Re: Sondage : Quel est le cas le plus intrigant

[HocineEquipe du forum]

J’ai vécu à partir de la fin de l’année 1959 à l’âge d’un plus de 15 ans, les choses les plus étranges et les plus incroyables dans ma vie.

Commençant par l’une d’une étrange affaire.

(c’était une longue guerre dans le pays, la population dans le pays était formée de deux principales communautés, l’une constituée des colons qui occupait le pays depuis 1830, l’autre la colonisée , majoritaire et d’origine du pays , mais elle vivait misérablement dans le pays ,c’était des citoyens de seconde zone , je faisais partie de cette dernière ,les jeunes de ma communauté n’avait pas le droit d’une scolarité au delà du cycle primaire , ils finissent très jeune ,à être employé comme main d’œuvre à bon marché  dans les sociétés étrangères dans le pays , tout cela à fini d’entrainer une guerre ,une rébellion d’une durée de plusieurs années) .

C’était en 1959, j’avais un peu plus de 15 ans, j’étais employé dans une société, dirigée par deux patrons, l’un directeur administratif, l’autre directeur technique, un jour je fus aborder dans l’usine par le directeur technique, un homme chauve, il portait des lunettes de vue blanches, il parlait doucement, son visage me fait rappeler celui de l’acteur Bourvil mais sans son comique ,il avait un coté d’un regard  inquiétant , comme s’il était troublé par quelque chose, il s’adressa à moi « petit  , j’ai besoin de toi pour un petit travail, suis moi  » , j’étais le jeune de l’usine , tous me connaissaient , on m’appelait le petit .

Je le suivais, l’usine était formée en deux parties reliées par un large corridor, là, nous nous arrêtons en plein milieu de ce corridor devant une porte fermée, le directeur avait en main un trousseau de clés, il chercha la bonne clé, et j’ai remarqué là, qu’il hésitait de mettre la clé dans la serrure, il marqua un temps on regardant à droite et à gauche , il s’assura si aucun personnel de l’usine ne passa par là ,avant d’ouvrir la porte , ça m’a intrigué un peu , c’est comme s’il allait ouvrir un lieu secret .

Il ouvrit la porte et il la referma promptement derrière moi, toujours avec cet air intrigant, qui m’a semblé, que lui seul savait que cet endroit à quoi il sert.

C’était une salle, qui elle m’a semblé qu’elle était utilisé que par ce directeur, un bureau un fauteuil, une lampe d’éclairage sur son support, quelques feuilles éparpillées sur ce bureau, mais c’était vers les étagères ou il me conduisait, là des cahiers, carnets et des registres et même des livres, il se tourna vers moi et il me dit « petit ,tu vas déchirer tout cela en petit morceau et tu les mettras là dans cette grande boite en  carton ,n’oublie pas en très petits morceaux » , il a prit un cahier comme un exemple ,et il le déchira devant moi en tout petit morceau ,il alla me quitter et me laissant là avec ce  travail ,il ajouta « n’oublie pas de n’ouvrir la porte à personne, personne ne doit rentrer là ,tu ouvrira la porte que lorsque je te dirait mon nom monsieur … »,je lui répondis oui « monsieur le directeur »  et il repartit de là.

Rester seul dans cette salle, je commençais mon boulot, déchirer en très petits morceaux tous ces sortes de dossiers, fichiers, rapports, à un certain moment je m’arrêtais et je jetais un coup d’œil sur ces feuilles, des sortes de croquis ou dessins et des écrits, qu’ils me semblaient à ne pas me tarder de les déchiffrer .Je restais là un très long moment avec ce travail là, et puis une timide frappe à la porte suivi d’une faible voix  « c’est moi monsieur … ouvre la porte », j’ouvris la porte ,et il rentra, il alla tout droit vérifier le travail avec ses mains à l’intérieur de la grande boite de carton, « la dimension » des morceaux des bouts de papiers comme il a souhaité, il me regarda avec toujours cet air inquiet ou anxieux, et il me lança  « très bien petit, c’est du bon travail ».

Il m’a semblé, qu’il y avait quelque chose de cachée dans cette histoire, et surement elle doit avoir un lien avec une autre histoire à cette époque là, que j’essayerai de la racontée dans autre écrit.

 (j’ai abrégé un peu mon écrit, j’ai « omis » quelques détails)    

[InvitéInvité]

Bonjour Hocine,

oui intriguant ton histoire,mais c'était une entreprise de quoi?
Vous travaillez sur quoi?

[HocineEquipe du forum]

Bonsoir Eric 12

Une grande distillerie, quant à moi  à cette époque là en 1959, je n’avais pas un poste fixe dans cette entreprise, je « touchais » à tout, vu mon jeune âge.

[HocineEquipe du forum]

Un autre cas qui me semble un peu intrigant.

 Les étranges créatures de la ferme « Landaus »

Les années 50/60, chaque soirée, c’est une veillée, nous les jeunes nous nous rassemblions autour des vieux, ils nous racontent des histoires vécus par eux, l’une d’elle m’a toujours intriguée.

C’était vers l’année 1939, le lieu, la ferme Londo ou Landaus , elle était la propriété d’un colon français, elle était abandonnée  dans les années 60 par ce colon, cette ferme fait face à une montagne appelée la montagne des lions, elle est visible de la mer Méditerranéenne par bateau à plusieurs dizaines de km, le village le plus proche est situé à quelques  km de là.

Ma grand-mère et son fils (mon père ) qui était jeune   à cette époque là en 1939 ,ont travaillé dans cette ferme Landos .

Ce soir là, ma grand-mère s’occupait du repas dans sa vielle bâtisse, mon père lui s’occupait de faire rentrer les chevaux de trait dans l’écurie, la maison fait face à cette montagne, ma grand-mère a senti la présence de quelqu’un ,en levant ses yeux vers la porte un être étrange debout dans le cadre de la porte , il lui glaça le sang, terrorisé elle ne pouvait pas crier à l’aide, elle a décrit cet être de monstrueux, le corps disproportionné et huileux ,une grosse tête avec des gros yeux ,elle n’a jamais pue  oublier cette créature avec sa grosse tête et ses immenses yeux .il l’a regardé un moment puis il a rebroussé chemin ,il est reparti ,mon père (son fils)  ayant terminer son travail regagnait le foyer ,il trouva sa mère effrayée ,elle lui raconta cette apparition .

Des années après ,mon père nous raconta que ce n’était pas la première apparition, plusieurs fois, lui et les autres ouvriers de la ferme ont vu ces étranges créatures aux alentours de la ferme ,et prés de la montagne et à la tombée de la nuit on ne s’aventure pas trop loin de la ferme.

Ces apparitions sont attribuées à des fantômes, à des esprits errants, et à cette époque là et même tout proche , on ne parle pas d’E.T. ou d’autres êtres venus d’ailleurs ou même des ovnis.

Les années sont passées, ma grand-mère, mon père ne sont plus de ce monde, cette ferme a été occupée par d’autres fermiers, chaque jours pendant 33 ans lorsque je regagne mon travail qui est situé à 40 km de mon domicile ,le bus du transport du personnel traversait  une route , qui elle passe à proximité au 13 eme km prés de cette ferme ,je remémore chaque fois les dires de mes parents sur ces êtres , qui ont hanté la ferme et les bords de la montagne la nuit ,la maisons de l’ancien colon est toujours là ,juste à coté un petit stade de basket , témoins ces cerceaux rouillés des paniers des deux cotés du terrain , vestiges d’une ancienne époque ,ils ne restent que quelques pierres des vielles habitations des ouvriers de la ferme .

Dans les années 70, dans mon lieu de travail, j’ai surpris une conversation sur la ferme Landaus, c’est un homme un peu âgée qui parlait de cette ferme avec une autre personne plus jeune, dés que l’homme âgé était seul je l’abordais, je lui posais quelques questions sur cette ferme, il a travaillé étant jeune dans cette ferme dans les années 39/40 il se rappelle des noms de plusieurs ouvriers et celui de mon père ,il a entendu parler de ces créatures mais il ne les a pas vu ,il n’habite pas dans la ferme,  chaque fin d’après midi ,il regagna on vélo sa maison située quelques km de la ferme , ces dernières années, une autre personne un peu âgée, du voisinage prés de mon domicile, me parla de cette ferme, il était jeune à l’époque mais ses parents qui étaient ouvriers agricoles dans cette ferme, lui ont tout dit sur ces étranges créatures.

Cette ferme est située pas loin d’endroits d’où sont observé une vague d’ovnis en1954 , de ce coté là du sud de la mer Méditerranée .

[Frederic74Equipe du forum]

Quand on discute avec un esprit ouvert, des histoires de familles de ce type sortent parfois.

Enfin là c'est du lourd !

[HocineEquipe du forum]

Suite à mon précédent post « les étranges créatures de la ferme Landos ».

(Vers l’année 1939, ma grand-mère , elle a travaillée avec son fils (mon père » dans cette ferme « Landos » , elle fut un soir dans sa vieille bâtisse face à une apparition d’un être surnaturel .)

En 1962, ma grand-mère  était avec moi et neuf autres témoins ( du voisinage)  , nous étions réunis dans une terrasse , pour prendre un peu d’air frais , comme tous les soirs en cette période de chaleur au environs de 22 heures de ce mois d’aout , nous étions assis au sol , j’étais allongé sur le dos et je regardais le ciel et ses étoiles ,les autres , ils discutaient de tout et de rien , soudain à la verticale d’un mur mitoyen du voisinage , apparue une pointe triangulaire d’un objet qui commençait lentement de se faire voir complètement , j’étais le premier à le voir ,je me suis redressé de ma position , et j’ai  crié aux autres ces mots que je n’oublierai jamais « regarder ! Regarder ! » Tout on montrant de ma main cet objet volant dans ciel,  c’était un engin parfaitement triangulaire, il venait d’une direction de l’Est et il se dirige vers l’Ouest, il était d’une taille d’un avion de ligne, il me semblait qu’il était à une altitude d’environs de 80 mètres, il volait si lentement, qu’il m’a semblé à un moment, qu’il était stationnaire au dessus de nos têtes.

Si les autres restèrent figés sur place face à cette apparition, je me suis levé complètement et j’ai compris, que nous étions face à une apparition d’un autre monde, j’ai gardé mon sang froid, j’ai pris presque complètement tous les détails extérieurs possibles de cet ovni triangulaire, qui peut être qu’aucun témoin au monde jusqu’à aujourd’hui, n’a déjà rapporté ou signaler ces détails sur un ovni triangulaire, comme celui de ce triangle volant de cette nuit là .

Avant de quitter notre champ de vision, ce triangle volant a fini de disparaitre complètement et instantané sur place dans le ciel, comme si on a éteint une lampe d’éclairage.

Ma grand mère et les autres, ont mis cette apparition sur le compte d’un vaisseau du diable, j’étais le seul à croire que ce triangle volant, que c’était une apparition d’un monde étranger à la terre, tous les autres m’ont sommé de ne plus leur parler de cette apparition.

[HocineEquipe du forum]

 A partir des années fin 50 (1959), pour moi,  c’était les débuts d’histoires intrigantes, qui elles  me semblaient, qu’elles sortaient de l’ordinaire, une « atmosphère » de l’étrange … ,je passais d’une intrigue à l’autre ,  pour y a arriver au début des années 60 à ce monde de l’étrange ,les ovnis .

Comme je l’ai déjà dit dans un précédent post, j’avais un peu plus de 15 ans en 1959 dans un pays en guerre, je travaillais à cet âge là dans cette société, dirigée par deux directeurs, l’un s’occupe des affaires administratives, l’autre des affaires techniques de l’usine.

(J’ai eu affaire avec le directeur technique pour un étrange  boulot, déchirer des documents en petits morceaux dans une salle isolée , voir mon post précédent ,et j’allais avoir une autre affaire étrange , quelques jours après avec l’autre directeur administrative de l’usine.)

Dans la journée dans l'usine , mon point d’attache  c’était le magasin de l’usine, il faisait face à une grande salle d’où l’on voit par une large façade vitrée , le personnel administratif, c’était à partir de là, la gestion  du personnel de l’usine et les relations avec les affaires extérieures, et au fond de cette salle c’était le bureau du directeur, on réalité  c’était le premier responsable de cette société, il ne s’occupe pas directement des affaires du personnel de l’usine ,c’était l’homme tranquille , le matin toujours avec son porte document , qui de sa voiture ,il regagna directement son bureau , rarement il fait une tournée de l’usine on compagnie avec  l’autre directeur technique .

 Ce jour là , je fus aborder par le contremaitre , qui avec un sourire ,il me lança « petit ,tu es convoqué chez le directeur » je me disais ,ça doit être une autre affaire d’y aller déchirer des documents en petits morceaux (voir mon post précédent) , le contremaitre a comprit ma pensée , non ce n’est pas le directeur technique ,c’est le principal d’on face , et il me montra de sa main (je me rappelle bien , il avait les deux ou trois doigts de sa main coupée ,probablement ça aurait du à un accident dans sa carrière ), la direction du bureau au fond de cette salle , que j’ai déjà décrite un peu plus haut .

 J’étais surpris, le directeur principal ne reçois pas le personnel de l’usine dans son bureau, même les autres travailleurs qui étaient là, ils étaient surpris de ma convocation (des anciens réfugiés républicains de la guerre civile espagnole, qui ont été battu par les troupes franquistes du général Franco  en 1936 , et qui travaillaient dans cette usine ).

Pour la première fois, je rentrais dans cette grande salle, tout le monde, me fixait de leurs yeux, j’étais déjà inquiet de cette convocation, et ces employés, ils m’ont rajouté une couche, la secrétaire de direction me fait signe d’approcher,  tout on maniant le téléphone pour m’annoncer au directeur, je me suis dit,  surement je suis devenu un sujet captivant, et passionnant pour tout ce monde là, que vais-je découvrir avec ce directeur ? Et puis à cette époque là, c’était la guerre, on était toujours sur le qui vive.

La secrétaire me fait signe de rentrer, je me sentais pas bien, un petit toc toc, et je rentrais, et j’étais au garde à vous face au directeur , il n’était pas seul, ma gorge était sèche, un bonjour passa difficilement de là , je ne sais s’il était entendu, le directeur avait les deux mains jointes sous son menton, les coudes sur son bureau, d’un doigt il me fait signe de m’assoir dans un fauteuil face à cette personne qui était déjà là.

Je m’enfonçais dans le fauteuil, j’essayais de mettre de l’ordre dans mon esprit,  tout en attendant de quoi ce directeur va t'il me déclarer, j’étais là en attente, ces deux personnages continuaient leur discussion comme si je n’étais pas là, j’avais l’impression qu’on me laisser mijoter, j’évitais   de regarder de leur coté, histoire de ne pas me « mêler » de leur discussion , d’ailleurs je ne savais pas de quoi ils parlaient ,j’étais un peu troublé , d’être là , et d’attendre la raison d’être là .

A un certain moment , mon regard se croisait avec celui de cet homme étranger qui était  en face de moi, je l’ai senti comme une décharge électrique, j’évitais de le regarder, et un moment après je me sentais un peu lourd, l’atmosphère me pesait, le sommeil qui commença à me pénétrer , et surtout ,j’ai senti que ce fauteuil sur lequel j’étais assis , j’avais l’impression qu’il m’enlacer , j’essaye de  d’accrocher  mon attention sur un tableau de chasse accroché au mur en face ,pour ne pas y aller à un sommeil profond et troubler l’assistance par éventuel ronflement ,et je serai chasser de là comme un mal appris , je ne sais , si je commençais à perdre mes sensations visuelles , mais l’image du tableau de chasse , elle me sembla qu’elle commença à s’animer , un sanglier qui se bat contre une meute de chiens ,des châtelains en tenue de chasse sur leurs chevaux en mouvement , oui tout ce monde commençait à s’animer dans ce tableau de chasse ,et c’est là , le directeur  avait mis fin à mon mirage , il s’occupa de moi , je me suis redressé un peu de ce fauteuil , « tu vas être détaché avec ce monsieur , qui est là ,et il marqua quelques secondes , comme pour chercher à donner un titre à cet homme ,c’est un nouveau chauffeur ,tu remettra deux photos à la secrétaire ,  pour te préparer un laisser passer » , j’esquissais de ma tête positivement , j’ai senti que mon affaire s’alourdit , et puis cet homme là en costume trois pièces ne fait pas un chauffeur ,ceux de la société sont d’une tenue uniforme avec le logo de la société sur le dos ,je n’arrive pas à comprendre à quoi doit je être utile dans cette affaire, pourquoi des photos pour un laisser passer ? Moi et mes miens de ma communauté, nous n’avons pas le droit d’approcher leurs affaires, et surtout si elles sont d’un domaine, qui nous est interdit , on était en pleine guerre dans le pays, et pour un oui ou non, on peut être traité de rebelle, et passer un séjour au 2 em bureau, et puis pour quel endroit dois je fournir deux photos pour un laisser passer ?    

[HocineEquipe du forum]

(Suite à mon précédent post , récit sur une intrigante histoire sur un étrange chauffeur avec lequel j’étais détaché en 1959 à l’âge de 15 ans pour des déplacements vers l’extérieur de la société ou je travaillais .)

J’ai fourni à  la secrétaire de la direction comme il était « convenu » les deux photos, pour mon laisser passer, pour accompagner ce « chauffeur » , qui m’a été présenté par le directeur de la société, et je ne savais  pas pour quel endroit, ce laisser passer allait t’il me servir.

J’ai eu mon premier contact avec ce chauffeur , pour des déplacements à l’extérieur, mais il n’y avait pas de quoi à utiliser un laisser passer, l’un de ces déplacements, ce jour là, c’était l’hôpital Baudens, un hôpital militaire pour les blessés de guerre , une longue guerre  dans le pays , (une très longue guerre qui elle a durée  sept ans et demi), pour être là dans cet  hôpital militaire  , c’était que j’étais sous la responsabilité de ce chauffeur , mon laisser passer n’était  pas utilisé . j’ai remarqué l’absence du chauffeur et je devais l’attendre à la cafétéria de cet hôpital, il m’a commandé un café crème et du pain beurré, j’étais là assis à une table à l’attendre, les autres blessés de guerre étaient là, lancés dans leurs discussions autour des cafés et sodas , je restais là, un moment, et ce chauffeur réapparu, il était un peu loin de moi assis à une table, mais il ne consommait rien, j’ai eu l’impression, qu’il me fixait toujours avec ce regard gênant, et il doit m’attendre, que je finisse mon café pour partir de là .

Le lendemain, le matin nous allons  prendre une autre direction, le véhicule était déjà chargé d’un autre entrepôt, et ce chauffeur au costume trois pièces était là, le contremaitre qui assistait de loin à notre départ, nous lançant un très long regard, il me semble que ce n’est pas dans ses habitudes aux départs des véhicules de l’usine. J’ai pris place dans la cabine à coté de ce chauffeur, et nous partîmes vers une direction, qui elle  m’était inconnue, nous quittâmes  la ville, cette fois ci, mon laisser passer a été établi, mais il a été remis à ce chauffeur au costume trois pièces, il a remis dans son porte document .

Nous roulions depuis un moment, et j’ai remarqué que ce chauffeur n’est pas bavard, n’est ce que pour m’annoncer notre destination, je le regardais de profil alors qu’il conduisait le véhicule, il me semblait, que ce personnage  ferait bien avec sa stature  d’un membre d’un membre de commandos militaire ou avec son air étrange et bizarre ,un cliché   d’un mannequin  qui s’est échappé  de sa position d’une vitrine d’un  magasin d’habillement ,pour « atterrir » dans la vie humaine .

(J’ai toujours depuis mon enfance et cela depuis les années fin 40, d’observer et mémoriser les traits et le faits de personnages, qui m’ont marqué et qui me restèrent graver dans ma vie),

Le véhicule arriva devant l’entrée d’un endroit sécurisé, le chauffeur sauta du véhicule, et il se dirigea vers un grand poste de garde vitré, de la cabine du véhicule  je voyais la scène, ce chauffeur est connu de ces gardes, il plaisantait avec eux, un certain moment, ils s’arrêtèrent et ils regardèrent de mon coté, surement avec mon laisser passer entre leurs mains, le passage est libre , le véhicule est introduis dans un  grand hangar , et j’ai remarqué là encore(comme chaque fois) , il disparait  de là ,et il resta absent de très long moment ,il faisait cela plusieurs fois lorsque que nous venions dans cet endroit .

J’avais cette impression que dés que nous arrivons dans cet endroit bizarre, je ne me sentais pas à l’aise, comme si une autre vie d’un autre monde était là, et elle doit être cachée là, c’était un « endroit » pas comme les autres endroits, et c’était vers la fin des années 50 . Bon je m’arrête là, mon écrit me semble  un peu long, pour aller un peu plus loin dans cette histoire.

Après être plusieurs fois dans cet endroit, quelques temps après  les choses pour moi commencèrent à prendre une autre tournure , c’était la guerre dans le pays , j’avais l’impression d’aller  passer des épreuves incroyables ou j’ai frôlé la mort en face , en effet et comme si quelque chose comme un miracle m’a sauvée la vie et après cela , c’était les observations d’ovnis avec des détails extraordinaires .cette histoire est plus complexe ,pour la raconter en détail .

[HocineEquipe du forum]

Je ne peux garantir, si la suite de mon histoire, si elle avait un lien avec mon récit du post précédent sur cet étrange chauffeur et cet étrange endroit ou nous étions là plusieurs fois.

Oui, cet étrange chauffeur avec son costume trois pièces, était différent des autres chauffeurs de la société avec une tenue uniforme et le sigle de la société sur le dos (voir mon post précédent), ce chauffeur n’était pas bavard, il évitait de me répondre parfois à mes questions sur cet endroit ou nous étions là, comme je  l’ai déjà dit plusieurs fois, si ce n’est qu’il me répondait  par un sourire ,et cet endroit me donnait l’impression , qu’un monde étrange était caché dans les parages ou au sous sol , je n’est pas vu des extraterrestres qui se baladaient par là, ni des ovnis qui atterrissaient  sur cet endroit , ( dans tous les cas des années après on a jamais signalé une observation sérieuse ,qu’un engin ovni  avait atterri du ciel vers le sol terrien ,mais est que ces ovnis n’atterrissent jamais sur le sol terrien ? On utilisant un moyen, qui n’est pas visuel pour l’œil humain ? …)

Après avoir passé quelques mois détaché avec ce chauffeur , pour un travail à l’extérieur de la société  , je fus un jour convier par la secrétaire de la direction , que je dois prendre un congé , et que je doit passer à la caisse ,et là , ma paye augmenté et un congé peut être aussi  pour un repos mérité .

Mais les choses ne s’arrêtèrent pas là, le plaisir d’un repos mérité était de courte durée, j’allais enchaîner avec des histoires qui elles tenaient du miracle ,en effet nous étions fin 1959 ,c’était la guerre dans le pays ,  mon congé de repos allait  avoir une suite dramatique ,un soir je fus prisonnier (otage)  avec quatre autres personnes par les bérets rouges , ils ont eu un problème cette nuit  là ,et ces les otages qui vont payer, on va être fusillé dessous le pont Henri Huc de la ville , le peloton d’exécution attendait l’ordre de notre exécution ,mais un « miracle » à la dernière seconde nous a sauvé ,l’exécution fut levée .

Libérer quelques jours après, c’est au tour d’un sniper qui allait régler mon compte, c’était ma faute je suis moqué de lui, on découvrant sa cache, on lui faisant des gestes obscènes, il m’a visé  avec son fusil à lunettes, son tir m’a frôlé la jambe, j’étais touché  légèrement blessé par l’éclat d’une brique, c’était là un autre miracle d’être en vie, ce sniper, après son tir manqué d’un bâtiment abandonné, il avait disparu  du lieu , pour se faire oublier un temps ,il est revenu, et cette fois c’était par lance roquette (bazouka)pour se venger de mes moqueries ,l’obus éclata à 6 ou 7 mètres ,il m’a projeté au sol , mais sans aucune  blessure ,un autre miracle m’a sauvé ,d'autre un peu plus loin on étaient blessé

J’avais l’impression, comme si on m’avait remis  un laisser passer contre la mort, par ce congé , qui m’a été établit par la direction de cette société après avoir été détaché avec ce « chauffeur » .

Se sont de longues histoires , que j’ai  posté depuis longtemps dans un autre forum .

La suite vers les débuts des années 60 , c’était les apparitions de ces engins ovnis, et  de plusieurs formes, et ces observations ont durée très longtemps ,là aussi , ça me semble comme un miracle d’observer tous ces ovnis .

[InvitéInvité]

Récit extraordinaire d'une vie, mais qui reste très personnel.

@+

[Contenu sponsorisé]