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loupe Re: Jean-Pierre Sivan : « La vie extraterrestre est une évidence

Jeu 17 Déc 2009, 19:27
Suite 6 : "Signe" du temps et de l’énergie-matière

Inverser le temps équivaut à inverser l'énergie et la masse.
On peut dire que deux particules qui interagissent avec des flèches du temps inverses se repoussent, gravitationnellement.
Les grandeurs t et t* ne sont que des coordonnées, et rien d'autre.
Il ne s'agit que de l'inversion de la coordonnée temps, pas du temps propre.
Grâce aux travaux du mathématicien Jean-Marie Souriau (Structure des Systèmes Dynamiques, 1974, Dunod, page 198, équation 14.67) on sait qu'inversion de la coordonnée temps et inversion de la masse (et de l'énergie) sont des phénomènes conjoints.
[Nota : pour les spécialistes, l'inversion du temps résulte de l'action des "composantes antichrones du groupe de Poincaré". Quand à l'inversion de la masse et de l'énergie elle découle de l'action du groupe sur son espace des moments.]
Ainsi cheminer pendant un temps dans l’univers U* où la coordonnée temps t* est inverse de la nôtre" signifie simplement que pendant le temps où elle est dans le jumeau une masse M, devenue M*, contribue négativement au champ de gravité relativement aux particules restées dans son univers U d'origine, le nôtre observable.
Inverser le temps équivaut "simplement" à inverser l'énergie et la masse.

Si vous "mettiez les pieds" dans l’univers U*, votre montre ne tournerait pas à l’envers !
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loupe Re: Jean-Pierre Sivan : « La vie extraterrestre est une évidence

Jeu 17 Déc 2009, 19:29
Suite 7 : Que verrait-on dans U* ?

Tenez, justement, que verrions nous si nous "mettions" les pieds dans l’univers U* ?

La matière gémellaire m* s’y regroupe selon d'immenses conglomérats, rayonnant dans l'infrarouge et le rouge très sombre, structurés comme d'immenses, de gigantesques protoétoiles sphéroïdales, mais dont le temps de refroidissement excède ainsi l'âge de l'univers.

La vitesse d’agitation thermique de ces immenses, gigantesques protoétoiles crée une pression centrifuge telle qu’elles ne peuvent pas se contracter davantage pour augmenter leur température et attendre, à cœur, la température de fusion.
Donc pas de transmutation comme celle qui se produit dans le cœur des étoiles de notre univers observable U, et donc pas de planète, pas de vie dans U*, que de l’hydrogène* et de l’hélium* primitifs apparus après le "Twin Bang".

Repoussant notre propre matière, ces immenses conglomérats seraient responsables de la VLS, de la structure à très grande échelle de notre propre matière, lacunaire, agencée autour d'immenses bulles vides dont le diamètre caractéristique est de l'ordre de la centaine de millions d'années-lumière, et dont l'existence, en dehors de cette explication par le modèle gémellaire (simulations numériques) reste assez … inexplicable.
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loupe Re: Jean-Pierre Sivan : « La vie extraterrestre est une évidence

Jeu 17 Déc 2009, 19:31
Suite 8 : "U + U*"

Résumons d’une manière imagée les grandes structures de ce modèle gémellaire "U + U*", composée de matière m et de matière m* :
Jean-Pierre Sivan : « La vie extraterrestre est une évidence - Page 3 Fig10qo0
Dans l’univers inobservable U*, au centre d’immenses bulles se trouvent des conglomérats de masses m* gazeuses (hydrogène* et hélium*) rayonnant dans le rouge* et l’infrarouge* confinées par les galaxies de notre univers observable U, de matière m, situées dans les membranes des bulles sous l’action répulsive des conglomérats précités. Zoomons sur la connexion des membranes de 3 bulles :
Jean-Pierre Sivan : « La vie extraterrestre est une évidence - Page 3 Fig11oz4
Zoomons maintenant sur une galaxie. Chaque point blanc représente une unité de densité, dans la galaxie de matière m et dans l’environnement inobservable de matière m*. Cette image d’une galaxie vue par la tranche entourée de son environnement de matière m* répulsive, est le résultat de calculs analytiques suivant une méthode mathématique apte à gérer des configurations présentant une symétrie axiale:
Jean-Pierre Sivan : « La vie extraterrestre est une évidence - Page 3 Fig12ak0
Ceci se produisant dans 2 univers imbriqués l’un dans l’autre, mutuellement inobservable, ne communiquant que par la gravité :
Jean-Pierre Sivan : « La vie extraterrestre est une évidence - Page 3 Fig13qt2
Sur la figure suivante est représentée l’action répulsive de la matière m* sur la galaxie qu’elle confine, la galaxie repoussant, elle, la masse m* suivant un ellipsoïde de révolution :
Jean-Pierre Sivan : « La vie extraterrestre est une évidence - Page 3 Fig14ic3
En ''2D'' avec deux galaxies nous obtenons schématiquement (les échelles entre diamètres galactiques et distance intergalactique n’étant ici pas respectées) :
Jean-Pierre Sivan : « La vie extraterrestre est une évidence - Page 3 Fig15jt0
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loupe Re: Jean-Pierre Sivan : « La vie extraterrestre est une évidence

Jeu 17 Déc 2009, 19:34
Suite 9 : "Newton", "Einstein", "Sakharov-Petit"

On comprend dès lors comment l’équation de champ d’Einstein, S = χT, peut rendre compte de certains phénomènes locaux importants là où la concentration de matière m est conséquente, mais engendre les anomalies et les lacunes du Modèle Cosmologique Standard ... et Dieu sait si il y en a !
Celles et ceux qui sont tentés d’en savoir plus liront avantageusement le bouquin suivant, présentation vulgarisée des travaux d'astrophysique et de cosmologie de l’auteur :

- Titre : On a perdu la moitié de l'univers
- Auteur : Jean-Pierre Petit
- Editions : Albin Michel (on le trouve aussi en livre de poche chez Hachette Littératures)

De la même manière que "Newton" est un cas particulier de "Einstein" qui le contient, "Einstein" est un cas particulier de "Sakharov-Petit" qui le contient :
Localement, près d’une concentration de masse de matière m (notre Soleil, notre Galaxie, par exemple), qui a chassé la matière m*, puisque m et m* se repoussent, "Einstein" fonctionne.
Mais plus on s’éloigne de cette concentration (les sondes Pioneer 10 et 11, par exemple, qui s’éloignent du Soleil et sortent du système solaire) plus les anomalies apparaissent, car plus la masse m* se fait présente dans F* ainsi que son action, et plus le Modèle Cosmologique Standard présente de lacunes et se trouve en difficulté nécessitant des ajustements ad hoc (l'inflation en est un). Mais même avec cette "méthode" il se trouve ne pas pouvoir expliquer certains phénomènes.

Le Modèle Cosmologique Gémellaire est lui opératoire (explique les anomalies non élucidées du Modèle Standard) et prédictif (par exemple fournit le seul modèle aujourd’hui valide du quasar) avec son système d’équations conjuguées :
S = χ (T-T*)
S* = χ (T*-T)
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loupe Re: Jean-Pierre Sivan : « La vie extraterrestre est une évidence

Jeu 17 Déc 2009, 19:37
Suite 10 : HET et voyage interstellaire

Voici un long post que je n’ai volontairement pas scindé car je pense que les participants à ce forum seront intéressés à le lire tel quel … puisqu’il comporte une possible explication au voyage interstellaire communément impossible !
(j’en ferai peut-être l’"edit" pour le compléter par des crobards … le temps me manquant dans l’instant)
Munis des éléments contenus dans les posts ci-dessus, plaçons-nous donc dans l’hypothèse selon laquelle nous serions visités par des exocivilisations ayant des connaissances et des technologies que nous n’avons pas encore et qui maîtriseraient le voyage interstellaire.
Cela heurte notre "conception des choses", notamment concernant la vitesse du véhicule qui, s’il évolue réellement dans notre hypersurface d’univers observable, devra à tout instant se déplacer à une vitesse inférieure à la valeur locale de c, dans l’espace et dans le temps, avec des distances … astronomiques à franchir. Les passagers de ces engins, puisque de nombreux témoignages attestent d’observations d’"ufonautes" au côté de leur vaisseau, accepteraient-ils de rester enfermés tels des cornichons dans leur bocal, ou des gambas surgelées dans leur boîte, pendant des dizaines, ou des centaines, ou des milliers d’années que durerait leur voyage aller-retour, avec, dilatation du temps de la Relativité Restreinte (RR) oblige et si ils fonctionnent comme nous, l’évolution de leur "chez-moi" ou la disparition de leurs proches constatée au retour ?

Qu’avons-nous appris au cours de nos études, qu’avons-nous ancré en nous au sujet de c, vitesse de la lumière ?

L'expérience d'interférométrie de Michelson-Morley montra que "l’éther" n’existe pas et que la vitesse de la lumière dans le vide a toujours la même valeur, dans toutes les directions.
Puis via la "transformation de Lorentz", elle fut intégrée par la suite à la théorie de la RR qui traite du déplacement d’un mobile dans l’espace-temps en l’absence théorique de champ, c’est-à-dire à vitesse constante … et donc dans un univers vide de tout (donc rien, même pas la Terre, rien de rien) sauf le mobile en question !
De plus le doute scientifique nous autorise à exprimer : oui, mais l'expérience de Michelson-Morley a été réalisée dans l’espace-temps "ici-maintenant". Quid de "ailleurs-pas maintenant" ?
Attachons-nous ensuite à découvrir où dans la Relativité Générale (RG) cette fois-ci, théorie qui traite de notre espace-temps quadridimensionnel en présence de champ, et donc d’énergie-matière, apparaît la nécessité absolue de la constance de c ?
L’équation fondamentale de la RG, l’équation de champ d’Einstein, s’écrit : S = χT , qui signifie que localement la géométrie de l'espace-temps représentée par le tenseur d'Einstein "S" est conditionnée par l'énergie localement présente (sous toutes ses formes) représentée par le tenseur "T".
Entre les deux, χ est une constante dite de couplage, d’ajustement.
Pour développer sa théorie, Einstein calcula la valeur (en m/kg) de cette constante de couplage.
Le résultat : χ = -8 π G /c²
(G étant appelé – bis repetita placent – la "constante universelle de gravitation" et π étant la lettre grecque dont la valeur est 3,14….)
Le facteur numérique -8 π étant constant, on voit donc que c’est le rapport G/c² qui doit être constant, mais cela n’implique nullement la constance de G et la constance de c dans le temps et l’espace comme cela est communément admis de manière … arbitraire !

==> Nous pouvons retenir que le statut de "constante universelle" de c n’a pas de fondement scientifique : c n’est pas forcément une constante "partout-toujours" !

L’un des piliers "béton" de nos culture et conception apparaît singulièrement fissuré !

A l’époque des développements de la RG, le mathématicien et astrophysicien Edward Arthur Milne émit une protestation en disant : « Vous concluez trop vite, vous étendez à l’ensemble du cosmos des lois que vous avez établies localement. Gardez bien en tête que tout ce que vous imaginez à si grande distance n’est qu’une simple construction mentale. »
Il faut également se souvenir qu’avant les découvertes de Edwin Hubble, l’univers connu était circonscrit à notre Galaxie.
Voyons maintenant qu’en est-il du Modèle Cosmologique Standard (MCS), issu de la relativité, censé fournir une explication et une description générale de la structure géométrique de l’univers … observable avec nos yeux et nos instruments d’observation actuels ?
Dans les grandes lignes ce MCS semble satisfaisant, sauf que lorsqu’on y regarde de plus prés, on trouve un certain nombre de problèmes, d’anomalies, que ce modèle n’élucide pas … à un point tel que ses tenants les éludent dans bien des cas.
Quelques exemples :
- le MCS ne dispose d'aucun modèle théorique de galaxie, ne "sait" ni comment ces objets se forment, pourquoi ils ont telle masse et non telle autre, ni comment ils évoluent. La forme de la courbe de rotation des galaxies, qui présente une forte vitesse périphérique, reste un mystère. Par exemple, les étoiles de la périphérie de notre Galaxie – le Soleil en est une – auraient dû depuis longtemps être centrifugées avec la vingtaine de rotations effectuées par la Voie Lactée depuis sa naissance.
- Les théories de la structure spirale galactique, uniquement basées sur des simulations numériques, restent très contestables car ad hoc dans ce MCS
- Dans le MCS, il existe un désaccord considérable entre les mesures de masse et les champs de vitesse mesurés (phénomène de masse manquante)
- Même dissonance concernant les amas de galaxies.
- Il existe de nombreuses galaxies très irrégulières non expliquées par ce MCS.
- Au plan de la cosmologie standard, il existe un certain désaccord entre l'âge de l'univers, estimé à partir des plus vieilles étoiles de notre Galaxie et à partir de mesures sur l'expansion (loi de Hubble, constante de Hubble).
- le MCS ne sait pas expliquer la structure à grande échelle (VLS), lacunaire, de l'univers, les galaxies se distribuant autour d'immenses vides (à l’image de bulles de savon jointives)
- On a mis en évidence de nombreux couples de galaxies qui violent la loi de Hubble (la plus proche possède un red shift supérieur à celui de la seconde, située sur l'arrière plan). Le MCS ne l’explique pas.
- On a découvert des sources à très fort red shift, dont la taille n'excède pas celle du système solaire et qui émettent autant d'énergie qu'une galaxie toute entière (quasar ou QSO). Source d'énergie inconnue. Des astronomes pensent que ces sources sont des noyaux de "galaxies actives" (galaxies de Seyfert). Mais quand on leur demande la définition d'une "galaxie active", dont le noyau semble en état d'explosion, ils répondent "qu'elle héberge un quasar en son centre".
- A raison d'un par jour, en moyenne, les astronomes enregistrent des flashes gamma. Mécanisme, distance et nature de l'émetteur : inconnus pour le MCS.
- Les effets de mirage gravitationnel, liés aux galaxies et aux amas de galaxies, ne correspondent pas aux masses des dits objets.
- Le MCS prévoit le trou noir, solution de l'équation de champ S = 0, mais également solution où la RG cesse d'être applicable !
Singulier paradoxe, dont on peut dire que ce qui milite contre le modèle, c'est la rareté des candidats trous noirs : aucun détecté depuis quarante ans de recherche, malgré tout ce qu’il s’en dit, s’en écrit, s’en dessine et s’en réalise d’animations virtuelles générées par synthèse numérique.
- Autre anomalie non expliquée par le MCS : l’accélération radiale négative (ralentissement) subie par les 3 sondes Pioneer 10, Pioneer 11 et Ulysse dans leurs mouvements d’éloignement du système solaire.
- etc., etc.

Il peut donc apparaître intéressant de regarder du côté du Modèle Cosmologique Multifeuillet (MCM) d’Andreï Sakharov pour lequel l’absence avérée d’antimatière dans notre univers observable l’incita, en 1967, à proposer sa théorie ensuite développée notamment par Jean-Pierre Petit.
- L’univers est composé de 2 feuillets jumeaux, notre feuillet F constituant l’univers observable U, et son "conjugué" F* constituant l’univers U* qui nous est inobservabl .
Ces feuillets sont conjugués (via une Variété squelette pour les matheux), avec une correspondance point par point et ces points conjugués peuvent être décrits par les mêmes coordonnées
- Appelons m la matière de F (donc la nôtre), et m* celle de F* : m attire m selon la loi de Newton, m* attire aussi m* selon la loi de Newton, mais m et m* se repoussent selon la loi de "anti-Newton"
- Les photons de l’un ne peuvent pas aller dans l’autre (la géodésique d’un photon appartenant à son feuillet, mais celle-ci subissant l’action gravitationnelle du feuillet conjugué. Le fait que les deux feuillets forment un ensemble disjoint, non-connexe, interdit à tout photon d'un feuillet de passer dans l'autre). Donc de notre univers observable F on ne peut recevoir de rayonnement électromagnétique de l’autre F*, et inversement.
Les 2 feuillets ne communiquent que par la gravitation, la matière de l’un repoussant la matière de l’autre : l'existence du feuillet conjugué F* ne se révèle à nous qu'à travers l'action sur le champ de gravitation.
- Les 2 feuillets sont CPT symétriques
- Les métriques conjuguées se déduisent du système d'équations :
S = χ (T-T*)
S* = χ (T*-T)

Nota : Le modèle n'est évidemment pas en contradiction avec les tests de la RG. En effet, comme la matière m et la matière gémellaire m* se repoussent, là où il y a une concentration de matière (par exemple une étoile), dans la portion adjacente, conjuguée du feuillet F*, règne un vide poussé : la matière m y a "fait le ménage" en repoussant les masses m* au loin. Dans le voisinage du Soleil le tenseur T* (de la matière m*) est donc négligeable devant T (de la matière m) et l'équation de champ local devient S = χ T , c'est à dire l'équation d'Einstein, qui se présente alors comme une forme approchée du système d’équations "gémellaires", mais plus un objet s’éloigne du Soleil (Pioneer 10, Pioneer 11, Ulysse, par exemple), plus le tenseur T* augmente … explication du ralentissement constaté
- La densité d*, de la matière m*, serait de l’ordre de 64 fois celle de la densité d de notre matière m.
- L'étude de l’évolution des géométries conjointes des deux feuillets, indique une vitesse moyenne d'agitation thermique, V*th, dans le feuillet F*, quatre fois plus élevée que dans le nôtre F.
- Notre feuillet F, entropique, est en expansion accélérée. Sa température de fond de rayonnement à 2,7°K est en diminution.
- Le feuillet conjugué F*, néguentropique – son temps "rétrochrone" du nôtre – , est en expansion décélérée. Sa température de fond de rayonnement est de l’ordre de la cinquantaine de °K.
- Entre couple de points conjugués (A ;B) et (A* ;B*), la distance D* dans le feuillet F* est plus courte que la distance D dans notre feuillet F, d’un facteur d’environ 4 (4 étant la racine cubique de 64)
- La matière gémellaire m* se regrouperait selon d'immenses conglomérats, rayonnant dans l'infrarouge* et le rouge sombre*, structurés comme d'immenses protoétoiles sphéroïdales, mais dont le temps de refroidissement excéderait alors l'âge de l'univers. Ces conglomérats fonctionneraient comme de gigantesques protoétoiles qui ne se seraient jamais allumées (pas de réaction de fusion). Repoussant notre propre matière, ils seraient responsables de la VLS, de la structure à très grande échelle de notre propre matière, lacunaire, agencée autour d'immenses bulles vides dont le diamètre caractéristique est de l'ordre de la centaine de millions d'années-lumière (une récemment découverte … avec un diamètre du milliard d’al … !!!), et dont l'existence, en dehors de cette explication par le modèle gémellaire (simulations numériques) reste assez … inexplicable.
- La vitesse de la lumière c* dans le feuillet F* pourrait être de l’ordre de 50 fois la nôtre c (15 millions de km/s)
-etc.

Le modèle cosmologique issu de cette théorie explique les points que le MCS n’élucide pas, et en outre exclut le "trou noir", objet mathématique corollaire d’un mauvais choix de coordonnées aboutissant à une singularité.
Le contexte gémellaire change totalement le scénario de l'étoile à neutrons déstabilisée qui s’effondre, qui collapse.
Dans le MCS, quand une étoile à neutrons grossit, alimentée en matière extérieure, elle atteint une masse critique d’environ 2,5 fois la masse du Soleil, sa pression à coeur devient trop forte. Les neutrons ne peuvent plus se supporter. Alors, atteignant le rayon de Schwarzschild, elle est censée s'effondrer sur elle-même sans qu'aucun phénomène physique connu puisse être invoqué pour contrarier cet effondrement, ce "collapse gravitationnel" aboutissant au trou noir selon le MCS.
Mais il est une chose peu connue, y compris des spécialistes de cosmologie, alors que c'est un travail qui date des années 1940 : il existe une autre criticité qui se manifeste juste avant que le rayon de l'étoile n'atteigne la valeur de Schwarzschild. C'est une valeur très proche puisqu'elle n'est que de 5% inférieure. Lorsque le rayon de l'étoile l'atteint, la pression s’envole au centre de l'étoile, en vertu du modèle "TOV" construit par Tolman, Oppenheimer et Volkov (c'est l'Oppenheimer de la bombe US).
Dans le modèle gémellaire, cette montée vertigineuse en pression crée au coeur de l'étoile à neutrons un "pont hypertorique" entre les feuillets F et F*.

Que se passe-t-il alors ?

1er scénario : une étoile à neutrons reçoit un afflux de matière en provenance d'une étoile compagne (par vent stellaire), ce qui lui fait atteindre deux masses solaires, masse qui fait s'envoler la pression à cœur. Un pont hyperspatial s'ouvre alors en son centre, par lequel cette matière en excès est évacuée. Lorsqu'elle se retrouve dans le feuillet jumeau F*, sa masse m s'inverse en m*, elle se disperse, repoussée vigoureusement par l'étoile à neutron, dont l'action s'y fait sentir comme un objet répulsif. L'évacuation via le passage hypertorique s'effectue à vitesse relativiste et l'importance de cette structure (la surface de la sphère de gorge au centre de l’hypertore) dépend du débit à assurer. Si l'apport est continu, le pont hypertorique se comporte comme un "trop plein" fonctionnant en permanence et assurant un débit de fuite.

2nd scénario plus violent : Fusion de deux étoiles à neutrons. Le processus est alors beaucoup plus violent. Le pont hypertorique se crée et croît très rapidement, à vitesse relativiste, en avalant une bonne partie de la masse. Tout ceci avec émission d'ondes gravitationnelles et "sursaut gamma".
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loupe Re: Jean-Pierre Sivan : « La vie extraterrestre est une évidence

Jeu 17 Déc 2009, 19:39
Suite 11 : HET et voyage interstellaire

La structure d’espace-temps gémellaire, avec régions conjuguées, et la topologie hypertorique permettent d’envisager des transferts de feuillet F à feuillet conjugué F*, sans altération (car pas de singularité, dite "trou noir", de l’espace-temps) des portions intéressées, via géodésiques passant par la sphère de gorge (exemple du collapse d’une étoile à neutrons, qui en plus permet d’expliquer les flashes gamma dont la fréquence de détection est en moyenne quotidienne !)
L’équation de champ S = χ T permet de comprendre que si l’on augmente localement la partie droite tenseur T d’énergie, on augmente la partie gauche tenseur S de géométrie locale : la courbure de l’espace local augmente alors que la pression augmente jusqu’à atteindre la valeur critique du modèle TOV.
Imaginons qu’une "exocivilisation" possède la technologie permettant de reproduire artificiellement ce transfert hyperspatial. Comment ces "voyageurs" pourraient-ils opérer ?
Si les constantes de la physique (on a vu ce qu’il en est de la "constante universelle c") sont fortement modifiées par une forte augmentation de pression (qui est une densité d'énergie), ils ont dû chercher comment exploiter localement cette augmentation de densité d'énergie. Les atomes, les molécules, possèdent des états métastables. Un système métastable n’est pas stable en théorie, mais pendant un instant il paraît l’être en raison d’une vitesse de transformation très faible. L'hélium, par exemple, a un état métastable bien connu. Si on fournit de l'énergie à l'hélium, celle-ci peut être stockée de cette manière.
Imaginons un engin spatial, aux alentours de la Terre, qui émet une "coquille" de gaz : des grasers (Gamma Ray Laser) émettent alors une impulsion forte de rayons gamma qui sont absorbés par les noyaux du gaz. Si le niveau d'excitation est métastable, les noyaux ne peuvent pas dissiper cette énergie et l’état de criticité est atteint.
De minuscules ponts spatiaux se forment et fusionnent ensemble le long d'une surface fermée entourant l’engin de volume v.
Le contenu du volume v et le contenu du volume v* conjugué de l'espace jumeau sont échangés.
Ce volume raréfié est ensuite rapidement comblé par des molécules d'air.
Pour les passagers, la Terre a disparu (les photons ne peuvent pas voyager d'un feuillet à l'autre, pour les raisons géométriques déjà évoquées).
>>> Pour les observateurs terrestres, l’engin spatial n’est plus observable et semble s’être « dématérialisé ».
Le transfert dans l'univers jumeau change "la masse apparente" (m est changé en m*). Alors, qu’arrive-t-il à l’engin après son transfert dans l'univers jumeau ?
Au lieu d’être attiré par le champ de gravité terrestre, l’engin est repoussé par "la Terre invisible". Si le transfert hyperspatial est fait de nouveau, mais en sens inverse, l’engin réapparaît, soumis à nouveau à la gravitation terrestre. L'alternance rapide de transferts hyperspatiaux produirait un "effet d'apesanteur" ou "d'antigravitation" suite aux deux mouvements (attraction dans notre feuillet F et répulsion quand l’engin est dans le feuillet jumeau F*).
En outre, ce changement rapide du signe de la masse apparente produira des ondes gravitationnelles. Les "exopassagers" pourraient ainsi communiquer avec des ondes gravitationnelles simplement produites par une masse soumise à un transfert hyperspatial local oscillant … ce qui pourrait expliquer l’insuccès du programme SETI .
Ainsi, et pour résumer, les avantages sont-ils triples pour les voyages interstellaires :
- la distance entre 2 couples de points conjugués ( A ; B ) et ( A* ; B* ) n’est pas la même dans F et F* . Elle est plus courte dans F* d’un facteur d’environ 4
- les calculs induisent que la vitesse de la lumière c* , dans le feuillet F*, est plus élevée que c (d’un facteur pouvant atteindre 50)
- aucune propulsion n’est nécessaire pour accélérer : à toute masse au repos, m, est associée sa longueur de Compton, L , telle que : L = h / mc
Une particule, un proton par exemple, de l’engin transféré dans un univers "plus petit" subirait un "effet Gulliver" et apparaîtrait aux protons* (des noyaux d’hydrogène* ou d’hélium*), appartenant au feuillet jumeau F*, avec une longueur d’onde augmentée et une fréquence diminuée.
Cette diminution de fréquence correspondrait à une perte d’énergie qui ne peut pas être en raison d’une loi de l’espace-temps : la loi de conservation de l’énergie-matière, également inscrite dans l’équation de champ d’Einstein.
Il faut donc que la particule transférée se matérialise dans le feuillet F* avec une longueur d’onde diminuée, c'est-à-dire avec une fréquence augmentée, c'est-à-dire avec une vitesse relative augmentée.
Et les passagers n’en sont nullement incommodés, leurs particules subissant le même traitement … idem que l’occupant d’un ascenseur en chute libre dans le champ de gravitation terrestre.

Ainsi pour compenser un ratio de 4 entre les longueurs de Compton L et L*, la particule acquiert-elle 96,85% de la vitesse de la lumière c* dans le feuillet F* … soit, pour fixer les idées, environ 14,5 millions de km à la seconde, avec des distances 4 fois plus courtes à franchir !

Un engin transféré dans le feuillet jumeau F* y apparaîtrait donc avec une vitesse relativiste (14,5 millions km/s) par rapport à notre limite c (300 000 km/s), subissant une accélération sans propulseur.

Un tel engin exploiterait tout simplement l’énergie mutuelle des 2 feuillets F et F*.

Pour les 3 raisons indiquées, la durée du voyage interstellaire serait phénoménalement plus courte que nous le croyons..
Des systèmes planétaires distants de quelques dizaines ou quelques centaines d’années-lumière, dans notre univers observable U, pourraient être joints en quelques semaines à quelques mois en utilisant ce transfert hyperspatial dans notre univers jumeau U*.

Quant aux déplacements dans l’atmosphère terrestre, le système de propulsion peut par exemple faire appel au principe Magnétohydrodynamique (MHD-PEMP gaz à écoulement externe), avec annihilation des ondes de choc et donc du bang supersonique.
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loupe Re: Jean-Pierre Sivan : « La vie extraterrestre est une évidence

Jeu 17 Déc 2009, 19:42
Suite 12 : Virage à 90° et demi-tour

Lors du transfert hyperspatial, il est nécessaire d’aligner les spins des particules – comme nous commençons à savoir le faire notamment pour l’IRM (Imagerie par Résonance Magnétique) – sinon chacune d’entre elles se dirigerait dans le nouveau feuillet suivant sa direction de spin … l’engin et ses occupants se disloqueraient, exploseraient.
La direction de cet alignement détermine la direction du déplacement de l’ensemble transféré dans le nouveau feuillet.

==> Il est donc possible d’effectuer 2 transferts successifs ( U >>> U* puis U* >>> U), le tout perçu comme instantané (persistance rétinienne et temps de réponse de l’instrument de détection/mesure), en prédéterminant l’alignement des spins de telle manière que l’engin et ses occupants effectuent dans notre univers observable U un changement de direction à 90° ou à 180° sans décélération apparente.
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loupe Re: Jean-Pierre Sivan : « La vie extraterrestre est une évidence

Jeu 17 Déc 2009, 19:47
Suite 13 : Libellule, thixotropie et MHD-PEMP

Certains témoignages d’observations mentionnent des ufonautes aux côtés de leur engin au sol, lesquels après l’avoir réintégré décollent lentement puis atteignent une vitesse de fuite avec une accélération telle (40 à 50 g, corroborée par des observations radar) que les organes d’un être vivant complexe ne peuvent "théoriquement" pas supporter.
Or lorsque l’on étudie ces déplacements, on constate de fortes accélérations par impulsions d’une durée de la milliseconde (PEMP = Propulsion ElectroMagnétique Pulsée). Ce mode impulsionnel couplé à l’utilisation d’un environnement antithixotropique – l’inverse du phénomène entrant en jeu pour les sables mouvants – dans la cabine de pilotage ou la combinaison anti-g revêtue par les passagers vont dans le sens de la tolérance, de la résistance aux contraintes physiologiques subies lors de ces fortes accélérations.

Depuis plusieurs années maintenant nos labos de recherches – notamment militaires – travaillent sur ces accélérations par impulsions couplées à l’utilisation de combinaisons anti-g s’inspirant de l’anatomie et de la physiologie de la libellule.
Lors de son vol saccadé, la libellule encaisse de manière naturelle 30g grâce à son sang qui coule librement dans tout son corps. Un sang remué en permanence par un cœur en forme de tube, qui flotte dans le liquide avec les autres organes. Et c’est ce "rembourrage" liquide qui rend la libellule capable d’acrobaties aériennes largement hors de portée de tout engin piloté conçu par l’homme.

Les combinaisons sur lesquelles s’axent ces recherches comportent un système antithixotropique, permettant de faire varier la viscosité d'un produit en fonction de la force d'accélération à laquelle est soumis le pilote ou passager.
En outre ces fortes accélérations engendrent la naissance de trains d'ondes acoustiques pouvant entraîner la rupture de la structure de l’engin par phénomène de résonance.

C'est une des raisons pour laquelle cette "coque" doit probablement être réalisée en un "matériau intelligent", truffé, notamment mais pas que, de minuscules canaux en réseau emplis d'un produit à la viscosité variable permettant de modifier automatiquement la valeur locale de l'impédance acoustique du matériau, de son module d'Young, etc. (il y a tant de notions à vulgariser pour ceux réellement intéressés par le phénomène ovni !).
La "carrosserie" des ovnis possède probablement une structure d'une complexité comparable à celle de notre derme, de notre peau.
Ainsi sont stoppés, dès détection, les trains d'ondes qui pourraient provoquer une rupture.
Toute notre technologie contemporaine converge vers des solutions de ce genre qui, lorsque ces techniques seront maîtrisées, envahiront immédiatement tout le monde aéronautique. En effet, ce qui dimensionne les structures des avions ne sont pas tant les charges statiques mais la résistance à la fatigue liée aux effets aéroélastiques. Ce qui "use" les avions ne sont pas tant les contraintes liées au vol lui-même mais le fait que les appareils "battent des ailes", même faiblement, et les effets de fatigue liés au ... roulage au sol. Un matériau "intelligent" réagira activement contre les contraintes alternées, génératrices de fatigue.

Nous découvrons peu à peu cette technologie des matériaux "intelligents", par exemple magnéto-rhéostatiques ou électro-rhéostatiques.

Ci-dessous, image d’un tel matériau, dont la viscosité varie quasi-instantanément, passant de l’état solide à celui de liquide et inversement, développé dans les laboratoires du Michigan Institute of Technology :
Jean-Pierre Sivan : « La vie extraterrestre est une évidence - Page 3 Smartmaterialsjh6

Nous voyons ainsi qu’il est également possible de faire varier la forme d’un objet.

Vous constatez, Althea et Fox1977, que ces 13 posts fourmillent de quelques idées sur le comment est-ce possible ! Wink

Cordialement,

Jean
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loupe Re: Jean-Pierre Sivan : « La vie extraterrestre est une évidence

Ven 18 Déc 2009, 01:43
Merci Jean pour ce long exposé très intéressant, bien que complexe...
En effet, j'ai compris dans les grandes lignes le "comment est-ce possible"...
Pourquoi donc les scientifiques ne veulent-ils pas reconnaître que théoriquement c'est envisageable ?
Tu sembles être plongé dans un milieu scientifique (car si les sciences ne sont qu'un hobbie, on peut dire que tu t'y plonges à fond, car tes connaissances scientifiques sont très avancées, ce qui me laisse penser que tu es toi-même un scientifique). Si tu côtoies des scientifiques, peux-tu m'expliquer cette réaction épidermique de rejet absolu lorsqu'on leur parle de l'éventualité de visiteurs extraterrestres ?
Scientifiquement, c'est quelque chose qui devrait les passionner...
Est-ce parce que ça risquerait de mettre par terre pas mal de leur travail ?
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loupe Re: Jean-Pierre Sivan : « La vie extraterrestre est une évidence

Ven 18 Déc 2009, 11:56
Bonjour à tous,


Merci Jean, ce fut pour moi aussi très intéressant et plus clair que ce que j'ai pu lire auparavant.oui
Cordialement.

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loupe Re: Jean-Pierre Sivan : « La vie extraterrestre est une évidence

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