- Benjamin.dResponsable du forum
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Suresnes (Hauts-de-Seine): l'ovni vire et prend de l'altitude
Ven 13 Juin 2008, 00:25
Suresnes (Hauts-de-Seine): l'ovni vire et prend de l'altitude
L'un des témoignages les plus surprenants de cette soirée du 5 novembre 90 nous vient de M. G., qui habitait un pavillon, rue Paul Bert, à Suresnes. L'incident (dont la durée est évaluée à 35 ou 40 secondes) s'est produit entre 19 h et 19 h 05. M. G s'apprêtait à fermer ses volets, à une fenêtre du premier étage. De là, il avait un champ de vision assez étendu, axé vers le sud-est. Sur sa droite, vers le sud-ouest, il aperçut « une masse noire en mouvement au-dessus de la maison du boulanger » (un immeuble de quatre étages, au coin sud-est des rues Paul Bert et de la Liberté). (Tout de suite, une remarque s'impose: le sud-ouest, c'est précisément la direction dans laquelle, de la région parisienne, on avait des chances de voir apparaître la rentrée de la fusée soviétique - si tant est qu'elle fût visible -, pour la voir ensuite défiler de la droite vers la gauche et disparaître vers l'est-nord-est. Mais voyons la suite des événements...). Le témoin est impressionné par cette masse noire qui se détache sur le fond de la nuit, mais dont la forme reste indéfinissable. (Ici, il nous faut faire une seconde remarque, qui va en sens inverse de la précédente: si c'était la rentrée de la fusée qui s'était montrée, il est infiniment peu probable qu'elle soit apparue sous la forme d'une masse noire: c'est, au contraire, un ensemble de lumières que le témoin aurait dû découvrir...).
Sur cette masse, M. G distingue deux lumières « fixes, sans éclat ». Le phénomène s'approche, et défile littéralement devant les yeux de M. G., qui appelle alors son fils (qui assistera à la fin de l'apparition). (Il semble que la trajectoire apparente ait été légèrement descendante, car la chose est un instant cachée par le dernier étage d'une maison (qu'on voit presque au centre, légèrement sur la droite, sur le panorama ci-dessous).
Quand l'ovni passe devant le témoin, il laisse derrière lui une traînée blanchâtre, compacte, légèrement annelée en hélice. M. G. estime la longueur de la masse noire à une centaine de mètres, et celle de la traînée à une centaine de mètres également. Il lui semble que la chose évolue à une trentaine de mètres du sol. L'objet est ensuite vu de trois quarts arrière et laisse apparaître, à l'arrière, une violente lumière, un « soleil blanc, éblouissant ». Il vire alors vers Neuilly, laissant sur sa gauche des immeubles de grande hauteur, et prend de l'altitude. (Ici, de nouveau, un commentaire est nécessaire: un virage et une remontée, s'ils ne sont pas purement illusoires, excluent toute explication à base de rentrée atmosphérique. Il est vrai que sur le plan ci-dessous, réalisé par M. G., on voit que le changement de direction est relativement peu marqué: environ 24 °. Ce plan donne aussi l'ordre de grandeur de l'éloignement évalué par le témoin: une soixantaine de mètres ! Si ces estimations de tailles et de distance sont assez proches de la réalité, M. G. a dû observer le phénomène dans d'excellentes conditions: un ensemble (masse plus traînée) de 200 mètres de long, observé à une soixantaine de mètres, remplit toute la largeur du champ visuel !
La question se pose donc: dans quelle mesure peut-on accorder foi aux estimations de distance fournies par M. G. ? Lors de notre visite à Suresnes, au printemps 1991, Gilles Garreau et moi avons demandé à ce jeune retraité, un peu par hasard, avant de le quitter, quelle profession il avait exercée. Il nous a alors répondu qu'il était dessinateur-projeteur. Il est difficile, dans ces conditions, de ne pas accorder un certain crédit aux indications géométriques qu'il donne, aussi étonnantes soient-elles.) Or, il fournit des précisions, notamment sur l'aspect du phénomène durant la dernière phase de l'observation: autour du « soleil » apparut une sorte de « tourbillonnement annelé » laissant entrevoir des sortes de particules argentées, avec apparition d'éclairs bleus dans la couronne. Ces éclairs bleus ne durèrent pas plus d'une seconde, et furent suivis d'un
rougeoiement qui dura, lui, 3 à 4 secondes. En-dessous du « soleil », de chaque côté, le fils de M. G. remarqua de petites lumières fixes, puis tout disparut soudainement. L'apparition s'était déroulée dans le silence le plus total.
Quelques jours après le 5 novembre, M. G. alla témoigner auprès des autorités locales. Comme il cherchait à en savoir plus, et espérait des éclaircissements sur la nature de ce qu'il avait observé, le fonctionnaire qui le recevait lui dit simplement: « Mais, Monsieur, il n'y a que vous qui ayez vu ça... ». On notera que le site de cette observation se situe à quelque 2 250 m de la gare du Val-d'Or, à Saint-Cloud, où eut lieu l'observation relatée dans notre numéro 306, p.15. Le moins qu'on puisse dire est que les descriptions ne se ressemblent pas. Or, nous avons rencontré deux autres témoins, M. et Mme G., qui ont fait une observation à partir d'un troisième site, au lieu dit le Moulin des Gibets, à Nanterre. Cet endroit se situe au nord-ouest du Mont Valérien, et à 1650 m seulement du pavillon de la rue Paul Bert, à Suresnes. (Les trois sites, à Suresnes, Saint-Cloud et Nanterre, forment un triangle dont le centre de gravité coïncide avec le Mont Valérien). L'heure est la même: « vers 19 h », l'orientation générale de la trajectoire est la même: de droite à gauche, et du sud-ouest vers le nord-est; pourtant, la description que donnent M. et Mme G. ne correspond ni à celle de Suresnes, ni à celle de Saint-Cloud ! On pourrait presque classer cette observation de Nanterre parmi les cas les plus intéressants du 5 novembre, pour deux raisons: l'objet (un triangle sombre, gigantesque, portant des lumières) aurait masqué le sommet du Mont-Valérien, au moment où il passait au plus près des témoins; en outre, quelques instants plus tard, il se serait brièvement immobilisé. Toutefois, ces deux affirmations ne nous ont pas paru suffisamment nettes. Certains témoignages sont plus flous que d'autres, et comme il faut être prudent, nous ne tirerons pas argument de ce témoignage de Nanterre, trop peu précis à notre goût.
On peut néanmoins retenir que nous trouvons dans la proche banlieue Ouest une situation parfaitement analogue à celle que nous avons exposée (voir LDLN 359) dans la région de Brétigny-sur-Orge: plusieurs observations simultanées ou quasi-simultanées, mais qui semblent se rapporter à des phénomènes différents. On peut faire un constat identique à propos des observations en Corrèze, en Dordogne et dans le Lot.
http://home.nordnet.fr/~phuleux/5novembr5.htm
L'un des témoignages les plus surprenants de cette soirée du 5 novembre 90 nous vient de M. G., qui habitait un pavillon, rue Paul Bert, à Suresnes. L'incident (dont la durée est évaluée à 35 ou 40 secondes) s'est produit entre 19 h et 19 h 05. M. G s'apprêtait à fermer ses volets, à une fenêtre du premier étage. De là, il avait un champ de vision assez étendu, axé vers le sud-est. Sur sa droite, vers le sud-ouest, il aperçut « une masse noire en mouvement au-dessus de la maison du boulanger » (un immeuble de quatre étages, au coin sud-est des rues Paul Bert et de la Liberté). (Tout de suite, une remarque s'impose: le sud-ouest, c'est précisément la direction dans laquelle, de la région parisienne, on avait des chances de voir apparaître la rentrée de la fusée soviétique - si tant est qu'elle fût visible -, pour la voir ensuite défiler de la droite vers la gauche et disparaître vers l'est-nord-est. Mais voyons la suite des événements...). Le témoin est impressionné par cette masse noire qui se détache sur le fond de la nuit, mais dont la forme reste indéfinissable. (Ici, il nous faut faire une seconde remarque, qui va en sens inverse de la précédente: si c'était la rentrée de la fusée qui s'était montrée, il est infiniment peu probable qu'elle soit apparue sous la forme d'une masse noire: c'est, au contraire, un ensemble de lumières que le témoin aurait dû découvrir...).
Sur cette masse, M. G distingue deux lumières « fixes, sans éclat ». Le phénomène s'approche, et défile littéralement devant les yeux de M. G., qui appelle alors son fils (qui assistera à la fin de l'apparition). (Il semble que la trajectoire apparente ait été légèrement descendante, car la chose est un instant cachée par le dernier étage d'une maison (qu'on voit presque au centre, légèrement sur la droite, sur le panorama ci-dessous).
Quand l'ovni passe devant le témoin, il laisse derrière lui une traînée blanchâtre, compacte, légèrement annelée en hélice. M. G. estime la longueur de la masse noire à une centaine de mètres, et celle de la traînée à une centaine de mètres également. Il lui semble que la chose évolue à une trentaine de mètres du sol. L'objet est ensuite vu de trois quarts arrière et laisse apparaître, à l'arrière, une violente lumière, un « soleil blanc, éblouissant ». Il vire alors vers Neuilly, laissant sur sa gauche des immeubles de grande hauteur, et prend de l'altitude. (Ici, de nouveau, un commentaire est nécessaire: un virage et une remontée, s'ils ne sont pas purement illusoires, excluent toute explication à base de rentrée atmosphérique. Il est vrai que sur le plan ci-dessous, réalisé par M. G., on voit que le changement de direction est relativement peu marqué: environ 24 °. Ce plan donne aussi l'ordre de grandeur de l'éloignement évalué par le témoin: une soixantaine de mètres ! Si ces estimations de tailles et de distance sont assez proches de la réalité, M. G. a dû observer le phénomène dans d'excellentes conditions: un ensemble (masse plus traînée) de 200 mètres de long, observé à une soixantaine de mètres, remplit toute la largeur du champ visuel !
La question se pose donc: dans quelle mesure peut-on accorder foi aux estimations de distance fournies par M. G. ? Lors de notre visite à Suresnes, au printemps 1991, Gilles Garreau et moi avons demandé à ce jeune retraité, un peu par hasard, avant de le quitter, quelle profession il avait exercée. Il nous a alors répondu qu'il était dessinateur-projeteur. Il est difficile, dans ces conditions, de ne pas accorder un certain crédit aux indications géométriques qu'il donne, aussi étonnantes soient-elles.) Or, il fournit des précisions, notamment sur l'aspect du phénomène durant la dernière phase de l'observation: autour du « soleil » apparut une sorte de « tourbillonnement annelé » laissant entrevoir des sortes de particules argentées, avec apparition d'éclairs bleus dans la couronne. Ces éclairs bleus ne durèrent pas plus d'une seconde, et furent suivis d'un
rougeoiement qui dura, lui, 3 à 4 secondes. En-dessous du « soleil », de chaque côté, le fils de M. G. remarqua de petites lumières fixes, puis tout disparut soudainement. L'apparition s'était déroulée dans le silence le plus total.
Quelques jours après le 5 novembre, M. G. alla témoigner auprès des autorités locales. Comme il cherchait à en savoir plus, et espérait des éclaircissements sur la nature de ce qu'il avait observé, le fonctionnaire qui le recevait lui dit simplement: « Mais, Monsieur, il n'y a que vous qui ayez vu ça... ». On notera que le site de cette observation se situe à quelque 2 250 m de la gare du Val-d'Or, à Saint-Cloud, où eut lieu l'observation relatée dans notre numéro 306, p.15. Le moins qu'on puisse dire est que les descriptions ne se ressemblent pas. Or, nous avons rencontré deux autres témoins, M. et Mme G., qui ont fait une observation à partir d'un troisième site, au lieu dit le Moulin des Gibets, à Nanterre. Cet endroit se situe au nord-ouest du Mont Valérien, et à 1650 m seulement du pavillon de la rue Paul Bert, à Suresnes. (Les trois sites, à Suresnes, Saint-Cloud et Nanterre, forment un triangle dont le centre de gravité coïncide avec le Mont Valérien). L'heure est la même: « vers 19 h », l'orientation générale de la trajectoire est la même: de droite à gauche, et du sud-ouest vers le nord-est; pourtant, la description que donnent M. et Mme G. ne correspond ni à celle de Suresnes, ni à celle de Saint-Cloud ! On pourrait presque classer cette observation de Nanterre parmi les cas les plus intéressants du 5 novembre, pour deux raisons: l'objet (un triangle sombre, gigantesque, portant des lumières) aurait masqué le sommet du Mont-Valérien, au moment où il passait au plus près des témoins; en outre, quelques instants plus tard, il se serait brièvement immobilisé. Toutefois, ces deux affirmations ne nous ont pas paru suffisamment nettes. Certains témoignages sont plus flous que d'autres, et comme il faut être prudent, nous ne tirerons pas argument de ce témoignage de Nanterre, trop peu précis à notre goût.
On peut néanmoins retenir que nous trouvons dans la proche banlieue Ouest une situation parfaitement analogue à celle que nous avons exposée (voir LDLN 359) dans la région de Brétigny-sur-Orge: plusieurs observations simultanées ou quasi-simultanées, mais qui semblent se rapporter à des phénomènes différents. On peut faire un constat identique à propos des observations en Corrèze, en Dordogne et dans le Lot.
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