pas une observation réelle d'un animal extraterrestre. C'est en revanche une authentique œuvre d'artiste de science-fiction!
Autrement dit cette langue est une adaptation, au sens darwinien du terme et selon la loi de la sélection naturelle, à la reptation avec la tête au ras du sol. Ce qui signifie qu'une langue bifide à destination olfactive n'est pas du tout adaptée à la bipédie. Un « chupacabra », être en principe biologique, issu de la sélection naturelle et donc adapté à son mode d'ambulation, n'a aucun intérêt à avoir une langue bifide si loin du sol. Ce détail invalide tout le témoignage.
Si le chupacabra est biologique. Car naturellement s'il s'agit d'une mise-en-scène avec un « robot » « déguisé », c'est tout différent!
Les animaux terrestres nocturnes, mammifères, oiseaux et même crocodiliens ont la sclérotique couverte d'infimes écailles réflectrices qui obligent la lumière passée à travers les cellules de la rétine sans interférer avec la rhodopsine à effectuer un retour. Ce second passage augmente la probabilité de déclencher la modification de la rhodopsine, laquelle provoquera l'émission d'un signal nerveux à destination du cerveau. Avec les mêmes cellules rétiniennes, cette réflexion double la sensibilité de l'œil en vision nocturne. Avec cependant le risque d'un éblouissement le jour.
Naturellement, ces réflecteurs, véritables micro-miroirs biologiques renvoient toutes les longueurs d'ondes de lumières, en particulier les bleues et les jaunes. Donc, quand on voit briller les yeux, par exemple, d'un chat dans la nuit, on les voit émettre sinon de la lumière blanche, du moins de la lumière jaune. Jamais de la rouge, lumière à laquelle les yeux des animaux nocturnes sont d'ailleurs les moins sensibles.
Les animaux diurnes comme les êtres humains, n'ont pas de micro-miroirs réflecteurs. Si la puissante lumière d'un flash pénètre soudain dans leur globe oculaire parce que l'iris est très dilaté dans la nuit, d'un être humain, elle peut être reflétée par le fin réseau d'artérioles qui nourrissent les cellules de la rétine. C'est le fameux effet « yeux rouges » des photos prises la nuit où sous le faible éclairage électrique et qu'on essaie de ne pas avoir sur les photos. Mais cela n'a pas de rapport avec le phénomène de luminescence permanente allégué pour les « chupacabras ».
L'être représenté par l'artiste sur l'indication d'un ou de plusieurs témoins est bipède et néanmoins digitigrade... Ce qui doit être extrêmement fatigant pour lui car cela ne lui procure qu'un tout petit polygone de sustentation alors que la bipédie élève son centre de gravité! (Essayez de mesurer combien de temps vous resterez debout sur la toute pointe des pieds!) Si canidés, félidés, mustélidés, rongeurs sont digitigrades, c'est qu'ils sont aussi quadrupèdes, ce qui leur donne un grand polygone de sustentation. À vouloir « animaliser » une silhouette « hominoïde », l'artiste ou le(s) témoin(s) ont abouti à une aberration évolutive!!!
On pourra m'objecter que « l'animal » retrouve un attitude de quadrupède pour une course rapide, plus rapide que la course bipède, par bonds horizontaux, comme en effectue un chien. Mais dans ce cas, les longues griffes des « pattes » avant doivent perdre rapidement leur piquant en s'enfonçant dans le sol.
Il faudrait, soit qu'elles soient rétractiles comme celles de félidés, soit qu'elles n'aient pas de rôle pour tuer la proie comme pour les canidés. Sauf que les loups et chiens, tout comme les hyènes d'ailleurs, ont à défaut de griffes avant coupantes, une mâchoire « tueuse » très développée... ce qui n'est pas le cas du portrait-robot de « chupacabra ».
Bref, tout dans ce dessin est aberrant. Il ne figure pas une observation réelle d'un animal extraterrestre. C'est en revanche une authentique œuvre d'artiste de science-fiction!
- PhénixEquipe du forum
Age : 35
Nombre de messages : 185
Inscription : 30/07/2008
Localisation : ile de france
Emploi : sans emploi
Passions : lecture
Règlement : Règlement
Points de Participation : 6073
Re: Un ovni cause la panique en Inde
Dim 04 Jan 2009, 21:02
La dernière photo est contradictoire, de meme, avec le dessin et description de 1955.
La langue, selon la plupart des témoins, serait une trompe permettant de vider le sang de ces victimes. (comme un colibri pour le nectar des fleurs ?)
La description de 1955, montre des pattes ressemblant à ceux des poules. Il est dit que les yeux réflechissent la lumiere des phares. Peut etre que ces yeux sont des sortes d'hublots. Par conséquent nous pouvons imaginer que se soit un casque.
Tout ceci me rappelle l'histoire de l'enfant ayant été blessé par des aliens qui lui aurai coupé avec un canif sortant de la bouche et dont la blessure ne saignait pas....(tout du moins si l'histoire est véridicte).
Pour la panique en Inde: si se sont des extraterrestres qui auraient fait le coup, il est possible qu'ils aient perdus le controle de l'un de leur drone.
La langue, selon la plupart des témoins, serait une trompe permettant de vider le sang de ces victimes. (comme un colibri pour le nectar des fleurs ?)
La description de 1955, montre des pattes ressemblant à ceux des poules. Il est dit que les yeux réflechissent la lumiere des phares. Peut etre que ces yeux sont des sortes d'hublots. Par conséquent nous pouvons imaginer que se soit un casque.
Tout ceci me rappelle l'histoire de l'enfant ayant été blessé par des aliens qui lui aurai coupé avec un canif sortant de la bouche et dont la blessure ne saignait pas....(tout du moins si l'histoire est véridicte).
Pour la panique en Inde: si se sont des extraterrestres qui auraient fait le coup, il est possible qu'ils aient perdus le controle de l'un de leur drone.
- videodraftLégende du forum
Age : 47
Nombre de messages : 83
Inscription : 03/06/2008
Localisation : ...Paris
Emploi : ...Historien
Passions : ...Photographie
Règlement : Règlement
Points de Participation : 6041
Re: Un ovni cause la panique en Inde
Dim 04 Jan 2009, 21:44
"À vouloir « animaliser » une silhouette « hominoïde », l'artiste ou le(s) témoin(s) ont abouti à une aberration évolutive!!!"
Oui, il y a une part d'interprétation mais nous ne sommes pas loin de la réalité observée.
Humain évolué
A. Moens FNRS – Professeur d’anatomie comparée
Article: lien
La forme des pattes corrobore le portrait-robot du chupacabra:
Portrait-robot de la créature dessiné par un professionnel avec l’aide du témoin Madelyne Tolentino le 9 décembre 1995
Cette créature peut voler et faire de grands sauts. Elle peut aussi se déplacer à quatre pattes.
Ces portraits-robots tentent de s'approcher au plus près de l'observation des témoins. Il est donc normal de constater des différences morphologiques.
Madelyne raconte que la créature avait les pieds palmés et corrobore ainsi le cas de Cussac et l'observation de 1955.
Il faut étudier toutes les RR3 pour se rendre compte que le chupacabra corrobore toutes les RR3 depuis 1954 (lien). Mais ce qui nous gène le plus, c'est d'imaginer qu'une créature à l'apparence si animale puisse être plus intelligente que nous.
Oui, il y a une part d'interprétation mais nous ne sommes pas loin de la réalité observée.
Humain évolué
A. Moens FNRS – Professeur d’anatomie comparée
Article: lien
La forme des pattes corrobore le portrait-robot du chupacabra:
Portrait-robot de la créature dessiné par un professionnel avec l’aide du témoin Madelyne Tolentino le 9 décembre 1995
- Code:
- Code:
Cette créature peut voler et faire de grands sauts. Elle peut aussi se déplacer à quatre pattes.
Ces portraits-robots tentent de s'approcher au plus près de l'observation des témoins. Il est donc normal de constater des différences morphologiques.
Madelyne raconte que la créature avait les pieds palmés et corrobore ainsi le cas de Cussac et l'observation de 1955.
Il faut étudier toutes les RR3 pour se rendre compte que le chupacabra corrobore toutes les RR3 depuis 1954 (lien). Mais ce qui nous gène le plus, c'est d'imaginer qu'une créature à l'apparence si animale puisse être plus intelligente que nous.
- videodraftLégende du forum
Age : 47
Nombre de messages : 83
Inscription : 03/06/2008
Localisation : ...Paris
Emploi : ...Historien
Passions : ...Photographie
Règlement : Règlement
Points de Participation : 6041
Re: Un ovni cause la panique en Inde
Dim 04 Jan 2009, 22:05
Il faut aussi insister sur la description de Kelly Cahill en 1993 en Australie. Le chupacabra n'existait pas puisqu'il est apparu deux ans plus tard à Porto-Rico.
Toute la description corrobore le chupacabra: yeux rouges luminescents, forme des pattes et lévitation.
Ainsi, le chupacabra, nom donné par les témoins sur l'ile de porto-rico, n'est ni plus ni moins que la créature extraterrestre observée depuis 1954 à travers le monde par des centaines de témoins.
Toute la description corrobore le chupacabra: yeux rouges luminescents, forme des pattes et lévitation.
Ainsi, le chupacabra, nom donné par les témoins sur l'ile de porto-rico, n'est ni plus ni moins que la créature extraterrestre observée depuis 1954 à travers le monde par des centaines de témoins.
- Code:
- Code:
- InvitéInvité
Re: Un ovni cause la panique en Inde
Lun 05 Jan 2009, 11:54
L'homme dessiné par A. Moens FNRS – Professeur d’anatomie comparée est une « amélioration » de l'homme « sauvage », vivant « à l'état de nature », bref au paléolithique ou même avant.
En fait, l'objectif de son « amélioration » consiste en un allongement des membres inférieurs pour améliorer, croit-il, la vitesse de course.
Or le propre des archanthropiens, ce qui a déterminé vraisemblablement le « deuxième étage » de leur ascension vers l'intelligence, le premier étant pour ces arboricoles de se retrouver au sol à la recherche de nourriture en disposant des antérieurs pour la saisir, c'est leur incapacité à distancer les prédateurs quadrupèdes et rattraper leurs proies quadrupèdes à la course. Pour résister à une sévère sélection naturelle, laquelle élimine régulièrement des espèces entières, il a fallu affiner le comportement, avoir des stratégies, ruser.
Si la « solution de survie » dans le cadre de la niche écologique, avait été une amélioration de la course par un passage d'une station plantigrade à digitigrade, alors, nous, les héritiers de millions d'années d'évolution, serions digitigrades, « naturellement »!
Mais au fait, des coureurs très rapides et néanmoins bipèdes existent de nos jours, ce sont les autruches et autres émeus, ce sont des oiseaux. « L'astuce » de la patte de l'autruche, comme d'ailleurs celle des périssodactyles tels le cheval ou le chevreuil, consiste à avoir à son extrémité distale, celle qui a la plus grande amplitude de battement, la plus grande vitesse dans le mouvement alternatif et donc qui contient lors de la course la plus grande énergie cinétique, la plus légère possible. Pour cela, la majeure partie de la patte est dépourvue de pesants muscles lesquels se trouvent le plus possible près du corps et n'est constituée essentiellement que d'os longs et uniques.
La patte de l'autruche et la postérieure du cheval ne diffèrent ainsi qu'à leur extrémité: si chez le second, quadrupède, le doigt (ou l'orteil) est unique parce que l'animal a un grand polygone de sustentation avec ses quatre membres, chez l'oiseau coureur il faut trois doigts (au lieu des cinq de l'ancêtre de tous les vertébrés ou les quatre des oiseaux volants) soit le minimum pour avoir un triangle de sustentation « confortable » (comme d'ailleurs pour la majorité des ovnis qui montrent des pieds d'atterrissage!).
L'homme dessiné par A. Moens devrait avoir des pattes d'oiseau coureur, non de lion. L'allongement des extrémités joue un rôle si important dans la capacité à mouvoir les jambes rapidement qu'il faut y voir l'explication de l'excellente performance de cet athlète amputé des deux pieds qui court plus vite le 100m que la majorité des athlètes valides (surtout s'il ne sont pas dopés!!!) grâce à ses prothèses en fibre de carbone. Prothèses qu'il retire évidemment quand il n'est pas en course, tant la recherche d'équilibre est fatigante pour lui quand il est équipé de ces ressorts ultra légers. Il revient bien sûr à des prothèses classiques d'amputé le reste du temps. Celles-ci ressemblent à des pieds naturels et s'enfoncent de même dans des chaussures qui constituent un socle assez stable.
En quoi consisterait, en réalité, une « amélioration » de l'homme actuel, qui vit artificiellement partout sur la Terre depuis longtemps en ce sens qu'il n'a plus à échapper à des prédateurs par la course (ou la fuite dans les arbres) ni à trouver ses proies en les rattrapant « bêtement » à la course (ce qu'il n'a jamais fait)?
S'étant penché sur la question, d'autres scientifiques en sont arrivés à la conclusion que beaucoup de nos maux, liés à notre morphologie, avaient pour origine ... la station verticale, celle qui fut à l'origine même de notre succès évolutif.
La position verticale de l'empilement d'os que constitue notre colonne vertébrale, comme un enfant empilant ses cubes de bois, l'expose à toutes sortes de déformations : scoliose, lordose, scyphose. Le poids anormal qui s'exerce sur les « rondelles souples » à travers lesquels passent les nerfs issus de la moëlle épinière, a évidemment tendance à les faire s'écraser avec le temps lésant les dits nerfs et provoquant cette douleur lancinante qu'on appelle sciatique.
La « solution » serait un élargissement des vertèbres et donc un élargissement des disques intervertébraux pour diminuer la pression au centimètre carré.
Pour la même raison il serait bon que l'articulation du genou soit nettement plus grosse, notamment pour les femmes en surpoids ainsi que celle de la hanche, ce qui supposerait un quasi doublement de la largeur du fémur et une mutation cellulaire qui empêche la décalcification après la ménopause.
La situation serait aussi améliorée ... par une mutation qui empêcherait un comportement de suralimentation!
La forme du bassin n'est pas idéale car les viscères pèsent sur l'étroite surface du périnée au lieu, comme chez les quadrupèdes, d'être uniformément répartis sur la paroi ventrale de l'abdomen.
S'ajoute chez la femme enceinte le poids considérable du fœtus à terme sur la même zone qui occasionne souvent des séquelles chez la pluripare (descente d'organes).
Mais là, la solution est plus difficile à obtenir. En effet, le cerveau du nouveau-né est aussi immature que possible pour être compatible avec la survie en autonomie. Or son passage dans la lumière du bassin est déjà très délicate. Si des tissus de soutien se développaient dans cet endroit du corps, la naissance par les voies naturelles deviendraient quasi impossibles.
Il faudrait que le volume du crâne du nouveau-né diminue. Mais si le nombre de neurones diminue l'intelligence globale de l'espèce diminuera aussi. Aussi devraient-ils être aussi nombreux mais plus petits.
C'est cet exploit qu'on réalisé les oiseaux sous la contrainte du vol. Voler demande en effet un cerveau performant en terme de coordination musculaire, d'équilibre, d'exploitation des données de la vision, de communication avec les congénères. En même temps les extrémités doivent pour faciliter l'équilibre de vol être aussi légères que possible. Si en arrière (queue de plumes) et sur les côtés (plumes des rémiges) c'est le cas, à l'avant il y a la tête avec le cerveau et la « mâchoire ». En reportant dans les viscères le broyage des aliments (gésier et graviers) l'évolution a permis de remplacer les mandibules osseuses et les dents constitués de lourd phosphate de calcium, par un léger bec corné.
Et trouvé pour le cerveau la solution de la miniaturisation des neurones.
Y a-t-il des conséquences négatives pour cette mutation? Apparemment pas: l'oiseau est capable d'adaptation (vie en captivité) d'émotion (le perroquet est attaché à son maître autant qu'un chien) et un perroquet, toujours lui, peut vivre très vieux « sain d'esprit ».
Pourquoi l'orgueilleuse espèce humaine n'a-t-elle pas bénéficié d'une mutation aussi avantageuse?
Vraisemblablement parce que la pression de la sélection naturelle n'a pas été la même et que peut-être la préférence sexuelle est allée vers les individus ayant une « grosse tête », témoignant d'une forte intelligence, gage d'une meilleure protection du conjoint et de la descendance.
En fait, l'objectif de son « amélioration » consiste en un allongement des membres inférieurs pour améliorer, croit-il, la vitesse de course.
Or le propre des archanthropiens, ce qui a déterminé vraisemblablement le « deuxième étage » de leur ascension vers l'intelligence, le premier étant pour ces arboricoles de se retrouver au sol à la recherche de nourriture en disposant des antérieurs pour la saisir, c'est leur incapacité à distancer les prédateurs quadrupèdes et rattraper leurs proies quadrupèdes à la course. Pour résister à une sévère sélection naturelle, laquelle élimine régulièrement des espèces entières, il a fallu affiner le comportement, avoir des stratégies, ruser.
Si la « solution de survie » dans le cadre de la niche écologique, avait été une amélioration de la course par un passage d'une station plantigrade à digitigrade, alors, nous, les héritiers de millions d'années d'évolution, serions digitigrades, « naturellement »!
Mais au fait, des coureurs très rapides et néanmoins bipèdes existent de nos jours, ce sont les autruches et autres émeus, ce sont des oiseaux. « L'astuce » de la patte de l'autruche, comme d'ailleurs celle des périssodactyles tels le cheval ou le chevreuil, consiste à avoir à son extrémité distale, celle qui a la plus grande amplitude de battement, la plus grande vitesse dans le mouvement alternatif et donc qui contient lors de la course la plus grande énergie cinétique, la plus légère possible. Pour cela, la majeure partie de la patte est dépourvue de pesants muscles lesquels se trouvent le plus possible près du corps et n'est constituée essentiellement que d'os longs et uniques.
La patte de l'autruche et la postérieure du cheval ne diffèrent ainsi qu'à leur extrémité: si chez le second, quadrupède, le doigt (ou l'orteil) est unique parce que l'animal a un grand polygone de sustentation avec ses quatre membres, chez l'oiseau coureur il faut trois doigts (au lieu des cinq de l'ancêtre de tous les vertébrés ou les quatre des oiseaux volants) soit le minimum pour avoir un triangle de sustentation « confortable » (comme d'ailleurs pour la majorité des ovnis qui montrent des pieds d'atterrissage!).
L'homme dessiné par A. Moens devrait avoir des pattes d'oiseau coureur, non de lion. L'allongement des extrémités joue un rôle si important dans la capacité à mouvoir les jambes rapidement qu'il faut y voir l'explication de l'excellente performance de cet athlète amputé des deux pieds qui court plus vite le 100m que la majorité des athlètes valides (surtout s'il ne sont pas dopés!!!) grâce à ses prothèses en fibre de carbone. Prothèses qu'il retire évidemment quand il n'est pas en course, tant la recherche d'équilibre est fatigante pour lui quand il est équipé de ces ressorts ultra légers. Il revient bien sûr à des prothèses classiques d'amputé le reste du temps. Celles-ci ressemblent à des pieds naturels et s'enfoncent de même dans des chaussures qui constituent un socle assez stable.
En quoi consisterait, en réalité, une « amélioration » de l'homme actuel, qui vit artificiellement partout sur la Terre depuis longtemps en ce sens qu'il n'a plus à échapper à des prédateurs par la course (ou la fuite dans les arbres) ni à trouver ses proies en les rattrapant « bêtement » à la course (ce qu'il n'a jamais fait)?
S'étant penché sur la question, d'autres scientifiques en sont arrivés à la conclusion que beaucoup de nos maux, liés à notre morphologie, avaient pour origine ... la station verticale, celle qui fut à l'origine même de notre succès évolutif.
La position verticale de l'empilement d'os que constitue notre colonne vertébrale, comme un enfant empilant ses cubes de bois, l'expose à toutes sortes de déformations : scoliose, lordose, scyphose. Le poids anormal qui s'exerce sur les « rondelles souples » à travers lesquels passent les nerfs issus de la moëlle épinière, a évidemment tendance à les faire s'écraser avec le temps lésant les dits nerfs et provoquant cette douleur lancinante qu'on appelle sciatique.
La « solution » serait un élargissement des vertèbres et donc un élargissement des disques intervertébraux pour diminuer la pression au centimètre carré.
Pour la même raison il serait bon que l'articulation du genou soit nettement plus grosse, notamment pour les femmes en surpoids ainsi que celle de la hanche, ce qui supposerait un quasi doublement de la largeur du fémur et une mutation cellulaire qui empêche la décalcification après la ménopause.
La situation serait aussi améliorée ... par une mutation qui empêcherait un comportement de suralimentation!
La forme du bassin n'est pas idéale car les viscères pèsent sur l'étroite surface du périnée au lieu, comme chez les quadrupèdes, d'être uniformément répartis sur la paroi ventrale de l'abdomen.
S'ajoute chez la femme enceinte le poids considérable du fœtus à terme sur la même zone qui occasionne souvent des séquelles chez la pluripare (descente d'organes).
Mais là, la solution est plus difficile à obtenir. En effet, le cerveau du nouveau-né est aussi immature que possible pour être compatible avec la survie en autonomie. Or son passage dans la lumière du bassin est déjà très délicate. Si des tissus de soutien se développaient dans cet endroit du corps, la naissance par les voies naturelles deviendraient quasi impossibles.
Il faudrait que le volume du crâne du nouveau-né diminue. Mais si le nombre de neurones diminue l'intelligence globale de l'espèce diminuera aussi. Aussi devraient-ils être aussi nombreux mais plus petits.
C'est cet exploit qu'on réalisé les oiseaux sous la contrainte du vol. Voler demande en effet un cerveau performant en terme de coordination musculaire, d'équilibre, d'exploitation des données de la vision, de communication avec les congénères. En même temps les extrémités doivent pour faciliter l'équilibre de vol être aussi légères que possible. Si en arrière (queue de plumes) et sur les côtés (plumes des rémiges) c'est le cas, à l'avant il y a la tête avec le cerveau et la « mâchoire ». En reportant dans les viscères le broyage des aliments (gésier et graviers) l'évolution a permis de remplacer les mandibules osseuses et les dents constitués de lourd phosphate de calcium, par un léger bec corné.
Et trouvé pour le cerveau la solution de la miniaturisation des neurones.
Y a-t-il des conséquences négatives pour cette mutation? Apparemment pas: l'oiseau est capable d'adaptation (vie en captivité) d'émotion (le perroquet est attaché à son maître autant qu'un chien) et un perroquet, toujours lui, peut vivre très vieux « sain d'esprit ».
Pourquoi l'orgueilleuse espèce humaine n'a-t-elle pas bénéficié d'une mutation aussi avantageuse?
Vraisemblablement parce que la pression de la sélection naturelle n'a pas été la même et que peut-être la préférence sexuelle est allée vers les individus ayant une « grosse tête », témoignant d'une forte intelligence, gage d'une meilleure protection du conjoint et de la descendance.
- videodraftLégende du forum
Age : 47
Nombre de messages : 83
Inscription : 03/06/2008
Localisation : ...Paris
Emploi : ...Historien
Passions : ...Photographie
Règlement : Règlement
Points de Participation : 6041
Re: Un ovni cause la panique en Inde
Lun 05 Jan 2009, 12:18
Remarques très intéressantes et pertinentes de la part d'alain02.
Il faut insister sur la subjectivité des portraits-robots. Les témoins ont eu, il faut bien en avoir conscience, un véritable choc face à ces créatures. La thèse des pieds palmés me semble légitime à la vue du cas de Madelyne Tolentino (bien que le portrait-robot de madelyne ne l'illustre pas, une interview détaillé révèle cette observation "des pieds palmés comme une oie") Son observation corrobore le cas de Cussac où les enfants ont vu clairement des créatures aux pieds palmés et bien d'autres cas:
Trois exemples:
22 au 23 juillet 1982, à Sainte-Dorothée, Québec,
Trois adolescents: lien
reconstitution de la trace de pas observée par les témoins
26 Septembre 1954: lien
Empreintes de pas “comme une grosse patte de chien avec, derrière, un talon étroit”. article presse ci dessous
1 Décembre 1987, Philip Spencer avec photographie d'un ET: lien
PS Il a de drôles de pieds.
JS De drôles de pieds?
PS Ils sont comme en forme de V, comme deux grands orteils. Ca doit être difficile de marcher comme cela. Il danse (he shuffles) plutôt qu’il ne marche.
...
La manière de se déplacer en dansant corrobore le cas d’une abduction: “ils se déplaçaient en dansant” ainsi que le témoignage de la famille le Bihan "ils se dandinaient" (lien):
Bref, tout cela est pour le moins troublant.
Pour ceux que ça intéresse, voici un lien avec tout les documentaires sur le chupacabra: lien
Ces créatures ont été observées après un crash d'ovni.
La langue fourchue n'est pas vraiment une invention de l'illustrateur car il se réfère au diagnostique d'un vétérinaire concernant les autopsies des victimes du chupacabra.
Les victimes portent beaucoup de petits trous, parfaitement circulaires, d’un diamètre variant de 0,6 cm à 1,25 cm, allant par paire ou triangle, pénétrant profondément dans le cou, ou juste sous la mâchoire de la victime.
Ces petites blessures ont été examinées par le Docteur Carlos Soto, qui explique que les trous pénètrent, dans la majorité des cas, dans la tête de l’animal. Un de ces trous part de l’os de la mâchoire, jusqu’au cerveau et plus précisément jusqu’au cervelet, le perforant, tuant immédiatement l’animal. La régularité des blessures, ainsi que l’intrusion de " quelque chose " à l’intérieur du corps, indiquent une certaine intelligence, et de la préméditation. De même, ces détails semblent indiquer une technique d’euthanasie évitant toute souffrance à l’animal durant sa mise à mort, ce qui implique également une certaine intelligence de l’attaquant. Une autre chose ne figure pas dans les "explications " officielles : si un chien, ou un autre prédateur animal connu, mord pour tuer sa proie, il doit exercer une pression des deux côtés de sa tête, de son cou, ou de son corps. Dans les cas imputés aux " chupacabras ", ceux qui les ont examinés n’ont rien observé du côté opposé aux blessures : pas d’écorchure, de griffure, de morsure ni de trace d’une quelconque pression. Au vu de cela, il est évident que nous n’avons pas affaire à un animal carnivore, ou un prédateur d’une espèce connue de la science.
Les petites blessures rondes peuvent être similaires à celles causées par des chiens ou des babouins, mais toute similitude s’arrête là. Aucun détail important concernant les blessures n’est donné par les officiers et vétérinaires gouvernementaux, ceux-ci suivant les " explications " officielles. Ils oublient bizarrement de mentionner que " ce " qui pénètre dans le corps des animaux a une longueur estimée de 7,5 à 10 cm
et, dans certains cas, " cela " semble cautériser les bords de la blessure, apparemment pour éviter toute perte de sang excessive.
Aucune espèce animale connue sur la Terre ne peut agir ainsi. Certaines blessures de ce type apparaissent également sur les côtés et sur le ventre de l’animal, et y pénètrent, traversant l’estomac, le foie, le déchirant, en prélevant des morceaux et en " absorbant " les liquides. Cela requiert une longueur d’au moins 7,5 à 12,5 cm avec une double terminaison, comme il a été vérifié durant les autopsies conduites sur les animaux. Jorge Martin
Il faut insister sur la subjectivité des portraits-robots. Les témoins ont eu, il faut bien en avoir conscience, un véritable choc face à ces créatures. La thèse des pieds palmés me semble légitime à la vue du cas de Madelyne Tolentino (bien que le portrait-robot de madelyne ne l'illustre pas, une interview détaillé révèle cette observation "des pieds palmés comme une oie") Son observation corrobore le cas de Cussac où les enfants ont vu clairement des créatures aux pieds palmés et bien d'autres cas:
Trois exemples:
22 au 23 juillet 1982, à Sainte-Dorothée, Québec,
Trois adolescents: lien
reconstitution de la trace de pas observée par les témoins
26 Septembre 1954: lien
Empreintes de pas “comme une grosse patte de chien avec, derrière, un talon étroit”. article presse ci dessous
1 Décembre 1987, Philip Spencer avec photographie d'un ET: lien
PS Il a de drôles de pieds.
JS De drôles de pieds?
PS Ils sont comme en forme de V, comme deux grands orteils. Ca doit être difficile de marcher comme cela. Il danse (he shuffles) plutôt qu’il ne marche.
...
La manière de se déplacer en dansant corrobore le cas d’une abduction: “ils se déplaçaient en dansant” ainsi que le témoignage de la famille le Bihan "ils se dandinaient" (lien):
- Code:
- Code:
Bref, tout cela est pour le moins troublant.
Pour ceux que ça intéresse, voici un lien avec tout les documentaires sur le chupacabra: lien
Ces créatures ont été observées après un crash d'ovni.
La langue fourchue n'est pas vraiment une invention de l'illustrateur car il se réfère au diagnostique d'un vétérinaire concernant les autopsies des victimes du chupacabra.
Les victimes portent beaucoup de petits trous, parfaitement circulaires, d’un diamètre variant de 0,6 cm à 1,25 cm, allant par paire ou triangle, pénétrant profondément dans le cou, ou juste sous la mâchoire de la victime.
Ces petites blessures ont été examinées par le Docteur Carlos Soto, qui explique que les trous pénètrent, dans la majorité des cas, dans la tête de l’animal. Un de ces trous part de l’os de la mâchoire, jusqu’au cerveau et plus précisément jusqu’au cervelet, le perforant, tuant immédiatement l’animal. La régularité des blessures, ainsi que l’intrusion de " quelque chose " à l’intérieur du corps, indiquent une certaine intelligence, et de la préméditation. De même, ces détails semblent indiquer une technique d’euthanasie évitant toute souffrance à l’animal durant sa mise à mort, ce qui implique également une certaine intelligence de l’attaquant. Une autre chose ne figure pas dans les "explications " officielles : si un chien, ou un autre prédateur animal connu, mord pour tuer sa proie, il doit exercer une pression des deux côtés de sa tête, de son cou, ou de son corps. Dans les cas imputés aux " chupacabras ", ceux qui les ont examinés n’ont rien observé du côté opposé aux blessures : pas d’écorchure, de griffure, de morsure ni de trace d’une quelconque pression. Au vu de cela, il est évident que nous n’avons pas affaire à un animal carnivore, ou un prédateur d’une espèce connue de la science.
Les petites blessures rondes peuvent être similaires à celles causées par des chiens ou des babouins, mais toute similitude s’arrête là. Aucun détail important concernant les blessures n’est donné par les officiers et vétérinaires gouvernementaux, ceux-ci suivant les " explications " officielles. Ils oublient bizarrement de mentionner que " ce " qui pénètre dans le corps des animaux a une longueur estimée de 7,5 à 10 cm
et, dans certains cas, " cela " semble cautériser les bords de la blessure, apparemment pour éviter toute perte de sang excessive.
Aucune espèce animale connue sur la Terre ne peut agir ainsi. Certaines blessures de ce type apparaissent également sur les côtés et sur le ventre de l’animal, et y pénètrent, traversant l’estomac, le foie, le déchirant, en prélevant des morceaux et en " absorbant " les liquides. Cela requiert une longueur d’au moins 7,5 à 12,5 cm avec une double terminaison, comme il a été vérifié durant les autopsies conduites sur les animaux. Jorge Martin
- InvitéInvité
Re: Un ovni cause la panique en Inde
Lun 05 Jan 2009, 15:07
Une telle plaie ne semble pas pouvoir être réalisée avec une "langue" pleine et relativement molle comme l'est celle des animaux terrestres et notamment des serpents.Cela requiert une longueur d’au moins 7,5 à 12,5 cm avec une double terminaison
"L'outil" pourrait être un tube "suceur" aux bords très durs et très coupants éventuellement vibrant longitudinalement pour une découpe dynamique et capable de se déformer pour atteindre son objectif dans le corps. Un trocart de prise de sang géant et "pilotable"... pour moustique géant!
- PhénixEquipe du forum
Age : 35
Nombre de messages : 185
Inscription : 30/07/2008
Localisation : ile de france
Emploi : sans emploi
Passions : lecture
Règlement : Règlement
Points de Participation : 6073
Re: Un ovni cause la panique en Inde
Lun 05 Jan 2009, 22:26
Un trocart de prise de sang géant et "pilotable"... pour moustique géant!
L'homme descendrait du singe, les chupacabra des insectes...
Ceci aurai pus etre drole si ce n'etait pas aussi effrayant.
Imaginez que les abductés ont été enlevé par des Moustiques bipèdes....
D'ailleurs je m'etonne de la non existence de mort humain causé par ces trompes
- videodraftLégende du forum
Age : 47
Nombre de messages : 83
Inscription : 03/06/2008
Localisation : ...Paris
Emploi : ...Historien
Passions : ...Photographie
Règlement : Règlement
Points de Participation : 6041
Re: Un ovni cause la panique en Inde
Mar 06 Jan 2009, 00:01
Il n'y a pas lieu de s'inquieter. Tout est relatif. Nous sommes bien carnivore et cela pourrait paraître bien effrayant à une civilisation extraterrestre...
Les cas d'attaques sur des humains sont rares et ne concerne que des griffures dans des situations de légitime défense:
1954, 10 décembre
VENEZUELA, entre Chico et Cerro de la Tres Torres
Jesus Gomez et Lorenzo Flores
chassaient le lapin le long de la route. Ayant tiré toutes leurs
cartouches, ils décidèrent de rentrer. Ils remarquèrent dans les
broussailles, à courte distance, un objet brillant. Ils croyaient que
c’était une auto qui avait fait une sortie de route. Ils étaient
rentrés dans les broussailles pour aller voir. Ils se sont retrouvés à
quelques mètres d’un objet ressemblant à deux énormes cuvettes
brillantes reliées par le bord. A leur avis il avait 3 m de diamètre,
il se tenait à 1 m du sol et crachait du feu par la base. “Puis nous
vîmes quatre petits hommes en sortir. Ils avaient à peu près 90 cm de
haut. Quand ils nous aperçurent ils attrapèrent tous les quatre Jésus
et essayèrent de l’entraîner vers l’objet. Je ne pus que saisir mon
fusil déchargé et en frapper l’un d’eux. On aurait dit que le fusil
avait heurté quelque chose de dur comme le roc. J’en eu mal aux mains
et mon fusil se brisa. Il faisait trop sombre pour voir les traits de
leurs visages, mais ils avaient beaucoup de poils sur le corps et
étaient très forts.” Quand il fut saisi par les petits hommes Gomez
avait été étourdi par quelque chose. Flores avait traîné son ami sur la
route et quand Gomez fut revenu à lui ils avaient couru aussi vite
qu’ils pouvaient jusqu’au poste de police où ils sont arrivés les
vêtements tout déchirés et portant de profondes écorchures.
1954, 16 décembre
VENEZUELA, San Carlos.
Dans la soirée trois amis
s’arrêtaient dans le parc du ministère de l’Agriculture de San Carlos.
Jesus Paz avait à peine fait 10 pas qu’il appelait ses amis au secours.
Ils le trouvèrent étendu à terre, assommé et ensanglanté. Non loin de
lui, ils virent s’enfuir une petite créature velue de forme humaine, en
direction d’un engin brillant en forme de disque qui reposait sur
l’herbe. Un des compagnons de Paz, Luiz Meija, membre de la garde
nationale, eut à peine le temps de ramasser une pierre et de l’envoyer
sur le disque que celui-ci commençait à s’élever avec un grand
vrombissement. Paz fut amené à l’hôpital de la ville et les médecins le
déclarèrent en état de choc. Il portait de longues et profondes
écorchures sur le côté droit et le long de la colonne vertébrale. Elles
ressemblaient à des marques de griffes.. Il raconta à la police qu’il
se dirigeait vers un massif de fleurs, ses pas étouffés par l’herbe
épaisse, quand tout à coup il était presque tombé sur une créature
velue qui examinait les fleurs. Il avait tenté de l’éviter, mais cette
créature l’avait attaqué d’abord en le griffant et en déchirant sa
chemise, puis en lui portant sur la nuque un coup qui l’avait assommé.
Et bien d'autres cas... bref, il ne fallait pas s'imaginer des extraterrestres aux allures angéliques avec cheveux blond. La monstruosité est un signe d'authenticité dans la mesure où ce qui est étranger à notre réalité ne peut que nous paraître monstrueux. Les codes esthétiques de la beauté appartiennent à une culture et une civilisation précise et ne peuvent être universels.
Que pouvons nous partager avec une civilisation extraterrestre quand on constate que l'HUMAIN est incapable d'établir un dialogue avec son pays voisin (israel-palestine) ou avec des sociétés primitives qui disparaissent sous le dictat de nos sociétés capitalistes. L'aberration évolutive est du côté de l'Homme qui détruit tout: lui-même (shoah); La nature (forêt et pollution maritime), les animaux (extinction d'espèces). Les extraterrestres ont donc autant de choses à apprendre de nous que nous avons nous à en apprendre des fourmis.
La plus grande erreur de l'Homme et des religions fut de s'être placer de manière symbolique au dessus de la Nature; croyant ainsi pouvoir échapper à l'animal qui est en chacun de nous et devenir ainsi une sorte d' esprit pur, première étape nécessaire pour une bonne place au Paradis... Des études scientifiques montrent désormais que certains oiseaux, singes et animaux maritimes sont doués de ce que nous appelons "la Conscience de soi".
Alors oui, espérons que l'Amour soit une valeur universelle. Mais espérons surtout que la guerre et la conquête d'un territoire ne le soit pas. Car d'un point de vue universel et cosmique, ce que nous infligeons à la Nature pourrait bien être considéré comme un crime impardonnable. Il faut bien détruire le parasite lorsque celui-ci s'attaque un peu trop à l'arbre...
Les cas d'attaques sur des humains sont rares et ne concerne que des griffures dans des situations de légitime défense:
1954, 10 décembre
VENEZUELA, entre Chico et Cerro de la Tres Torres
Jesus Gomez et Lorenzo Flores
chassaient le lapin le long de la route. Ayant tiré toutes leurs
cartouches, ils décidèrent de rentrer. Ils remarquèrent dans les
broussailles, à courte distance, un objet brillant. Ils croyaient que
c’était une auto qui avait fait une sortie de route. Ils étaient
rentrés dans les broussailles pour aller voir. Ils se sont retrouvés à
quelques mètres d’un objet ressemblant à deux énormes cuvettes
brillantes reliées par le bord. A leur avis il avait 3 m de diamètre,
il se tenait à 1 m du sol et crachait du feu par la base. “Puis nous
vîmes quatre petits hommes en sortir. Ils avaient à peu près 90 cm de
haut. Quand ils nous aperçurent ils attrapèrent tous les quatre Jésus
et essayèrent de l’entraîner vers l’objet. Je ne pus que saisir mon
fusil déchargé et en frapper l’un d’eux. On aurait dit que le fusil
avait heurté quelque chose de dur comme le roc. J’en eu mal aux mains
et mon fusil se brisa. Il faisait trop sombre pour voir les traits de
leurs visages, mais ils avaient beaucoup de poils sur le corps et
étaient très forts.” Quand il fut saisi par les petits hommes Gomez
avait été étourdi par quelque chose. Flores avait traîné son ami sur la
route et quand Gomez fut revenu à lui ils avaient couru aussi vite
qu’ils pouvaient jusqu’au poste de police où ils sont arrivés les
vêtements tout déchirés et portant de profondes écorchures.
1954, 16 décembre
VENEZUELA, San Carlos.
Dans la soirée trois amis
s’arrêtaient dans le parc du ministère de l’Agriculture de San Carlos.
Jesus Paz avait à peine fait 10 pas qu’il appelait ses amis au secours.
Ils le trouvèrent étendu à terre, assommé et ensanglanté. Non loin de
lui, ils virent s’enfuir une petite créature velue de forme humaine, en
direction d’un engin brillant en forme de disque qui reposait sur
l’herbe. Un des compagnons de Paz, Luiz Meija, membre de la garde
nationale, eut à peine le temps de ramasser une pierre et de l’envoyer
sur le disque que celui-ci commençait à s’élever avec un grand
vrombissement. Paz fut amené à l’hôpital de la ville et les médecins le
déclarèrent en état de choc. Il portait de longues et profondes
écorchures sur le côté droit et le long de la colonne vertébrale. Elles
ressemblaient à des marques de griffes.. Il raconta à la police qu’il
se dirigeait vers un massif de fleurs, ses pas étouffés par l’herbe
épaisse, quand tout à coup il était presque tombé sur une créature
velue qui examinait les fleurs. Il avait tenté de l’éviter, mais cette
créature l’avait attaqué d’abord en le griffant et en déchirant sa
chemise, puis en lui portant sur la nuque un coup qui l’avait assommé.
Et bien d'autres cas... bref, il ne fallait pas s'imaginer des extraterrestres aux allures angéliques avec cheveux blond. La monstruosité est un signe d'authenticité dans la mesure où ce qui est étranger à notre réalité ne peut que nous paraître monstrueux. Les codes esthétiques de la beauté appartiennent à une culture et une civilisation précise et ne peuvent être universels.
Que pouvons nous partager avec une civilisation extraterrestre quand on constate que l'HUMAIN est incapable d'établir un dialogue avec son pays voisin (israel-palestine) ou avec des sociétés primitives qui disparaissent sous le dictat de nos sociétés capitalistes. L'aberration évolutive est du côté de l'Homme qui détruit tout: lui-même (shoah); La nature (forêt et pollution maritime), les animaux (extinction d'espèces). Les extraterrestres ont donc autant de choses à apprendre de nous que nous avons nous à en apprendre des fourmis.
La plus grande erreur de l'Homme et des religions fut de s'être placer de manière symbolique au dessus de la Nature; croyant ainsi pouvoir échapper à l'animal qui est en chacun de nous et devenir ainsi une sorte d' esprit pur, première étape nécessaire pour une bonne place au Paradis... Des études scientifiques montrent désormais que certains oiseaux, singes et animaux maritimes sont doués de ce que nous appelons "la Conscience de soi".
Alors oui, espérons que l'Amour soit une valeur universelle. Mais espérons surtout que la guerre et la conquête d'un territoire ne le soit pas. Car d'un point de vue universel et cosmique, ce que nous infligeons à la Nature pourrait bien être considéré comme un crime impardonnable. Il faut bien détruire le parasite lorsque celui-ci s'attaque un peu trop à l'arbre...
Page 2 sur 5 • 1, 2, 3, 4, 5
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum