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Re: Et si le temps n'existait pas ?
Jeu 04 Nov 2010, 19:44
Bonsoir,
Moi je dirais juste ceci :
Si le temps n'existait pas, je ne rentrerais pas du travail à point d'heure et stressé.
PS : Ceci dit, le sujet est néanmoins intéressant
Moi je dirais juste ceci :
Si le temps n'existait pas, je ne rentrerais pas du travail à point d'heure et stressé.
PS : Ceci dit, le sujet est néanmoins intéressant
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Cordialement,
Patrice D.
- K.LPassionné
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Re: Et si le temps n'existait pas ?
Dim 07 Nov 2010, 22:13
il me reste juste le temps de vous faire découvrir (si vous ne connaissez pas déjà) cette magnifique musique qui ..... vous verrez bien ce que ca vous fait
http://www.wat.tv/audio/temps-qui-reste-hjmx_2fgqp_.html
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- Jean-BaptisteEquipe du forum
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Re: Et si le temps n'existait pas ?
Lun 15 Nov 2010, 00:44
Le temps n'est que la manière pour nous être humain de décrire quelque chose qui s'écoule et qui nous échappe. Que l'on soit érudit ou simple plouc l'interprétation qu'on en fait et notamment toutes les choses farfelues que nous imaginons, ne sont selon moi que foutaises. Nous ne sommes que des êtres humains pensant à tort être le centre de l'univers et surtout pensant à tort savoir tout de tout. On s'agite, on étudie, on trouve de belles théories (pour la plupart invérifiables) et on se targue de comprendre. Personnellement je pense que nous ne sommes nulle part. Nous faisons partie d'un univers (nous le nommons comme tel) dont nous ne savons rien. Notre nombrilisme nous fait penser que nous sommes évoluer mais..... Ils y en a qui doivent bien se "marrer" à nous observer !!!!
- nomade27Equipe du forum
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Re: Et si le temps n'existait pas ?
Mer 17 Nov 2010, 00:30
Beaucoup de choses sont subjectives et nos sens sont souvent aussi abusés le rythme du sommeil par exemple peut être induit en erreur par le fait d'être isolé, les expériences faites par des spéléologues qui perdaient leurs repères du jour et de la nuit, raccourcissaient progressivement leur rythme de veille et de sommeil. Puis nous savons tous que nos sens peuvent être ressentis bien différemment de leur réalité, l'œil par exemple inverse l'image sur la rétine et c'est le cerveau qui redressera l'image. L'inégalité de perception d'une oreille animal et humaine au niveau des infra-sons et des ultra-sons est énorme. Idem pour le spectre visuel. Quand nous observons le ciel nous savons aujourd'hui que beaucoup des étoiles scintillantes que nous observons ont disparu il y a des milliers d'années pourtant nous affirmons leur réalité"visuelle" car notre perception n'est pas adaptée aux années lumières. Donc soyons modestes dans notre interprétation des PAN tout est possible mais n'affirmons rien de ce que nous ne connaissons pas encore... Une vision dans le ciel est-elle dans le temps présent ou une rémanence... Même si je suis porté à croire que c'est palpable, je dois approfondir et déterminer ce que je vois avec le plus de moyens possible pour prouver cette réalité je crois que pour avancer faut passer par là pour ne pas passer pour des zozos...
- MNSNouveau membre
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Re: Et si le temps n'existait pas ?
Jeu 16 Déc 2010, 12:20
Pierre31 (Jeu 04 Nov 2010, 12:14) a écrit:En physique, le temps n'est pas une force mais une quantité qui permet de décrire des changements d'état dans un système physique et d'ordonner ces changements. Il se mesure ou se compare en utilisant des phénomènes physiques choisis plus ou moins arbitrairement. Par exemple une durée peut être mesurée en nombre d'aller-retour d'un pendule (phénomène pèriodique). Le temps selon Newton s'écoulait partout dans l'univers à la même vitesse. Ce n'est plus vrai avec Einstein, ou la rapidité d'écoulement peut varier selon les circonstances (l'état de mouvement d'un corps ou la présence d'un champ gravitationnel). Dans les équations de la relativité restreinte, le temps, ou plutôt la quantité c*t (c= vitesse de la lumière) a le même statut que les dimensions d'espace x,y,z (ce n'est pas une quantité traitée à part). C'est à dire qu'à la limite on pourrait faire un raccourci en disant " le temps c'est de l'espace".
C'est en clair ce que je voulais expliquer en haut de maniére plus terre a terre . C'est exactement ce que j'en pense , merci pour cette contribution .
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- nomade27Equipe du forum
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Re: Et si le temps n'existait pas ?
Jeu 16 Déc 2010, 14:41
sur le temps, JP Petit évoque aussi un monde jumeau...
Petit lien sur sa théorie:
https://www.dailymotion.com/video/xswfn_jean-pierre-petit-mhd-et-univers-ju_tech
Cordialement
Petit lien sur sa théorie:
https://www.dailymotion.com/video/xswfn_jean-pierre-petit-mhd-et-univers-ju_tech
Cordialement
- thomassonNouveau membre
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Re: Et si le temps n'existait pas ?
Mer 16 Avr 2014, 18:39
Je viens de lire de Carlo Rovelli "Et si le temps n'existait pas?" La gravité quantique à boucle amène un nouvel élément au dossier du temps. J'ai retenu ce texte qui commente le livre dans ce blog: http://universquantique.blogspot.fr/2012/08/a-propos-du-livre-et-si-le-temps.html
Quel est le sujet du livre? Vulgariser la notion de gravité quantique à boucles et en profiter pour discourir sur la science (chapitres 4 et 8) et régler (un peu) des comptes (bons ou mauvais).
Par quel biais ? L’auteur raconte son parcours personnel, qui sert de fil rouge tout au long de son court récit (147 pages).
Quel style ? Texte clair, sans fioriture. Phrases courtes, paragraphes courts. Avec la science, j’ai découvert un mode de pensée qui d’abord établit des règles pour comprendre le monde, puis devient capable de modifier ces mêmes règles. Cette liberté, dans la poursuite de la connaissance, me fascinait. Poussé par ma curiosité, et peut-être par ce que Frederico Cesi, ami de Galilée et visionnaire de la science moderne, appelait « le désir naturel de savoir », je me suis retrouvé, presque sans m’en rendre compte, immergé dans des problèmes de physique théorique. (p 5).
Pourquoi ouvrir ce livre de Rovelli ? L’auteur est un scientifique, passionné à l’idée de résoudre un problème extraordinaire : réconcilier les deux théories reines de la physique : la relativité générale et la physique quantique. D’où la gravité quantique à boucles qui permettrait de décrire les phénomènes se produisant à des échelles inférieures à 10-33cm (des milliards de fois plus petites que les noyaux d’atomes) - pour comprendre les trous noirs et l’univers primordial
Pourquoi lire ce livre ? Il y a si peu de physiciens qui prennent le temps d’écrire pour le grand public, il ne s’agit pas d’en rater un !
De quoi parle-t-il ? Rovelli nous initie aux notions d’espace et de champs. Pour nous faire comprendre qu’en fait l’espace en lui-même n’existe pas, seul le champ gravitationnel a une réalité. Puis il cite les apports fondamentaux de la mécanique quantique : Tout d’abord, on découvre qu’à une petite échelle il y a toujours une certaine "granularité" - ... - L’autre nouveauté de la mécanique quantique est que dans le mouvement de toute chose il y a une composante de hasard. Il y a une indétermination intrinsèque dans le mouvement (p26). Alors : Le déterminisme et le continu, deux structures de base de la pensée classique sur la matière, sont désormais caducs. Quand on regarde le monde de très près, il est discontinu et probabiliste (p27). Puis Rovelli poursuit son cheminement pour nous présenter un peu plus loin la notion de gravité quantique …c’est en fait la notion d’espace-temps qui doit être remplacée par celle de champ gravitationnel. Et donc c’est l’espace-temps qui doit devenir granulaire et probabiliste, pas seulement l’espace.(p29) Il faut penser un monde dans lequel le temps n’est plus une variable continue qui s’écoule, mais devient quelque chose d’autre, fondé sur ce nuage de probabilités de grains d’espace-temps (p30).
Et les boucles alors ? ces boucles constituent les lignes de Faraday du champ gravitationnel quantique - ... - dans la théorie quantique, le champ gravitationnel se brise en lignes de champs séparées les unes des autres, comme le champ électromagnétique se brise en photons. Mais, puisque le champ gravitationnel est l’espace, nous ne pouvons pas dire que ces boucles sont immergées dans l’espace : elles sont l’espace elles-mêmes ! L’espace est constitué de ces boucles (p38) L’espace est tissé de ces objets à une dimension, les boucles, dont les mailles s’enchaînent dans les trois dimensions pour former un tissu 3D (p39) L’espace n’est pas une entité dans laquelle les objets sont localisés : l’entité « espace » n’existe pas. Seul le champ gravitationnel existe, au même titre que les autres champs. En gravitation quantique, les boucles sont les quanta de champ gravitationnel et ce sont leurs relations qui constituent l’espace (p 68) - ... - le volume était en effet une variable non continue, et donc l’espace est constitué de quanta de volume, ou de quanta d’espace. Or, nous avons découvert que ces quanta d’espace se trouvent exactement aux intersections des boucles. Autrement dit, le volume est composé de quanta, de grains d’espace, et les intersections des boucles représentent justement ces grains d’espace. (p75) Les intersections sont devenues plus importantes que les lignes. Nous avons cessé de parler d’un ensemble de boucles avec des points d’intersection, pour parler d’un ensemble de points, les intersections, reliés entre eux par des liens, c’est à dire par un réseau. Sur un même lien allant d'une intersection à l'autre on peut rencontrer plus qu'une seule ligne de Faraday. Le nombre de lignes de Faraday superposées sur le même lien est un nombre entier qu’on associe à chaque lien, et qui s’appelle le spin du lien. - ... - De là, le nom de réseau de spin (p 76) la théorie est formulée en termes de nuages de probabilités associés à ces réseaux de spin. Il faut s’imaginer que ces réseaux de spin qui constituent le monde fluctuent, vibrent et fourmillent, un peu comme les points noirs et blancs d’une télévision analogique sans antenne, et les mathématiques de la théorie décrivent cette agitation des réseaux spin. L’espace physique peut donc être décrit par un nuage de probabilité de réseaux de spin (p 79).
Et le temps dans cette histoire ? on doit conclure que la non-existence de l’espace implique la non-existence du temps (p 96) nous ne mesurons jamais le temps lui-même. Nous mesurons toujours des variables physiques A,B,C…(oscillations, battements, et bien d’autres choses), et nous comparons toujours une variable avec une autre (p 100) Plutôt que de tout rapporter au « temps », abstrait et absolu, ce qui était un « truc » inventé par Newton, on peut décrire chaque variable en fonction de l’état des autres variables - ... - Tout comme l’espace, le temps devient une notion relationnelle. Il n’exprime qu’une relation entre les différents états des choses. (p102).
Et donc : L’espace et le temps usuel vont tout simplement disparaître du cadre de la physique de base, de la même façon que la notion de «centre de l’univers» a disparu de l’image scientifique du monde. (p103)
Qu'en pensez-vous?
Quel est le sujet du livre? Vulgariser la notion de gravité quantique à boucles et en profiter pour discourir sur la science (chapitres 4 et 8) et régler (un peu) des comptes (bons ou mauvais).
Par quel biais ? L’auteur raconte son parcours personnel, qui sert de fil rouge tout au long de son court récit (147 pages).
Quel style ? Texte clair, sans fioriture. Phrases courtes, paragraphes courts. Avec la science, j’ai découvert un mode de pensée qui d’abord établit des règles pour comprendre le monde, puis devient capable de modifier ces mêmes règles. Cette liberté, dans la poursuite de la connaissance, me fascinait. Poussé par ma curiosité, et peut-être par ce que Frederico Cesi, ami de Galilée et visionnaire de la science moderne, appelait « le désir naturel de savoir », je me suis retrouvé, presque sans m’en rendre compte, immergé dans des problèmes de physique théorique. (p 5).
Pourquoi ouvrir ce livre de Rovelli ? L’auteur est un scientifique, passionné à l’idée de résoudre un problème extraordinaire : réconcilier les deux théories reines de la physique : la relativité générale et la physique quantique. D’où la gravité quantique à boucles qui permettrait de décrire les phénomènes se produisant à des échelles inférieures à 10-33cm (des milliards de fois plus petites que les noyaux d’atomes) - pour comprendre les trous noirs et l’univers primordial
Pourquoi lire ce livre ? Il y a si peu de physiciens qui prennent le temps d’écrire pour le grand public, il ne s’agit pas d’en rater un !
De quoi parle-t-il ? Rovelli nous initie aux notions d’espace et de champs. Pour nous faire comprendre qu’en fait l’espace en lui-même n’existe pas, seul le champ gravitationnel a une réalité. Puis il cite les apports fondamentaux de la mécanique quantique : Tout d’abord, on découvre qu’à une petite échelle il y a toujours une certaine "granularité" - ... - L’autre nouveauté de la mécanique quantique est que dans le mouvement de toute chose il y a une composante de hasard. Il y a une indétermination intrinsèque dans le mouvement (p26). Alors : Le déterminisme et le continu, deux structures de base de la pensée classique sur la matière, sont désormais caducs. Quand on regarde le monde de très près, il est discontinu et probabiliste (p27). Puis Rovelli poursuit son cheminement pour nous présenter un peu plus loin la notion de gravité quantique …c’est en fait la notion d’espace-temps qui doit être remplacée par celle de champ gravitationnel. Et donc c’est l’espace-temps qui doit devenir granulaire et probabiliste, pas seulement l’espace.(p29) Il faut penser un monde dans lequel le temps n’est plus une variable continue qui s’écoule, mais devient quelque chose d’autre, fondé sur ce nuage de probabilités de grains d’espace-temps (p30).
Et les boucles alors ? ces boucles constituent les lignes de Faraday du champ gravitationnel quantique - ... - dans la théorie quantique, le champ gravitationnel se brise en lignes de champs séparées les unes des autres, comme le champ électromagnétique se brise en photons. Mais, puisque le champ gravitationnel est l’espace, nous ne pouvons pas dire que ces boucles sont immergées dans l’espace : elles sont l’espace elles-mêmes ! L’espace est constitué de ces boucles (p38) L’espace est tissé de ces objets à une dimension, les boucles, dont les mailles s’enchaînent dans les trois dimensions pour former un tissu 3D (p39) L’espace n’est pas une entité dans laquelle les objets sont localisés : l’entité « espace » n’existe pas. Seul le champ gravitationnel existe, au même titre que les autres champs. En gravitation quantique, les boucles sont les quanta de champ gravitationnel et ce sont leurs relations qui constituent l’espace (p 68) - ... - le volume était en effet une variable non continue, et donc l’espace est constitué de quanta de volume, ou de quanta d’espace. Or, nous avons découvert que ces quanta d’espace se trouvent exactement aux intersections des boucles. Autrement dit, le volume est composé de quanta, de grains d’espace, et les intersections des boucles représentent justement ces grains d’espace. (p75) Les intersections sont devenues plus importantes que les lignes. Nous avons cessé de parler d’un ensemble de boucles avec des points d’intersection, pour parler d’un ensemble de points, les intersections, reliés entre eux par des liens, c’est à dire par un réseau. Sur un même lien allant d'une intersection à l'autre on peut rencontrer plus qu'une seule ligne de Faraday. Le nombre de lignes de Faraday superposées sur le même lien est un nombre entier qu’on associe à chaque lien, et qui s’appelle le spin du lien. - ... - De là, le nom de réseau de spin (p 76) la théorie est formulée en termes de nuages de probabilités associés à ces réseaux de spin. Il faut s’imaginer que ces réseaux de spin qui constituent le monde fluctuent, vibrent et fourmillent, un peu comme les points noirs et blancs d’une télévision analogique sans antenne, et les mathématiques de la théorie décrivent cette agitation des réseaux spin. L’espace physique peut donc être décrit par un nuage de probabilité de réseaux de spin (p 79).
Et le temps dans cette histoire ? on doit conclure que la non-existence de l’espace implique la non-existence du temps (p 96) nous ne mesurons jamais le temps lui-même. Nous mesurons toujours des variables physiques A,B,C…(oscillations, battements, et bien d’autres choses), et nous comparons toujours une variable avec une autre (p 100) Plutôt que de tout rapporter au « temps », abstrait et absolu, ce qui était un « truc » inventé par Newton, on peut décrire chaque variable en fonction de l’état des autres variables - ... - Tout comme l’espace, le temps devient une notion relationnelle. Il n’exprime qu’une relation entre les différents états des choses. (p102).
Et donc : L’espace et le temps usuel vont tout simplement disparaître du cadre de la physique de base, de la même façon que la notion de «centre de l’univers» a disparu de l’image scientifique du monde. (p103)
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- myrtilleEquipe du forum
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Re: Et si le temps n'existait pas ?
Mer 16 Avr 2014, 23:34
Comme vous, thomasson, je m'intéresse de plus en plus à ces nouvelles voies que nous ouvre la "nouvelle Physique".
Apparemment, certains physiciens n'osent pas encore en parler "trop fort", tellement "ça va décoiffer" dans les années qui viennent.!
Certains publient et font des conférences dont Philippe Guillemant.
voici le lien de son site:
www.doublecause.net
Il n'est pas le seul, en France et ailleurs à soutenir cette théorie, loin de là.
Ce qu'on appelle maintenant "la physique de l'information" est en train de revolutionner, tout doucement, notre conception de l'Univers.
Jacques Vallée l'appelle "la petite soeur de le physique"...et elle grandit en beauté!
Apparemment, certains physiciens n'osent pas encore en parler "trop fort", tellement "ça va décoiffer" dans les années qui viennent.!
Certains publient et font des conférences dont Philippe Guillemant.
voici le lien de son site:
www.doublecause.net
Il n'est pas le seul, en France et ailleurs à soutenir cette théorie, loin de là.
Ce qu'on appelle maintenant "la physique de l'information" est en train de revolutionner, tout doucement, notre conception de l'Univers.
Jacques Vallée l'appelle "la petite soeur de le physique"...et elle grandit en beauté!
- nostradamusEquipe du forum
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Re: Et si le temps n'existait pas ?
Jeu 17 Avr 2014, 08:02
Bonjour a tous, je n'y connait rien comme je l'ai déjà dit ,mais dire que le passé le présent et le futur soit la même chose me pose problème , on connait le présent et le passé ,mais le futur est inconnu en fait il est abstrait même avec le présent il y a une séparation infime .je n'affirme rien j'essaie de comprendre .a+
- myrtilleEquipe du forum
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Re: Et si le temps n'existait pas ?
Jeu 17 Avr 2014, 09:15
Oui nostradamus, je comprends votre difficulté à envisager "le monde" sous ce nouveau jour.
Ce n'est pas que passé- présent-futur soient pareils mais qu'il puisse y avoir des interactions très fortes entre eux, via la Conscience.
Le temps serait reversible et les effets pourraient influer sur les causes, rien que ça! "Le monde a l'envers"!
Et ces recherches concernant une nouvelle vision de "l'espace-temps" dans lequel la conscience serait une 5 eme dimension evoluent très rapidement.
C'est effectivement très déstabilisant mais passionnant je trouve!
Je ne suis pas physicienne mais j'ai dans mon entourage amical deux Directeurs de Recherche, en maths et en physique: ça aide à s' habituer à la relativité de notre connaissance de l'Univers, mais là, c'est une veritable révolution qui a lieu, très doucement.
Beaucoup de scientifiques seront déstabilisés, eux aussi, car cela ne correspond pas du tout à ce qu'ils ont appris.
Ce n'est pas que passé- présent-futur soient pareils mais qu'il puisse y avoir des interactions très fortes entre eux, via la Conscience.
Le temps serait reversible et les effets pourraient influer sur les causes, rien que ça! "Le monde a l'envers"!
Et ces recherches concernant une nouvelle vision de "l'espace-temps" dans lequel la conscience serait une 5 eme dimension evoluent très rapidement.
C'est effectivement très déstabilisant mais passionnant je trouve!
Je ne suis pas physicienne mais j'ai dans mon entourage amical deux Directeurs de Recherche, en maths et en physique: ça aide à s' habituer à la relativité de notre connaissance de l'Univers, mais là, c'est une veritable révolution qui a lieu, très doucement.
Beaucoup de scientifiques seront déstabilisés, eux aussi, car cela ne correspond pas du tout à ce qu'ils ont appris.
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