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Re: Le GEIPAN et son traitement du phénomène Ovni
Dim 06 Sep 2009, 20:58
Jean Curnonix a écrit:Bonjour dorejc,
Au sujet d’ Hessdalen, vous écrivez :>>> S’il n’était qu’une personne à contacter il s’agirait de Erling Stranddorejc a écrit:[…] honnêtement si quelqu'un a des noms, je prend.
Vous pourriez également contacter Bjørn Gitle Hauge
Enfin vous trouverez ici une liste de quelques papiers publiés sur le sujet.
Cordialement,
Jean
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Ma présentation se trouve ici
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Merci Jean,
je prend contact, mais j'ai l'impression que ces personnes sont les officiels du projet Hessdalen. Je me trompe peut-être, mais vu les échanges Geipan-Norvège-Italie, ne devrait-on pas éviter les officiels?
JCD
- Nico.FModérateur
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Re: Le GEIPAN et son traitement du phénomène Ovni
Dim 06 Sep 2009, 21:35
J'ai lu en diagonale le projet Hessdalen, et notamment ses résulats, plus particulièrement les résultats optiques (prise de photos avec bonnette).
Tenez vous bien c'est éloquent : le phénomène se repète depuis le début des années 80, même si actuellement le nombre d'apparition à diminué : plus qu'une vingtaine par an.
Résultats optiques : à partir de 7 films pris avec des réseaux de diffraction, seuls 4 clichés à peu près corrects ont pu être extraits. Sur les 4, deux correspondent à des lumières importantes, les 2 autres emettant des lumières plus faibles. Cependant, aucune photo ne correspond a un phénomène de grande intensité comme ca arrive apparemment parfois.
Les 2 images correspondant aux forts rayonnement, seraient en fait très probablement... le phare d'une moto neige... bien que cela soit étonnant (selon les personnes qui ont écrit le rapport) qu'il y ai quelqu'un en moto neige ds cette région à ce moment...
Les deux images correspondant aux rayonnements les plus faibles sont... inexploitables car l'intensité lumineuse étant trop faible, le spectre n'est pas analysable... Il semble qu'il soit situé entre 530 nm et 630 nm, mais comme le film utilisé coupe à 630 nm, pas moyen d'aller plus haut.
Voilà le résultat concernant les essais optiques.
Je ne dirais rien car ça serait vulgaire... je vous laisse juger !
Je ne suis pas sur en effet qu'il faille passer par ces gens la pour effectuer une démarche.
Nico.F
Tenez vous bien c'est éloquent : le phénomène se repète depuis le début des années 80, même si actuellement le nombre d'apparition à diminué : plus qu'une vingtaine par an.
Résultats optiques : à partir de 7 films pris avec des réseaux de diffraction, seuls 4 clichés à peu près corrects ont pu être extraits. Sur les 4, deux correspondent à des lumières importantes, les 2 autres emettant des lumières plus faibles. Cependant, aucune photo ne correspond a un phénomène de grande intensité comme ca arrive apparemment parfois.
Les 2 images correspondant aux forts rayonnement, seraient en fait très probablement... le phare d'une moto neige... bien que cela soit étonnant (selon les personnes qui ont écrit le rapport) qu'il y ai quelqu'un en moto neige ds cette région à ce moment...
Les deux images correspondant aux rayonnements les plus faibles sont... inexploitables car l'intensité lumineuse étant trop faible, le spectre n'est pas analysable... Il semble qu'il soit situé entre 530 nm et 630 nm, mais comme le film utilisé coupe à 630 nm, pas moyen d'aller plus haut.
Voilà le résultat concernant les essais optiques.
Je ne dirais rien car ça serait vulgaire... je vous laisse juger !
Je ne suis pas sur en effet qu'il faille passer par ces gens la pour effectuer une démarche.
Nico.F
- Jean CurnonixCulture Scientifique
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Re: Le GEIPAN et son traitement du phénomène Ovni
Dim 06 Sep 2009, 23:04
Bonsoir dorejc,
Pour mieux cerner la personnalité d’Erling Strand, qui me semble la personne à contacter en priorité, je vous suggère de voir (ou revoir), ainsi que d’écouter attentivement ses propos au cours d’ un documentaire diffusé par CANAL+ le lundi 17 mars 2008 de 20h55 à 22h15.
Les « phénomènes d’Hessdalen » y sont évoqués pendant 17mn de "25:40" à "42:35".
En toute rigueur, ce que l’on observe à Hessdalen demeure du domaine de l’énigme scientifique en l’état actuel de nos connaissances.
Plusieurs théories ont actuellement cours quant aux plasmoïdes observés, notamment et pour aller à l’essentiel :
- plasmoïdes d’origine naturelle (lire par exemple le papier de David Fryberger : A model for ball lightning )
- plasmoïdes d’origine artificielle (dont je ne vous ferai évidemment pas l’"injure" de penser que vous ne sachiez pas ce qu’il en est étant donné votre implication dans l’opération "bonnette à réseau" d’UFO-Science).
Il n’est d’ailleurs pas interdit de penser qu’il puisse y avoir les deux observés à Hessdalen !!!
Cordialement,
Jean
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Pour mieux cerner la personnalité d’Erling Strand, qui me semble la personne à contacter en priorité, je vous suggère de voir (ou revoir), ainsi que d’écouter attentivement ses propos au cours d’ un documentaire diffusé par CANAL+ le lundi 17 mars 2008 de 20h55 à 22h15.
Les « phénomènes d’Hessdalen » y sont évoqués pendant 17mn de "25:40" à "42:35".
En toute rigueur, ce que l’on observe à Hessdalen demeure du domaine de l’énigme scientifique en l’état actuel de nos connaissances.
Plusieurs théories ont actuellement cours quant aux plasmoïdes observés, notamment et pour aller à l’essentiel :
- plasmoïdes d’origine naturelle (lire par exemple le papier de David Fryberger : A model for ball lightning )
- plasmoïdes d’origine artificielle (dont je ne vous ferai évidemment pas l’"injure" de penser que vous ne sachiez pas ce qu’il en est étant donné votre implication dans l’opération "bonnette à réseau" d’UFO-Science).
Il n’est d’ailleurs pas interdit de penser qu’il puisse y avoir les deux observés à Hessdalen !!!
Cordialement,
Jean
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- Jean CurnonixCulture Scientifique
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Re: Le GEIPAN et son traitement du phénomène Ovni
Dim 06 Sep 2009, 23:11
Bonsoir Nico.F,
Vous trouverez ici un rapport préliminaire réalisé en juin 2007, par Bjørn Gitle Hauge de l’Østfold University College, sur l’analyse des spectres optiques des phénomènes lumineux d’Hessdalen.
En résumé, voir "Discussion" page 12 que j'ai rapidement traduite en français, dans laquelle il formule que :
« Il s’agit seulement d’un rapport préliminaire, et des analyses plus détaillées des données doivent être réalisées. Les découvertes sont basées sur des données dont l’intensité n’est pas calibrée et dont le calibrage en longueur d'ondes donne une résolution très basse de seulement 11Å/pixel. [Nota : Å = angström ; 1 angström = 0,1 nanomètre ] De ce travail préliminaire résultent quelques nouvelles hypothèses qui doivent être complétées par de nouvelles données de meilleure résolution.
Les découvertes préliminaires suggèrent les hypothèses suivantes :
- Les phénomènes d'Hessdalen sont composés de gaz ionisé, pas d’un solide.
- Les éléments chimiques dominants sont O (= l’oxygène) et N (= l’azote), suggérant qu’il s’agit d’un "embrasement" de l'air.
- D'autres éléments comme le Si (= le silicium), du sable et quelques métaux Fe (= le fer), Sc (= le scandium), Ti (= le titane) suggèrent de la poussière de la vallée.
- L'occurrence du Sc, le scandium, un métal norvégien rare, suggère pourquoi le phénomène est seulement localisé à Hessdalen, une vallée connue pour ses mines métalliques. [Nota : voir ici ]
- Le scandium, Sc, réagit vigoureusement avec un acide et l'air et peut réaliser le mécanisme d'ignition.
- Le titane,Ti, est le seul élément qui brûle dans l'azote et peut expliquer la longue durée de vie (du phénomène lumineux).
- Le titane est utilisé pour les feux d'artifice et réalise des feux spectaculaires.
Cette hypothèse suggère que le phénomène Hessdalen soit composé de poussière de la vallée, qui s'enflamme en raison du fait que le scandium réagit rapidement avec des acides et l'air (réf. 9 + 10). Le nuage de poussière brûle, il s’élève dans l’atmosphère, et flotte dans la même position, ou guidé par le vent, jusqu'à ce que le carburant, titane, fer et scandium soit brûlé.
Le scandium est un métal rare et a été d'abord trouvé en Norvège, les minerais de "Thotveitit". Cette hypothèse suggère que les phénomènes type Hessdalen soient localisés aux secteurs où ce minéral peut être trouvé et pourquoi ces phénomènes semblent être localisés dans certains secteurs et pas d'autres.
L'utilisation de spectrographes à haute résolution a une grande importance dans la recherche future sur les phénomènes type Hessdalen. L'utilisation de ces spectrographes donnera un aperçu des éléments dont ces phénomènes sont composés. Au moins ce rapport montre-t-il qu'il est possible d'obtenir les spectres optiques des phénomènes Hessdalen et d’ébaucher une discussion de ce qu'ils sont composés et pourquoi ils brûlent si longtemps. »
Il y a un certain temps déjà que je ne me pose plus la question de savoir si l’HET est l’hypothèse à raisonnablement retenir quant à l’origine d’ovnis résistant à toute explication naturelle ou artificielle de facture humaine : c’est la seule hypothèse à raisonnablement retenir en l’état actuel de nos connaissances.
Si vous ne partager pas encore cette analyse, vous pouvez, pourquoi pas, vous rendre dans ce "laboratoire naturel" que constituent les environs d’Hessdalen, et alors je vous suggère de prendre contact avec Erling Strand … ce qui ne vous engage à rien et vous évitera la « diagonale du fou » de nos amis joueurs d’échecs !
Cordialement,
Jean
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Puis-je vous suggérer de vous méfier d’une lecture « en diagonale » que le "BUSINESS DEVELOPMENT MANAGER" que vous êtes pratiquez probablement au cours de "brainstormings" pour de rapides orientations dans le sens d’une décision "Go / No go".Nico.F a écrit:J'ai lu en diagonale le projet Hessdalen, et notamment ses résulats, plus particulièrement les résultats optiques (prise de photos avec bonnette). […] Je ne suis pas sur en effet qu'il faille passer par ces gens la pour effectuer une démarche.
Vous trouverez ici un rapport préliminaire réalisé en juin 2007, par Bjørn Gitle Hauge de l’Østfold University College, sur l’analyse des spectres optiques des phénomènes lumineux d’Hessdalen.
En résumé, voir "Discussion" page 12 que j'ai rapidement traduite en français, dans laquelle il formule que :
« Il s’agit seulement d’un rapport préliminaire, et des analyses plus détaillées des données doivent être réalisées. Les découvertes sont basées sur des données dont l’intensité n’est pas calibrée et dont le calibrage en longueur d'ondes donne une résolution très basse de seulement 11Å/pixel. [Nota : Å = angström ; 1 angström = 0,1 nanomètre ] De ce travail préliminaire résultent quelques nouvelles hypothèses qui doivent être complétées par de nouvelles données de meilleure résolution.
Les découvertes préliminaires suggèrent les hypothèses suivantes :
- Les phénomènes d'Hessdalen sont composés de gaz ionisé, pas d’un solide.
- Les éléments chimiques dominants sont O (= l’oxygène) et N (= l’azote), suggérant qu’il s’agit d’un "embrasement" de l'air.
- D'autres éléments comme le Si (= le silicium), du sable et quelques métaux Fe (= le fer), Sc (= le scandium), Ti (= le titane) suggèrent de la poussière de la vallée.
- L'occurrence du Sc, le scandium, un métal norvégien rare, suggère pourquoi le phénomène est seulement localisé à Hessdalen, une vallée connue pour ses mines métalliques. [Nota : voir ici ]
- Le scandium, Sc, réagit vigoureusement avec un acide et l'air et peut réaliser le mécanisme d'ignition.
- Le titane,Ti, est le seul élément qui brûle dans l'azote et peut expliquer la longue durée de vie (du phénomène lumineux).
- Le titane est utilisé pour les feux d'artifice et réalise des feux spectaculaires.
Cette hypothèse suggère que le phénomène Hessdalen soit composé de poussière de la vallée, qui s'enflamme en raison du fait que le scandium réagit rapidement avec des acides et l'air (réf. 9 + 10). Le nuage de poussière brûle, il s’élève dans l’atmosphère, et flotte dans la même position, ou guidé par le vent, jusqu'à ce que le carburant, titane, fer et scandium soit brûlé.
Le scandium est un métal rare et a été d'abord trouvé en Norvège, les minerais de "Thotveitit". Cette hypothèse suggère que les phénomènes type Hessdalen soient localisés aux secteurs où ce minéral peut être trouvé et pourquoi ces phénomènes semblent être localisés dans certains secteurs et pas d'autres.
L'utilisation de spectrographes à haute résolution a une grande importance dans la recherche future sur les phénomènes type Hessdalen. L'utilisation de ces spectrographes donnera un aperçu des éléments dont ces phénomènes sont composés. Au moins ce rapport montre-t-il qu'il est possible d'obtenir les spectres optiques des phénomènes Hessdalen et d’ébaucher une discussion de ce qu'ils sont composés et pourquoi ils brûlent si longtemps. »
Il y a un certain temps déjà que je ne me pose plus la question de savoir si l’HET est l’hypothèse à raisonnablement retenir quant à l’origine d’ovnis résistant à toute explication naturelle ou artificielle de facture humaine : c’est la seule hypothèse à raisonnablement retenir en l’état actuel de nos connaissances.
Si vous ne partager pas encore cette analyse, vous pouvez, pourquoi pas, vous rendre dans ce "laboratoire naturel" que constituent les environs d’Hessdalen, et alors je vous suggère de prendre contact avec Erling Strand … ce qui ne vous engage à rien et vous évitera la « diagonale du fou » de nos amis joueurs d’échecs !
Cordialement,
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l
Lun 07 Sep 2009, 00:46
Bonsoir Jean Curnonix,
Merci de me faire part de vos "lumières" (sans mauvais jeu de mot), et je vais essayer de faire ressortir le plus clairement possible ce qui émane de mon "brainstorming" personnel, après la lecture des résultats, certes préliminaires que j'ai pu lire sur le site de votre (apparemment) très cher Erling Strand.
Je ne ferai aucun commentaire sur la caricature complétement stéréotypée que j'ai pu lire sur ma fonction. Sachez seulement que j'exerce cette fonction dans un cadre scientifique, domaine qui est ma formation de base. Mais vous avez raison, afin d'éviter d'éveiller ce type de "catalogage" populaire, je vais changer quelques éléments de ma présentation.
Tout d'abord, je tiens à signaler que je ne juge en aucun cas ce Monsieur qui m'a l'air d'être un scientifique respectable, qui procéde à des investigations sur place tout aussi respectables et rigoureuses. Plus accessoirement, je signale aussi qu'aucune décision de "go", ni même de "no go" n'a encore été prise suite à ma réflexion.
Je vais tout d'abord revenir sur quelques points :
Il s’agit seulement d’un rapport préliminaire, et des analyses plus détaillées des données doivent être réalisées. Les découvertes sont basées sur des données dont l’intensité n’est pas calibrée et dont le calibrage en longueur d'ondes donne une résolution très basse de seulement 11Å/pixel. [Nota : Å = angström ; 1 angström = 0,1 nanomètre ]
Erling Strand dit lui même que les clichés correspondent à des rayonnements qui sont soit terrestres (type phare de moto neige), soit d'une qualité telle qu'il est impossible de les exploiter. Une calibration quelle qu'elle soit des appareils d'analyse n'y changera rien car l'information est brouillée à l'origine (sur les clichés eux même). La meilleure solution, plutot que de s'acharner à essayer d'analyser de mauvaises données, serait de reprendre des photos clairement exploitable. Je m'etonnais seulement que sur la campagne qui a été menée, où 188 observations ont été faites, seuls 4 clichés inexploitables en soient sortis...
Les phénomènes d'Hessdalen sont composés de gaz ionisé, pas d’un solide.
Il me semble me rappeler que le même homme, dans le reportage en question (canal +), disait en personne, en scrutant le spectre avec ses seuls yeux, qu'il s'agissait plutôt de quelque chose de solide. Il devait s'agir là peut être d'un résultat préliminaire, et qui l'est resté à la lecture des dernières hypothèses "gazeuses".
Ces hypothèses sont peut être un début d'explication a certains phénomène vu à Hessdalen, mais ne peuvent expliquer tout ce qui a été observé. Cependant, l'hypothèse selon laquelle le phénomène d'ignition grace au scandium qui perdure grace à la présence de titane me semble douteuse. A-t-on une idée des concentrations qu'il faut réunir afin qu'un tel évènement se produise ? Y a t-il des mines de titane dans la région d'Hessladen, afin de trouver des "nuages" de ce metal assez volumineux pour faire perdurer des phénomènes aussi longtemps. Il y aurait beaucoup de questions... Je pense que cette hypothèse est louable, mais qu'elle soit rester au stade d'hypothèse essayant, selon la méthode scientifique, de fournir une explication englobant tous les éléments scientifiques qui ont pu être collectés.
En aucun cas, ce type d'explication ne satisfait à d'autre phénomènes qui ont été observés, par Erling Strand lui même. Prenons l'exemple du "test laser". je ne ferai pas la traduction littérale de l'article, mais en résumé, voici ce qui est dit :
A 3 reprises, une lumière clignotante a été apercue. Le clignotement était régulier. Lorsque nous avons braqué notre laser sur cette lumière, le clignotement a été changé. Pour illustrer, il explique ceci : clignotement nominal : FLASH... FLASH ... FLASH ... etc; Lorsque le laser est braqué dessus : FLASH FLASH... FLASH FLASH... FLASH FLASH... Lorsque le laser est retiré, le clignotement redevient nominal. Le test a été fait a plusieurs reprises sur les 3 observations et a donné ce résultat presque a chaque fois.
Je ne pense pas qu'un laser ait la propriété de faire réagir du titane ou du scandium à ces niveaux d'énergies...
Un autre exemple est celui des l'enregistrements radar : a 3 reprises, une indication radar a été détectée alors que les boules lumineuses étaient en visuel (dans beaucoup d'autres cas, seule la détection radar était présente, sans observation visuelle). Seul problème : l'indication n'apparaissait qu'une fois tous les deux balayages et ce pour les 3 cas. Erling Strand n'a pas d'explications pour cela. Un nuage de plasma peut-il créer un écho radar ? C'est peu probable. Pourquoi une fois sur deux l'écho disparait ? Pas de réponse.
D'autres témoignages faites par Erling Strand me paraissent pour le moins loufoques : un ami a lui dans sa caravane, deux fermiers de la région qui l'attendent dehors, et lorsqu'il sort, une boule rouge lui passe entre les jambes et disparait. La personne en question se serait écrié :"Mais qu'est ce que c'est que cette réflexion". Ils ont rapatrié sur place le laser (le même que celui utilisé pour traquer les boules) sur place, rien que pour vérifier le fait qu'il ait pu s'agir s'un laser émettant de "nulle part". Apparemment la tâche laser formée dans la neige et sur le sil de la caravane ressemblait très fortement à ce qu'avaient vu les 3 acolytes. Je ne sais pas très bien quoi penser ce ce type de témoignages.
Pour revenir au sujet principal et pour conclure je dirai ceci :
les moyens mis en oeuvre sur place sont relativement importants et je me rejoui qu'il y ait des scientifiques qui aient assez de budget pour mener ce type d'investigations. Cependant, pour le moment, les résultats ne sont pas vraiment probants. Le cas de expérimentations optique dont je parlais dans mon précédent message sont assez révélateurs : comment, alors qu'ils disposent de radar, de lasers, de sismographes, de compteurs geiger... etc n'arrivent ils pas à photographier un seul phénomène lumineux avec un réseau de diffraction de manière correcte.
C'est le seul point que je voulais mettre en lumière.
Nico.F
Merci de me faire part de vos "lumières" (sans mauvais jeu de mot), et je vais essayer de faire ressortir le plus clairement possible ce qui émane de mon "brainstorming" personnel, après la lecture des résultats, certes préliminaires que j'ai pu lire sur le site de votre (apparemment) très cher Erling Strand.
Je ne ferai aucun commentaire sur la caricature complétement stéréotypée que j'ai pu lire sur ma fonction. Sachez seulement que j'exerce cette fonction dans un cadre scientifique, domaine qui est ma formation de base. Mais vous avez raison, afin d'éviter d'éveiller ce type de "catalogage" populaire, je vais changer quelques éléments de ma présentation.
Tout d'abord, je tiens à signaler que je ne juge en aucun cas ce Monsieur qui m'a l'air d'être un scientifique respectable, qui procéde à des investigations sur place tout aussi respectables et rigoureuses. Plus accessoirement, je signale aussi qu'aucune décision de "go", ni même de "no go" n'a encore été prise suite à ma réflexion.
Je vais tout d'abord revenir sur quelques points :
Il s’agit seulement d’un rapport préliminaire, et des analyses plus détaillées des données doivent être réalisées. Les découvertes sont basées sur des données dont l’intensité n’est pas calibrée et dont le calibrage en longueur d'ondes donne une résolution très basse de seulement 11Å/pixel. [Nota : Å = angström ; 1 angström = 0,1 nanomètre ]
Erling Strand dit lui même que les clichés correspondent à des rayonnements qui sont soit terrestres (type phare de moto neige), soit d'une qualité telle qu'il est impossible de les exploiter. Une calibration quelle qu'elle soit des appareils d'analyse n'y changera rien car l'information est brouillée à l'origine (sur les clichés eux même). La meilleure solution, plutot que de s'acharner à essayer d'analyser de mauvaises données, serait de reprendre des photos clairement exploitable. Je m'etonnais seulement que sur la campagne qui a été menée, où 188 observations ont été faites, seuls 4 clichés inexploitables en soient sortis...
Les phénomènes d'Hessdalen sont composés de gaz ionisé, pas d’un solide.
Il me semble me rappeler que le même homme, dans le reportage en question (canal +), disait en personne, en scrutant le spectre avec ses seuls yeux, qu'il s'agissait plutôt de quelque chose de solide. Il devait s'agir là peut être d'un résultat préliminaire, et qui l'est resté à la lecture des dernières hypothèses "gazeuses".
Ces hypothèses sont peut être un début d'explication a certains phénomène vu à Hessdalen, mais ne peuvent expliquer tout ce qui a été observé. Cependant, l'hypothèse selon laquelle le phénomène d'ignition grace au scandium qui perdure grace à la présence de titane me semble douteuse. A-t-on une idée des concentrations qu'il faut réunir afin qu'un tel évènement se produise ? Y a t-il des mines de titane dans la région d'Hessladen, afin de trouver des "nuages" de ce metal assez volumineux pour faire perdurer des phénomènes aussi longtemps. Il y aurait beaucoup de questions... Je pense que cette hypothèse est louable, mais qu'elle soit rester au stade d'hypothèse essayant, selon la méthode scientifique, de fournir une explication englobant tous les éléments scientifiques qui ont pu être collectés.
En aucun cas, ce type d'explication ne satisfait à d'autre phénomènes qui ont été observés, par Erling Strand lui même. Prenons l'exemple du "test laser". je ne ferai pas la traduction littérale de l'article, mais en résumé, voici ce qui est dit :
A 3 reprises, une lumière clignotante a été apercue. Le clignotement était régulier. Lorsque nous avons braqué notre laser sur cette lumière, le clignotement a été changé. Pour illustrer, il explique ceci : clignotement nominal : FLASH... FLASH ... FLASH ... etc; Lorsque le laser est braqué dessus : FLASH FLASH... FLASH FLASH... FLASH FLASH... Lorsque le laser est retiré, le clignotement redevient nominal. Le test a été fait a plusieurs reprises sur les 3 observations et a donné ce résultat presque a chaque fois.
Je ne pense pas qu'un laser ait la propriété de faire réagir du titane ou du scandium à ces niveaux d'énergies...
Un autre exemple est celui des l'enregistrements radar : a 3 reprises, une indication radar a été détectée alors que les boules lumineuses étaient en visuel (dans beaucoup d'autres cas, seule la détection radar était présente, sans observation visuelle). Seul problème : l'indication n'apparaissait qu'une fois tous les deux balayages et ce pour les 3 cas. Erling Strand n'a pas d'explications pour cela. Un nuage de plasma peut-il créer un écho radar ? C'est peu probable. Pourquoi une fois sur deux l'écho disparait ? Pas de réponse.
D'autres témoignages faites par Erling Strand me paraissent pour le moins loufoques : un ami a lui dans sa caravane, deux fermiers de la région qui l'attendent dehors, et lorsqu'il sort, une boule rouge lui passe entre les jambes et disparait. La personne en question se serait écrié :"Mais qu'est ce que c'est que cette réflexion". Ils ont rapatrié sur place le laser (le même que celui utilisé pour traquer les boules) sur place, rien que pour vérifier le fait qu'il ait pu s'agir s'un laser émettant de "nulle part". Apparemment la tâche laser formée dans la neige et sur le sil de la caravane ressemblait très fortement à ce qu'avaient vu les 3 acolytes. Je ne sais pas très bien quoi penser ce ce type de témoignages.
Pour revenir au sujet principal et pour conclure je dirai ceci :
les moyens mis en oeuvre sur place sont relativement importants et je me rejoui qu'il y ait des scientifiques qui aient assez de budget pour mener ce type d'investigations. Cependant, pour le moment, les résultats ne sont pas vraiment probants. Le cas de expérimentations optique dont je parlais dans mon précédent message sont assez révélateurs : comment, alors qu'ils disposent de radar, de lasers, de sismographes, de compteurs geiger... etc n'arrivent ils pas à photographier un seul phénomène lumineux avec un réseau de diffraction de manière correcte.
C'est le seul point que je voulais mettre en lumière.
Nico.F
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Re: Le GEIPAN et son traitement du phénomène Ovni
Lun 07 Sep 2009, 07:40
Concernant les matériels optiques utilisés, je reste perplexe.
Appareils photo argentiques, caméra vidéo qui n'enregistre que sur une 10aine de seconde.
N'Auraient-ils que de si faible moyens ?
Appareils photo argentiques, caméra vidéo qui n'enregistre que sur une 10aine de seconde.
N'Auraient-ils que de si faible moyens ?
- Nico.FModérateur
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Re: Le GEIPAN et son traitement du phénomène Ovni
Lun 07 Sep 2009, 14:55
Petite précision concernant la combustion du titane dans l’Azote :
Voir le lien suivant :
http://prn1.univ-lemans.fr/prn1/siteuniversite/description_formation/chimie/lead_demo/lead/U3/pdf/u3c10_02.pdf
Il y est expliqué que le titane réagit avec l’azote sous forme de combustion à partir de 800 °C pour donner TiN2
Par contre il brule aussi dans l’oxygène à partir de 610°C (Voir http://fr.encarta.msn.com/encyclopedia_761569280/titane.html )
Il semblerait donc qu’une combustion se fasse plus facilement avec l’O2 qu’avec N2. Encore faut-il atteindre ces températures afin qu’il y ai réaction. Je n’ai pas vu d’information concernant une quelconque mesure de température des phénomène (peut être suis-je passé à coté)
Cependant, il y a tout de même u petit problème. Les deux réactions chimiques précédentes sont basés sur l’élément chimique seul (Ti). Or dans la nature le titane est toujours trouvé sen combinaison avec d’autres minéraux : ilménite, titanite, rutile…etc , à savoir non pur. La procédure complexe de transformation du minerai de titane en métal n'est commercialement viable que depuis un peu plus de 50 ans. Depuis, l'utilisation de ce métal croît à une vitesse de 8% par année, en moyenne. (voir http://fr.titaniumera.com/index/pagepopup/doc/titanium_facts).
Il parait donc très improbable qu’une quelconque combustion des atomes des titane avec de l’oxygène et de l’hydrogène se produise spontanément dans l’atmosphère, et ce pendant une durée relativement importante.
En outre, l’utilisation du titane dans beaucoup de secteurs de l’industrie, et notamment l’aéronautique n’est plus à démontrer
Il en est de même pour le scandium, sur lequel ont apparemment beaucoup travaillé les russes à l’époque de l’URSS.
Je ne sous entends rien par là mais le fait que deux matériaux de plus en plus utilisés en aéronautique aient été détectés dans le spectre des lumières a été complètement occulté. Une fois de plus, ceci ne prouve rien. J’essaye seulement d’élargir le champs des hypothèses.
Nico.F
Voir le lien suivant :
http://prn1.univ-lemans.fr/prn1/siteuniversite/description_formation/chimie/lead_demo/lead/U3/pdf/u3c10_02.pdf
Il y est expliqué que le titane réagit avec l’azote sous forme de combustion à partir de 800 °C pour donner TiN2
Par contre il brule aussi dans l’oxygène à partir de 610°C (Voir http://fr.encarta.msn.com/encyclopedia_761569280/titane.html )
Il semblerait donc qu’une combustion se fasse plus facilement avec l’O2 qu’avec N2. Encore faut-il atteindre ces températures afin qu’il y ai réaction. Je n’ai pas vu d’information concernant une quelconque mesure de température des phénomène (peut être suis-je passé à coté)
Cependant, il y a tout de même u petit problème. Les deux réactions chimiques précédentes sont basés sur l’élément chimique seul (Ti). Or dans la nature le titane est toujours trouvé sen combinaison avec d’autres minéraux : ilménite, titanite, rutile…etc , à savoir non pur. La procédure complexe de transformation du minerai de titane en métal n'est commercialement viable que depuis un peu plus de 50 ans. Depuis, l'utilisation de ce métal croît à une vitesse de 8% par année, en moyenne. (voir http://fr.titaniumera.com/index/pagepopup/doc/titanium_facts).
Il parait donc très improbable qu’une quelconque combustion des atomes des titane avec de l’oxygène et de l’hydrogène se produise spontanément dans l’atmosphère, et ce pendant une durée relativement importante.
En outre, l’utilisation du titane dans beaucoup de secteurs de l’industrie, et notamment l’aéronautique n’est plus à démontrer
Il en est de même pour le scandium, sur lequel ont apparemment beaucoup travaillé les russes à l’époque de l’URSS.
Je ne sous entends rien par là mais le fait que deux matériaux de plus en plus utilisés en aéronautique aient été détectés dans le spectre des lumières a été complètement occulté. Une fois de plus, ceci ne prouve rien. J’essaye seulement d’élargir le champs des hypothèses.
Nico.F
- Chris.AEquipe du forum
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Re: Le GEIPAN et son traitement du phénomène Ovni
Lun 07 Sep 2009, 15:20
Excellent, merci de revenir au sujet principal mais merci pour les renseignements techniques.
- Jean CurnonixCulture Scientifique
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Re: Le GEIPAN et son traitement du phénomène Ovni
Lun 07 Sep 2009, 23:41
Bonsoir Nico.F,
On vous y apprend à "faire FOMEC" (pour faux mec) c'est-à-dire à éviter de se faire remarquer sur le terrain par la Forme, l'Ombre, le Mouvement, l'Eclat et la Couleur.
Cordialement,
Jean
-------------------------------
Ma présentation se trouve ici
.
Je ne sais pas si avez-vous effectué un "passage sous les drapeaux".Jean Curnonix a écrit:En toute rigueur, ce que l’on observe à Hessdalen demeure du domaine de l’énigme scientifique en l’état actuel de nos connaissances.
Plusieurs théories ont actuellement cours quant aux plasmoïdes observés, notamment et pour aller à l’essentiel :
- plasmoïdes d’origine naturelle […]
- plasmoïdes d’origine artificielle […]
Il n’est d’ailleurs pas interdit de penser qu’il puisse y avoir les deux observés à Hessdalen !!!
On vous y apprend à "faire FOMEC" (pour faux mec) c'est-à-dire à éviter de se faire remarquer sur le terrain par la Forme, l'Ombre, le Mouvement, l'Eclat et la Couleur.
Cordialement,
Jean
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- Jean CurnonixCulture Scientifique
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Re: Le GEIPAN et son traitement du phénomène Ovni
Mar 08 Sep 2009, 18:19
Bonsoir Nico.F,
Sans en dévoiler le libellé, puisque "Message Privé", je réponds ici à votre MP.
Dès que les aspects technoscientifiques du phénomène ovni sont abordés, nous avons hélas droit à un rappel à l’ordre du type de celui ci-dessus (même si en l’occurrence il est ici courtoisement formulé).
C’est bien dommage et ne me stimule guère dans ma motivation à nourrir la rubrique " Les aspects scientifiques du "Phénomène OVNI" / Le puzzle du "Phénomène OVNI" " que le webmaster a créée à mon intention et à ma demande (Merci ).
Pour ce qui concerne « Le GEIPAN et les Ovnis », titre de ce sujet, il s’avère que l’activité essentielle de ce groupement d’Etudes consiste dans les faits en l’archivage de témoignages d’observations d’ovnis.
Or de ces témoignages, il en est (= les "PAN D2") dont la cause de ce qui a été observé résiste à toutes explications d’origine artificielle de facture humaine ou d’origine naturelle en l’état actuel de nos connaissances.
L’HET est alors la seule hypothèse à raisonnablement retenir lorsque l’on possède bien le dossier, et à partir du gisement testimonial à notre disposition, il est possible de s’intéresser fondamentalement aux « Comment ? » du phénomène ovni, c’est-à-dire aux aspects Sciences Physiques de l’engin "tôle et boulons" ainsi qu’à la Cosmologie permettant le voyage interstellaire, intragalactique.
Pour cela il est nécessaire :
1) d’avoir présent à l’esprit ce qu’est un paradigme, ensemble de croyances théoriquement et méthodologiquement interconnectées. Il permet la sélection, l’évaluation et la critique des idées qui sont à la base de notre compréhension du monde. La science académique travaille dans le cadre d’un paradigme donné parce que celui-ci s’est révélé efficace bien qu’il comporte des hypothèses sous-jacentes, non prouvées. Certaines de ces hypothèses peuvent n’être valables que localement, "Ici-Maintenant", et de manière approchée. De nouveaux faits observés peuvent les contredire quand on regarde au-delà des frontières du domaine où la validité de ces hypothèses avait été vérifiée. Ceci conduit à ce que Thomas Kuhn appelle une "crise" (cf. La structure des révolutions scientifiques, Flammarion) qu’il situe au moment où la communauté scientifique prend déjà assez largement conscience du fait que le paradigme antérieur ne suffit plus pour rendre compte des nouveaux faits observés.
Ceci implique un processus assez complexe et lent.
2) d’appliquer la rigueur de la méthode scientifique sans a priori pour développer des concepts novateurs en accord avec l’observation, car en Sciences Physiques la preuve tient de l’observation
Prenons, par exemple, le cas des travaux de Jean-Pierre Petit.
Son type de personnalité, le fonctionnement de sa psyché comporte, comme pour chacune et chacun d’entre-nous, des points forts et des faiblesses. Mais là n’est pas le sujet !
A mettre à l’actif de ses travaux, il est indubitable qu’ils ont extrait une quintessence de certaines des "lettres ummites" dont l’origine des auteurs est une énigme entière quoi qu’en puissent dire les uns ou les autres. De cette quintessence, il a su faire de la science de qualité.
On juge un arbre à ses fruits, même si leur goût ne flatte pas certaines papilles classiques.
Le mode de propulsion (intra-atmosphérique) par MHD-gaz à écoulement externe, qu’il a étudié avec certains de ses collaborateurs et doctorants, explique la très grande majorité des cas d’observations, des faits observés dans notre atmosphère dense.
Le Cosmos Gémellaire qu’il a en partie modélisé est bien plus opératoire que le modèle standard communément admis, élucidant les problèmes en suspens de celui-ci comblant ses lacunes … notamment, pardon pour ce jeu de mots, celles observées à très grande échelle (VLS).
Ce modèle cosmologique gémellaire offre également la possibilité du voyage interstellaire, via transfert hyperspatial entre notre univers observable et son "jumeau" (terme qui n’est pas exactement approprié, mathématiquement il s’agit de deux "feuillets conjugués") dans lequel les distances sont plus courtes et la vitesse de la lumière plus élevée. Pour nous restés dans notre univers observable, un engin qui se déplace dans le jumeau "semble" le faire à une vitesse superluminique. De plus une fois le transfert effectué, aucune énergie, aucune propulsion n’est nécessaire pour atteindre le but initialement fixé, que l’on atteint (dans notre univers observable) grâce à un transfert hyperspatial inverse.
Pour les trois raisons (ici seulement évoquées) le voyage interstellaire serait beaucoup plus simple (dès lors que l’on possède connaissances et technologies nécessaires) que nous le pensons ... puisque nous le croyons (quasi)impossible avec notre paradigme actuel.
Des systèmes planétaires distants, par exemple, de 10 ou 100 années-lumière, voire 1000, dans notre univers observable, pourraient être joints en quelques jours à quelques mois en utilisant ce transfert hyperspatial dans notre "univers jumeau" (les deux univers étant géométriquement imbriqués l’un dans l’autre).
Ce sont toutes ces idées qu’il serait avantageux de transmettre, diffuser, expliquer, vulgariser, et bien évidemment discuter avec des participants intéressés.
Concernant l’aspect "faire FOMEC" évoqué, c'est-à-dire celui consistant à éviter de se faire remarquer sur le terrain par la Forme, l'Ombre, le Mouvement, l'Eclat et la Couleur, ce que font naturellement les caméléons ou les pieuvres, par exemple, il s’agit de se confondre avec l’environnement … et là en l’occurrence avec, pourquoi pas, la présence d’éventuels plasmoïdes d’origine naturelle à Hessdalen.
Nous sommes là non plus totalement dans le domaine du "Comment ?", intéressant essentiellement les sciences physiques, mais dans celui du "Pourquoi ?" aux réponses philosophiques.
>>> Dans le cadre de l’HET pourquoi semblent-"ils" jouer à cache-cache, pourquoi n’entrent-"ils" pas en contact avec nous ?
Parce que nous ne sommes pas encore prêts à supporter le choc culturel que représenterait un contact officiel, au grand jour.
Tout le tissu, toute la structure de nos sociétés s’effondreraient.
Nos autorités, de quelque nature qu’elles soient, politique, militaire, judiciaire, policière, religieuse, sociale, économique, industrielle, financière, médicale, scientifique, enseignante, etc., et les équilibres précaires, qu’elles confèrent, ne seraient plus. Nous connaîtrions l’anarchie, l’écroulement de nos organisations, le chaos.
Nous plaçant dans l’hypothèse selon laquelle nous sommes visités par des exocivilisations ayant des connaissances et des technologies que nous n’avons pas encore, et qui maîtrisent le voyage interstellaire, il est aisé d’imaginer qu’elles disposent de moyens de défense, de dissuasion, d’attaque, de destruction en comparaison desquels nos plus puissantes armes à fusion de 100 mégatonnes font figure de "pétards du 14 juillet".
Si elles nous visitent, c’est qu’elles ne se sont pas autodétruites, ou entredétruites, témoignant d’un degré de sagesse, de rationalité, et de conscience collective que nous n’avons pas atteint, loin s’en faut, nos bulletins d’information nous en fournissant la preuve au quotidien.
Chez nous, les niveaux de développement entre régions du monde vont de la préhistoire à l’ère post-industrielle de l’information et de la "réalité virtuelle" : là des tribus avec chef et sorcier, ici des royaumes véritables survivances du moyen âge, ou encore des théocraties dont l’unique modernité consiste en la possession d’armes, etc., etc. ...
Ces exocivilisations nous visiteraient et nous observeraient en éthologues, interférant le moins possible avec nous, avec une ingérence minimale, tout en montrant de temps en temps le "bout de leur nez" stimulant nos performances intellectuelles avec un problème qui n'excède que de peu nos capacités, pour voir, tout en discréditant la véracité de leur possible existence dans notre environnement, fixant un équilibre avec un seuil de crédibilité au-delà duquel les prémices du déséquilibre évoqué seraient atteintes.
L’homéostasie naturelle de l’espèce humaine face au "Phénomène OVNI", c'est-à-dire la capacité à conserver l'équilibre de fonctionnement en dépit des contraintes extérieures, une fois encore naturelle, est notamment et aussi présente dans nos différentes sphères du savoir et du pouvoir.
Le processus assez complexe et lent d’un changement de paradigme (lire Thomas Kuhn : La structure des révolutions scientifiques , Flammarion) explique notamment ce que nous vivons depuis 1977 avec le GEPAN, puis le SEPRA, puis le GEIPAN … et les ovnis !
Cordialement,
Jean
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Sans en dévoiler le libellé, puisque "Message Privé", je réponds ici à votre MP.
Dès que les aspects technoscientifiques du phénomène ovni sont abordés, nous avons hélas droit à un rappel à l’ordre du type de celui ci-dessus (même si en l’occurrence il est ici courtoisement formulé).
C’est bien dommage et ne me stimule guère dans ma motivation à nourrir la rubrique " Les aspects scientifiques du "Phénomène OVNI" / Le puzzle du "Phénomène OVNI" " que le webmaster a créée à mon intention et à ma demande (Merci ).
Pour ce qui concerne « Le GEIPAN et les Ovnis », titre de ce sujet, il s’avère que l’activité essentielle de ce groupement d’Etudes consiste dans les faits en l’archivage de témoignages d’observations d’ovnis.
Or de ces témoignages, il en est (= les "PAN D2") dont la cause de ce qui a été observé résiste à toutes explications d’origine artificielle de facture humaine ou d’origine naturelle en l’état actuel de nos connaissances.
L’HET est alors la seule hypothèse à raisonnablement retenir lorsque l’on possède bien le dossier, et à partir du gisement testimonial à notre disposition, il est possible de s’intéresser fondamentalement aux « Comment ? » du phénomène ovni, c’est-à-dire aux aspects Sciences Physiques de l’engin "tôle et boulons" ainsi qu’à la Cosmologie permettant le voyage interstellaire, intragalactique.
Pour cela il est nécessaire :
1) d’avoir présent à l’esprit ce qu’est un paradigme, ensemble de croyances théoriquement et méthodologiquement interconnectées. Il permet la sélection, l’évaluation et la critique des idées qui sont à la base de notre compréhension du monde. La science académique travaille dans le cadre d’un paradigme donné parce que celui-ci s’est révélé efficace bien qu’il comporte des hypothèses sous-jacentes, non prouvées. Certaines de ces hypothèses peuvent n’être valables que localement, "Ici-Maintenant", et de manière approchée. De nouveaux faits observés peuvent les contredire quand on regarde au-delà des frontières du domaine où la validité de ces hypothèses avait été vérifiée. Ceci conduit à ce que Thomas Kuhn appelle une "crise" (cf. La structure des révolutions scientifiques, Flammarion) qu’il situe au moment où la communauté scientifique prend déjà assez largement conscience du fait que le paradigme antérieur ne suffit plus pour rendre compte des nouveaux faits observés.
Ceci implique un processus assez complexe et lent.
2) d’appliquer la rigueur de la méthode scientifique sans a priori pour développer des concepts novateurs en accord avec l’observation, car en Sciences Physiques la preuve tient de l’observation
Prenons, par exemple, le cas des travaux de Jean-Pierre Petit.
Son type de personnalité, le fonctionnement de sa psyché comporte, comme pour chacune et chacun d’entre-nous, des points forts et des faiblesses. Mais là n’est pas le sujet !
A mettre à l’actif de ses travaux, il est indubitable qu’ils ont extrait une quintessence de certaines des "lettres ummites" dont l’origine des auteurs est une énigme entière quoi qu’en puissent dire les uns ou les autres. De cette quintessence, il a su faire de la science de qualité.
On juge un arbre à ses fruits, même si leur goût ne flatte pas certaines papilles classiques.
Le mode de propulsion (intra-atmosphérique) par MHD-gaz à écoulement externe, qu’il a étudié avec certains de ses collaborateurs et doctorants, explique la très grande majorité des cas d’observations, des faits observés dans notre atmosphère dense.
Le Cosmos Gémellaire qu’il a en partie modélisé est bien plus opératoire que le modèle standard communément admis, élucidant les problèmes en suspens de celui-ci comblant ses lacunes … notamment, pardon pour ce jeu de mots, celles observées à très grande échelle (VLS).
Ce modèle cosmologique gémellaire offre également la possibilité du voyage interstellaire, via transfert hyperspatial entre notre univers observable et son "jumeau" (terme qui n’est pas exactement approprié, mathématiquement il s’agit de deux "feuillets conjugués") dans lequel les distances sont plus courtes et la vitesse de la lumière plus élevée. Pour nous restés dans notre univers observable, un engin qui se déplace dans le jumeau "semble" le faire à une vitesse superluminique. De plus une fois le transfert effectué, aucune énergie, aucune propulsion n’est nécessaire pour atteindre le but initialement fixé, que l’on atteint (dans notre univers observable) grâce à un transfert hyperspatial inverse.
Pour les trois raisons (ici seulement évoquées) le voyage interstellaire serait beaucoup plus simple (dès lors que l’on possède connaissances et technologies nécessaires) que nous le pensons ... puisque nous le croyons (quasi)impossible avec notre paradigme actuel.
Des systèmes planétaires distants, par exemple, de 10 ou 100 années-lumière, voire 1000, dans notre univers observable, pourraient être joints en quelques jours à quelques mois en utilisant ce transfert hyperspatial dans notre "univers jumeau" (les deux univers étant géométriquement imbriqués l’un dans l’autre).
Ce sont toutes ces idées qu’il serait avantageux de transmettre, diffuser, expliquer, vulgariser, et bien évidemment discuter avec des participants intéressés.
Concernant l’aspect "faire FOMEC" évoqué, c'est-à-dire celui consistant à éviter de se faire remarquer sur le terrain par la Forme, l'Ombre, le Mouvement, l'Eclat et la Couleur, ce que font naturellement les caméléons ou les pieuvres, par exemple, il s’agit de se confondre avec l’environnement … et là en l’occurrence avec, pourquoi pas, la présence d’éventuels plasmoïdes d’origine naturelle à Hessdalen.
Nous sommes là non plus totalement dans le domaine du "Comment ?", intéressant essentiellement les sciences physiques, mais dans celui du "Pourquoi ?" aux réponses philosophiques.
>>> Dans le cadre de l’HET pourquoi semblent-"ils" jouer à cache-cache, pourquoi n’entrent-"ils" pas en contact avec nous ?
Parce que nous ne sommes pas encore prêts à supporter le choc culturel que représenterait un contact officiel, au grand jour.
Tout le tissu, toute la structure de nos sociétés s’effondreraient.
Nos autorités, de quelque nature qu’elles soient, politique, militaire, judiciaire, policière, religieuse, sociale, économique, industrielle, financière, médicale, scientifique, enseignante, etc., et les équilibres précaires, qu’elles confèrent, ne seraient plus. Nous connaîtrions l’anarchie, l’écroulement de nos organisations, le chaos.
Nous plaçant dans l’hypothèse selon laquelle nous sommes visités par des exocivilisations ayant des connaissances et des technologies que nous n’avons pas encore, et qui maîtrisent le voyage interstellaire, il est aisé d’imaginer qu’elles disposent de moyens de défense, de dissuasion, d’attaque, de destruction en comparaison desquels nos plus puissantes armes à fusion de 100 mégatonnes font figure de "pétards du 14 juillet".
Si elles nous visitent, c’est qu’elles ne se sont pas autodétruites, ou entredétruites, témoignant d’un degré de sagesse, de rationalité, et de conscience collective que nous n’avons pas atteint, loin s’en faut, nos bulletins d’information nous en fournissant la preuve au quotidien.
Chez nous, les niveaux de développement entre régions du monde vont de la préhistoire à l’ère post-industrielle de l’information et de la "réalité virtuelle" : là des tribus avec chef et sorcier, ici des royaumes véritables survivances du moyen âge, ou encore des théocraties dont l’unique modernité consiste en la possession d’armes, etc., etc. ...
Ces exocivilisations nous visiteraient et nous observeraient en éthologues, interférant le moins possible avec nous, avec une ingérence minimale, tout en montrant de temps en temps le "bout de leur nez" stimulant nos performances intellectuelles avec un problème qui n'excède que de peu nos capacités, pour voir, tout en discréditant la véracité de leur possible existence dans notre environnement, fixant un équilibre avec un seuil de crédibilité au-delà duquel les prémices du déséquilibre évoqué seraient atteintes.
L’homéostasie naturelle de l’espèce humaine face au "Phénomène OVNI", c'est-à-dire la capacité à conserver l'équilibre de fonctionnement en dépit des contraintes extérieures, une fois encore naturelle, est notamment et aussi présente dans nos différentes sphères du savoir et du pouvoir.
Le processus assez complexe et lent d’un changement de paradigme (lire Thomas Kuhn : La structure des révolutions scientifiques , Flammarion) explique notamment ce que nous vivons depuis 1977 avec le GEPAN, puis le SEPRA, puis le GEIPAN … et les ovnis !
Cordialement,
Jean
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