- Krest13Equipe du forum
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Re: Les "diapositives de Roswell" (Roswell slides)
Ven 13 Fév 2015, 18:33
Bonsoir Frank,
Voici donc le texte comme je l'ai copié à l'époque et en photos, les matériels mis en oeuvre lors de cette affaire. je cite :
"Je devais vous présenter ce cas que j'avais oublié depuis des années. Je l'avais reçu au début des années 90. Si cette histoire est vraie, la personne qui me l'avait envoyée a couru de grands risques à l'époque. L'intérêt particulier de cette affaire, c'est que tous les noms sont donnés en clair, et il se peut qu'aujourd'hui certains lecteurs pourront faire les recoupements nécessaires.
Ca s'est passé dans la nuit du 23 au 24 mai 1974, dans un col de montagne situé au nord-est de la base de l'Air Force installée à Ramstein, en Allemagne, au plus fort de la 'Guerre Froide'. Ceux qui ont été impliqués furent les hommes du 4ème Platoon, Compagnie Bravo, du Batallon B, 2ème Régiment de la 32ème Air Defense Command de l'armée des Etats-Unis. Ils se trouvaient à quelques kilomètres de Landstuhl - une montagne que Adolph Hitler avait fait ériger pour protéger son bunker et quartier général. Landstuhl était toujours opérationnel en 1974, relié par un trolley souterrain au Commandement Suprême des Forces Alliées en Europe (SHAPE), qui était installé sur la base de Ramstein. Non loin de là se trouvait un bordel militaire allemand à plusieurs étages.
Le 1er Lieutenant Robert Cardeni de Long Beach, Californie, commandait le 4ème Platoon et le Capitaine Michael J. Shestak commandait la Compagnie Bravo.
Ces soldats étaient en service spécial parce que les Russes et les forces du Pacte de Varsovie ne cessaient de tester réciproquement leurs défenses aériennes. Les deux camps envoyaient fréquemment des avions dans l'espace aérien de l'autre pour voir comment les radars réagissaient, où ils étaient situés, et sur quelles fréquences ils opéraient. D'ordinaire les forces en présence se contentaient de s'impressionner mutuellement.
A présent une nouvelle mission était assignée à ces hommes, et celà supposait que les canons et les système anti-missiles Chaparral soient préparés au tir réel.
Cette nuit du 23 mai, deux emplacements de Missiles Chaparral avaient été déployés dans la vallée, non loin du bordel. Les sites de missiles étaient en liaison téléphonique avec un groupe d'observateurs sur le flanc de la montagne.
Vers minuit, le Lieutenant Cardeni ordonna aux équipes de charger les canons Vulcain de 20mm avec des obus au phosphore, des charges hautement explosives, et de se tenir en alerte.
Les canons Vulcain pouvaient tirer 2.000 coups à la minute, grâce à leurs six barillets, et se montrer efficaces jusqu'à 6.000 mètres.
Au nord du col, à la côte 1050 pieds, le Canon Vulcain était servi par Houston "Tex" Thomas, de Indio, Californie. "Tex" était un grand type de couleur, à l'allure joviale.
Environ 4 km au sud, les Canons Vulcain installés au milieu du col à la cote de 850 pieds étaient opérés par William Langdon, de West Seneca, NY, artilleur d'élite du 4ème Squad. Bill était de confession Quaker, et tout le monde se demandait pourquoi il n'avait pas prétexté de sa foi pour obtenir le statut d'objecteur de conscience.
Vers 12h45, le Lieutenant Cardeni avertit qu'une présence hostile avait été détectée, et ordonna que les artilleurs abattent tout appareil qui pourrait franchir le col. Il avait précisé qu'on ne craignait pas de descendre des forces alliées, parce qu'elles volaient en-dessous de 2.700 pieds, et tout autre objectif devait être abattu.
C'est alors que "Bill" Langdon a quitté son poste pour aller réveiller son chef, Aaron Yonts, de la Baie de San Francisco. Langdon refusait de tirer sur un objectif où pouvait se trouver une présence humaine.
Le Sgt. Yonts prit donc sa place devant le canon Vulcain. Ensuite, par radio, il confirma les ordres du Lt. Cardeni.
Il était environ 13h00, quand le Sgt. Yonts a confirmé qu'une forme s'approchait dans le col. Il décrivit un objet en forme d'éllipse applatie, avec des bords arrondis, mesurant environ 10 mètres de long, d'aspect brillant avec des reflets argentés. Il se déplaçait rapidement, et il était impossible d'évaluer sa vitesse parce qu'il avait l'air de chercher à se dissimuler en effectuant des zigzags.
En quelques secondes l'ordinateur du canon et le radar Doppler du Sgt. Yonts effectuèrent les calculs, pour se verrouiller sur l'intrus. Dès qu'il l'eut en visuel, le Sgt. Yonts commença à tirer quelques obus, puis des rafales de 110 charges chacune en direction du flanc de l'objet qui se trouvait sur son horizon.
Il s'attendait à voir les explosions à l'impact des charges au phosphore, puisque les trainées de ses obus montraient qu'il devait avoir atteint l'objet. Yonts raconta :"On aurait dit que les obus étaient absorbés ou qu'ils étaient vaporisés en explosant, à cause d'une sorte de champ de force." Il lui semblait que les obus pénètraient dans des tubes invisibles qui avaient pour rôle de contenir les détonations. De ce fait, il ne percevait que des explosions réduites, et non les éclairs de phosphore habituels. C'était un phénomène remarquable parce que les obus avaient une capacité mortelle dans un rayon de 35 mètres.
Le Sergent Yonts a pu observer "Tex" Thomas en train de tirer sur l'objet depuis sa position surélevée et il a remarqué que les munitions de Tex formaient des trainées vers l'objet mais le manquaient.
Pendant les tirs, sur le flanc de la montagne, le Sergent William McCracken, de Pittsburgh, Kansas, se trouvait à l'intérieur du poste de contrôle, devant la console de lancement de la batterie de missiles Chaparral.
Les servants la faisaient pivoter vers l'endroit dans la vallée indiqué par les observateurs sur la colline (l'opérateur ne pouvait voir de l'intérieur, à cause des reflets sur la bulle de Plexiglas). A ce stade, McCracken n'a rien vu sur son écran radar. Lorsque la batterie s'est trouvée dans la direction des 10 heures le Sgt. McCracken a vu un flash de lumière verte sur sa console et il a entendu le signal qui lui indiquait le verrouillage sur une signature infra-rouge. Après les réglages appropriés, le sergent a pressé le bouton de lancement et la flamme d'un propulseur a éclairé une des rampes du dispositif Chaparral.
Le missile a grimpé jusqu'à une altitude d'environ 900 pieds (l'altitude minimum opérationnelle du missile), il a localisé l'objet volant, l'a accompagné dans son vol, puis il l'a devancé en le serrant de près, et il a fait exploser sa charge explosive de 75 livres. (Le Chaparral avait été conçu pour abattre des avions pilotés, c'est pourquoi il se plaçait au devant de sa cible avant d'exploser, afin de tuer les pilotes et couper l'arrivée d'air des moteurs avions).
Les mitrailleurs et les observateurs postés sur les flancs opposés des montagnes, de même que les opérateurs des missiles dans la vallée, ainsi que d'autres personnes disséminées un peu partout, ont vu la cible commencer à osciller puis cesser d'avancer et finalement descendre vers le fond de la vallée en se balançant, ce qu'ils ont interprété comme une descente contrôlée.
Il fut ordonné aux servants des canons et des missiles de rapporter immédiatement leur matériel vers la base de Ramstein, ce qui était inhabituel, sans prendre le temps de ramasser leurs douilles. Il durent aussitôt rejoindre leurs quartiers, avec l'ordre de ne pas évoquer entre eux ces récents évènements. Il auraient une journée de permission le lendemain.
Alors qu'ils emportaient leurs matériels, ils ont vu des personnels de l'Air Force descendre dans la vallée pour sécuriser le site du crash (ou de l'atterrissage).
Comme on pouvait s'y attendre, les hommes ont échangé leurs avis sur ce qui s'était passé. Thomas était prêt à jurer qu'il avait descendu un MIG-25, le Sergent Yonts a soutenu que ce n'était pas du tout un avion, et le Sergent McCracken était du même avis.
Au moment même où ces faits se déroulaient en Allemagne, d'autres évènements se produisaient aux Etats-Unis. Le Major Mike Andrews, de Silver Spring, MD, venait de passer une semaine en alerte de routine sur la base Air Force de McGuire, dans le New Jersey, tandis que son C141 Starlifter était en service de maintenance, et subissait quotidiennement des vols de contrôles. Le major attendait un ordre de mission qui le conduirait, avec son équipage, vers une destination pour l'instant inconnue. C'était assez inhabituel, parce qu'un avion de transport comme le C141 n'est pas précisément un bombardier B52.
Vers 20h25 (8:25 PM EDT), 1h45 en Allemagne, l'attente du Major Andrews prit fin lorsqu'on lui tendit sa feuille de route. Ils décollèrent à 21h00 en direction Sud/Sud-Ouest. Vers 22h00, ils se posèrent sur la base Air Force d'Andrews, dans le Maryland. Ils furent accueillis par un Brigadier-général de l'Air Force et un civil d'une cinquantaine d'années qui portait un badge de la CIA.
Le Major Andrews eut peu de détails à connaître de sa mission; on lui annonça qu'il allait prochainement embarquer des personnels de l'Air Force qui venaient de Wright Patterson et de Nellis, et que ni lui ni son équipage ne devraient échanger le moindre mot avec eux pendant leur traversée vers l'Allemagne.
Peu après, 26 aviateurs de la base Air Force de Wright Patterson, Ohio, sont arrivés en portant de grandes cantines de matériels. Alors qu'ils embarquaient dans le C141, le Major Andrews a remarqué qu'ils avaient tous le grade de sergent, qu'ils portaient des bérets bleus, des ascots blancs, et qu'ils étaient armés, mais pas du calibre 45 automatique de service porté sous le bras; ils avaient des revolvers à crosse d'ivoire. Le Major Andrews apprit que des officiers avaient été envoyés directement en Allemagne dans un avion plus rapide. Environ une demie-heure plus tard, un jet est arrivé de Nellis, une base de l'Air Force située dans le Nevada, amenant 6 officiers qui seraient du voyage. Ils n'attendaient plus qu'un hélicoptère venant de la base de tests militaires de Aberdeen, dans le Maryland, qui amènerait les 3 derniers passagers.
Vers 23h00 (11 PM EDT), trois officiers du Laboratoire militaire d'Evaluation de Vulnérabilité de Alamogordo, au Nouveau Mexique, sont arrivés en hélicoptère de Aberdeen, Maryland. A 23h30, le Major Andrews a décollé, et bientôt il volait au-dessus de l'Atlantique, emportant cet étrange groupe de passengers vers l'Allemagne, sans connaître la raison de ce vol.
A 10h30, heure locale en Allemagne, le Major Andrews a posé son C141 Starlifter sur la base Air Force de Ramstein, à seulement une heure en voiture de la frontière belge. Les passagers ont été accueillis par une délégation d'officiers de haut rang, et parmi eux eux quelques généraux.
Les hommes de la Compagnie Bravo s'attendaient au jour de repos prévu, en ce vendredi 24 Mai 1974. Ils ont été un peu énervés d'être réveillés avant midi pour une séance de "debriefing".
Les soldats qui avaient pris une part active dans la mission, moins de 12 heures auparavant, furent reçus individuellement par les debriefeurs. La première séance fut conduite par les trois officiers du Laboratoire militaire d'Evaluation de Vulnérabilité de Alamogordo. Ils voulaient savoir jusqu'au moindre détail comment s'étaient déroulées chacune des phases de cette opération, quelles munitions avaient été utilisées, et connaître leurs estimations sur les dégats qu'elles avaient pu produire sur la cible.
Les séances de debriefing ont continué tout au long de la journée et le samedi matin, conduites par différents groupes d'officiers de l'Air Force. Les soldats s'entendirent répéter maintes et maintes fois : "Vous n'y étiez pas, il ne s'est rien passé, Et ne parlez jamais de cet incident à personne."
Les hommes furent avertis que s'ils racontaient à quiconque ce qu'ils avaient pu s'imaginer qu'il se fut produit ce jour-là, il leur serait impossible de retravailler pour le gouvernement, ni pour des contractants du gouvernement. Les menaces étaient lourdes de sous-entendus. On leur dit que par la suite, des années plus tard, des gens les approcheraient pour tester leur discrétion, et que s'ils enfreignaient la règle ce serait 'Dommage pour eux'. Puis on leur fit signer un serment de confidentialité, par lequel ils s'engageaient à ne jamais divulguer les détails de cet incident, et à nier qu'il se soit passé quoi que ce soit.
Pendant toute une semaine, les hommes de la Compagnie Bravo se sentirent nerveux et très mal à l'aise. Les soldats avaient remarqué qu'ils n'avaient reconnu aucun des officiers de l'Air Force qui les avaient debriefés, et ils se sont dit que, malgré leurs uniformes, ces gens ne s'étaient pas comportés comme des militaires. Ils avaient le sentiment d'avoir été interrogés par des civils portant des uniformes.
L'incident soulève bien des questions auxquelles il est difficile de répondre actuellement. Pourquoi les hommes avaient-ils été placés en alerte, dans ce pays, pendant une semaine et demie, alors qu'au même moment un équipage de C141 était maintenu en alerte dans le New Jersey pendant plus d'une semaine ?
Pourquoi l'objet n'avait-il pas été repéré par le radar de la tour de contrôle de l'Air force à Ramstein, ni par celui du lanceur de missiles Chaparral ? Etait-ce parce qu'ils utilisaient tous les deux des fréquences radio, alors que les Canons Vulcain disposaient d'un radar Doppler ?
Pourquoi l'Armée et l'Air Force auraient pris le risque de laisser un Mig identifier des emplacements défensifs stratégiques ?
Qu'est-ce qui pourrait avoir totalement grillé le récepteur IFF du missile Chaparral ? (Tous les avions de l'OTAN de l'époque, comme aujourd'hui, étaient équipés de radio transmetteurs qui émettent un signal spécifique sur une fréquence précise. Les autres avions alliés et les emplacements défensifs sont pourvus de récepteurs IFF (Identification Ami/Ennemi) qui stoppent les mécanismes de mise à feu sur les canons ou les missiles et les empêchent de s'autodétruire).
Pourquoi les soldats de la Compagnie Bravo ont-ils constaté, quand ils ont retrouvé leurs matériels quelques jours plus tard, que tous leurs systèmes d'armement avaient été nettoyés ? Les Canons du Sergent Yonts et le Vulcain de Tex Thomas avaient été entièrement rénovés, et tous les barillets remplacés, de sorte que personne n'aurait pu dire qu'ils avaient été utilisés. Le système Chaparral du Sgt McCracken avait été remis en ordre, et l'IFF brulé avait également été remplacé.
L'explication officielle de cet incident fut celle d'un test de fonctionnement sur les équipements de mise à feu. Mais pourquoi s'était-on servi de munitions réelles pour une simple démonstration ? Pourquoi des munitions réelles et des vrais missiles auraient été utilisés près d'une zone peuplée de civils ?
Pourquoi le seul officier présent sur les lieux était un premier lieutenant ? Il est évident qu'un premier lieutenant n'a pas l'autorité d'ordonner un tir réel en temps de paix.
Pourquoi le chaîne de commandement militaire a-t-elle été court-circuitée, et qui a donné l'ordre de feu au Lieutenant Cardeni ?
Les réponses se trouvent peut-être dans cette après-midi du samedi 25 mai. Il avait été demandé au Major Andrews et à son équipage de se présenter au rapport près de leur avion, qui se trouvait parqué à l'écart sur la base aérienne.
Le Major Andrews avait été choqué de constater qu'un ensemble de supports métalliques avait été érigé sur les ailes et le fuselage de son Starlifter, et qu'on y avait fixé quelquechose d'assez grand, en forme d'éllipse. Cette chose avait été recouverte d'une toile goudronnée de couleur vert olive, maintenue par des cordages qui dépassaient de chaque côté. Les aviateurs qui attendaient de retourner aux Etats-Unis étaient déjà à bord.
Mike Andrews a remarqué, au moment où ils se préparait à décoller, qu'il ne disposait que d'une réserve minimale de carburant, à cause de la surcharge installée sur son avion. Un engin de tractage, appellé une "mule" a tiré l'avion vers la piste, le plaçant dans l'axe de décollage; il était encadré de véhicules avec leurs lampes rouges clignotantes, remplis de policiers en armes.
Après qu'il ait été autorisé à décoller, la toile goudronnée fut retirée et le Major Andrews lança son avion sur la piste. A cause de la surchage importante, la réserve de carburant s'épuisait rapidement. Dès qu'il eut atteint son altitude de croisière, un KC-135 se présenta pour remplir les réservoirs du C141.
Les ordres du Major Andrews lui interdisaient de se poser avant d'avoir atteint la base Air Force de Wright Patterson dans l'Ohio, et il lui était indiqué que des remplissages avaient été organisés au-dessus de l'Atlantique.
Il faisait nuit dans l'Ohio quand le Major Andrews a déposé les aviateurs - à l'exception de 4 personnages qui étaient armés de fusils M16 en plus de leurs pistolets. Les pilotes et l'équipage du C141 n'ont pas été autorisés à débarquer, et ils n'ont pas refait le plein.
Après avoir redécollé avec un minimum de carburant, ils ont à nouveau retrouvé en altitude un autre KC135 puis ils se sont dirigés vers Nellis Air Force Base, Nevada. L'équipage ne fut pas davantage autorisé à débarquer pendant que leur chargement était démonté puis emporté sous une nouvelle bâche.
De retour à la base Air Force de McGuire, le Major Andrews et son équipage furent debriefés par un Colonel de l'Air force, qui les informa qu'ils avaient participé à une mission hautement classifiée, dont ils ne devraient jamais parler à personne.
Ils ont gardé le silence pendant dix-huit ans, de même que les soldats de la Compagnie Bravo. (http://exopolitics.blogspot.com/)
RevyUK résume les avis qui s'expriment ensuite sur OM : "Ca se lit bien, il faut maintenant essayer de retrouver quelques uns des noms."
On aura noté qu'il n'est nulle part mention de corps récupérés, à moins qu'ils aient été rapatriés sur un autre vol. SexyMoon présente sa théorie sur OM : "C'était à mon avis un test de nos forces pour défendre la Terre d'une invasion alien. Ceux qui ont conduit l'opération SAVAIENT que les 'ennemis' allaient franchir le col. C'était, pour moi, un engin expérimental, rétro conçu, ou récupéré d'un crash précédent. Il devait s'agir de tester nos défenses. C'était la mentalité des militaires de l'époque." Mais Sexymon n'explique pas pourquoi l'expérience devait se passer en territoire étranger, et il ne justifie pas le besoin d'une aussi laborieuse opération de récupération et de transfert de l'épave vers les Etats-Unis".[img][/img]
Voici donc le texte comme je l'ai copié à l'époque et en photos, les matériels mis en oeuvre lors de cette affaire. je cite :
"Je devais vous présenter ce cas que j'avais oublié depuis des années. Je l'avais reçu au début des années 90. Si cette histoire est vraie, la personne qui me l'avait envoyée a couru de grands risques à l'époque. L'intérêt particulier de cette affaire, c'est que tous les noms sont donnés en clair, et il se peut qu'aujourd'hui certains lecteurs pourront faire les recoupements nécessaires.
Ca s'est passé dans la nuit du 23 au 24 mai 1974, dans un col de montagne situé au nord-est de la base de l'Air Force installée à Ramstein, en Allemagne, au plus fort de la 'Guerre Froide'. Ceux qui ont été impliqués furent les hommes du 4ème Platoon, Compagnie Bravo, du Batallon B, 2ème Régiment de la 32ème Air Defense Command de l'armée des Etats-Unis. Ils se trouvaient à quelques kilomètres de Landstuhl - une montagne que Adolph Hitler avait fait ériger pour protéger son bunker et quartier général. Landstuhl était toujours opérationnel en 1974, relié par un trolley souterrain au Commandement Suprême des Forces Alliées en Europe (SHAPE), qui était installé sur la base de Ramstein. Non loin de là se trouvait un bordel militaire allemand à plusieurs étages.
Le 1er Lieutenant Robert Cardeni de Long Beach, Californie, commandait le 4ème Platoon et le Capitaine Michael J. Shestak commandait la Compagnie Bravo.
Ces soldats étaient en service spécial parce que les Russes et les forces du Pacte de Varsovie ne cessaient de tester réciproquement leurs défenses aériennes. Les deux camps envoyaient fréquemment des avions dans l'espace aérien de l'autre pour voir comment les radars réagissaient, où ils étaient situés, et sur quelles fréquences ils opéraient. D'ordinaire les forces en présence se contentaient de s'impressionner mutuellement.
A présent une nouvelle mission était assignée à ces hommes, et celà supposait que les canons et les système anti-missiles Chaparral soient préparés au tir réel.
Cette nuit du 23 mai, deux emplacements de Missiles Chaparral avaient été déployés dans la vallée, non loin du bordel. Les sites de missiles étaient en liaison téléphonique avec un groupe d'observateurs sur le flanc de la montagne.
Vers minuit, le Lieutenant Cardeni ordonna aux équipes de charger les canons Vulcain de 20mm avec des obus au phosphore, des charges hautement explosives, et de se tenir en alerte.
Les canons Vulcain pouvaient tirer 2.000 coups à la minute, grâce à leurs six barillets, et se montrer efficaces jusqu'à 6.000 mètres.
Au nord du col, à la côte 1050 pieds, le Canon Vulcain était servi par Houston "Tex" Thomas, de Indio, Californie. "Tex" était un grand type de couleur, à l'allure joviale.
Environ 4 km au sud, les Canons Vulcain installés au milieu du col à la cote de 850 pieds étaient opérés par William Langdon, de West Seneca, NY, artilleur d'élite du 4ème Squad. Bill était de confession Quaker, et tout le monde se demandait pourquoi il n'avait pas prétexté de sa foi pour obtenir le statut d'objecteur de conscience.
Vers 12h45, le Lieutenant Cardeni avertit qu'une présence hostile avait été détectée, et ordonna que les artilleurs abattent tout appareil qui pourrait franchir le col. Il avait précisé qu'on ne craignait pas de descendre des forces alliées, parce qu'elles volaient en-dessous de 2.700 pieds, et tout autre objectif devait être abattu.
C'est alors que "Bill" Langdon a quitté son poste pour aller réveiller son chef, Aaron Yonts, de la Baie de San Francisco. Langdon refusait de tirer sur un objectif où pouvait se trouver une présence humaine.
Le Sgt. Yonts prit donc sa place devant le canon Vulcain. Ensuite, par radio, il confirma les ordres du Lt. Cardeni.
Il était environ 13h00, quand le Sgt. Yonts a confirmé qu'une forme s'approchait dans le col. Il décrivit un objet en forme d'éllipse applatie, avec des bords arrondis, mesurant environ 10 mètres de long, d'aspect brillant avec des reflets argentés. Il se déplaçait rapidement, et il était impossible d'évaluer sa vitesse parce qu'il avait l'air de chercher à se dissimuler en effectuant des zigzags.
En quelques secondes l'ordinateur du canon et le radar Doppler du Sgt. Yonts effectuèrent les calculs, pour se verrouiller sur l'intrus. Dès qu'il l'eut en visuel, le Sgt. Yonts commença à tirer quelques obus, puis des rafales de 110 charges chacune en direction du flanc de l'objet qui se trouvait sur son horizon.
Il s'attendait à voir les explosions à l'impact des charges au phosphore, puisque les trainées de ses obus montraient qu'il devait avoir atteint l'objet. Yonts raconta :"On aurait dit que les obus étaient absorbés ou qu'ils étaient vaporisés en explosant, à cause d'une sorte de champ de force." Il lui semblait que les obus pénètraient dans des tubes invisibles qui avaient pour rôle de contenir les détonations. De ce fait, il ne percevait que des explosions réduites, et non les éclairs de phosphore habituels. C'était un phénomène remarquable parce que les obus avaient une capacité mortelle dans un rayon de 35 mètres.
Le Sergent Yonts a pu observer "Tex" Thomas en train de tirer sur l'objet depuis sa position surélevée et il a remarqué que les munitions de Tex formaient des trainées vers l'objet mais le manquaient.
Pendant les tirs, sur le flanc de la montagne, le Sergent William McCracken, de Pittsburgh, Kansas, se trouvait à l'intérieur du poste de contrôle, devant la console de lancement de la batterie de missiles Chaparral.
Les servants la faisaient pivoter vers l'endroit dans la vallée indiqué par les observateurs sur la colline (l'opérateur ne pouvait voir de l'intérieur, à cause des reflets sur la bulle de Plexiglas). A ce stade, McCracken n'a rien vu sur son écran radar. Lorsque la batterie s'est trouvée dans la direction des 10 heures le Sgt. McCracken a vu un flash de lumière verte sur sa console et il a entendu le signal qui lui indiquait le verrouillage sur une signature infra-rouge. Après les réglages appropriés, le sergent a pressé le bouton de lancement et la flamme d'un propulseur a éclairé une des rampes du dispositif Chaparral.
Le missile a grimpé jusqu'à une altitude d'environ 900 pieds (l'altitude minimum opérationnelle du missile), il a localisé l'objet volant, l'a accompagné dans son vol, puis il l'a devancé en le serrant de près, et il a fait exploser sa charge explosive de 75 livres. (Le Chaparral avait été conçu pour abattre des avions pilotés, c'est pourquoi il se plaçait au devant de sa cible avant d'exploser, afin de tuer les pilotes et couper l'arrivée d'air des moteurs avions).
Les mitrailleurs et les observateurs postés sur les flancs opposés des montagnes, de même que les opérateurs des missiles dans la vallée, ainsi que d'autres personnes disséminées un peu partout, ont vu la cible commencer à osciller puis cesser d'avancer et finalement descendre vers le fond de la vallée en se balançant, ce qu'ils ont interprété comme une descente contrôlée.
Il fut ordonné aux servants des canons et des missiles de rapporter immédiatement leur matériel vers la base de Ramstein, ce qui était inhabituel, sans prendre le temps de ramasser leurs douilles. Il durent aussitôt rejoindre leurs quartiers, avec l'ordre de ne pas évoquer entre eux ces récents évènements. Il auraient une journée de permission le lendemain.
Alors qu'ils emportaient leurs matériels, ils ont vu des personnels de l'Air Force descendre dans la vallée pour sécuriser le site du crash (ou de l'atterrissage).
Comme on pouvait s'y attendre, les hommes ont échangé leurs avis sur ce qui s'était passé. Thomas était prêt à jurer qu'il avait descendu un MIG-25, le Sergent Yonts a soutenu que ce n'était pas du tout un avion, et le Sergent McCracken était du même avis.
Au moment même où ces faits se déroulaient en Allemagne, d'autres évènements se produisaient aux Etats-Unis. Le Major Mike Andrews, de Silver Spring, MD, venait de passer une semaine en alerte de routine sur la base Air Force de McGuire, dans le New Jersey, tandis que son C141 Starlifter était en service de maintenance, et subissait quotidiennement des vols de contrôles. Le major attendait un ordre de mission qui le conduirait, avec son équipage, vers une destination pour l'instant inconnue. C'était assez inhabituel, parce qu'un avion de transport comme le C141 n'est pas précisément un bombardier B52.
Vers 20h25 (8:25 PM EDT), 1h45 en Allemagne, l'attente du Major Andrews prit fin lorsqu'on lui tendit sa feuille de route. Ils décollèrent à 21h00 en direction Sud/Sud-Ouest. Vers 22h00, ils se posèrent sur la base Air Force d'Andrews, dans le Maryland. Ils furent accueillis par un Brigadier-général de l'Air Force et un civil d'une cinquantaine d'années qui portait un badge de la CIA.
Le Major Andrews eut peu de détails à connaître de sa mission; on lui annonça qu'il allait prochainement embarquer des personnels de l'Air Force qui venaient de Wright Patterson et de Nellis, et que ni lui ni son équipage ne devraient échanger le moindre mot avec eux pendant leur traversée vers l'Allemagne.
Peu après, 26 aviateurs de la base Air Force de Wright Patterson, Ohio, sont arrivés en portant de grandes cantines de matériels. Alors qu'ils embarquaient dans le C141, le Major Andrews a remarqué qu'ils avaient tous le grade de sergent, qu'ils portaient des bérets bleus, des ascots blancs, et qu'ils étaient armés, mais pas du calibre 45 automatique de service porté sous le bras; ils avaient des revolvers à crosse d'ivoire. Le Major Andrews apprit que des officiers avaient été envoyés directement en Allemagne dans un avion plus rapide. Environ une demie-heure plus tard, un jet est arrivé de Nellis, une base de l'Air Force située dans le Nevada, amenant 6 officiers qui seraient du voyage. Ils n'attendaient plus qu'un hélicoptère venant de la base de tests militaires de Aberdeen, dans le Maryland, qui amènerait les 3 derniers passagers.
Vers 23h00 (11 PM EDT), trois officiers du Laboratoire militaire d'Evaluation de Vulnérabilité de Alamogordo, au Nouveau Mexique, sont arrivés en hélicoptère de Aberdeen, Maryland. A 23h30, le Major Andrews a décollé, et bientôt il volait au-dessus de l'Atlantique, emportant cet étrange groupe de passengers vers l'Allemagne, sans connaître la raison de ce vol.
A 10h30, heure locale en Allemagne, le Major Andrews a posé son C141 Starlifter sur la base Air Force de Ramstein, à seulement une heure en voiture de la frontière belge. Les passagers ont été accueillis par une délégation d'officiers de haut rang, et parmi eux eux quelques généraux.
Les hommes de la Compagnie Bravo s'attendaient au jour de repos prévu, en ce vendredi 24 Mai 1974. Ils ont été un peu énervés d'être réveillés avant midi pour une séance de "debriefing".
Les soldats qui avaient pris une part active dans la mission, moins de 12 heures auparavant, furent reçus individuellement par les debriefeurs. La première séance fut conduite par les trois officiers du Laboratoire militaire d'Evaluation de Vulnérabilité de Alamogordo. Ils voulaient savoir jusqu'au moindre détail comment s'étaient déroulées chacune des phases de cette opération, quelles munitions avaient été utilisées, et connaître leurs estimations sur les dégats qu'elles avaient pu produire sur la cible.
Les séances de debriefing ont continué tout au long de la journée et le samedi matin, conduites par différents groupes d'officiers de l'Air Force. Les soldats s'entendirent répéter maintes et maintes fois : "Vous n'y étiez pas, il ne s'est rien passé, Et ne parlez jamais de cet incident à personne."
Les hommes furent avertis que s'ils racontaient à quiconque ce qu'ils avaient pu s'imaginer qu'il se fut produit ce jour-là, il leur serait impossible de retravailler pour le gouvernement, ni pour des contractants du gouvernement. Les menaces étaient lourdes de sous-entendus. On leur dit que par la suite, des années plus tard, des gens les approcheraient pour tester leur discrétion, et que s'ils enfreignaient la règle ce serait 'Dommage pour eux'. Puis on leur fit signer un serment de confidentialité, par lequel ils s'engageaient à ne jamais divulguer les détails de cet incident, et à nier qu'il se soit passé quoi que ce soit.
Pendant toute une semaine, les hommes de la Compagnie Bravo se sentirent nerveux et très mal à l'aise. Les soldats avaient remarqué qu'ils n'avaient reconnu aucun des officiers de l'Air Force qui les avaient debriefés, et ils se sont dit que, malgré leurs uniformes, ces gens ne s'étaient pas comportés comme des militaires. Ils avaient le sentiment d'avoir été interrogés par des civils portant des uniformes.
L'incident soulève bien des questions auxquelles il est difficile de répondre actuellement. Pourquoi les hommes avaient-ils été placés en alerte, dans ce pays, pendant une semaine et demie, alors qu'au même moment un équipage de C141 était maintenu en alerte dans le New Jersey pendant plus d'une semaine ?
Pourquoi l'objet n'avait-il pas été repéré par le radar de la tour de contrôle de l'Air force à Ramstein, ni par celui du lanceur de missiles Chaparral ? Etait-ce parce qu'ils utilisaient tous les deux des fréquences radio, alors que les Canons Vulcain disposaient d'un radar Doppler ?
Pourquoi l'Armée et l'Air Force auraient pris le risque de laisser un Mig identifier des emplacements défensifs stratégiques ?
Qu'est-ce qui pourrait avoir totalement grillé le récepteur IFF du missile Chaparral ? (Tous les avions de l'OTAN de l'époque, comme aujourd'hui, étaient équipés de radio transmetteurs qui émettent un signal spécifique sur une fréquence précise. Les autres avions alliés et les emplacements défensifs sont pourvus de récepteurs IFF (Identification Ami/Ennemi) qui stoppent les mécanismes de mise à feu sur les canons ou les missiles et les empêchent de s'autodétruire).
Pourquoi les soldats de la Compagnie Bravo ont-ils constaté, quand ils ont retrouvé leurs matériels quelques jours plus tard, que tous leurs systèmes d'armement avaient été nettoyés ? Les Canons du Sergent Yonts et le Vulcain de Tex Thomas avaient été entièrement rénovés, et tous les barillets remplacés, de sorte que personne n'aurait pu dire qu'ils avaient été utilisés. Le système Chaparral du Sgt McCracken avait été remis en ordre, et l'IFF brulé avait également été remplacé.
L'explication officielle de cet incident fut celle d'un test de fonctionnement sur les équipements de mise à feu. Mais pourquoi s'était-on servi de munitions réelles pour une simple démonstration ? Pourquoi des munitions réelles et des vrais missiles auraient été utilisés près d'une zone peuplée de civils ?
Pourquoi le seul officier présent sur les lieux était un premier lieutenant ? Il est évident qu'un premier lieutenant n'a pas l'autorité d'ordonner un tir réel en temps de paix.
Pourquoi le chaîne de commandement militaire a-t-elle été court-circuitée, et qui a donné l'ordre de feu au Lieutenant Cardeni ?
Les réponses se trouvent peut-être dans cette après-midi du samedi 25 mai. Il avait été demandé au Major Andrews et à son équipage de se présenter au rapport près de leur avion, qui se trouvait parqué à l'écart sur la base aérienne.
Le Major Andrews avait été choqué de constater qu'un ensemble de supports métalliques avait été érigé sur les ailes et le fuselage de son Starlifter, et qu'on y avait fixé quelquechose d'assez grand, en forme d'éllipse. Cette chose avait été recouverte d'une toile goudronnée de couleur vert olive, maintenue par des cordages qui dépassaient de chaque côté. Les aviateurs qui attendaient de retourner aux Etats-Unis étaient déjà à bord.
Mike Andrews a remarqué, au moment où ils se préparait à décoller, qu'il ne disposait que d'une réserve minimale de carburant, à cause de la surcharge installée sur son avion. Un engin de tractage, appellé une "mule" a tiré l'avion vers la piste, le plaçant dans l'axe de décollage; il était encadré de véhicules avec leurs lampes rouges clignotantes, remplis de policiers en armes.
Après qu'il ait été autorisé à décoller, la toile goudronnée fut retirée et le Major Andrews lança son avion sur la piste. A cause de la surchage importante, la réserve de carburant s'épuisait rapidement. Dès qu'il eut atteint son altitude de croisière, un KC-135 se présenta pour remplir les réservoirs du C141.
Les ordres du Major Andrews lui interdisaient de se poser avant d'avoir atteint la base Air Force de Wright Patterson dans l'Ohio, et il lui était indiqué que des remplissages avaient été organisés au-dessus de l'Atlantique.
Il faisait nuit dans l'Ohio quand le Major Andrews a déposé les aviateurs - à l'exception de 4 personnages qui étaient armés de fusils M16 en plus de leurs pistolets. Les pilotes et l'équipage du C141 n'ont pas été autorisés à débarquer, et ils n'ont pas refait le plein.
Après avoir redécollé avec un minimum de carburant, ils ont à nouveau retrouvé en altitude un autre KC135 puis ils se sont dirigés vers Nellis Air Force Base, Nevada. L'équipage ne fut pas davantage autorisé à débarquer pendant que leur chargement était démonté puis emporté sous une nouvelle bâche.
De retour à la base Air Force de McGuire, le Major Andrews et son équipage furent debriefés par un Colonel de l'Air force, qui les informa qu'ils avaient participé à une mission hautement classifiée, dont ils ne devraient jamais parler à personne.
Ils ont gardé le silence pendant dix-huit ans, de même que les soldats de la Compagnie Bravo. (http://exopolitics.blogspot.com/)
RevyUK résume les avis qui s'expriment ensuite sur OM : "Ca se lit bien, il faut maintenant essayer de retrouver quelques uns des noms."
On aura noté qu'il n'est nulle part mention de corps récupérés, à moins qu'ils aient été rapatriés sur un autre vol. SexyMoon présente sa théorie sur OM : "C'était à mon avis un test de nos forces pour défendre la Terre d'une invasion alien. Ceux qui ont conduit l'opération SAVAIENT que les 'ennemis' allaient franchir le col. C'était, pour moi, un engin expérimental, rétro conçu, ou récupéré d'un crash précédent. Il devait s'agir de tester nos défenses. C'était la mentalité des militaires de l'époque." Mais Sexymon n'explique pas pourquoi l'expérience devait se passer en territoire étranger, et il ne justifie pas le besoin d'une aussi laborieuse opération de récupération et de transfert de l'épave vers les Etats-Unis".[img][/img]
- Franck.bEquipe du forum
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Re: Les "diapositives de Roswell" (Roswell slides)
Ven 13 Fév 2015, 19:19
@krest13
Merci pour le texte, fort intéressant.
Difficile de se faire une idée précise quand autant d'informations sont sciemment cachées.
Je ne sais pas pourquoi, mais ce cas me rappelle celui de Kecksburg, même s'il est très éloigné.
Il n'y a pas vraiment de rapport si ce n'est la présence de militaires (supposée), la récupération d'un appareil (satellite Soviétique ou autre) et des menaces (supposées aussi).
Je dirais supposées puisque concernant Kecksburg la moitié de la ville prétend que l'autre moitié de la ville ment (pas de militaires, pas d'appareil, pas de menaces).
Merci pour le texte, fort intéressant.
Difficile de se faire une idée précise quand autant d'informations sont sciemment cachées.
Je ne sais pas pourquoi, mais ce cas me rappelle celui de Kecksburg, même s'il est très éloigné.
Il n'y a pas vraiment de rapport si ce n'est la présence de militaires (supposée), la récupération d'un appareil (satellite Soviétique ou autre) et des menaces (supposées aussi).
Je dirais supposées puisque concernant Kecksburg la moitié de la ville prétend que l'autre moitié de la ville ment (pas de militaires, pas d'appareil, pas de menaces).
- Krest13Equipe du forum
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Re: Les "diapositives de Roswell" (Roswell slides)
Sam 14 Fév 2015, 12:39
Bonjour,
"Je ne sais pas pourquoi, mais ce cas me rappelle celui de Kecksburg, même s'il est très éloigné".
C'est vrai, beaucoup de similitudes, c'était en 1965, je crois. La ville aurait même érigé un monument en forme de champignon à l'entrée du village, en guise de souvenir...ou bien pour attirer les badauds!
Mais là encore, les avis divergent. 50/50... un bon score!
Cdt
"Je ne sais pas pourquoi, mais ce cas me rappelle celui de Kecksburg, même s'il est très éloigné".
C'est vrai, beaucoup de similitudes, c'était en 1965, je crois. La ville aurait même érigé un monument en forme de champignon à l'entrée du village, en guise de souvenir...ou bien pour attirer les badauds!
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Re: Les "diapositives de Roswell" (Roswell slides)
Sam 14 Fév 2015, 12:41
Oui effectivement j'avais vu un documentaire sur ce cas , ou les gens du village était réuni pour en débattre, c'était moitié/moitié même jusqu'à semer la discorde dans des familles .Krest13 a écrit:Bonjour,
"Je ne sais pas pourquoi, mais ce cas me rappelle celui de Kecksburg, même s'il est très éloigné".
C'est vrai, beaucoup de similitudes, c'était en 1965, je crois. La ville aurait même érigé un monument en forme de champignon à l'entrée du village, en guise de souvenir...ou bien pour attirer les badauds!
Mais là encore, les avis divergent. 50/50... un bon score!
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Re: Les "diapositives de Roswell" (Roswell slides)
Sam 14 Fév 2015, 18:40
Salut, à priori, selon hastur qui gère le blog Dark ride, une parti des infos aurait déjà fuitées :
http://dark-ride.org/?p=6333
Voila même si je suis pas sur du tout de la valeurs de cette infos.
http://dark-ride.org/?p=6333
Voila même si je suis pas sur du tout de la valeurs de cette infos.
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Re: Les "diapositives de Roswell" (Roswell slides)
Sam 14 Fév 2015, 19:22
Heu... (Jouet vendu dans les K-Mart).
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Re: Les "diapositives de Roswell" (Roswell slides)
Sam 14 Fév 2015, 19:35
Ok ça m’étonne pas.
- InvitéInvité
Re: Les "diapositives de Roswell" (Roswell slides)
Dim 15 Fév 2015, 13:29
Ne focalisons pas notre attentions sur cette énième tentative de divulgation sur Roswell, c'est un attrape-gogos, patientez jusqu'au mois de mai, vous allez vite déchanter croyez-moi... Regardons plutôt à qui profite le crime, pensez à l'alien de Steven Greer, c'est du même acabit...
Il y a d'autres choses plus importantes à traiter...
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Re: Les "diapositives de Roswell" (Roswell slides)
Dim 15 Fév 2015, 14:43
Polyèdre57 a écrit:Ne focalisons pas notre attentions sur cette énième tentative de divulgation sur Roswell, c'est un attrape-gogos, patientez jusqu'au mois de mai, vous allez vite déchanter croyez-moi... Regardons plutôt à qui profite le crime, pensez à l'alien de Steven Greer, c'est du même acabit...
Et donc?....A qui profite ce crime? As tu des infos?
Carey, Schmitt et Bragalia ne sont pas des lapins de 3 semaines, ils étaient sur Roswell, quand d'autres étaient encore au collège, voire la maternelle. Comment sont-ils arrivés dans cette galère est une vraie question, comme disait quelqu' un ici, rappelons nous de Richard Doty. Même les histoires d'intox sont intéressantes à mon avis dans ce qu'elles nous disent des forces obscures en présence. Mais évidemment il s'agit de s'intéresser à l'ufologie dans toutes ses facettes et de voir plus loin que le bout de son nez.
Il y a d'autres choses plus importantes à traiter...
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Et tu les traites comment à titre personnel sans être indiscret?
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Re: Les "diapositives de Roswell" (Roswell slides)
Dim 22 Fév 2015, 20:19
Une reponse d'Anthony Bragaglia sur les reproches qui sont fait.
http://www.kevinrandle.blogspot.fr/2015/02/the-roswell-slides-update-by-tony.html
et une traduction façon google : https://translate.google.fr/translate?sl=en&tl=fr&js=y&prev=_t&hl=fr&ie=UTF-8&u=http%3A%2F%2Fwww.kevinrandle.blogspot.fr%2F2015%2F02%2Fthe-roswell-slides-update-by-tony.html&edit-text=&act=url
Il estime qu'on ne peut juger sur des photos floues, les originales seraient plus surprenantes. Il refute l'idee de momies hydrocephales par ces details qui sont visibles sur les photos originales. A Bragaglia parle des fuites orchestrees par Nick Redfern il y a 3 ans, ce qui a conduit a un harcelement des enqueteurs debouchant sur une plainte au FBI, etc....
http://www.kevinrandle.blogspot.fr/2015/02/the-roswell-slides-update-by-tony.html
et une traduction façon google : https://translate.google.fr/translate?sl=en&tl=fr&js=y&prev=_t&hl=fr&ie=UTF-8&u=http%3A%2F%2Fwww.kevinrandle.blogspot.fr%2F2015%2F02%2Fthe-roswell-slides-update-by-tony.html&edit-text=&act=url
Il estime qu'on ne peut juger sur des photos floues, les originales seraient plus surprenantes. Il refute l'idee de momies hydrocephales par ces details qui sont visibles sur les photos originales. A Bragaglia parle des fuites orchestrees par Nick Redfern il y a 3 ans, ce qui a conduit a un harcelement des enqueteurs debouchant sur une plainte au FBI, etc....
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