- JanusEquipe du forum
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Re: Tutti frutti: mes réflexions sur le phénomène ovni
Sam 19 Fév 2011, 12:33
Bonjour,
En complément de ce qui précède juste, voici deux autres textes, que je ne peux pas "sourcer", sur le moment, faute de me souvenir où j'ai puisé l'inspiration. ce ne sont pas des versions définitives (à supposer qu'une version définitive soit envisageable...).
1°) Caractéristiques du phénomène.
A) Récurrence temporelle et géographique
Les observations s’étalent sur toute l’échelle de l’histoire humaine connue.
(textes et chroniques, légendes et sagas, etc.)
NB : Difficulté de repérage et de filtrage des informations brutes et réelles par rapport à l’habillage culturel.
B) Non régularité temporelle et géographique, avec présence de « patterns »
Les observations suivent des variations dont les lois de périodicités et de répartitions sont pour l’instant inconnnues. Difficulté du correctif « importance numérique réelle du phénomène à l’échelle planétaire / influence de l’inégalité de couverture par des observateurs potentiels ».
(vagues fluctuantes et régions privilégiées).
C) Technologie (apparente) et capacités (montrées), liées au contexte temporel
Les phénomènes, et leurs possibilités évolutives, sont toujours en rapport avec le degré de développement technologique humain, mais avec un léger décalage dans le futur leur assurant une supériorité nette, les mettant ainsi à l’abri de toute interception par des moyens d’intervention disponibles.
(ballons dirigeables versus ballons libres, au 19° siècle ; OVNI versus avions, au 20° siècle).
Les performances montrées sont non seulement hors d’atteinte des capacités technologiques humaines mais aussi en contradiction avec les lois physiques et les connaissances du moment.
(plus lourd que l’air au Moyen-Âge ; évolutions rapides au 19° siècle ; accélérations instantanées, changements de direction sans inertie, manipulation et contrôle de la lumière visible, dématérialisation, etc., au 20° siècle).
Ces performances ne sont jamais plus éloignées qu’il n’est nécessaire et suffisant pour assurer cette mise hors d’atteinte. à moins que ce décalage technologique soit tel qu’il devient alors inobservables et donc « invisible ».
D) Contenu socio-psychologique des contacts liés au contexte temporel
Les manifestations et supports des phénomènes sont toujours en rapport avec les possibilités de compréhension des humains de l’époque concernée, et leur environnement technologique.
(nefs au Moyen-Âge, ballons dirigeables au 19° siècle, vaisseau spatiaux au 20° siècle).
Les actes et démarches des entités sont plus des simulacres, adaptés au contexte de leur manifestation, que des comportements justifiés par une utilité réelle. Ils sont cependant conformes à ce qui peut être attendu, en de telles circonstances, de la part des observateurs humains.
(intervention pour dégager une ancre au Moyen-Âge ; atterrissage pour une prétendue réparation des ballons dirigeables du 19° siècle ; démarche de prélèvement d’échantillons, au 20° siècle, comme le feraient des humains en de telles circonstances identiques supposées : cf. exploration spatiale).
Les échanges informatifs, quand ils ont lieu, sont dénués de sens ou de logique de premier niveau.
(dialogues absurdes ou décalés, propos apparemment inexacts, communication d’informations fausses) [cf. koans du zen].
Ce qui donne une dimension d’auto-décridibilisation du phénomène, vis à vis du contexte sociétal humain concerné.
(discrédit du témoin vis à vis de son environnement social et découragement de toute investigation sérieuse et poussée de la part de personnes expérimentées).
E) Calibration des contextes de contact en fonction des possibilités d’analyse
Les manifestations ont une durée et des circonstances toujours insuffisantes et inadéquates pour se prêter à une étude approfondie et instrumentalisée.
(lieux isolés mais pas déserts, populations et personnes le plus souvent non scientifiques, toujours loin de tout système puissant d’analyse, arrêt de la manifestation avant que des personnes compétentes et des matériels d’investigation approfondie ne soient arrivées sur place).
Une démarche d’auto-suggestion à ne pas procéder à cette démarche scientifique est parfois induite dans l’esprit des témoins, au moment de la manifestation du phénomène.
(possession d’un instrument d’analyse ou d’enregistrement que le témoin « renonce spontanément » à utiliser).
Plus avant, existe aussi une interaction entre la volonté d’action et le « comportement » du phénomène.
(disparition ou éloignement du phénomène, si le témoin décide d’entreprendre un acte ayant pour implication le risque de son analyse ou de son enregistrement).
Par contre, sa durée et ses manifestations sont suffisemment intenses et longues pour permettre au témoin de bien prendre en conscience et le « convaincre » de la réalité de son observation.
F) Non réalité des actions, telles que supposées selon une logique humaine
Si l’on tient compte du nombre d’observations et d’atterrissages comptabilisé, qui se comptent en milliers de cas, l’interprétation classique des « entités extérieures en mission d’exploration » est irréaliste.
D’abord, parce que ce nombre est plus qu’excessif par rapport à ce qui serait nécessaire pour une exploration réelle. Ensuite parce que une bonne partie de ces missions pourrait être accomplie par d’autre moyens beaucoup plus discrets (télédétection, par exemple) ou dans des lieux totalement inahabités et donc sans témoins.
Ces éléments confirment, à priori, les suppositions des chapitres « D » et « E », et la nécessité des caractéristiques des chapitres « A » et « C », pour ce faire.
G) Phénomènes connexes ou apparentés
Particulièrement dans les temps passés, il convient de mettre en parallèle et de chercher les liens pouvant exister entre le phénomène OVNI, stricto sensu, et d’autres manifestations surnaturelles (fées et magiciens, monstres divers, miracles divers, etc.).
L’on y retrouve des mécanismes communs (apparitions et disparitions soudaines, disparitions spacio-temporelles, actions physiques et psychologiques sur l’environnement et les témoins, etc.).
H) Dualité entre caractères virtuels et matériels des phénomènes
Selon les cas, les manifestations ont des caractéristiques qui s’apparentes plus à des phénomènes virtuels que matériels.
Parmi ces phénomènes virtuels, l’on est tenté de rattacher tout ceux qui semblent ne pas respecter les lois physiques habituelles (disparitions et apparitions instantanées, accélération infinie et immédiate, changements de direction et de géométrie pure, etc.), et ne sont qu’observables par des systèmes faisant appel aux ondes électromagnétiques (gammes optique, radio, etc.).
Parmi les phénomènes matériels, l’on range ceux qui affectent l’environnement immédiat du phénomène (modifications physico-chimiques diverses), et les témoins (modifications physiques et/ou psychologiques).
I) Dualité des conséquences sur l’environnement et surtout sur les témoins
Si certaines manifestations sont des conséquences à priori classiques de la présence du phénomène dans un environnement donné (marques sur le sol, bris de branches, déplacement de poussière), d’autres ont des effets et des implications plus graves.
L’on peut citer, d’abord, des aspects négatifs : brûlures, prurit, marques diverses, insommnies, troubles du comportement. Ces effets peuvent être des conséquences logiques des mécanismes d’action du phénomène, sans intentionalité agressive. Mais d’autres posent plus question, surtout ceux entraînant des interactions avec les entités, qui se terminent par la destruction des témoins (physique et/ou psychologique).
Corrolaire des premiers, les aspects positifs constatés (selon notre interprétation humaine) : guérisons, disparition de problèmes psychologiques.
NB : Sans oublier la difficulté de distinguer le niveau d’action du phénomène, même sur des affectations purement physiques (dimension psychosomatique).
------------------------------------------------------------------------------------
Voici l'autre texte (encore du "work in progress"). Lui aussi n'est pas "sourcé", mais à la relecture, cela semble bien porter la griffe de Jacques Vallée, à moins que ce ne soit des auteurs du livre "les objets volants non-identifiables", dont je parle dans un message précédent, en le recommandant.
Résumé :
Quel que soit le champ sur lequel doit s’appliquer une démarche de nature scientifique, il existe des concepts, méthodologies, outils, de nature générique, immédiatement disponibles.
Ces moyens ne sont qu’un des aspects de la démarche scientifique. L’autre volet, essentiel, est la personne chargée de mettre en application cette démarche.
1°) DÉFINITION DE LA MÉTHODOLOGIE SCIENTIFIQUE
La pensée scientifique progresse en élaborant à partir des hypothèses proposées des modèles qui rendent compte des faits connus et laissent prévoir de nouveaux faits que l’on peut vérifier, etc. Par le jeu de la confrontation entre les observations et les modèles, on peut rejeter, rectifier ou accepter les théories.
Ce cheminement s’applique aux théories déduites des observations, et non aux résultats observés, qui ne demandent, pour être acceptés, qu’une preuve testimoniale, c’est-à-dire, fondée sur le témoignage de l’observateur. On ne considère une preuve acquise que si des témoignages significativement concordants sont rapportés par des observateurs indépendants, sains d’esprits et dignes de foi qui n’ont pu, même inconsciemment, être influencés les uns par les autres.
On peut obtenir différentes sortes de preuves testimoniales.
· Des cas isolés très bien attestés.
· Des confrontations entre plusieurs cas distincts d’observations faisant apparaître des corrélations et des recoupements significatifs.
· Une analyse statistique globale de plusieurs rapports.
La méthodologie consiste en un groupe de règles à suivre pour la conduite d’une étude scientifique : celles de procédure et celles d’évidence.
2°) LES RÈGLES DE PROCÉDURE
Elles s’appliquent au recueil des données. Seules les informations recueillies en suivant les critères stricts de ces règles peuvent être considérées comme des données à étudier. Des données ne sont pas directement de l’information.
3°) LES RÈGLES D’ÉVIDENCE
Elles s’appliquent à l’évaluation de la crédibilité des données et permettent, du moins en théorie, de distinguer des données crédibles, de celles sujettes à caution.
Tout témoignage n’est pas une donnée, mais les données valables sont des témoignages à haut coefficient de crédibilité.
Un coefficient de crédibilité est attribué à chaque observation en fonction du nombre de témoin, de leur moralité et de leur réputation, de la cohérence des déclarations, des recoupements entre les différents témoignages, des capacités d’observation des témoins, des preuves physiques apportées, etc.
Un coefficient d’étrangeté est attribué aux notifications faites par les témoins.
4°) L’EXAMEN DES DONNÉES
Plusieurs voies sont possibles pour l’examen des données :
Une étude analytique consciencieuse des rapports, pour déterminer quelles sont les caractéristiques qui paraissent dignes de confiance.
Une étude synthétique des données, pour tenter d’en extraire des relations entre certaines caractéristiques qui apparaissent d’une manière significative lors de l’analyse d’un grand nombre de rapports.
Si un phénomène existe en dehors des interprétations classiques, il doit pouvoir s’extraire du bruit général au cours d’un traitement statistique approprié, guidé par des considérations physiques simples.
On ne peut espérer trancher une question qu’en fondant une étude descriptive d’ensemble, et non en reprenant les cas un à un pour les soumettre à nouveau aux explications classiques, car une importante quantité de faits restera de toute façon inexpliquée, ne serait-ce que par le caractère fragmentaire de l’information dont nous disposons.
Quand on ne peut pas étudier directement un phénomène, mais seulement les notifications des observations, il faut considérer les témoins comme des « transducteurs » de l’information réelle qui est toujours modifiée et altérée en passant par leur intermédiaire.
Un schéma méthodologique est applicable aux recherches, en insistant sur l’importance de l’étude conjointe des quatre domaines concernés.
· Témoignages.
· Témoins.
· Environnement physique.
· Environnement psychosociologique et culturel.
5°) LES SEPT PIÈGES DU FAUX RAISONNEMENT
Avant d’être traitée, une information quelconque doit nécessairement avoir existé sous forme d’idée consciente dans le cerveau de quelqu’un. Cela est vrai des données qui peuvent être suivies, étudiées et vérifiées par n’importe quel enquêteur capable de réfléchir en toute indépendance.
Le mot clef est indépendance. Une enquête vraiment objective passe par une grande prudence et la volonté d’éviter un certain nombre de chausse-trappes fatales dans le raisonnement.
La transitivité de l’étrange
Soit deux affirmations (A) & (B), qui ont un lien. Si l’affirmation (B) est prouvée, elle ne cautionne pas pour autant l’affirmation A. L’esprit humain est prompt à tirer des conclusions hâtives, et à établir une transition {(B) est vrai, il a été énoncé dans le contexte de (A), donc (A) doit être vrai} qui est complètement injustifiée.
L’effet d’engrenage
Les croyances sont trop précieuses pour pouvoir être remises en question, même si l’on sait qu’elles sont sans fondement. Les détenteurs de telles croyances se mettent en quête de toute confirmation, ou indice quelconque pouvant laisser supposer leur réalité. Leur vision du monde est transformée et prise dans un engrenage. Il ne leur est plus possible de revenir à leur position initiale, quelles que soient les preuves qu’on leur montrerait.
Il est trop pénible de renoncer à une illusion, d’autant plus que les investissements faits sur cette illusion continuent de s’accroître. Dans le cas contraire, tous ces investissements ne seraient plus que des pertes.
Le séquençage des aberrations
C’est une illusion de nature émotionnelle et, de ce fait, elle est encore plus dévastatrice que les deux premières. Elle montre que la plupart des enquêteurs, lorsqu’ils ont été dupés une fois, continueront d’être fascinés par des « révélations » successives, même en sachant pertinemment qu’elles sont fausses.
Toute source de renseignements extraordinaires et confidentiels, par sa dimension d’aventure, apporte une forme de satisfaction et un sentiment de puissance personnelle, car elle répond toujours aux espérances qu’elle a créées.
L’attrait du matériel
Des chercheurs expérimentés, dans un domaine habituellement dépourvu d’éléments matériels, peuvent se laisser influencer par toute preuve tangible alléguée, qui se trouve enfin à leur portée.
L’illusion de la noix de coco
Tant que l’on doit se contenter de regarder plutôt que d’être impliqué directement dans un phénomène, il est difficile de savoir ce qui se passe réellement.
Toute chose reconnue comme mystérieuse s’inscrit dans le cadre de ce que des savants peuvent détecter avec leurs instruments et, par conséquent, elle peut avoir été truquée par d’autres scientifiques munis d’instruments plus perfectionnés.
La fusion des mystères
Quand deux événements étranges (A) et (B) se produisent dans un intervalle de temps et d’espace rapproché, il est naturel pour l’esprit humain de les unir en un seul mystère.
L’amplification du secret
La censure peut provenir d’une grande variété de raisons fort banales, allant de la nécessité évidente de protéger les nouvelles découvertes techniques, à la pure stupidité bureaucratique. Quand la censure est levée, le texte censuré se révèle souvent être de nature purement technique. Il ne faut pas magnifier la nature et le sens du secret.
Considérés dans leur ensemble, ces sept pièges conduisent à une observation importante : quiconque est suffisamment intelligent pour simuler l’existence d’un phénomène, en recourant à leur emploi, peut influencer les conclusions de chercheurs dans une direction arbitraire. Il peut captiver le public et peut-être même influer sur les croyances les plus intimes de certains experts du gouvernement.
Si un véritable signal peut être envoyé à la conscience, qui se trouve derrière un tel phénomène, c’est à ce niveau que la formule du système de contrôle (qu’elle à mis en place) peut être découverte. Une fois comprises les faiblesses du raisonnement humain, s’attaquer à un tel système de contrôle est possible pour quiconque.
Les gouvernements ne contrôlent pas une telle aptitude Le fait que des spécialistes fassent des recherches en secret dans un domaine (quel qu’il soit) montre combien ils en savent peu sur le sujet que le contraire.
Au niveau des diverses manipulations possibles, toute personne qui prétend dévoiler de telles actions peut très bien en être l’outil (conscient ou non). Toute manipulation à pour but de cacher quelque chose.
By,
Janus
_____________________________________
Modération : taille des caractères augmentée, merci de rendre vos textes lisibles. Excellente continuation.
En complément de ce qui précède juste, voici deux autres textes, que je ne peux pas "sourcer", sur le moment, faute de me souvenir où j'ai puisé l'inspiration. ce ne sont pas des versions définitives (à supposer qu'une version définitive soit envisageable...).
1°) Caractéristiques du phénomène.
A) Récurrence temporelle et géographique
Les observations s’étalent sur toute l’échelle de l’histoire humaine connue.
(textes et chroniques, légendes et sagas, etc.)
NB : Difficulté de repérage et de filtrage des informations brutes et réelles par rapport à l’habillage culturel.
B) Non régularité temporelle et géographique, avec présence de « patterns »
Les observations suivent des variations dont les lois de périodicités et de répartitions sont pour l’instant inconnnues. Difficulté du correctif « importance numérique réelle du phénomène à l’échelle planétaire / influence de l’inégalité de couverture par des observateurs potentiels ».
(vagues fluctuantes et régions privilégiées).
C) Technologie (apparente) et capacités (montrées), liées au contexte temporel
Les phénomènes, et leurs possibilités évolutives, sont toujours en rapport avec le degré de développement technologique humain, mais avec un léger décalage dans le futur leur assurant une supériorité nette, les mettant ainsi à l’abri de toute interception par des moyens d’intervention disponibles.
(ballons dirigeables versus ballons libres, au 19° siècle ; OVNI versus avions, au 20° siècle).
Les performances montrées sont non seulement hors d’atteinte des capacités technologiques humaines mais aussi en contradiction avec les lois physiques et les connaissances du moment.
(plus lourd que l’air au Moyen-Âge ; évolutions rapides au 19° siècle ; accélérations instantanées, changements de direction sans inertie, manipulation et contrôle de la lumière visible, dématérialisation, etc., au 20° siècle).
Ces performances ne sont jamais plus éloignées qu’il n’est nécessaire et suffisant pour assurer cette mise hors d’atteinte. à moins que ce décalage technologique soit tel qu’il devient alors inobservables et donc « invisible ».
D) Contenu socio-psychologique des contacts liés au contexte temporel
Les manifestations et supports des phénomènes sont toujours en rapport avec les possibilités de compréhension des humains de l’époque concernée, et leur environnement technologique.
(nefs au Moyen-Âge, ballons dirigeables au 19° siècle, vaisseau spatiaux au 20° siècle).
Les actes et démarches des entités sont plus des simulacres, adaptés au contexte de leur manifestation, que des comportements justifiés par une utilité réelle. Ils sont cependant conformes à ce qui peut être attendu, en de telles circonstances, de la part des observateurs humains.
(intervention pour dégager une ancre au Moyen-Âge ; atterrissage pour une prétendue réparation des ballons dirigeables du 19° siècle ; démarche de prélèvement d’échantillons, au 20° siècle, comme le feraient des humains en de telles circonstances identiques supposées : cf. exploration spatiale).
Les échanges informatifs, quand ils ont lieu, sont dénués de sens ou de logique de premier niveau.
(dialogues absurdes ou décalés, propos apparemment inexacts, communication d’informations fausses) [cf. koans du zen].
Ce qui donne une dimension d’auto-décridibilisation du phénomène, vis à vis du contexte sociétal humain concerné.
(discrédit du témoin vis à vis de son environnement social et découragement de toute investigation sérieuse et poussée de la part de personnes expérimentées).
E) Calibration des contextes de contact en fonction des possibilités d’analyse
Les manifestations ont une durée et des circonstances toujours insuffisantes et inadéquates pour se prêter à une étude approfondie et instrumentalisée.
(lieux isolés mais pas déserts, populations et personnes le plus souvent non scientifiques, toujours loin de tout système puissant d’analyse, arrêt de la manifestation avant que des personnes compétentes et des matériels d’investigation approfondie ne soient arrivées sur place).
Une démarche d’auto-suggestion à ne pas procéder à cette démarche scientifique est parfois induite dans l’esprit des témoins, au moment de la manifestation du phénomène.
(possession d’un instrument d’analyse ou d’enregistrement que le témoin « renonce spontanément » à utiliser).
Plus avant, existe aussi une interaction entre la volonté d’action et le « comportement » du phénomène.
(disparition ou éloignement du phénomène, si le témoin décide d’entreprendre un acte ayant pour implication le risque de son analyse ou de son enregistrement).
Par contre, sa durée et ses manifestations sont suffisemment intenses et longues pour permettre au témoin de bien prendre en conscience et le « convaincre » de la réalité de son observation.
F) Non réalité des actions, telles que supposées selon une logique humaine
Si l’on tient compte du nombre d’observations et d’atterrissages comptabilisé, qui se comptent en milliers de cas, l’interprétation classique des « entités extérieures en mission d’exploration » est irréaliste.
D’abord, parce que ce nombre est plus qu’excessif par rapport à ce qui serait nécessaire pour une exploration réelle. Ensuite parce que une bonne partie de ces missions pourrait être accomplie par d’autre moyens beaucoup plus discrets (télédétection, par exemple) ou dans des lieux totalement inahabités et donc sans témoins.
Ces éléments confirment, à priori, les suppositions des chapitres « D » et « E », et la nécessité des caractéristiques des chapitres « A » et « C », pour ce faire.
G) Phénomènes connexes ou apparentés
Particulièrement dans les temps passés, il convient de mettre en parallèle et de chercher les liens pouvant exister entre le phénomène OVNI, stricto sensu, et d’autres manifestations surnaturelles (fées et magiciens, monstres divers, miracles divers, etc.).
L’on y retrouve des mécanismes communs (apparitions et disparitions soudaines, disparitions spacio-temporelles, actions physiques et psychologiques sur l’environnement et les témoins, etc.).
H) Dualité entre caractères virtuels et matériels des phénomènes
Selon les cas, les manifestations ont des caractéristiques qui s’apparentes plus à des phénomènes virtuels que matériels.
Parmi ces phénomènes virtuels, l’on est tenté de rattacher tout ceux qui semblent ne pas respecter les lois physiques habituelles (disparitions et apparitions instantanées, accélération infinie et immédiate, changements de direction et de géométrie pure, etc.), et ne sont qu’observables par des systèmes faisant appel aux ondes électromagnétiques (gammes optique, radio, etc.).
Parmi les phénomènes matériels, l’on range ceux qui affectent l’environnement immédiat du phénomène (modifications physico-chimiques diverses), et les témoins (modifications physiques et/ou psychologiques).
I) Dualité des conséquences sur l’environnement et surtout sur les témoins
Si certaines manifestations sont des conséquences à priori classiques de la présence du phénomène dans un environnement donné (marques sur le sol, bris de branches, déplacement de poussière), d’autres ont des effets et des implications plus graves.
L’on peut citer, d’abord, des aspects négatifs : brûlures, prurit, marques diverses, insommnies, troubles du comportement. Ces effets peuvent être des conséquences logiques des mécanismes d’action du phénomène, sans intentionalité agressive. Mais d’autres posent plus question, surtout ceux entraînant des interactions avec les entités, qui se terminent par la destruction des témoins (physique et/ou psychologique).
Corrolaire des premiers, les aspects positifs constatés (selon notre interprétation humaine) : guérisons, disparition de problèmes psychologiques.
NB : Sans oublier la difficulté de distinguer le niveau d’action du phénomène, même sur des affectations purement physiques (dimension psychosomatique).
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Voici l'autre texte (encore du "work in progress"). Lui aussi n'est pas "sourcé", mais à la relecture, cela semble bien porter la griffe de Jacques Vallée, à moins que ce ne soit des auteurs du livre "les objets volants non-identifiables", dont je parle dans un message précédent, en le recommandant.
Résumé :
Quel que soit le champ sur lequel doit s’appliquer une démarche de nature scientifique, il existe des concepts, méthodologies, outils, de nature générique, immédiatement disponibles.
Ces moyens ne sont qu’un des aspects de la démarche scientifique. L’autre volet, essentiel, est la personne chargée de mettre en application cette démarche.
1°) DÉFINITION DE LA MÉTHODOLOGIE SCIENTIFIQUE
La pensée scientifique progresse en élaborant à partir des hypothèses proposées des modèles qui rendent compte des faits connus et laissent prévoir de nouveaux faits que l’on peut vérifier, etc. Par le jeu de la confrontation entre les observations et les modèles, on peut rejeter, rectifier ou accepter les théories.
Ce cheminement s’applique aux théories déduites des observations, et non aux résultats observés, qui ne demandent, pour être acceptés, qu’une preuve testimoniale, c’est-à-dire, fondée sur le témoignage de l’observateur. On ne considère une preuve acquise que si des témoignages significativement concordants sont rapportés par des observateurs indépendants, sains d’esprits et dignes de foi qui n’ont pu, même inconsciemment, être influencés les uns par les autres.
On peut obtenir différentes sortes de preuves testimoniales.
· Des cas isolés très bien attestés.
· Des confrontations entre plusieurs cas distincts d’observations faisant apparaître des corrélations et des recoupements significatifs.
· Une analyse statistique globale de plusieurs rapports.
La méthodologie consiste en un groupe de règles à suivre pour la conduite d’une étude scientifique : celles de procédure et celles d’évidence.
2°) LES RÈGLES DE PROCÉDURE
Elles s’appliquent au recueil des données. Seules les informations recueillies en suivant les critères stricts de ces règles peuvent être considérées comme des données à étudier. Des données ne sont pas directement de l’information.
3°) LES RÈGLES D’ÉVIDENCE
Elles s’appliquent à l’évaluation de la crédibilité des données et permettent, du moins en théorie, de distinguer des données crédibles, de celles sujettes à caution.
Tout témoignage n’est pas une donnée, mais les données valables sont des témoignages à haut coefficient de crédibilité.
Un coefficient de crédibilité est attribué à chaque observation en fonction du nombre de témoin, de leur moralité et de leur réputation, de la cohérence des déclarations, des recoupements entre les différents témoignages, des capacités d’observation des témoins, des preuves physiques apportées, etc.
Un coefficient d’étrangeté est attribué aux notifications faites par les témoins.
4°) L’EXAMEN DES DONNÉES
Plusieurs voies sont possibles pour l’examen des données :
Une étude analytique consciencieuse des rapports, pour déterminer quelles sont les caractéristiques qui paraissent dignes de confiance.
Une étude synthétique des données, pour tenter d’en extraire des relations entre certaines caractéristiques qui apparaissent d’une manière significative lors de l’analyse d’un grand nombre de rapports.
Si un phénomène existe en dehors des interprétations classiques, il doit pouvoir s’extraire du bruit général au cours d’un traitement statistique approprié, guidé par des considérations physiques simples.
On ne peut espérer trancher une question qu’en fondant une étude descriptive d’ensemble, et non en reprenant les cas un à un pour les soumettre à nouveau aux explications classiques, car une importante quantité de faits restera de toute façon inexpliquée, ne serait-ce que par le caractère fragmentaire de l’information dont nous disposons.
Quand on ne peut pas étudier directement un phénomène, mais seulement les notifications des observations, il faut considérer les témoins comme des « transducteurs » de l’information réelle qui est toujours modifiée et altérée en passant par leur intermédiaire.
Un schéma méthodologique est applicable aux recherches, en insistant sur l’importance de l’étude conjointe des quatre domaines concernés.
· Témoignages.
· Témoins.
· Environnement physique.
· Environnement psychosociologique et culturel.
5°) LES SEPT PIÈGES DU FAUX RAISONNEMENT
Avant d’être traitée, une information quelconque doit nécessairement avoir existé sous forme d’idée consciente dans le cerveau de quelqu’un. Cela est vrai des données qui peuvent être suivies, étudiées et vérifiées par n’importe quel enquêteur capable de réfléchir en toute indépendance.
Le mot clef est indépendance. Une enquête vraiment objective passe par une grande prudence et la volonté d’éviter un certain nombre de chausse-trappes fatales dans le raisonnement.
La transitivité de l’étrange
Soit deux affirmations (A) & (B), qui ont un lien. Si l’affirmation (B) est prouvée, elle ne cautionne pas pour autant l’affirmation A. L’esprit humain est prompt à tirer des conclusions hâtives, et à établir une transition {(B) est vrai, il a été énoncé dans le contexte de (A), donc (A) doit être vrai} qui est complètement injustifiée.
L’effet d’engrenage
Les croyances sont trop précieuses pour pouvoir être remises en question, même si l’on sait qu’elles sont sans fondement. Les détenteurs de telles croyances se mettent en quête de toute confirmation, ou indice quelconque pouvant laisser supposer leur réalité. Leur vision du monde est transformée et prise dans un engrenage. Il ne leur est plus possible de revenir à leur position initiale, quelles que soient les preuves qu’on leur montrerait.
Il est trop pénible de renoncer à une illusion, d’autant plus que les investissements faits sur cette illusion continuent de s’accroître. Dans le cas contraire, tous ces investissements ne seraient plus que des pertes.
Le séquençage des aberrations
C’est une illusion de nature émotionnelle et, de ce fait, elle est encore plus dévastatrice que les deux premières. Elle montre que la plupart des enquêteurs, lorsqu’ils ont été dupés une fois, continueront d’être fascinés par des « révélations » successives, même en sachant pertinemment qu’elles sont fausses.
Toute source de renseignements extraordinaires et confidentiels, par sa dimension d’aventure, apporte une forme de satisfaction et un sentiment de puissance personnelle, car elle répond toujours aux espérances qu’elle a créées.
L’attrait du matériel
Des chercheurs expérimentés, dans un domaine habituellement dépourvu d’éléments matériels, peuvent se laisser influencer par toute preuve tangible alléguée, qui se trouve enfin à leur portée.
L’illusion de la noix de coco
Tant que l’on doit se contenter de regarder plutôt que d’être impliqué directement dans un phénomène, il est difficile de savoir ce qui se passe réellement.
Toute chose reconnue comme mystérieuse s’inscrit dans le cadre de ce que des savants peuvent détecter avec leurs instruments et, par conséquent, elle peut avoir été truquée par d’autres scientifiques munis d’instruments plus perfectionnés.
La fusion des mystères
Quand deux événements étranges (A) et (B) se produisent dans un intervalle de temps et d’espace rapproché, il est naturel pour l’esprit humain de les unir en un seul mystère.
L’amplification du secret
La censure peut provenir d’une grande variété de raisons fort banales, allant de la nécessité évidente de protéger les nouvelles découvertes techniques, à la pure stupidité bureaucratique. Quand la censure est levée, le texte censuré se révèle souvent être de nature purement technique. Il ne faut pas magnifier la nature et le sens du secret.
Considérés dans leur ensemble, ces sept pièges conduisent à une observation importante : quiconque est suffisamment intelligent pour simuler l’existence d’un phénomène, en recourant à leur emploi, peut influencer les conclusions de chercheurs dans une direction arbitraire. Il peut captiver le public et peut-être même influer sur les croyances les plus intimes de certains experts du gouvernement.
Si un véritable signal peut être envoyé à la conscience, qui se trouve derrière un tel phénomène, c’est à ce niveau que la formule du système de contrôle (qu’elle à mis en place) peut être découverte. Une fois comprises les faiblesses du raisonnement humain, s’attaquer à un tel système de contrôle est possible pour quiconque.
Les gouvernements ne contrôlent pas une telle aptitude Le fait que des spécialistes fassent des recherches en secret dans un domaine (quel qu’il soit) montre combien ils en savent peu sur le sujet que le contraire.
Au niveau des diverses manipulations possibles, toute personne qui prétend dévoiler de telles actions peut très bien en être l’outil (conscient ou non). Toute manipulation à pour but de cacher quelque chose.
By,
Janus
_____________________________________
Modération : taille des caractères augmentée, merci de rendre vos textes lisibles. Excellente continuation.
- Dam468Equipe du forum
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Nombre de messages : 574
Inscription : 18/05/2008
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Passions : ufologie
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Points de Participation : 6571
Re: Tutti frutti: mes réflexions sur le phénomène ovni
Sam 19 Fév 2011, 14:20
Salut Janus et bienvenue.. j'ai à peu près la même approche que toi sur le sujet,
les autorités, les médias, la communauté sceptique, et les services officiels comme Geipan / Sepra qui essaient de paraitre neutres
jouent finalement tous dans la même cour, ils passent trop de temps sur des cas sans importance, utilisent trop souvent l'argument
d'autorité qu'on ne peut pas vérifier évidemment comme la non détection radar, mais ils peuvent très bien nous avouer le contraire
juste pour nous induire en erreur, il est devenu très difficile de cerner les cas les plus sérieux et les plus étranges,
il faut dire que l'on n'a pas beaucoup de cas correctement décrits sans que les témoins ne se laissent aller à un peu d'excès,
en tout cas tant que l'on reste dans les lumières vues de loin ou les machins volants un peu bizarres on reste fréquentables quoique
un peu zinzins sur les bords, parce que dès que l'on parle d'étrangers ou d'ufonautes.. là on relève aussitôt de la psychiatrie..
les autorités, les médias, la communauté sceptique, et les services officiels comme Geipan / Sepra qui essaient de paraitre neutres
jouent finalement tous dans la même cour, ils passent trop de temps sur des cas sans importance, utilisent trop souvent l'argument
d'autorité qu'on ne peut pas vérifier évidemment comme la non détection radar, mais ils peuvent très bien nous avouer le contraire
juste pour nous induire en erreur, il est devenu très difficile de cerner les cas les plus sérieux et les plus étranges,
il faut dire que l'on n'a pas beaucoup de cas correctement décrits sans que les témoins ne se laissent aller à un peu d'excès,
en tout cas tant que l'on reste dans les lumières vues de loin ou les machins volants un peu bizarres on reste fréquentables quoique
un peu zinzins sur les bords, parce que dès que l'on parle d'étrangers ou d'ufonautes.. là on relève aussitôt de la psychiatrie..
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Re: Tutti frutti: mes réflexions sur le phénomène ovni
Sam 19 Fév 2011, 14:47
Bonjour Dam468,
Il y a bien effectivement de cela, mais heureusement, les choses se sont un peu calmées, depuis les temps plus anciens.
Par exemple, il y a le cas célèbre de l'arrivée des conquistadors sur les berges de l'empire Aztèque.
Quand les messagers envoyés par Moctezuma revinrent de la côte, pour dire ce qu'ils avaient vu (d'immenses navires, des animaux inconnus et des êtres étranges...), il les fit exécuter, car ces informations étaient vraiment trop désagréables...
Il est exact, comme vous le dites, qu'une sorte de tolérance s'est établie tant que l'on reste dans le témoignage "lointain" : du genre "lumières dans la nuit", mais dès que l'on aborde des choses plus précises (les RR3 et les RR4), les mécanismes de défense et de dénigrement montent en puissance.
C'est que, avec les RR3 et les RR4, l'on ne peut plus se dissimuler derrière le doute, l'ambiguïté, le négligeable, car l'on est alors confronté à l'impossible, à l'inadmissible, au terrifiant, etc.
By,
Janus
Il y a bien effectivement de cela, mais heureusement, les choses se sont un peu calmées, depuis les temps plus anciens.
Par exemple, il y a le cas célèbre de l'arrivée des conquistadors sur les berges de l'empire Aztèque.
Quand les messagers envoyés par Moctezuma revinrent de la côte, pour dire ce qu'ils avaient vu (d'immenses navires, des animaux inconnus et des êtres étranges...), il les fit exécuter, car ces informations étaient vraiment trop désagréables...
Il est exact, comme vous le dites, qu'une sorte de tolérance s'est établie tant que l'on reste dans le témoignage "lointain" : du genre "lumières dans la nuit", mais dès que l'on aborde des choses plus précises (les RR3 et les RR4), les mécanismes de défense et de dénigrement montent en puissance.
C'est que, avec les RR3 et les RR4, l'on ne peut plus se dissimuler derrière le doute, l'ambiguïté, le négligeable, car l'on est alors confronté à l'impossible, à l'inadmissible, au terrifiant, etc.
By,
Janus
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Re: Tutti frutti: mes réflexions sur le phénomène ovni
Sam 19 Fév 2011, 15:24
Bonjour,
Il était une fois une tribu qui vivait sur une grande île, et qui se demandait si elle était la seule a exister.
Les anciens réfléchirent à cette question et décidèrent de lancer un programme pour savoir s'ils étaient vraiment seuls, ou bien si, sur d'autres îles, il existait d'autres peuples.
Mais, comment les contacter ?
Et bien, il suffirait de faire comme quand nous communiquons d'un bout à l'autre de l'île, avec des signaux de fumée le jour et des feux la nuit, répondirent les sages.
Ainsi fut fait, et de grands feux furent allumés la nuit, et des brasiers d'herbes humides le jour.
Pendant ce temps, des natifs doués de la meilleure vue étaient chargés de monter sur les plus hauts cocotiers afin de scruter l'horizon, de jour pour voir la moindre fumée lointaine, et de nuit pour tenter d'apercevoir la plus petite lueur à l'horizon.
Après des années, il fallut constater que toutes ces manoeuvres n'avaient rien donné, et il fut décidé que, décidément, l'on était les seuls bipèdes de la création.
Parfois, lors de sorties très au large de l'île, des pêcheurs disaient bien avoir entrevu, très loin, de gigantesques pirogues, sans voiles, dégageant de la fumée, et bien plus rapides que toutes leurs propres embarcations.
Mais l'on conclut à l'influence du soleil sur le crâne de ces pêcheurs. Car, où existeraient des arbres assez gros pour en faire une telle pirogue, et a-t-on déjà vu des pirogue avancer aussi vite et sans la moindre voile, en plus...
Il y avait également des rumeurs sur ces étranges oiseaux qui parfois traverseraient le ciel, très très haut, tantôt avec une trace blanche derrière eux, et parfois sans cette trace ; des fois avec une sorte de grondement très faible, et d'autres fois sans bruit.
Là encore, l'on conseilla aux observateurs de consulter le sorcier. D'abord, les oiseaux ne laissent pas de trace dans le ciel, tout le monde sait cela, ensuite, la preuve que c'est une illusion, c'est le bruit ou son absence, ce qui prouve bien que tout est le fruit de l'imagination (le phénomène n'est pas systématiquement répétitif dans toutes ses composantes, dit l'un des plus sages, et des plus doués en vocabulaire, de la tribu). Et puis, un oiseau qui ne bat jamais des ailes, qui ne se pose jamais sur l'île, ou sur la mer, on n'en a jamais vu.
Un jour, la marée amena une embarcation très abîmée et d'un bois inconnu, souple quand on appuyait dessus, avec une drôle d'odeur. Mais, le plus étrange fut cette callebasse extraordinaire, avec des protubérances dessus, des stries, des signes étranges. A force de la manipuler, elle se mit à parler, à chanter, à faire entendre des sons inconnus.
Déclarée dangereuse pour la tribu, elle fut remise dans la pirogue bizarre, et le tout fut remorqué au large, jusqu'à ce que le courant l'emporte au loin.
Pendant quelques temps, les témoins en parlèrent, puis de moins en moins, au fur et à mesure que les plus jeunes se moquèrent d'eux, et ils finirent par mourir de vieillesse, en emportant leur souvenir.
Et la tribu continua sa vie paisible, rassurée d'être la seule au monde, mais avec certains de ses membres un peu déçus, quand même.
By,
Janus
Il était une fois une tribu qui vivait sur une grande île, et qui se demandait si elle était la seule a exister.
Les anciens réfléchirent à cette question et décidèrent de lancer un programme pour savoir s'ils étaient vraiment seuls, ou bien si, sur d'autres îles, il existait d'autres peuples.
Mais, comment les contacter ?
Et bien, il suffirait de faire comme quand nous communiquons d'un bout à l'autre de l'île, avec des signaux de fumée le jour et des feux la nuit, répondirent les sages.
Ainsi fut fait, et de grands feux furent allumés la nuit, et des brasiers d'herbes humides le jour.
Pendant ce temps, des natifs doués de la meilleure vue étaient chargés de monter sur les plus hauts cocotiers afin de scruter l'horizon, de jour pour voir la moindre fumée lointaine, et de nuit pour tenter d'apercevoir la plus petite lueur à l'horizon.
Après des années, il fallut constater que toutes ces manoeuvres n'avaient rien donné, et il fut décidé que, décidément, l'on était les seuls bipèdes de la création.
Parfois, lors de sorties très au large de l'île, des pêcheurs disaient bien avoir entrevu, très loin, de gigantesques pirogues, sans voiles, dégageant de la fumée, et bien plus rapides que toutes leurs propres embarcations.
Mais l'on conclut à l'influence du soleil sur le crâne de ces pêcheurs. Car, où existeraient des arbres assez gros pour en faire une telle pirogue, et a-t-on déjà vu des pirogue avancer aussi vite et sans la moindre voile, en plus...
Il y avait également des rumeurs sur ces étranges oiseaux qui parfois traverseraient le ciel, très très haut, tantôt avec une trace blanche derrière eux, et parfois sans cette trace ; des fois avec une sorte de grondement très faible, et d'autres fois sans bruit.
Là encore, l'on conseilla aux observateurs de consulter le sorcier. D'abord, les oiseaux ne laissent pas de trace dans le ciel, tout le monde sait cela, ensuite, la preuve que c'est une illusion, c'est le bruit ou son absence, ce qui prouve bien que tout est le fruit de l'imagination (le phénomène n'est pas systématiquement répétitif dans toutes ses composantes, dit l'un des plus sages, et des plus doués en vocabulaire, de la tribu). Et puis, un oiseau qui ne bat jamais des ailes, qui ne se pose jamais sur l'île, ou sur la mer, on n'en a jamais vu.
Un jour, la marée amena une embarcation très abîmée et d'un bois inconnu, souple quand on appuyait dessus, avec une drôle d'odeur. Mais, le plus étrange fut cette callebasse extraordinaire, avec des protubérances dessus, des stries, des signes étranges. A force de la manipuler, elle se mit à parler, à chanter, à faire entendre des sons inconnus.
Déclarée dangereuse pour la tribu, elle fut remise dans la pirogue bizarre, et le tout fut remorqué au large, jusqu'à ce que le courant l'emporte au loin.
Pendant quelques temps, les témoins en parlèrent, puis de moins en moins, au fur et à mesure que les plus jeunes se moquèrent d'eux, et ils finirent par mourir de vieillesse, en emportant leur souvenir.
Et la tribu continua sa vie paisible, rassurée d'être la seule au monde, mais avec certains de ses membres un peu déçus, quand même.
By,
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Re: Tutti frutti: mes réflexions sur le phénomène ovni
Sam 19 Fév 2011, 16:15
Bonjour,
Après le visionnage de divers reportages sur des émissions et des rencontres traitant des OVNI, j'ai remarqué que l'on faisait allusion, notamment chez les militaires présents, à une technique qui permettrait de mieux comprendre les intentions et le comportement des aliens.
Quelques recherches plus tard, j'ai compris que la démarche consistait à faire un petit "kriegspiel" (un exercice de simulation), en inversant les rôles (donc, l'on se met à la place des aliens, pour mieux comprendre ce qui se passe dans leur tête).
Allez, je veux bien, mais au risque de faire de la peine à nos pioupious, je crains que l'exercice soit faussé dès le départ.
Déjà, ce système d'analyse, appliqué aux autres terriens, dans le cadre d'un conflit, me semble risqué, dès que l'on se trouve en confrontation avec d'autres peuples, dont la culture, l'histoire, etc., sont très différentes des nôtres (monde occidental et monde asiatique ou africain, par exemple).
De plus, comment intégrer les dimensions subjectives des protagonistes qui peuvent venir troubler le jeu "normal" des décisions et des comportements uniquement "raisonnés".
C'est ce différentiel culturel et comportemental, en plus d'une relative supériorité technologique, qui a permis à peu d'Européens (aidés souvent par des alliés autochtones), de défaire des empires entiers.
Avec une race alienne, dont les éléments constitutifs sont sûrement totalement exogènes, et dont la culture nous est entièrement inconnue, tout comme les projets, les croyances, etc., il me semble que l'on est en plein dans la construction mentale détachée de toute réalité.
Comment, même en étant le plus intelligent possible, peut-on se dire, dans une tel kriegspiel, que l'on pense et agit comme eux, avec leurs motivations, leurs craintes, leurs espoirs (si le sens même de ces mots a la moindre signification pour eux).
Et, s'ils disposent de capacités mentales supérieures aux nôtres (en plus de la technologie), l'on n'est pas près de gagner (jouez au échecs avec votre ouistiti, et vous êtes sûr de l'emporter à tous les coups).
Tout au plus, l'on est en plein dans le mécanisme psychologique de la "projection", où l'on prête à l'autre, plus ou moins consciemment, ce qui existe chez nous (règles, sentiments, logique...). Bref, dans ce genre d'exercice, l'on essaie de "jouer" à l'alien, mais l'on n'est pas (et l'on ne peut pas) être lui, dans toute sa spécificité.
Déjà, entre humains, même proches, il existe une part à jamais inconnue et incommunicable chez chacun, alors avec des aliens...
Bien sûr, avoir des informations tangibles sur eux (peut-être certaines existent-elles, quelque part) permettrait de rééquilibrer la balance, mais encore à condition qu'ils ne réfléchissent pas plus vite et mieux que nous, sinon, ils auront toujours au moins un coup d'avance.
Bon, si cela permet simplement de se rassurer, et d'avoir l'impression que la situation est sous contrôle (Jean Cocteau : "...puisque ces mystères nous dépassent, feignons d'en être les organisateurs..."), pourquoi pas, mais pas plus...
-----------------------------
OVNI SOIT QUI MAL Y PENSE !
-----------------------------
By,
Janus
Après le visionnage de divers reportages sur des émissions et des rencontres traitant des OVNI, j'ai remarqué que l'on faisait allusion, notamment chez les militaires présents, à une technique qui permettrait de mieux comprendre les intentions et le comportement des aliens.
Quelques recherches plus tard, j'ai compris que la démarche consistait à faire un petit "kriegspiel" (un exercice de simulation), en inversant les rôles (donc, l'on se met à la place des aliens, pour mieux comprendre ce qui se passe dans leur tête).
Allez, je veux bien, mais au risque de faire de la peine à nos pioupious, je crains que l'exercice soit faussé dès le départ.
Déjà, ce système d'analyse, appliqué aux autres terriens, dans le cadre d'un conflit, me semble risqué, dès que l'on se trouve en confrontation avec d'autres peuples, dont la culture, l'histoire, etc., sont très différentes des nôtres (monde occidental et monde asiatique ou africain, par exemple).
De plus, comment intégrer les dimensions subjectives des protagonistes qui peuvent venir troubler le jeu "normal" des décisions et des comportements uniquement "raisonnés".
C'est ce différentiel culturel et comportemental, en plus d'une relative supériorité technologique, qui a permis à peu d'Européens (aidés souvent par des alliés autochtones), de défaire des empires entiers.
Avec une race alienne, dont les éléments constitutifs sont sûrement totalement exogènes, et dont la culture nous est entièrement inconnue, tout comme les projets, les croyances, etc., il me semble que l'on est en plein dans la construction mentale détachée de toute réalité.
Comment, même en étant le plus intelligent possible, peut-on se dire, dans une tel kriegspiel, que l'on pense et agit comme eux, avec leurs motivations, leurs craintes, leurs espoirs (si le sens même de ces mots a la moindre signification pour eux).
Et, s'ils disposent de capacités mentales supérieures aux nôtres (en plus de la technologie), l'on n'est pas près de gagner (jouez au échecs avec votre ouistiti, et vous êtes sûr de l'emporter à tous les coups).
Tout au plus, l'on est en plein dans le mécanisme psychologique de la "projection", où l'on prête à l'autre, plus ou moins consciemment, ce qui existe chez nous (règles, sentiments, logique...). Bref, dans ce genre d'exercice, l'on essaie de "jouer" à l'alien, mais l'on n'est pas (et l'on ne peut pas) être lui, dans toute sa spécificité.
Déjà, entre humains, même proches, il existe une part à jamais inconnue et incommunicable chez chacun, alors avec des aliens...
Bien sûr, avoir des informations tangibles sur eux (peut-être certaines existent-elles, quelque part) permettrait de rééquilibrer la balance, mais encore à condition qu'ils ne réfléchissent pas plus vite et mieux que nous, sinon, ils auront toujours au moins un coup d'avance.
Bon, si cela permet simplement de se rassurer, et d'avoir l'impression que la situation est sous contrôle (Jean Cocteau : "...puisque ces mystères nous dépassent, feignons d'en être les organisateurs..."), pourquoi pas, mais pas plus...
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Re: Tutti frutti: mes réflexions sur le phénomène ovni
Sam 19 Fév 2011, 16:51
Janus a écrit:
"Il était une fois une tribu qui vivait sur une grande île,
et qui se demandait si elle était la seule a exister....."
Excellent!
Cela me rappelle certaines histoires de sceptiques...
Cordialement.
A+
_______________________________________
"Toute technologie suffisamment élaborée, sera considérée
comme de la magie par le primitif"... Arthur C.Clarke.
"C'est une erreur de croire nécessairement faux
ce que l'on ne comprend pas." (MAHATMA GANDHI).
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Re: Tutti frutti: mes réflexions sur le phénomène ovni
Sam 19 Fév 2011, 17:01
Oui,rien à ajouter!Au début(les premières phrases),j'ai cru que c'était vous Cosmos.Janus était le dieu aux deux visages.
Cordialement.
Cordialement.
- InvitéInvité
Re: Tutti frutti: mes réflexions sur le phénomène ovni
Sam 19 Fév 2011, 17:22
Bonjour Janus,
Votre avis sur le sujet dont je vous donne le lien, m'intéresse et pas que moi d'ailleurs !!
https://www.forum-ovni-ufologie.com/t11854-avis-des-plus-anciens-sur-l-evolution-de-l-ufologie-passe-present-et-futur?highlight=avis+au+plus
C'est comme vous désirez, si vous n'avez pas le temps...
Cordialement
Votre avis sur le sujet dont je vous donne le lien, m'intéresse et pas que moi d'ailleurs !!
https://www.forum-ovni-ufologie.com/t11854-avis-des-plus-anciens-sur-l-evolution-de-l-ufologie-passe-present-et-futur?highlight=avis+au+plus
C'est comme vous désirez, si vous n'avez pas le temps...
Cordialement
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Re: Tutti frutti: mes réflexions sur le phénomène ovni
Sam 19 Fév 2011, 18:19
Re Janus!
Je viens de lire votre excellente prose sur le fameux sujet qui ici,
nous gratte tous un peu le cervelet....
..........
Oui, le sujet est bien trop vaste pour qu'il puisse être "intercepté" par une personne
angoissée d'elle même et qui doute de tout ce qu'elle n'a jamais pu étudier.
La croyance n'est pas de mise si l'on cherche à savoir.
Nous sommes absolument d'accord dans les grandes lignes (Comme le souligne si bien Dam!!)...
Le phénomène se révèle de par son étude approfondie, bien plus vaste que l'on puisse le penser.
Cela surtout en fonction des dernières avancées des nouvelles sciences et technologies.
Par exemple, il serait donc particulièrement intéressant de discuter plus tard,
de ces fameux "mythes antiques" si dédaigneusement traités par nos "scientifiques institués".
En effet, l'on découvre que le fait de l'incompréhension était surtout engendré
par la méconnaissance de certaines sciences à une époque donnée.
La dite recherche se devrait d'être effectivement "structurée" en plusieurs disciplines.
L'on ne peut que constater l'étrange compétition entre certains se déclarant ufologues,
pour traiter un aspect du phénomène et en insistant pour imposer leur façon de l'analyser
sans tenir compte des avis des autres spécialistes d'une autre discipline.
Vous avez écrit plus haut:
"ET NOUS, ET NOUS ...Sans risquer de me tromper, on peut dire que nous sommes
répartis en trois groupes, sur cette planète : ceux qui savent et qui se taisent ;
ceux qui se doutent et s'interrogent (cf. ce site) ; ceux qui ignorent et qui discourent
(les médias)..."..........
Oui, c'est un excellent constat que je partage avec vous. Il est parfaitement évident.
(Â partir du moment où l'on a pris le temps de "fouiner" là où il ne faut pas.)
Le fait de constater que depuis des siècles l'on nous a imposé des dogmes et des croyances,
indispose le chercheur opiniâtre et permet de comprendre alors, pourquoi le sujet se doit d'être
et surtout, de rester "tabou"...
Cordialement.
A+
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Re: Tutti frutti: mes réflexions sur le phénomène ovni
Sam 19 Fév 2011, 19:27
Bonjour,
Nous ne savons pas qui (ou quoi) ils sont, d'où ils viennent, comment ils y parviennent.
Mais, le plus important, parce que le plus "impliquant" pour nous, serait de savoir pourquoi, et aussi pour quoi, ils sont là.
Nous n'avons pas de réponse à cette dernière interrogation (pourquoi, et, pour quoi).
Toutefois, des faits sont porteurs d'informations, il me semble.
A commencer par une "montée en puissance" des manifestations (de plus en plus d'observations), et aussi de leur nature (RR1, puis RR2, puis RR3, puis RR4, puis...). En tout cas apparemment, puisque (comme mentionné dans un message précédent) des données fiables (en termes de comptage et de description des manifestations) ne sont vraiment disponibles que depuis
moins d'un siècle.
Alors, avant, étaient-ils moins "présents", ou bien leur présence était-elle moins relevée et mentionnée (registres de paroisses, rapports de police, etc.).
Il semble que la première partie de l'alternative soit la bonne, pour la période la plus récente, car si des vagues d'OVNI avaient eu lieu, et surtout des RR2 (et au dessus), cela aurait laissé des traces, aussi bien dans le monde occidental que dans certains pays centralisés et bureaucratiques (la Chine impériale, par exemple), pendant le 19ème siècle.
Il y a bien les "airships" avec des RR1, des RR2, des RR3 (mais pas plus, semble-t-il), aux USA. Mais, comment faire le tri entre les vrais observations, et le sensationnalisme courant dans les feuilles de choux du "Wild West"...
Avant, dans les siècles précédents, les superstitions, l'illétrisme, l'isolement, sont autant de facteurs contribuant à la non-émergence du phénomène, dans les annales du temps. Sauf rares exceptions historiques, bien connues, mais toujours incertaines quant à leur attribution réelle.
Pourquoi cette intensification (toujours couplée à l'élusivité, cependant) ?
La volonté d'une accoutumance progressive ? Mais dans quel but, et dans l'intérêt de qui ? (je ne peux m'empêcher de penser à l'expérience de la grenouille mise dans l'eau froide, et dont l'on chauffe le récipient où elle se trouve, très progressivement, pour arriver à un résultat final à son détriment).
Comme explicité précédemment, dans des messages antérieurs, le phénomène OVNI est dangereux à l'échelle locale et unipersonnelle (abductions, effets psychiques et physiologiques graves à mortels dans le cadre de certaines observations rapprochées).
En est-il de même à l'échelle mondiale et collective ?
Si les manipulations génétiques et les expérimentations diverses, rapportées par les personnes supposées "abductées", ne sont même qu'à 50 % réelles, il y a de quoi se poser des questions sur les buts visés, et certaines réponses possibles donnent une désagréable sensation dans l'épine dorsale...
La façon dont ces expérimentations se déroulent, et le fait qu'elles soient imposées, font que les personnes concernées sont des cobayes, bénéficiant de la même considération, de la part des expérimentateurs, que celle que nous accordons à des souris blanches, des rats, des singes. Je pense notamment à ces derniers, et ce qu'ils peuvent penser et ressentir (avec leur niveau de conscience) de ce qu'on leur fait subir, parce que nous en avons le droit (tient, c'est justement ce que "disent" certains aliens, quand le "patient" proteste...).
Toujours dans le cas des abductions, si les informations relatives aux travaux d'hybridation sont réelles, c'est une raison de plus de se demander où ces hybrides vont être ensuite déployés, et pourquoi.
Globalement, le phénomène des abductions n'a décidément rien de sympathique, et c'est même exactement le contraire qui se dégage.
Comme indiqué ailleurs sur ce site, il semble que ces travaux biologiques avancent, et mêmes s'accélèrent. On pourrait éventuellement considérer qu'il s'agit d'une course entre l'atteinte de leurs buts, et le moment où nous pourrions cesser de faire les autruches et décider de ne plus rester passif (toujours en citant des documents de ce site). Qui va gagner ?
Une autre explication ( en pire) serait qu'ils touchent au but, ou bien qu'ils sont même en phase d'application (et non plus d'expérimentation).
Je passe maintenant à l'intérêt des OVNI (et de ceux qui les utilisent) pour nos capacités nucléaires. Quelles sont les motivations de cette attention : nous empêcher d'aller plus loin dans cette voie ? Mais alors, pour notre avantage, ou bien pour le leur ?
Il est évident que nous sommes une espèce agressive et combative, ce qui a des mauvais côtés, mais qui peuvent être utiles dans certaines circonstances. S'ils sont capables de faire des déplacements interstellaires, nous devrions pouvoir en faire autant, dans le futur, et dans ce cas, nous pourrions alors constituer une menace, ou bien simplement être en mesure de ne plus subir (cf. le passage sur les abductions).
Il pourrait être tentant, pour ceux qui ont l'avantage sur nous, actuellement (et sûrement depuis quelques temps, déjà), de tout faire pour le garder, cet avantage, et encore une fois, pas obligatoirement dans notre intérêt.
Il faut dire que la passivité de notre espèce, vis à vis de ce qui se passe, est un vrai boulevard pour l'accomplissement de leurs desseins (qu'ils soient positifs ou négatifs pour nous, et je penche pour la deuxième hypothèse, ne serait-ce qu'en application du principe de précaution, nourri par les faits possibles, notamment en matière d'abduction).
Un jour, nous risquons donc de nous retrouver avec "le pantalon sur les chevilles", et incapables de faire face. Ce sera peut-être, alors, la servitude, l'exploitation, l'extermination.
Et encore, espérons que c'est bien à cause de la simple passivité, notamment de la part de nos responsables, que nous sommes vulnérables, et non pas du fait de la complicité (je pense à ceux qui pourraient en savoir bien plus que nous, sur le sujet).
En la matière, le maintien du secret (s'il existe) est une vraie trahison des clercs. Quelle que soit la raison de ce maintien : assurer la stabilité de la civilisation, continuer le business "as usual", en tirer des avantages (pour ceux qui sont dans le coup), etc.
Nos sociétés sont structurées de telle façon que la passivité, le contrôle, ou la coopération, de quelques centaines de personnes, dans le monde, suffit pour "gérer" le reste de l'espèce (tant qu'elle est dans l'ignorance de ce qui se passe).
Comme disent les Chinois : le poisson commence toujours à pourrir par la tête.
Cela me rappelle, une fois de plus, le cas des Aztèques. Tant que les Espagnols ont eu le chef suprême en leur pouvoir, et par son intermédiaire, ils ont contrôlé toute la masse de la population, liée par une obéissance habituelle, alors qu'eux-mêmes n'étaient qu'une poignée (avec quelques mousquets et un petit canon). Par contre, une fois ce chef tué, par un membre de son ethnie, les Espagnols ont échappé de peu au massacre de tous ceux présents à Tenochtitlan (cf. "la noche triste").
La résistance des Aztèques aurait-elle commencé plus tôt, leur conquête aurait été repoussée de quelques siècles. De plus, ils avaient vite su s'adapter aux moyens de combat des Espagnols, et trouver des moyens de contrer leur technologie. Par exemple, ils s'étaient vite procuré quelques chevaux, et ils avaient appris à s'en servir, mais trop tard. Notons, au passage, qu'ils y avaient été aidés par des espagnols prisonniers, ou passés de leur côté.
Point de paranoïa, dans mes propos, mais le simple constat que si nous nous montrons trop prudents envers eux et leurs intentions réelles, il sera toujours possible de faire marche arrière, ensuite, une fois mieux informés.
Tandis que, dans le cas contraire (pas assez prudents) il sera nettement plus difficile de gérer la situation.
En bref, et au moins, tout sauf la passivité.
By,
Janus
Nous ne savons pas qui (ou quoi) ils sont, d'où ils viennent, comment ils y parviennent.
Mais, le plus important, parce que le plus "impliquant" pour nous, serait de savoir pourquoi, et aussi pour quoi, ils sont là.
Nous n'avons pas de réponse à cette dernière interrogation (pourquoi, et, pour quoi).
Toutefois, des faits sont porteurs d'informations, il me semble.
A commencer par une "montée en puissance" des manifestations (de plus en plus d'observations), et aussi de leur nature (RR1, puis RR2, puis RR3, puis RR4, puis...). En tout cas apparemment, puisque (comme mentionné dans un message précédent) des données fiables (en termes de comptage et de description des manifestations) ne sont vraiment disponibles que depuis
moins d'un siècle.
Alors, avant, étaient-ils moins "présents", ou bien leur présence était-elle moins relevée et mentionnée (registres de paroisses, rapports de police, etc.).
Il semble que la première partie de l'alternative soit la bonne, pour la période la plus récente, car si des vagues d'OVNI avaient eu lieu, et surtout des RR2 (et au dessus), cela aurait laissé des traces, aussi bien dans le monde occidental que dans certains pays centralisés et bureaucratiques (la Chine impériale, par exemple), pendant le 19ème siècle.
Il y a bien les "airships" avec des RR1, des RR2, des RR3 (mais pas plus, semble-t-il), aux USA. Mais, comment faire le tri entre les vrais observations, et le sensationnalisme courant dans les feuilles de choux du "Wild West"...
Avant, dans les siècles précédents, les superstitions, l'illétrisme, l'isolement, sont autant de facteurs contribuant à la non-émergence du phénomène, dans les annales du temps. Sauf rares exceptions historiques, bien connues, mais toujours incertaines quant à leur attribution réelle.
Pourquoi cette intensification (toujours couplée à l'élusivité, cependant) ?
La volonté d'une accoutumance progressive ? Mais dans quel but, et dans l'intérêt de qui ? (je ne peux m'empêcher de penser à l'expérience de la grenouille mise dans l'eau froide, et dont l'on chauffe le récipient où elle se trouve, très progressivement, pour arriver à un résultat final à son détriment).
Comme explicité précédemment, dans des messages antérieurs, le phénomène OVNI est dangereux à l'échelle locale et unipersonnelle (abductions, effets psychiques et physiologiques graves à mortels dans le cadre de certaines observations rapprochées).
En est-il de même à l'échelle mondiale et collective ?
Si les manipulations génétiques et les expérimentations diverses, rapportées par les personnes supposées "abductées", ne sont même qu'à 50 % réelles, il y a de quoi se poser des questions sur les buts visés, et certaines réponses possibles donnent une désagréable sensation dans l'épine dorsale...
La façon dont ces expérimentations se déroulent, et le fait qu'elles soient imposées, font que les personnes concernées sont des cobayes, bénéficiant de la même considération, de la part des expérimentateurs, que celle que nous accordons à des souris blanches, des rats, des singes. Je pense notamment à ces derniers, et ce qu'ils peuvent penser et ressentir (avec leur niveau de conscience) de ce qu'on leur fait subir, parce que nous en avons le droit (tient, c'est justement ce que "disent" certains aliens, quand le "patient" proteste...).
Toujours dans le cas des abductions, si les informations relatives aux travaux d'hybridation sont réelles, c'est une raison de plus de se demander où ces hybrides vont être ensuite déployés, et pourquoi.
Globalement, le phénomène des abductions n'a décidément rien de sympathique, et c'est même exactement le contraire qui se dégage.
Comme indiqué ailleurs sur ce site, il semble que ces travaux biologiques avancent, et mêmes s'accélèrent. On pourrait éventuellement considérer qu'il s'agit d'une course entre l'atteinte de leurs buts, et le moment où nous pourrions cesser de faire les autruches et décider de ne plus rester passif (toujours en citant des documents de ce site). Qui va gagner ?
Une autre explication ( en pire) serait qu'ils touchent au but, ou bien qu'ils sont même en phase d'application (et non plus d'expérimentation).
Je passe maintenant à l'intérêt des OVNI (et de ceux qui les utilisent) pour nos capacités nucléaires. Quelles sont les motivations de cette attention : nous empêcher d'aller plus loin dans cette voie ? Mais alors, pour notre avantage, ou bien pour le leur ?
Il est évident que nous sommes une espèce agressive et combative, ce qui a des mauvais côtés, mais qui peuvent être utiles dans certaines circonstances. S'ils sont capables de faire des déplacements interstellaires, nous devrions pouvoir en faire autant, dans le futur, et dans ce cas, nous pourrions alors constituer une menace, ou bien simplement être en mesure de ne plus subir (cf. le passage sur les abductions).
Il pourrait être tentant, pour ceux qui ont l'avantage sur nous, actuellement (et sûrement depuis quelques temps, déjà), de tout faire pour le garder, cet avantage, et encore une fois, pas obligatoirement dans notre intérêt.
Il faut dire que la passivité de notre espèce, vis à vis de ce qui se passe, est un vrai boulevard pour l'accomplissement de leurs desseins (qu'ils soient positifs ou négatifs pour nous, et je penche pour la deuxième hypothèse, ne serait-ce qu'en application du principe de précaution, nourri par les faits possibles, notamment en matière d'abduction).
Un jour, nous risquons donc de nous retrouver avec "le pantalon sur les chevilles", et incapables de faire face. Ce sera peut-être, alors, la servitude, l'exploitation, l'extermination.
Et encore, espérons que c'est bien à cause de la simple passivité, notamment de la part de nos responsables, que nous sommes vulnérables, et non pas du fait de la complicité (je pense à ceux qui pourraient en savoir bien plus que nous, sur le sujet).
En la matière, le maintien du secret (s'il existe) est une vraie trahison des clercs. Quelle que soit la raison de ce maintien : assurer la stabilité de la civilisation, continuer le business "as usual", en tirer des avantages (pour ceux qui sont dans le coup), etc.
Nos sociétés sont structurées de telle façon que la passivité, le contrôle, ou la coopération, de quelques centaines de personnes, dans le monde, suffit pour "gérer" le reste de l'espèce (tant qu'elle est dans l'ignorance de ce qui se passe).
Comme disent les Chinois : le poisson commence toujours à pourrir par la tête.
Cela me rappelle, une fois de plus, le cas des Aztèques. Tant que les Espagnols ont eu le chef suprême en leur pouvoir, et par son intermédiaire, ils ont contrôlé toute la masse de la population, liée par une obéissance habituelle, alors qu'eux-mêmes n'étaient qu'une poignée (avec quelques mousquets et un petit canon). Par contre, une fois ce chef tué, par un membre de son ethnie, les Espagnols ont échappé de peu au massacre de tous ceux présents à Tenochtitlan (cf. "la noche triste").
La résistance des Aztèques aurait-elle commencé plus tôt, leur conquête aurait été repoussée de quelques siècles. De plus, ils avaient vite su s'adapter aux moyens de combat des Espagnols, et trouver des moyens de contrer leur technologie. Par exemple, ils s'étaient vite procuré quelques chevaux, et ils avaient appris à s'en servir, mais trop tard. Notons, au passage, qu'ils y avaient été aidés par des espagnols prisonniers, ou passés de leur côté.
Point de paranoïa, dans mes propos, mais le simple constat que si nous nous montrons trop prudents envers eux et leurs intentions réelles, il sera toujours possible de faire marche arrière, ensuite, une fois mieux informés.
Tandis que, dans le cas contraire (pas assez prudents) il sera nettement plus difficile de gérer la situation.
En bref, et au moins, tout sauf la passivité.
By,
Janus
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