- VerveineUfologue/enquêteur
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Re: Les implications d'un éventuel contact avec des Extraterrestres
Dim 11 Mar 2012, 09:09
En vitesse Hélas,
La notion de singleton me parait une fausse bonne idée.
Je fait un parallèle écologique si vous permettez. Pour un éco système la robustesse aux changements est d'autant meilleure que la biodiversité est grande.
Si l'on considère les Nations et les Entreprises comme des entités vivantes, alors on comprend qu'il faut préserver leur diversité d'approche de valeurs et de mode de résolutions des problèmes.
Amitiés
La notion de singleton me parait une fausse bonne idée.
Je fait un parallèle écologique si vous permettez. Pour un éco système la robustesse aux changements est d'autant meilleure que la biodiversité est grande.
Si l'on considère les Nations et les Entreprises comme des entités vivantes, alors on comprend qu'il faut préserver leur diversité d'approche de valeurs et de mode de résolutions des problèmes.
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Le contraire de l'Erreur n'est pas la Vérité mais le Doute. Lucien Jerphagnon
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Re: Les implications d'un éventuel contact avec des Extraterrestres
Mar 13 Mar 2012, 07:07
Verveine
Verveine, il me semble que cette éventualité est envisagée par l’auteur de l’article qui évoque justement un singleton qui laisserait se développer une certaine diversité tant que celle-ci n’atteindrait pas directement son existence de façon à maintenir des alternatives potentielles.
Stanalpha1
Stanalpha1, merci pour ces informations et vos réflexions sur le sujet. Une a particulièrement attiré mon attention et me permet de rebondir sur une hypothèse que je tiens comme très probable :
Ces « fuites organisées », à condition de les mettre en perspective, donnent des pistes de réflexion et indiquent des voies alternatives.
Mais avant de passer aux solutions, commençons par le constat planétaire et un de mes textes préférés, je l’ai découvert sur le site de Mel Vadeker. Le texte est sans concession sur la nature humaine, l’état du monde et la situation critique de l’humanité. Je vous laisse le soin de découvrir l’intervention du « seigneur des ténèbres » par vous même plutôt que d’induire chez vous des orientations en extrayant quelques passages qui m’interpellent.
http://www.vadeker.net/beyond/ultimatum/conversation_lord_darkness.html
Je mets en rapport ce texte « exotique » avec un article paru dans la prestigieuse revue Nature en 2009, article de Johan Rockström et Marc Lynas intitulé « A Safe Operating Space for Humanity » dont j’ai déjà cité quelques résultats.
http://www.ecologyandsociety.org/vol14/iss2/art32/main.html
Les conclusions de cet article sont par ailleurs reprises dans une conférence récente de Mark Lynas.
http://longnow.org/seminars/02012/mar/06/nine-planetary-boundaries-finessing-anthropocene/
Une recherche historique rapide permet de constater que ces textes sont apparus pratiquement à la même époque avec une anticipation de quelques mois pour cette conversation avec le seigneur des ténèbres (14/11/2008, toujours ces anachronismes qui posent question) dont l’introduction préalable à la lecture était sans ambiguïté :
et l’article de Nature paru en 2009. L’article en question met en lumière le fait que certaines altérations globales de notre écosystème nous conduisent peut-être à un point de non retour, une singularité, le fameux cloaque évoqué par le « seigneur des ténèbres ».
L’article de Nature étant en anglais, je propose une traduction rapide du résumé. Au passage, on notera que la stabilité climatique que nous avons connu ces derniers milliers d’années ressemble plus à un épiphénomène dans l’histoire de la planète qu’à la norme, l’homme devant se préparer aux évènements qu’il produit mais aussi à ceux qu’il pourrait subir.
On peut discuter le contenu de l’article ou de la conférence de Mark Lynas notamment sur les aspects de la radioactivité qui peuvent être classés dans les rubriques de la pollution chimique ou des aérosols et dont les conséquences sont bien moins anodines que semble l’indiquer l’auteur (cf la pollution par l’uranium appauvri par nos chers bienfaiteurs du complexe militaro industriel) voir même envisager d’autres sources comme la pollution électromagnétique. Cependant, l’article me semble poser les bases d’un système de surveillance et de contrôle qu’une AI pourrait fort bien prendre en charge pour assister l’homme et le conseiller sur les actions correctives à mener. Une béquille numérique qui nous indiquerait par exemple que si nous continuons à la cadence actuelle nous avons 99 % de chance de disparaître dans les cinquante années à venir et encore, je me demande si je ne suis pas optimiste…
Un des éléments de la conversation avec « le seigneurs des ténèbres » que je trouve particulièrement percutant et qui rejoint cette idée de maladie d’espèce que j’évoquais à propos du capitalisme concerne une éventuelle modification du cerveau humain qui nous ferait retomber à l’état animal! Rien n’est donné pour acquis ! Cette piste mérite d’être analysée et suivie, je pense, d’un point de vue de la recherche en s’interrogeant sur les conséquences néfastes que certains « mèmes », ces « idées » d’un capitalisme destructeur par exemple seraient susceptibles de câbler en dur dans notre cerveau si nous ne prenons pas garde, en copiant et recopiant une façon d’être au monde qui nous conduirait au néant[0]. Bien que Mark Pagel (Professeur de biologie évolutionniste) n’aille pas aussi loin, il est intéressant de rapprocher cette thématique de ses travaux. Le titre de la conférence est sans ambiguïté !
http://edge.org/conversation/infinite-stupidity-edge-conversation-with-mark-pagel
Et la vous voyez tout de suite le danger car dans un monde où l’innovation devient absolument indispensable pour contrebalancer les problématiques exponentielles qui s’imposent à l’humanité, nous offririons le copiage et le recopiage d’un modèle suranné, le plantage assuré…
Sur les 7 milliards d’habitants de cette planète, je ne doute pas un seul instant de la bonne volonté de chacun, même si les prédateurs rodent et profitent de « l’humanité » de la multitude pour construire leurs empires, ceux qui nous conduisent au néant. Pourquoi alors un tel déphasage entre l’individu et cette société toujours plus mortifère. Le monde n’est pas à construire sur les bases des souhaits et désirs d’un infime pourcentage de prédateurs mais bien sur l’utopie génératrice de vie de la multitude. Et si les grandes structures pyramidales, fruits délétères de nos prédateurs sont incapables de répondre à l’utopie créatrice de la masse, foutons les par terre et créons des microsociétés à taille humaine maillées à l’image d’un réseau, comme internet et douées de la conscience de la vie où le partage et l’amour seraient les monnaies d’échange. Peut-être faut-il simplement comme le disait M Bloom que l’on se remue le cul. Je suis persuadée que si l’on posait à chaque individu la question suivante :
« Que préférez-vous ? Mourir en consommant toujours plus pour conserver la croissance ou vivre en harmonie en favorisant la vie? la réponse à titre individuel ne ferait aucune discussion. Alors pourquoi au niveau global ça cloche? »
A cette image du mouton social qui devrait tout accepter, je vous propose celui du mouflon du Caucase, un brin Iranien pour faire le lien avec Sohrawardi, la période actuelle et entrer en résistance.
[0]
A moins qu’il ne s’agisse d’une conséquence directe et néfaste de ce bain électromagnétique toujours plus envahissant des technologies de la communication…
Si l'on considère les Nations et les Entreprises comme des entités vivantes, alors on comprend qu'il faut préserver leur diversité d'approche de valeurs et de mode de résolutions des problèmes.
Verveine, il me semble que cette éventualité est envisagée par l’auteur de l’article qui évoque justement un singleton qui laisserait se développer une certaine diversité tant que celle-ci n’atteindrait pas directement son existence de façon à maintenir des alternatives potentielles.
Stanalpha1
Stanalpha1, merci pour ces informations et vos réflexions sur le sujet. Une a particulièrement attiré mon attention et me permet de rebondir sur une hypothèse que je tiens comme très probable :
En effet, cela va paraître très « osé » mais je me demande si une pénétration exotique n’est pas déjà en cours au sein de notre société et de notre culture via différents moyens. Les OVNI ne seraient alors que la partie émergée d’une réalité très singulière, une composante exotique interférerait de façon beaucoup moins visible à travers Internet voir même directement, à l’échelle microsociale à travers des cellules autonomes et autarciques de quelques individus qui auraient développé de micro réseaux sociaux humains, en préparation à une phase ultérieure de contact. Des sortes d’émissaires venant préparer le terrain. Je sais, tout cela paraît très science fiction et heurte certainement les esprits « rationnels » mais pour appuyer cette hypothèse je donnerai quelques exemples tout au long de ce fil en essayant de mettre en exergue le caractère exotique de ces exemples par effet miroir, avec des éléments que l’on peut trouver dans la science.4. ILS SONT PEUT ETRE DEJA PRESENTS PARMI NOUS,ne serait ce que via les OVNIS qui violent en toute impunité l 'espace aérien de nombreux pays qui les "intéressent"...J 'aurai même l 'audace d 'envisager une INFLUENCE DISRETE, TRES DISCRETE , VIA INTERNET....
Ces « fuites organisées », à condition de les mettre en perspective, donnent des pistes de réflexion et indiquent des voies alternatives.
Mais avant de passer aux solutions, commençons par le constat planétaire et un de mes textes préférés, je l’ai découvert sur le site de Mel Vadeker. Le texte est sans concession sur la nature humaine, l’état du monde et la situation critique de l’humanité. Je vous laisse le soin de découvrir l’intervention du « seigneur des ténèbres » par vous même plutôt que d’induire chez vous des orientations en extrayant quelques passages qui m’interpellent.
http://www.vadeker.net/beyond/ultimatum/conversation_lord_darkness.html
Je mets en rapport ce texte « exotique » avec un article paru dans la prestigieuse revue Nature en 2009, article de Johan Rockström et Marc Lynas intitulé « A Safe Operating Space for Humanity » dont j’ai déjà cité quelques résultats.
http://www.ecologyandsociety.org/vol14/iss2/art32/main.html
Les conclusions de cet article sont par ailleurs reprises dans une conférence récente de Mark Lynas.
http://longnow.org/seminars/02012/mar/06/nine-planetary-boundaries-finessing-anthropocene/
Une recherche historique rapide permet de constater que ces textes sont apparus pratiquement à la même époque avec une anticipation de quelques mois pour cette conversation avec le seigneur des ténèbres (14/11/2008, toujours ces anachronismes qui posent question) dont l’introduction préalable à la lecture était sans ambiguïté :
Loin de la langue de bois et des faux semblants, une leçon de chose sur ce que serait l’échec d’une humanité incapable de prendre en main son propre destin. Une conversation à mi-chemin entre l'avertissement amical et l’ultimatum
et l’article de Nature paru en 2009. L’article en question met en lumière le fait que certaines altérations globales de notre écosystème nous conduisent peut-être à un point de non retour, une singularité, le fameux cloaque évoqué par le « seigneur des ténèbres ».
L’article de Nature étant en anglais, je propose une traduction rapide du résumé. Au passage, on notera que la stabilité climatique que nous avons connu ces derniers milliers d’années ressemble plus à un épiphénomène dans l’histoire de la planète qu’à la norme, l’homme devant se préparer aux évènements qu’il produit mais aussi à ceux qu’il pourrait subir.
Les pressions anthropocentriques sur le système Terre ont atteint un niveau où un changement environnemental global et soudain ne peut plus être écarté. Nous proposons une nouvelle approche à la viabilité globale dans laquelle nous définissons les limites planétaires où nous pensons que l’humanité puisse opérer en sécurité. Dépasser une ou plusieurs de ces limites planétaires peut être nuisible ou même catastrophique dû aux risques de dépasser des niveaux qui déclencheraient un changement environnemental soudain, non linéaire à l’échelle d’un continent voir même du système planétaire. Nous avons identifié 9 limites planétaires et faisant usage de la compréhension scientifique actuelle, nous proposons les quantifications de 7 d’entre elles. Ces 7 sont le changement climatique (la concentration en CO2 dans l’atmosphère <350 ppm et/ou un changement maximum de ° 1 W m-2 dans le forçage radiatif) ; l’acidification océanique (la moyenne de l’état de saturation de l’eau de mer en surface en rapport avec l’aragonite >= 80% aux niveaux préindustriels) ; l’ozone stratosphérique (< 5% réduction de la concentration en O3 par rapport au niveau préindustriel de 290 unités de Dobson) ; le cycle de l’azote biogéochimique (limite industrielle et de fixation agricole à 35 Tg N par an de N2) ; et le cycle du phosphore (l’afflux annuel de phosphore dans les océans ne devant pas dépasser 10 fois l’effritement du milieu naturel en phosphore ; l’utilisation globale d’eau douce (<4000 km3 par an d’utilisation gaspillée de ressources limitées) ;le changement de système de terre (<15% de la surface de terres libres de glace cultivées). Et le taux auquel la biodiversité disparaît (taux annuel < 10 extinctions par million d’espèces). Les deux limites planétaires additionnelles pour lesquelles nous n’avons pas encore été capables de déterminer un niveau limite sont la pollution chimique et l’enrichissement de l’atmosphère par des aérosols. Nous estimons que l’humanité a déjà transgressé 3 limites planétaires ; le changement climatique, le taux d’extinction de la biodiversité, et les changements dans le cycle global de l’azote. Les limites planétaires sont interdépendantes, car en dépassant l’une cela peut provoquer à la fois le déplacement de valeur des autres limites ou causer leur dépassement. L’impact social de la transgression des limites sera une fonction de la résilience socio-écologique des sociétés affectées. Nos limites proposées sont brutes, une première estimation seulement, entourées de grandes incertitudes et de lacunes de compréhension. Compléter ces lacunes demandera des avancées majeures dans la connaissance du système Terre et dans la science de la résilience. Le concept proposé de « limites planétaires » prépare le travail de terrain pour changer notre approche de gouvernance et de management, loin des analyses essentiellement sectorielles des limites pour croître dans le but de minimiser les externalités négatives, vers une estimation de l’espace sans danger pour le développement humain. Les limites planétaires définissent, comme si elles étaient, les frontières du « champ de jeu planétaire » pour l’humanité si nous voulons être surs d’éviter les changements environnementaux majeurs provoqués par l’humanité à l’échelle globale.
On peut discuter le contenu de l’article ou de la conférence de Mark Lynas notamment sur les aspects de la radioactivité qui peuvent être classés dans les rubriques de la pollution chimique ou des aérosols et dont les conséquences sont bien moins anodines que semble l’indiquer l’auteur (cf la pollution par l’uranium appauvri par nos chers bienfaiteurs du complexe militaro industriel) voir même envisager d’autres sources comme la pollution électromagnétique. Cependant, l’article me semble poser les bases d’un système de surveillance et de contrôle qu’une AI pourrait fort bien prendre en charge pour assister l’homme et le conseiller sur les actions correctives à mener. Une béquille numérique qui nous indiquerait par exemple que si nous continuons à la cadence actuelle nous avons 99 % de chance de disparaître dans les cinquante années à venir et encore, je me demande si je ne suis pas optimiste…
Un des éléments de la conversation avec « le seigneurs des ténèbres » que je trouve particulièrement percutant et qui rejoint cette idée de maladie d’espèce que j’évoquais à propos du capitalisme concerne une éventuelle modification du cerveau humain qui nous ferait retomber à l’état animal! Rien n’est donné pour acquis ! Cette piste mérite d’être analysée et suivie, je pense, d’un point de vue de la recherche en s’interrogeant sur les conséquences néfastes que certains « mèmes », ces « idées » d’un capitalisme destructeur par exemple seraient susceptibles de câbler en dur dans notre cerveau si nous ne prenons pas garde, en copiant et recopiant une façon d’être au monde qui nous conduirait au néant[0]. Bien que Mark Pagel (Professeur de biologie évolutionniste) n’aille pas aussi loin, il est intéressant de rapprocher cette thématique de ses travaux. Le titre de la conférence est sans ambiguïté !
http://edge.org/conversation/infinite-stupidity-edge-conversation-with-mark-pagel
Nous avons vu qu’un petit nombre d’idées peuvent faire un long chemin. Et l’Internet rend cela de plus en plus vrai. Ce qui se passe est que nous pourrions, en fait, être à une période de notre histoire où nous serions domestiqués par ces grandes choses sociales, comme Facebook et l’Internet. Nous serions domestiqués par elles, car de moins en moins en moins d’entre nous devraient être des innovateurs pour s’en sortir. Et alors, dans le calcul froid de l’évolution par la sélection naturelle, et comme jamais auparavant, les copieurs feront probablement mieux que les innovateurs. Parce que l’innovation est extraordinairement difficile. Mon inquiétude c’est que nous pourrions aller dans cette direction, en devenant de plus en plus des sortes de copieurs dociles.
Et la vous voyez tout de suite le danger car dans un monde où l’innovation devient absolument indispensable pour contrebalancer les problématiques exponentielles qui s’imposent à l’humanité, nous offririons le copiage et le recopiage d’un modèle suranné, le plantage assuré…
Sur les 7 milliards d’habitants de cette planète, je ne doute pas un seul instant de la bonne volonté de chacun, même si les prédateurs rodent et profitent de « l’humanité » de la multitude pour construire leurs empires, ceux qui nous conduisent au néant. Pourquoi alors un tel déphasage entre l’individu et cette société toujours plus mortifère. Le monde n’est pas à construire sur les bases des souhaits et désirs d’un infime pourcentage de prédateurs mais bien sur l’utopie génératrice de vie de la multitude. Et si les grandes structures pyramidales, fruits délétères de nos prédateurs sont incapables de répondre à l’utopie créatrice de la masse, foutons les par terre et créons des microsociétés à taille humaine maillées à l’image d’un réseau, comme internet et douées de la conscience de la vie où le partage et l’amour seraient les monnaies d’échange. Peut-être faut-il simplement comme le disait M Bloom que l’on se remue le cul. Je suis persuadée que si l’on posait à chaque individu la question suivante :
« Que préférez-vous ? Mourir en consommant toujours plus pour conserver la croissance ou vivre en harmonie en favorisant la vie? la réponse à titre individuel ne ferait aucune discussion. Alors pourquoi au niveau global ça cloche? »
A cette image du mouton social qui devrait tout accepter, je vous propose celui du mouflon du Caucase, un brin Iranien pour faire le lien avec Sohrawardi, la période actuelle et entrer en résistance.
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A moins qu’il ne s’agisse d’une conséquence directe et néfaste de ce bain électromagnétique toujours plus envahissant des technologies de la communication…
- Stanalpha1Equipe du forum
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Re: Les implications d'un éventuel contact avec des Extraterrestres
Mar 13 Mar 2012, 11:13
Bonjour M51M51,
Merci de nous donner de la "nourriture neuronale" via vos exposés et vos renvois à références qui, sans vous ,nous seraient guère accessibles: ce n 'est pas à défaut d'être curieux...Encore faut il savoir de quel côté chercher, à quelles sources s'abreuver!.. Et j'en reviens toujours au même constat : Ces références sont souvent en ANGLAIS!...N 'y a t il donc rien à se mettre sous la "dent" du côté de nos chercheurs et intellectuels français ? Bonne question non ?..Qui d'autre à part un Michel SERRES qui d'ailleurs enseigne aux Etats Unis ?..
Du côté britannique, voyons Richard DAWKINS, père de la mémétique, qui a des idées intéressantes sur l 'évolution des sociétés (le "mème" étant l 'équivalent culturel du gène)...Cf son livre the Selfish Gene....Ses travaux sont poursuivis par Susan BLACKMORE...
Oui, l'idée que le réseau du "net"soit un médium d'influence pour ALIEN, est peut être très osée ...Mais nous devons rester ouverts à TOUT !....Je suis persuadé que ces Entités sont ,seraient plus fines, plus rusées que des Ummites qui choisiraient un médiateur/interlocuteur unique ,ou un petit groupe d individus, afin de faire connaître aux Terriens leur saga , leurs théories, leurs concepts et paradigmes de tous ordres...!
Ufologiquement vôtre STANALPHA
Merci de nous donner de la "nourriture neuronale" via vos exposés et vos renvois à références qui, sans vous ,nous seraient guère accessibles: ce n 'est pas à défaut d'être curieux...Encore faut il savoir de quel côté chercher, à quelles sources s'abreuver!.. Et j'en reviens toujours au même constat : Ces références sont souvent en ANGLAIS!...N 'y a t il donc rien à se mettre sous la "dent" du côté de nos chercheurs et intellectuels français ? Bonne question non ?..Qui d'autre à part un Michel SERRES qui d'ailleurs enseigne aux Etats Unis ?..
Du côté britannique, voyons Richard DAWKINS, père de la mémétique, qui a des idées intéressantes sur l 'évolution des sociétés (le "mème" étant l 'équivalent culturel du gène)...Cf son livre the Selfish Gene....Ses travaux sont poursuivis par Susan BLACKMORE...
Oui, l'idée que le réseau du "net"soit un médium d'influence pour ALIEN, est peut être très osée ...Mais nous devons rester ouverts à TOUT !....Je suis persuadé que ces Entités sont ,seraient plus fines, plus rusées que des Ummites qui choisiraient un médiateur/interlocuteur unique ,ou un petit groupe d individus, afin de faire connaître aux Terriens leur saga , leurs théories, leurs concepts et paradigmes de tous ordres...!
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Re: Les implications d'un éventuel contact avec des Extraterrestres
Mar 13 Mar 2012, 18:40
Désolé M51M51,
Je lis le forum par petits bouts, et pour les longs posts il peut y avoir des pb...
A+
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Re: Les implications d'un éventuel contact avec des Extraterrestres
Mar 13 Mar 2012, 23:40
Bonsoir.Mon humble idée est que l'etre humain individu ou petit groupe d'individus est doté (de par sa nature animale) d'un instinct de survie mais que les grands groupes (foules,nations et civilisations) n'en n'ont pas.Il y aurait une espèce de taille critique ou la somme des individualités et leurs égoismes annihilerait cet instinct.Voilà pourquoi nous sommes ("grace" au capitalisme débridé) en train de nous ruer dans un mur en klaxonnant.
Quant à notre "solitude" (C.Magnan et cie),on pourrait faire les hypothèses inverses (que la Vie foisonne dans l'Univers) en extrapolant le principe de Banalité (on n'a rien d'exceptionnel) à la loi des grands nombres! Du moment qu'on ne sait pas comment commence la Vie (facilement ou très difficilement),toutes les hypothèses sont permises ( à bas l'argument d'autorité!).
Cordialement.
Quant à notre "solitude" (C.Magnan et cie),on pourrait faire les hypothèses inverses (que la Vie foisonne dans l'Univers) en extrapolant le principe de Banalité (on n'a rien d'exceptionnel) à la loi des grands nombres! Du moment qu'on ne sait pas comment commence la Vie (facilement ou très difficilement),toutes les hypothèses sont permises ( à bas l'argument d'autorité!).
Cordialement.
- VerveineUfologue/enquêteur
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Re: Les implications d'un éventuel contact avec des Extraterrestres
Mer 14 Mar 2012, 18:03
Bonjour,
Désolé pour le coté désordonné de cette intervention qui revient sur la communication.
1/ L'URL donnée par Stan pour le site de Florian Casset est erronée . la bonne URL est http://www.fcasset.fr/-Communication-.html
2/ Le gars en question à fait un bon boulot mais n'a pas compris l'intérêt de certain types de communications. En particulier les chants et poèmes permettent de fiabiliser la transmission... (comme les check data dans les flux de données numérisées) et en plus d'éviter la censure. En effet les textes écrits se transmettent par copie, si quelque chose ne convient pas on peut le modifier sans que personne ne s'en rende compte. Ou même on peut simplement détruire le texte. Les poèmes et surtout les chants eux passent les époques, passent les censeurs et transmettent toujours leurs messages en évitant modif (genre téléphone arabe) ou les censures puisque la transmission se fait de bouche à oreille. C'est ainsi par exemple que quelques informations Cathares et Bogomiles ont pu franchir les siècles à travers des chants traditionnels.
3/... désolé je dois partir
Amitiés
Désolé pour le coté désordonné de cette intervention qui revient sur la communication.
1/ L'URL donnée par Stan pour le site de Florian Casset est erronée . la bonne URL est http://www.fcasset.fr/-Communication-.html
2/ Le gars en question à fait un bon boulot mais n'a pas compris l'intérêt de certain types de communications. En particulier les chants et poèmes permettent de fiabiliser la transmission... (comme les check data dans les flux de données numérisées) et en plus d'éviter la censure. En effet les textes écrits se transmettent par copie, si quelque chose ne convient pas on peut le modifier sans que personne ne s'en rende compte. Ou même on peut simplement détruire le texte. Les poèmes et surtout les chants eux passent les époques, passent les censeurs et transmettent toujours leurs messages en évitant modif (genre téléphone arabe) ou les censures puisque la transmission se fait de bouche à oreille. C'est ainsi par exemple que quelques informations Cathares et Bogomiles ont pu franchir les siècles à travers des chants traditionnels.
3/... désolé je dois partir
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- Sylvain VellaEquipe du forum
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Re: Les implications d'un éventuel contact avec des Extraterrestres
Mer 14 Mar 2012, 18:35
J'avais vu une étude sur le sujet , qui différe un peu mais qui reprend les grandes lignes , on avait pris un sujet faisant semblant de se trouver mal dans un lieu publique (métro il me semble) et la réaction des gens et de ne pas se précipiter à son secours , car chacun pense qu'il n'est pas qualifié pour l'aider et du coup il faut énormément de temps pour que quelqu'un franchisse le pas .Durrmeyer Christian a écrit:Bonsoir.Mon humble idée est que l'etre humain individu ou petit groupe d'individus est doté (de par sa nature animale) d'un instinct de survie mais que les grands groupes (foules,nations et civilisations) n'en n'ont pas.Il y aurait une espèce de taille critique ou la somme des individualités et leurs égoismes annihilerait cet instinct.Voilà pourquoi nous sommes ("grace" au capitalisme débridé) en train de nous ruer dans un mur en klaxonnant.
Quant à notre "solitude" (C.Magnan et cie),on pourrait faire les hypothèses inverses (que la Vie foisonne dans l'Univers) en extrapolant le principe de Banalité (on n'a rien d'exceptionnel) à la loi des grands nombres! Du moment qu'on ne sait pas comment commence la Vie (facilement ou très difficilement),toutes les hypothèses sont permises ( à bas l'argument d'autorité!).
Cordialement.
à l'inverse , dans un endroit peu fréquenté le même sujet est rapidement secouru par le premier passant , car celui ci pense qu'il a une responsabilitée si il ne s'arrête pas et qu'il n'y a personne de plus qualifié pour reprendre le flambeau .
Donc les humains font preuve de plus d'individualité lorsqu'ils sont en groupe devant une situation X ou Y.
j'ai pas retrouvé l'étude dont je parles , mais je pense l'avoir à peu prés restitué .
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Re: Les implications d'un éventuel contact avec des Extraterrestres
Ven 16 Mar 2012, 18:14
Je reviens au point 3 de mon dernier post:
3/En réponse à Christian... L'histoire du comportement de groupes humains peut être vue comme une extension du comportement de groupes tout court.
Si on considère le groupe d'individus comme un méta-individu, alors la sélection naturelle et l'adaptativité entrent en compétition... Tant que son adaptivité lui permet d'affronter les crises le méta-individu vit. Si un méta individu est réduit à une mécanique stupide il ne s'adapte pas et disparaît. Mais rien ne se perd ni ne se crée... les individus se réorganisent jusqu'a l'apparition d'une conscience collective. Laquelle rend évidemment le méta individu plus robuste car plus adaptable et celà indépendamment du nombre d'individus qui le composent.
L'apparition d'une conscience collective est certainement plus difficile avec des grands groupes mais notre corps contient environ 100 000 milliards de cellules et la capacité de survie de notre corps est bien meilleure que celle de chacune de ces cellules prises séparément. On est que 7 milliards d'humains sur terre ! Alors çà devrait pas être si difficile d'arriver à une conscience collective .
Pour Sylvain, le film qui vient de sortir (38 témoins) évoque un peu ces problèmes.
A Bientôt
3/En réponse à Christian... L'histoire du comportement de groupes humains peut être vue comme une extension du comportement de groupes tout court.
Si on considère le groupe d'individus comme un méta-individu, alors la sélection naturelle et l'adaptativité entrent en compétition... Tant que son adaptivité lui permet d'affronter les crises le méta-individu vit. Si un méta individu est réduit à une mécanique stupide il ne s'adapte pas et disparaît. Mais rien ne se perd ni ne se crée... les individus se réorganisent jusqu'a l'apparition d'une conscience collective. Laquelle rend évidemment le méta individu plus robuste car plus adaptable et celà indépendamment du nombre d'individus qui le composent.
L'apparition d'une conscience collective est certainement plus difficile avec des grands groupes mais notre corps contient environ 100 000 milliards de cellules et la capacité de survie de notre corps est bien meilleure que celle de chacune de ces cellules prises séparément. On est que 7 milliards d'humains sur terre ! Alors çà devrait pas être si difficile d'arriver à une conscience collective .
Pour Sylvain, le film qui vient de sortir (38 témoins) évoque un peu ces problèmes.
A Bientôt
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Pour ceux qui cherchent midi à quatorze heures, la minute de vérité sera longue à venir . Pierre Dac
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Re: Les implications d'un éventuel contact avec des Extraterrestres
Sam 17 Mar 2012, 18:22
Verveine :
Merci pour vos interventions.
Christian-Sylvain Vela
Stanalpha1, parfois je me demande si vous ne lisez pas dans mes pensées ou plus prosaïquement dans mon ordinateur. Non, je plaisante bien entendu, mais vous faites bien d’introduire (sans mauvaise pensée bien entendu) Susan Blackmore et la théorie des mèmes. Même (mème) si je ne l’ai pas expliqué, j’évoque ce thème (tème) depuis quelque temps sans vraiment l’expliciter et j’ai conscience de la gêne (gène) que je sème (sème). Je donnerai à la fin de cette intervention le pourquoi des termes entre parenthèses, disons qu’il s’agit d’une épiphanie tétralogique inspirée par la conférence de Susan.
Quant à vous répondre sur l’absence apparente de travaux scientifiques en français sur le sujet, peut-être est-ce lié à notre esprit trop « cartésien » voir aux ravages de ce désherbant de la pensée que constitue la zététique (mais j’ai conscience de faire bien trop d’honneur à ce machin, ce sous produit de la bêtise). Ou tout simplement, parce que pour être « entendu » scientifiquement, il faut publier en anglais comme un des articles de ce chercheur français que j’ai évoqué sur ce fil. Notez qu’en cherchant un peu, on trouve quand même une activité en France qui semble être cautionnée par le CNRS (voilà qui ne fera pas plaisir à Anakin car c’est sur l’axe de l’exobiologie que se développe ce mouvement, on ne peut en effet concevoir l’Alien que microbien… pour ne pas heurter le dogme!) http://www.exobiologie.fr/index.php/actualites/evenements/atelier-de-reflexion-autour-de-la-formule-de-drake/
http://www.omnsh.org/spip.php?article162&var_recherche=extraterrestres
Mais revenons à Susan Blackmore. Vous trouverez un lien intéressant sur cette affaire de mème et une approche originale de l’équation de Drake. De plus, Susan nous permet de travailler notre anglais, sa diction est impeccable et la compréhension en est, je trouve, facilitée et je ne parle pas de ses talents d’oratrice. Traduction rapide partielle, parfois imprécise.
http://www.ted.com/talks/susan_blackmore_on_memes_and_temes.html
Mémétique : Théorie des memes.
Qu’en est-il ailleurs ? Dans leur quotidien, des civilisations évoluées ont dû inventer quelques parades.
Poursuivons :
1 La fusion avec nos techno-objets-réalisations, cela sent bon le transhumanisme, une voie que je tiens pour dangereuse et suspecte. Une sorte de miroir aux alouettes.
2 La disparition pure et simple de l’humanité au profit de machine, un scénario à la Matrix.
Il me semble qu’il existe au moins une troisième voie (notez que je spécule ici) qui repose si on reste fidèle à cette approche théorique mémétique sur un quatrième réplicateur que je désignerai sous le terme de « sème » ou Spiritual Mème, de l’information qui se copie, varie et est sélectionnée dans l’espace imaginal, lequel espace imaginal « bien réel » est interconnecté avec notre univers matériel par l’intermédiaire des acteurs néguentropiques, j’entends les êtres vivants qui ont atteint une certaine complexité. Ces sèmes apparaissent en parallèle avec les mèmes et les tèmes et agissent par boucles de rétroaction éthiques sur le monde matériel et les êtres vivants qui les produisent, transportent, échangent etc. Leurs capacités opératoires sur la matière et les êtres vivants ne sont surtout pas à négliger ou à sous-estimer, je dirai même qu’il s’agit des mèmes d’une puissance insoupçonnés. Tous ne sont pas forcément positifs pour l’espèce et le monde qui les produits. Ils sont en quelques sortes l’expression des lois universelles du cosmos, de ses limites ou frontières qu’il convient de ne pas dépasser au risque de s’exposer à des représailles. Gènes, Mèmes, Tèmes, Sèmes construisent un univers tétralogique d’intervention sur la « matière » univers, que celle-ci soit physique ou immatérielle :
Gène un acteur réplicateur biologique qui intervient sur la matière, la structure, la forme et la façonne (le chemical binding de Korzybski)
Mème un acteur réplicateur culturel et sociologique.
Tème un acteur réplicateur techno numérique, méta expression du mème et outil de mémoire et de communication élargie. Mème et Tème correspondent au space binding et au Time binding de Korzybski.
Sème un acteur réplicateur spirituel qui introduit la notion de Spiritual binding.
Une sorte d’invariant au niveau du cosmos. Cette troisième voie est celle d’un développement en harmonie avec la vie et les règles du cosmos reposant sur l’association, le partage et l’entraide; où le désir de puissance est jugulé par la prise de conscience.
Dans cette construction de la complexité à la Stephen Wolfram (a new kind of science), nous bâtissons des plans d’immanence sur le chaos en fusionnant art, technologie, philosophie et science. Encore une histoire de 4 branches comme s’il fallait un 4x4 pour cheminer ce cosmos. En m’inspirant de Deleuze et d’un ouvrage clé intitulé « Qu’est-ce que la philosophie ? »(vous voyez bien Stanalpha1 qu’il y a des Français qui interviennent de façon très pointue dans ce champ même si cela n’apparaît pas évident au premier regard), de Korzybski et de ce que le cosmos nous donne à observer, j’ai produit ceci :
Au delà de notre espèce nous dessinons des plans et des ponts sur le chaos :
Je ne résiste pas à la tentation de vous faire partager un passage de ce chef d’œuvre de Deleuze qui devrait contribuer à la reconfiguration du monde :
Anakin, je tenais à vous remercier pour le fantastique travail que vous abattez, j’ai visité vos pages récentes sur les années soixante et c’est une véritable mine d’or, un fantastique feu d’artifice d’intelligence, de faits, de rapprochement, un outil prodigieux. Merci de m’inspirer et de nous inspirer dans cette approche de l’altérité, gageons que votre travail laissera des traces dans cette période sombre, un flambeau dans la nuit. Vous évoquez le hasard et comme vous je trouve le hasard parfois bizarre et comment dire « orienté ». Pour rejoindre le sujet d’une éventuelle pénétration exotique des sociétés humaines, je suis tombée « par hasard » sur le livre traduit en français de Howard Menger, « Mes amis les hommes de l’espace » édité par Dervy en 1965. Après une introduction laborieuse de J.P Crouzet, le traducteur, j’ai failli décrocher et reposer le livre à sa place, on tombe sur un ouvrage étonnant. La persévérance a payé. J’ai trouvé un bouquin curieux plein de références et de marqueurs qui ne sont pas anodins, et de quoi crédibiliser les récits d’Howard Menger. En lisant le livre, un terme me revient régulièrement à la surface, « amorçage ». Le bouquin est agrémenté de photos, pas toujours très nette il est vrai mais parfois troublante. Il y aurait de nombreux passages à citer mais commençons par celui-ci. A noter que ces visiteurs ont le type nordique, ils sont blonds, cheveux longs et semblent exprimer une conscience morale élevée, cela ne vous rappelle t’il pas un dossier en particulier? Howard relate ses premiers contacts depuis l’enfance et en particulier dans les années 1950, donc bien avant l’écran de fumée espagnol. Voici le genre de curiosités que l’on trouve dans ce bouquin. Ecoutons Howard :
Voilà, j’ai fait encore un peu long. Bonne lecture et réflexions.
Merci pour vos interventions.
Je vous rejoins à 100 %. On pourrait même aborder cette problématique du contact à travers les poètes et la poésie. Une suite à ce fil à venir.Les poèmes et surtout les chants eux passent les époques, passent les censeurs et transmettent toujours leurs messages en évitant modif (genre téléphone arabe) ou les censures puisque la transmission se fait de bouche à oreille. C'est ainsi par exemple que quelques informations Cathares et Bogomiles ont pu franchir les siècles à travers des chants traditionnels.
Christian-Sylvain Vela
Effectivement, ceci dit et comme le souligne Verveine, l’ensemble de ces individualités peut aussi déboucher sur une intelligence collective douée de conscience. Il y a peut-être un seuil à atteindre et il faut, je pense aussi, éviter qu’il y ait un « parasitage » de cette conscience collective par un faible nombre d’individus qui n’ont pas intérêt à ce que la situation évolue. Cette conscience collective encore naissante peut alors peut-être aussi commencer à émerger, se rendre compte de sa situation critique et générer, comme tout organisme, les défenses nécessaires à sa survie quelle lancera à leur encontre.Il y aurait une espèce de taille critique ou la somme des individualités et leurs égoismes annihilerait cet instinct.Voilà pourquoi nous sommes ("grace" au capitalisme débridé) en train de nous ruer dans un mur en klaxonnant.
Oui, l'idée que le réseau du "net"soit un médium d'influence pour ALIEN, est peut être très osée ...Mais nous devons rester ouverts à TOUT !....Je suis persuadé que ces Entités sont ,seraient plus fines, plus rusées que des Ummites qui choisiraient un médiateur/interlocuteur unique ,ou un petit groupe d individus, afin de faire connaître aux Terriens leur saga , leurs théories, leurs concepts et paradigmes de tous ordres...!
Stanalpha1, parfois je me demande si vous ne lisez pas dans mes pensées ou plus prosaïquement dans mon ordinateur. Non, je plaisante bien entendu, mais vous faites bien d’introduire (sans mauvaise pensée bien entendu) Susan Blackmore et la théorie des mèmes. Même (mème) si je ne l’ai pas expliqué, j’évoque ce thème (tème) depuis quelque temps sans vraiment l’expliciter et j’ai conscience de la gêne (gène) que je sème (sème). Je donnerai à la fin de cette intervention le pourquoi des termes entre parenthèses, disons qu’il s’agit d’une épiphanie tétralogique inspirée par la conférence de Susan.
Quant à vous répondre sur l’absence apparente de travaux scientifiques en français sur le sujet, peut-être est-ce lié à notre esprit trop « cartésien » voir aux ravages de ce désherbant de la pensée que constitue la zététique (mais j’ai conscience de faire bien trop d’honneur à ce machin, ce sous produit de la bêtise). Ou tout simplement, parce que pour être « entendu » scientifiquement, il faut publier en anglais comme un des articles de ce chercheur français que j’ai évoqué sur ce fil. Notez qu’en cherchant un peu, on trouve quand même une activité en France qui semble être cautionnée par le CNRS (voilà qui ne fera pas plaisir à Anakin car c’est sur l’axe de l’exobiologie que se développe ce mouvement, on ne peut en effet concevoir l’Alien que microbien… pour ne pas heurter le dogme!) http://www.exobiologie.fr/index.php/actualites/evenements/atelier-de-reflexion-autour-de-la-formule-de-drake/
Il y a cependant quelques voies intéressantes notamment celle de l’ethnologie, de l’anthropologie et de la sociologie, un lien avec l’université de Paris 8 ?Atelier de réflexion autour de la formule de Drake :
Comité d’organisation :
Alain Labèque, Institut d’astrophysique spatiale, Orsay
Elisabeth Piotelat, Laboratoire d’Informatique pour la Mécanique et les Sciences de l’Ingénieur, Orsay
Florence Raulin Cerceau, Centre Koyré, Muséum national d’Histoire naturelle, Paris
Jean-Pierre Rospars, Institut National de la Recherche Agronomique, Versailles
Jean-Michel Martin, Observatoire de Paris
Comité scientifique :
Luc Arnold, Observatoire de Haute Provence
André Brack, Centre de Biophysique Moléculaire, Orléans
Didier Despois, Observatoire Aquitain des Sciences de l’Univers, Bordeaux
Jean-Michel Martin, Observatoire de Paris
Nicolas Prantzos, Institut d’Astrophysique de Paris
Jean-Pierre Rospars, Institut National de la Recherche Agronomique, Versailles
Jean Schneider, Observatoire de Paris
http://www.omnsh.org/spip.php?article162&var_recherche=extraterrestres
Si, depuis les années 1980, historiens et philosophes des sciences s’éloignent de l’« épistémologie naïve » (Soler, 2000) capable de décider qu’une théorie est la meilleure dans sa version réaliste (théorie la plus vraie) ou sa version antiréaliste (théorie la plus efficace), sortira-t-on jamais des filets platoniciens de la naïveté épistémologique, cette volonté humaine de pureté théorique, de totalité lumineuse — voire numineuse (sacrée, surnaturelle, mystérieuse) — éclairant le monde ? A contrario, peut-être y a-t-il une école, une « anthropologie dogmatique » (Legendre, 2001) ou un principe matérialiste fort (Basquiat, 2007), permettant de comprendre que nous ne comprenons encore qu’incorrectement ce que nous comprenons du concret ? Cette assertion s’oppose aussi bien à la définition de l’herméneutique classique que de la science-fiction mais les complète, car comprendre l’incompréhensible sont leur mouvement. Les complète, au sens où la SF participe de la mentalité des sciences : comprendre humainement ce qui est humain et ce qui ne l’est pas à première vue : de la venue de la conscience et de la religiosité aux extraterrestres.
Bref, toute histoire est reconstruction, formalisation a posteriori impliquant des métaphysiques et des ignorances agglutinées, sédimentées, à un background knowledge indissociable (on parle de « point aveugle ») d’une rhétorique et d’une présentation des faits, d’un style. Par conséquent, une « histoire générale des sciences » n’en est pas moins Arlequin : ainsi pensons-nous obstinément au cycle Fondation d’Asimov dans lequel Hari Seldon et le robot R. Daneel Olivaw symbolisent l’ambiguïté (métaphysique) de toute re-construction — à la fois funambule et explicative — du passé humain et de son avenir même.
Mais revenons à Susan Blackmore. Vous trouverez un lien intéressant sur cette affaire de mème et une approche originale de l’équation de Drake. De plus, Susan nous permet de travailler notre anglais, sa diction est impeccable et la compréhension en est, je trouve, facilitée et je ne parle pas de ses talents d’oratrice. Traduction rapide partielle, parfois imprécise.
http://www.ted.com/talks/susan_blackmore_on_memes_and_temes.html
Mémétique : Théorie des memes.
Exemple de mème qui a eu beaucoup de succès sur Terre :
…
Si vous avez des créatures qui varient et si elles luttent pour leur survie et si le peu qui survivent transmettent à leurs progénitures ce qui leur a permis de survivre alors ses descendants seront mieux adaptés aux conditions environnementales que leurs parents. Vous percevez l’idée, si.., si.., si.. alors. Darwin ne possédait pas le concept d’algorithme mais c’est ce qu’il décrit dans son livre et c’est ce que nous appelons l’évolutionnisme algorithmique aujourd’hui. L’évolutionnisme algorithmique ou le Darwinisme universel :
Si vous avez :
- La variation.
- La sélection.
Et
- L’hérédité.
Alors vous devez obtenir l’évolution et la création à partir du chaos sans l’aide de l’esprit.
Devez :Vous n’avez pas besoin d’un créateur, d’un plan, de prévoyance ou de quoi que ce soit. S’il y a quelque chose qui est copié avec des variations et peut être sélectionné alors vous devez avoir une conception apparaissant de nulle part et vous ne pouvez la stopper.
Le principe évoqué ici s’applique à tout ce qui est copié avec des variations/sélections. Nous sommes tellement habitués à penser en terme de biologie, nous pensons aux gènes de cette façon. Darwin ne pensait pas aux gènes, il ne connaissait bien entendu pas les gènes il parlait principalement des animaux, des plantes, mais aussi des langages évoluant et disparaissant. Le principe du Darwinisme universel est que toute information qui varie et est sélectionnée produira des formes et c’est ce que Richard Dawkins commença avec le best seller de 1976, le « Selfish gene ». L’information qui est copiée, elle apporte le réplicateur. Elle se copie égoïstement quelles qu’en soient les conséquences, elle se moque des conséquences parce qu’elle ne peut pas, parce que c’est juste de l’information venant d’être copiée. Y a t’il un autre réplicateur (autre que les gènes) sur notre planète. Oui, il y en a un. Regardez tout autour de vous, ici, dans cette pièce autour de nous encore grossièrement dérivant dans cette superculture primitive il a un autre réplicateur, l’information que nous copions de personne à personne par imitation, par le langage, en discutant, en racontant des histoires, en portant des habits, en faisant des choses. C’est de l’information copiée avec de la variation, de la sélection, c’est le processus du design qui continue.
Un meme, c’est ce qui est imité, c’est de l’information qui est copiée de personne à personne. Voyons quelques exemples de meme:
Qu’en est-il ailleurs ? Dans leur quotidien, des civilisations évoluées ont dû inventer quelques parades.
Poursuivons :
Susanne introduit alors une troisième forme de réplicateur qu’elle désigne sous le terme de mèmes technologiques ou Tèmes. Elle décrit les tèmes comme de l’information digitale qui est stockée, copiée qui varie et est sélectionnée par les machines. Selon cette théorie, les machines (ordinateurs) créées par les hommes créent les tèmes. La où les choses deviennent passionnantes c’est en 13.40 ou Susan évoque la vie extraterrestre. Ecoutons.Nous sommes des machines de mèmes.
Vous avez une sorte de course à l’armement entre les gènes qui essayent de faire en sorte que les humains disposent d’un cerveau économique, et ne perdent pas de temps à copier tout un tas de choses et les mèmes eux mêmes comme le son que les gens font et copient, en d’autres mots ce qui deviendra le langage. La taille du cerveau est commandée par les mèmes…et nous terminons avec une relation symbiotique avec ce parasite. L’être humain est à la fois une machine de gènes, une machine de mèmes.
La formule de Drake revisitée par SusanFrank Drake s’est fourvoyé, c’est la mauvaise façon de penser à cela. L’intelligence apparaît dans toute sorte d’endroit, dans toutes sortes « de gars », l’intelligence humaine est juste un exemple. Ce qui est vraiment important ce sont les réplicateurs, les niveaux de réplicateurs, et celui alimentant le précédent. Je suggère de ne plus penser en terme d’intelligence mais de penser aux réplicateurs et sur cette base je propose une différente sorte d’équation, une équation très simple :
Personnellement, je trouve Susan Blackmore assez réductrice quant aux options possibles qui resteraient à l’humanité en terme dévolution pardon, d’évolution :Car c’est le troisième réplicateur parce que c’est seulement le troisième réplicateur qui entre en contact, envoyant des informations, envoyant des sondes, sortant de là pour communiquer avec tout le monde. Alors pourquoi n’avons nous pas entendu quelqu’un jusqu’à présent ? Parce que chaque étape est dangereuse. Obtenir un nouveau réplicateur est dangereux. Vous pouvez survivre, nous avons survécu…
…
Assis ici, votre cerveau utilise 20 % des énergies corporelles pour 2 % de votre poids, un organe qui coute vraiment cher à faire tourner, pourquoi, parce qu’il produit des mèmes.
…
Nous avons survécu et nous nous sommes adaptés. Et maintenant nous avons le 3 ième réplicateur et c’est de nouveau dangereux parce que les tèmes sont des réplicateurs égoistes et ils n’ont pas besoin de nous, de notre planète ou de quoi que ce soit d’autre, ils sont juste de l’information…Ils nous utilisent pour pomper les ressources de la planète pour produire plus d’ordinateur, et toutes ces choses étonnantes que nous écoutons à TED. Oh, nous avons créé internet pour notre propre bénéfice… Pensez plutôt que les Tèmes se développent parce qu’ils le doivent. Allons nous survivre ? Que va t’il se passer ? Mais il y a deux façons de survivre, une est ce qui se passe manifestement actuellement tout autour de nous, c’est que les tèmes nous transforment en machine de tèmes avec ces implants, ces drogues avec nous fusionnant avec la technologie. Pourquoi font-ils cela ? Parce que nous nous reproduisons. Nous faisons des bébés, nous faisons des nouveaux aussi et c’est pratique de se reposer sur nous parce que nous ne sommes pas sur cette planète à l’étape où les autres options sont viables même si elles sont proches, plus proches que ce que je pensais, que les machines de tèmes se répliquent elles mêmes. De cette façon peu importe que le climat soit vraiment déstabilisé et qu’il ne soit plus possible aux humains de vivre ici. Parce que ces machines de tèmes n’auraient pas besoin de patauger, de respirer de l’oxygène… ils peuvent continuer sans nous. Ce sont donc les deux possibilités. La seconde je ne pense pas que nous en soyons si proche, cela vient mais nous n’en sommes pas encore là. La première arrive aussi mais les dommages ont déjà été faits à la planète et ils nous montrent combien cette troisième étape est dangereuse, ce troisième point amenant au troisième réplicateur. Allons nous survivre à cette troisième étape de danger comme nous avons réussi à passer la seconde et aussi la première? Peut-être nous réussirons, peut-être pas, je n’en ai aucune idée.
1 La fusion avec nos techno-objets-réalisations, cela sent bon le transhumanisme, une voie que je tiens pour dangereuse et suspecte. Une sorte de miroir aux alouettes.
2 La disparition pure et simple de l’humanité au profit de machine, un scénario à la Matrix.
Il me semble qu’il existe au moins une troisième voie (notez que je spécule ici) qui repose si on reste fidèle à cette approche théorique mémétique sur un quatrième réplicateur que je désignerai sous le terme de « sème » ou Spiritual Mème, de l’information qui se copie, varie et est sélectionnée dans l’espace imaginal, lequel espace imaginal « bien réel » est interconnecté avec notre univers matériel par l’intermédiaire des acteurs néguentropiques, j’entends les êtres vivants qui ont atteint une certaine complexité. Ces sèmes apparaissent en parallèle avec les mèmes et les tèmes et agissent par boucles de rétroaction éthiques sur le monde matériel et les êtres vivants qui les produisent, transportent, échangent etc. Leurs capacités opératoires sur la matière et les êtres vivants ne sont surtout pas à négliger ou à sous-estimer, je dirai même qu’il s’agit des mèmes d’une puissance insoupçonnés. Tous ne sont pas forcément positifs pour l’espèce et le monde qui les produits. Ils sont en quelques sortes l’expression des lois universelles du cosmos, de ses limites ou frontières qu’il convient de ne pas dépasser au risque de s’exposer à des représailles. Gènes, Mèmes, Tèmes, Sèmes construisent un univers tétralogique d’intervention sur la « matière » univers, que celle-ci soit physique ou immatérielle :
Gène un acteur réplicateur biologique qui intervient sur la matière, la structure, la forme et la façonne (le chemical binding de Korzybski)
Mème un acteur réplicateur culturel et sociologique.
Tème un acteur réplicateur techno numérique, méta expression du mème et outil de mémoire et de communication élargie. Mème et Tème correspondent au space binding et au Time binding de Korzybski.
Sème un acteur réplicateur spirituel qui introduit la notion de Spiritual binding.
Une sorte d’invariant au niveau du cosmos. Cette troisième voie est celle d’un développement en harmonie avec la vie et les règles du cosmos reposant sur l’association, le partage et l’entraide; où le désir de puissance est jugulé par la prise de conscience.
Dans cette construction de la complexité à la Stephen Wolfram (a new kind of science), nous bâtissons des plans d’immanence sur le chaos en fusionnant art, technologie, philosophie et science. Encore une histoire de 4 branches comme s’il fallait un 4x4 pour cheminer ce cosmos. En m’inspirant de Deleuze et d’un ouvrage clé intitulé « Qu’est-ce que la philosophie ? »(vous voyez bien Stanalpha1 qu’il y a des Français qui interviennent de façon très pointue dans ce champ même si cela n’apparaît pas évident au premier regard), de Korzybski et de ce que le cosmos nous donne à observer, j’ai produit ceci :
Au delà de notre espèce nous dessinons des plans et des ponts sur le chaos :
Je ne résiste pas à la tentation de vous faire partager un passage de ce chef d’œuvre de Deleuze qui devrait contribuer à la reconfiguration du monde :
Il y a enfin des interférences illocalisables. C’est que chaque discipline distincte est à sa manière en rapport avec un négatif : même la science est en rapport avec une non-science qui en renvoie les effets. Il ne s’agit pas de dire seulement que l’art doit nous former, nous éveiller, nous apprendre à sentir, nous qui ne sommes pas artistes- et la philosophie nous apprendre à concevoir, et la science à connaître. De telles pédagogies ne sont possibles que si chacune des disciplines pour son compte est dans un rapport essentiel avec le Non qui la concerne. Le plan de la philosophie est pré-philosophique tant qu’on le considère en lui-même indépendamment des concepts qui viennent l’occuper, mais la non-philosophie se trouve là ou le plan affronte le chaos. La philosophie a besoin d’une non-philosophie qui la comprend, elle a besoin d’une compréhension non-philosophique, comme l’art a besoin de non-art, et la science de non-science. Ils n’en ont pas besoin comme commencement, ni comme fin dans laquelle ils seraient appelés à disparaître en se réalisant, mais à chaque instant de leur devenir ou de leur développement. Or, si les trois Non se distinguent encore par rapport au plan cérébral, ils ne se distinguent plus par rapport au chaos dans lequel le cerveau plonge. Dans cette plongée, on dirait que s’extrait du chaos l’ombre du « peuple à venir », tel que l’art appelle, mais aussi la philosophie, la science : peuple-masse, peuple-monde, peuple-cerveau, peuple-chaos. Pensée non –pensante qui gît dans les trois, comme le concept non-conceptuel de Klee ou le silence intérieur de Kandinsky. C’est là que les concepts, les sensations, les fonctions deviennent indécidables, en même temps que la philosophie, l’art et la science, indiscernables, comme s’ils partageaient la même ombre, qui s’étend à travers leur nature différente et ne cesse de les prolonger.
Anakin, je tenais à vous remercier pour le fantastique travail que vous abattez, j’ai visité vos pages récentes sur les années soixante et c’est une véritable mine d’or, un fantastique feu d’artifice d’intelligence, de faits, de rapprochement, un outil prodigieux. Merci de m’inspirer et de nous inspirer dans cette approche de l’altérité, gageons que votre travail laissera des traces dans cette période sombre, un flambeau dans la nuit. Vous évoquez le hasard et comme vous je trouve le hasard parfois bizarre et comment dire « orienté ». Pour rejoindre le sujet d’une éventuelle pénétration exotique des sociétés humaines, je suis tombée « par hasard » sur le livre traduit en français de Howard Menger, « Mes amis les hommes de l’espace » édité par Dervy en 1965. Après une introduction laborieuse de J.P Crouzet, le traducteur, j’ai failli décrocher et reposer le livre à sa place, on tombe sur un ouvrage étonnant. La persévérance a payé. J’ai trouvé un bouquin curieux plein de références et de marqueurs qui ne sont pas anodins, et de quoi crédibiliser les récits d’Howard Menger. En lisant le livre, un terme me revient régulièrement à la surface, « amorçage ». Le bouquin est agrémenté de photos, pas toujours très nette il est vrai mais parfois troublante. Il y aurait de nombreux passages à citer mais commençons par celui-ci. A noter que ces visiteurs ont le type nordique, ils sont blonds, cheveux longs et semblent exprimer une conscience morale élevée, cela ne vous rappelle t’il pas un dossier en particulier? Howard relate ses premiers contacts depuis l’enfance et en particulier dans les années 1950, donc bien avant l’écran de fumée espagnol. Voici le genre de curiosités que l’on trouve dans ce bouquin. Ecoutons Howard :
Pour le fun :Puis ils parlèrent de nouveau de tous ceux qu’ils contactaient dans le monde entier, et de mon travail. L’un de mes devoirs était l’assistance mentale des gens, souvent sans qu’ils le sachent. Ceci pouvait être accompli par le moyen d’ondes sonores, d’ondes lumineuses, l’usage de couleurs, et d’autres moyens physiques. J’avais toujours pensé que de telles choses pouvaient être accomplies par quelque moyen surnaturel ; mais j’appris vite que le Créateur oeuvrait par l’intermédiaire de lois naturelles.
« Ne pensez pas qu’il s’agisse de quelque contrôle artificiel du cerveau humain. » dit l’un des deux hommes « comme vous le voyez dans quelques horribles films de science fiction, bien que je doive confesser que lui(il désignait l’autre homme) et moi en avons vu deux, et qu’ils nous ont plutôt fait plaisir. Nous ne contrôlons pas le cerveau. Un tel comportement ne cadrerait pas avec les lois divines. Au contraire, avec des instruments et une technique convenables, vous pouvez produire quelque chose de bien plus important : vous pouvez faire libérer dans le cerveau quelque chose qui s’y trouve à l’état latent. »
Les instruments dans l’auto accomplissaient des telles taches. Ils seraient placés dans quatre états : les états du New Jersey, de New York, de Pennsylvanie et de Maryland. Avec chaque instrument un homme ou une femme servirait de résonateur humain en conjonction avec l’appareil. Ces êtres humains réagiraient en fonction de leur développement mental individuel avec l’assistance des impulsions reçues par les appareils. Je ne comprenais pas complètement comment cela fonctionnerait, mais il me parut qu’ils essayaient d’expliquer qu’il était nécessaire de faire fonctionner chaque appareil en conjonction avec le mental d’un être humain pour produire le résultat qu’ils visaient.
« Une station centrale sera choisie pour chaque appareil. La portée de ces appareils est d’environ trente neuf kilomètres. Après que vous aurez placé ces appareils, Howard, vous noterez un effet immédiat et évident. Dans un rayon de trente neuf kilomètres autour des appareils, à des gens s’intéresseront de plus en plus à la navigation à travers l’espace et à notre astronef. Ils le verront plus souvent parce qu’ils regarderont en l’air. Quand ces gens entendront parler de vos expériences, ils seront poussés à venir vers vous et à vous offrir de vous aider d’une façon ou d’une autre. »
Ils avaient déjà installé des nombreux appareils. L’appareil installé dans le New Jersey était, me dirent-ils, à vingt-deux kilomètres de mon domicile, inconnu de tout le monde, sauf, bien entendu, des gens de cette planète qui avaient travaillé avec les hommes de l’espace pendant de nombreuses années.
Voilà, j’ai fait encore un peu long. Bonne lecture et réflexions.
- VerveineUfologue/enquêteur
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Re: Les implications d'un éventuel contact avec des Extraterrestres
Sam 17 Mar 2012, 19:35
Oui, l'idée que le réseau du "net"soit un médium d'influence pour ALIEN, est peut être très osée ...Mais nous devons rester ouverts à TOUT !....Je suis persuadé que ces Entités sont ,seraient plus fines, plus rusées que des Ummites qui choisiraient un médiateur/interlocuteur unique ,ou un petit groupe d individus, afin de faire connaître aux Terriens leur saga , leurs théories, leurs concepts et paradigmes de tous ordres...!
Stanalpha1, parfois je me demande si vous ne lisez pas dans mes pensées ou plus prosaïquement dans mon ordinateur. Non, je plaisante bien entendu, mais vous faites bien d’introduire (sans mauvaise pensée bien entendu) Susan Blackmore et la théorie des mèmes.
Bonsoir à tous, moi aussi je pensais cela tout en me demandant lesquels de nous étaient des Aliens .
Amitiés
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Pour ceux qui cherchent midi à quatorze heures, la minute de vérité sera longue à venir . Pierre Dac
Le contraire de l'Erreur n'est pas la Vérité mais le Doute. Lucien Jerphagnon
Dites le avec des fleurs . Dryas
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