- Jean CurnonixCulture Scientifique
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Re: 2008: Le 14/06 à 4h10 - Epagny a 10km d'annecy en haute savoie (74)
Mar 24 Juin 2008, 00:18
Bonsoir Alain02,
Au global l’environnement de soi est le cosmos, dans lequel de nombreuses civilisations ont pu se développer, certaines ayant mille, d’autres 1 million, d’autres davantage encore, pourquoi pas, 1 milliard d’années d’avance sur la notre.
Une gradation dans leurs connaissances et technologies peut expliquer l’utilisation de modes de propulsion intra-atmosphérique différents (dont la MHD), de géométries d’engins différentes (dont la lenticulaire) … allant dans le sens des mystères, qu’une fois encore notre conscience nous incite à percer.
Le modèle cosmologique bifeuillet de Sakharov-Petit que j’évoque > dans le fil d’un autre sujet < indurait les notions suivantes :
- aucune propulsion n’est nécessaire lors du voyage interstellaire effectué dans le feuillet conjugué (= l’univers jumeau U* inobservable imbriqué dans le nôtre observable U) en raison de l’"effet Gulliver", rapidement évoqué, lors du transfert U vers U*
- les évolutions conjointes des 2 univers imbriqués l’un dans l’autre, issues des calculs effectués à partir du système d’équations de champs conjuguées évoqué, réalisent une expansion accélérée pour notre univers U et une expansion décélérée pour l’autre univers U* ainsi que des instabilités locales (= des oscillations) créant des conditions "météocosmiques" favorables à un certain moment, défavorables à un autre moment pour le voyage interstellaire … fournissant une explication aux "vagues" d’ovnis observés. Lors de conditions favorables dans une certaine direction nous serions à portée de civilisations qui autrement n’effectueraient pas le voyage … et leurs connaissances et technologies respectives peuvent accroître la diversité de ce que nous observons.
(Nota : petit aparté … à la grande conséquence :
Or selon la théorie quantique des champs, la force électromagnétique est véhiculée par des photons virtuels, et des particules qui interagissent par la force électromagnétique interagissent en échangeant des photons virtuels. La lumière est une onde électromagnétique. Les deux phénomènes présentent donc un degré de parenté. La suppression de l'interaction électromagnétique engendre alors deux effets :
- les objets qui n'interagissent plus à travers cette force peuvent se traverser (sans collision !)
- ils ne peuvent se voir
Les deux phénomènes sont liés.
>>> Il est ainsi possible, via transfert U* vers U, de faire « "traverser" les murs » à un objet … et de le faire apparaître dans une pièce dont portes et fenêtres sont closes (et inversement, l’en faire sortir, via transfert U vers U*)
Fin de l’aparté)
- le déplacement dans notre atmosphère terrestre peut faire appel à différents modes de propulsion, l’un deux étant la MHD, un autre pouvant être réalisé par des transferts successifs U >>> U* puis U* >>> U, et ainsi de suite (avec l’utilisation, par exemple, de grasers – gamma-ray lasers ou lasers gamma – au rayonnement invisible, comme rapidement évoqué).
Une courbe dite méridienne est l’intersection d'une surface de révolution et d'un demi-plan ayant pour frontière l'axe de cette surface.
Une solution, corollaire de la théorie de l’univers gémellaire, pour effectuer ces transferts, est de concentrer une densité d’énergie suffisante sur la surface de l’engin pour créer la criticité TOV évoquée, et provoquer la substitution du volume V occupé par l’engin dans U avec le volume V* qu’occupera l’engin une fois transféré dans U* (et inversement).
Pour cela, à l’image du chéquier sur la longueur duquel se trouve des petits trous pointillés afin de faciliter sa déchirure du talon, il suffirait de concentrer, stocker momentanément l’énergie émise par les grasers (au rayonnement invisible) dans les atomes d’un gaz métastable (hélium, par exemple >>> voir > ici < ) simultanément émis dans la couche limite entourant la surface de l’engin.
Nos "petits trous" seraient alors obtenus, permettant le transfert lorsque la criticité de densité neutronique serait obtenue.
Mais si nous nous contentions de cela, les corpuscules constituant l’engin et transférées dans le "jumeau" le seraient suivant des vitesses de directions différentes : engin et passagers se disloqueraient, exploseraient, tels les fragments d’une grenade, d’une bombe.
Il faut donc procéder à une opération préalable consistant à aligner les spins des particules en immergeant tous les composants de l’engin dans un puissant champ magnétique homogène ... afin d'aligner les moments magnétiques des particules.
Or un champ magnétique homogène ne peut pas être obtenu à l’aide de solénoïdes, dans les conducteurs qui les constituent et au voisinage immédiat de ceux-ci.
Une façon de créer un champ magnétique homogène à l'intérieur d'une enceinte fermée (l’engin) est de charger électriquement la "carrosserie" de l’engin et de la mettre en rotation. Cette carrosserie pourrait avoir une forme particulière, qui pourrait être définie par une méridienne particulière que voici, en bleu (avec son équation pour ceux que cela intéresse) :
En faisant tourner cette courbe (bleue) autour de l’axe 0y, on obtient la surface (bleue hachurée) suivante :
En prenant le symétrique de cette première surface, on obtient une deuxième surface (rouge hachurée) suivante :
Et en faisant tourner le tout (surface bleue et surface rouge, hachurées) autour de l’axe 0y, on obtient la "carrosserie" suivante, délimitant un volume de révolution :
Cette forme serait l’optimal pour un engin de grande taille destiné à effectuer le voyage interstellaire via U*, lequel pourrait transporter (tel un porte-avions) des engins plus petits, aux formes multiples et variées ne nécessitant pas d'être un volume de révolution si alors utilisés uniquement pour des déplacements intra-atmosphériques autour de planètes dans l’univers U.
Il n’est alors pas inintéressant de réfléchir à la vue de l’image suivante :
Le dessin du haut, "tajine volant" ( ), est de ma composition résultant de ce que nous venons de lire, celui du bas est issu du témoignage de l’équipage du vol Japan Air Lines 1628 reliant Paris à Tokyo via Reykjavik (Islande) et Anchorage (Alaska), le mercredi 17 novembre 1986, à bord d’un Boeing 747-246F Jumbo Jet volant à 10700 mètres au-dessus de l’Alaska. Le Boeing 747 Jumbo Jet est représenté à droite du gigantesque ovni en volume de révolution qui l’a accompagné pendant 40 minutes.
Pour des engins d’une surface et d’un volume moindres, avec une énergie mise en jeu moindre lors des transferts, qui pourraient se contenter d’un rendement moindre, cette forme serait possible :
Nous obtenons un objet « en forme de "cloche" aplatie ».
Et pourquoi pas noir, pour mieux passé inaperçu, et/ou pour un meilleur refroidissement radiatif du fuselage supraconducteur, ou … :
D’autres formes seraient possibles … mais là n’est pas le sujet de la discussion.
Des accélérations de 40 à 50 g ont été déduites de certaines observations au radar que les organes d’un être vivant complexe ne peuvent "théoriquement" pas supporter.
Or de fortes accélérations par impulsions d’une durée de la milliseconde (MHD-EMP = ElectroMagnétique Pulsée) couplées à l’utilisation d’un environnement antithixotropique – l’inverse du phénomène entrant en jeu pour les sables mouvants – dans la cabine de pilotage ou la combinaison anti-g revêtue par les passagers vont dans le sens de la tolérance, de la résistance aux contraintes physiologiques subies lors de ces fortes accélérations.
Depuis plusieurs années maintenant des labos de recherches – notamment militaires – travaillent sur ces accélérations par impulsions couplées à l’utilisation de combinaisons anti-g s’inspirant de l’anatomie et de la physiologie de la libellule.
Lors de son vol saccadé, la libellule encaisse de manière naturelle 30g grâce à son sang qui coule librement dans tout son corps. Un sang remué en permanence par un cœur en forme de tube, qui flotte dans le liquide avec les autres organes. Et c’est ce "rembourrage" liquide qui rend la libellule capable d’acrobaties aériennes largement hors de portée de tout engin piloté conçu par l’homme.
Les combinaisons sur lesquelles s’axent ces recherches comportent un système antithixotropique, permettant de faire varier la viscosité d'un produit en fonction de la force d'accélération à laquelle est soumis le pilote ou passager.
Nous découvrons peu à peu cette technologie dite des matériaux "intelligents", par exemple magnéto-rhéostatiques ou électro-rhéostatiques.
Ci-dessous, image d’un tel matériau, dont la viscosité varie quasi-instantanément, passant de l’état solide à celui de liquide et inversement, pouvant également faire varier la forme d'un objet, développé dans les laboratoires du Michigan Institute of Technology :
La conductivité électrique de l’eau de mer, l’eau des lacs et des rivières, l’eau potable est intrinsèquement suffisante pour la conversion MHD de sorte que, par exemple, des débitmètres magnétohydrodynamiques (plus couramment appelés électromagnétiques) fonctionnent et réalisent des mesures du type industriel avec une précision de 2 pour mille (0,2%). Des millions de ces appareils sont en fonctionnement dans le monde. Il s’agit de conversion MHD à écoulement interne.
En collaboration avec Mitsubishi Heavy Industries, Toshiba, Kobe Steel, Ltd., la firme japonaise Ship & Ocean Foundation a dans les années 1990 réalisé un navire a propulsion MHD à écoulement interne, le Yamato 1 dont voici une photographie :
Se faisant, il ne bénéficiait pas de l’annihilation des vagues d’étrave et de poupe que permet la MHD à écoulement externe, et les frottements sur son carénage ainsi que son coefficient de traînée étaient identiques à ceux d’un navire à propulsion à hélice.
Si vous souhaitiez en savoir un peu plus sur les Navires à propulsion magnétohydrodynamique : http://www.profmarine.org/fichiers/BG-propmHD.pdf
Par contre il faut nécessairement ioniser l’atmosphère pour la rendre électriquement conductrice, comme évoqué lors d’un post dans le fil de ce sujet. Ceci est l’une des possibles explications des phénomènes lumineux observés.
La MHD engendre une refonte totale de la mécanique des fluides, aussi bien en régime subsonique, que supersonique et hypersonique.
J’aurai probablement l’occasion de revenir ultérieurement sur les autres points importants et intéressants formulés dans votre message, mais je n’en ai malheureusement pas le loisir cette semaine.
Cordialement,
Jean
Vous n’êtes pas le seul, car sinon nous ne serions pas tous ici à échanger informations, notions, réflexions, idées, arguments sur un forum intitulé "Les mystères du phénomène ovni" que la conscience dont nous sommes dotés, c'est-à-dire cette faculté de connaissance de soi et de son environnement, nous incite à percer.Alain02 a écrit: Je ne suis pas en mesure de répondre à ces questions.
Au global l’environnement de soi est le cosmos, dans lequel de nombreuses civilisations ont pu se développer, certaines ayant mille, d’autres 1 million, d’autres davantage encore, pourquoi pas, 1 milliard d’années d’avance sur la notre.
Une gradation dans leurs connaissances et technologies peut expliquer l’utilisation de modes de propulsion intra-atmosphérique différents (dont la MHD), de géométries d’engins différentes (dont la lenticulaire) … allant dans le sens des mystères, qu’une fois encore notre conscience nous incite à percer.
Le modèle cosmologique bifeuillet de Sakharov-Petit que j’évoque > dans le fil d’un autre sujet < indurait les notions suivantes :
- aucune propulsion n’est nécessaire lors du voyage interstellaire effectué dans le feuillet conjugué (= l’univers jumeau U* inobservable imbriqué dans le nôtre observable U) en raison de l’"effet Gulliver", rapidement évoqué, lors du transfert U vers U*
- les évolutions conjointes des 2 univers imbriqués l’un dans l’autre, issues des calculs effectués à partir du système d’équations de champs conjuguées évoqué, réalisent une expansion accélérée pour notre univers U et une expansion décélérée pour l’autre univers U* ainsi que des instabilités locales (= des oscillations) créant des conditions "météocosmiques" favorables à un certain moment, défavorables à un autre moment pour le voyage interstellaire … fournissant une explication aux "vagues" d’ovnis observés. Lors de conditions favorables dans une certaine direction nous serions à portée de civilisations qui autrement n’effectueraient pas le voyage … et leurs connaissances et technologies respectives peuvent accroître la diversité de ce que nous observons.
(Nota : petit aparté … à la grande conséquence :
Ce modèle cosmologique comporte 2 univers imbriqués l’un dans l’autre mais géométriquement non-connexes. Ce qui fait que les photons de l’un ne peuvent pas se déplacer dans l’autre, et inversement, c'est-à-dire que les 2 univers sont mutuellement inobservables. Ils ne communiquent que par interaction gravitationnelle.Alain02 a écrit:[…]technique qui permettrait également de "traverser" les murs ?
Or selon la théorie quantique des champs, la force électromagnétique est véhiculée par des photons virtuels, et des particules qui interagissent par la force électromagnétique interagissent en échangeant des photons virtuels. La lumière est une onde électromagnétique. Les deux phénomènes présentent donc un degré de parenté. La suppression de l'interaction électromagnétique engendre alors deux effets :
- les objets qui n'interagissent plus à travers cette force peuvent se traverser (sans collision !)
- ils ne peuvent se voir
Les deux phénomènes sont liés.
>>> Il est ainsi possible, via transfert U* vers U, de faire « "traverser" les murs » à un objet … et de le faire apparaître dans une pièce dont portes et fenêtres sont closes (et inversement, l’en faire sortir, via transfert U vers U*)
Fin de l’aparté)
- le déplacement dans notre atmosphère terrestre peut faire appel à différents modes de propulsion, l’un deux étant la MHD, un autre pouvant être réalisé par des transferts successifs U >>> U* puis U* >>> U, et ainsi de suite (avec l’utilisation, par exemple, de grasers – gamma-ray lasers ou lasers gamma – au rayonnement invisible, comme rapidement évoqué).
Je saisis ici l’occasion d’aborder la notion de "méridienne optimale" d’un engin destiné à effectuer un transfert hyperspatial entre U et U*, et inversement.Alain02 a écrit:J'ai eu à cinq-six mètres de moi, au début d'octobre 2007, un ovni noir intégral, noir absolu, circulaire de quatre cinq mètres de diamètre, de un mètre, un mètre cinquante "d'épaisseur, en forme de "cloche" aplatie.
Une courbe dite méridienne est l’intersection d'une surface de révolution et d'un demi-plan ayant pour frontière l'axe de cette surface.
Une solution, corollaire de la théorie de l’univers gémellaire, pour effectuer ces transferts, est de concentrer une densité d’énergie suffisante sur la surface de l’engin pour créer la criticité TOV évoquée, et provoquer la substitution du volume V occupé par l’engin dans U avec le volume V* qu’occupera l’engin une fois transféré dans U* (et inversement).
Pour cela, à l’image du chéquier sur la longueur duquel se trouve des petits trous pointillés afin de faciliter sa déchirure du talon, il suffirait de concentrer, stocker momentanément l’énergie émise par les grasers (au rayonnement invisible) dans les atomes d’un gaz métastable (hélium, par exemple >>> voir > ici < ) simultanément émis dans la couche limite entourant la surface de l’engin.
Nos "petits trous" seraient alors obtenus, permettant le transfert lorsque la criticité de densité neutronique serait obtenue.
Mais si nous nous contentions de cela, les corpuscules constituant l’engin et transférées dans le "jumeau" le seraient suivant des vitesses de directions différentes : engin et passagers se disloqueraient, exploseraient, tels les fragments d’une grenade, d’une bombe.
Il faut donc procéder à une opération préalable consistant à aligner les spins des particules en immergeant tous les composants de l’engin dans un puissant champ magnétique homogène ... afin d'aligner les moments magnétiques des particules.
Or un champ magnétique homogène ne peut pas être obtenu à l’aide de solénoïdes, dans les conducteurs qui les constituent et au voisinage immédiat de ceux-ci.
Une façon de créer un champ magnétique homogène à l'intérieur d'une enceinte fermée (l’engin) est de charger électriquement la "carrosserie" de l’engin et de la mettre en rotation. Cette carrosserie pourrait avoir une forme particulière, qui pourrait être définie par une méridienne particulière que voici, en bleu (avec son équation pour ceux que cela intéresse) :
En faisant tourner cette courbe (bleue) autour de l’axe 0y, on obtient la surface (bleue hachurée) suivante :
En prenant le symétrique de cette première surface, on obtient une deuxième surface (rouge hachurée) suivante :
Et en faisant tourner le tout (surface bleue et surface rouge, hachurées) autour de l’axe 0y, on obtient la "carrosserie" suivante, délimitant un volume de révolution :
Cette forme serait l’optimal pour un engin de grande taille destiné à effectuer le voyage interstellaire via U*, lequel pourrait transporter (tel un porte-avions) des engins plus petits, aux formes multiples et variées ne nécessitant pas d'être un volume de révolution si alors utilisés uniquement pour des déplacements intra-atmosphériques autour de planètes dans l’univers U.
Il n’est alors pas inintéressant de réfléchir à la vue de l’image suivante :
Le dessin du haut, "tajine volant" ( ), est de ma composition résultant de ce que nous venons de lire, celui du bas est issu du témoignage de l’équipage du vol Japan Air Lines 1628 reliant Paris à Tokyo via Reykjavik (Islande) et Anchorage (Alaska), le mercredi 17 novembre 1986, à bord d’un Boeing 747-246F Jumbo Jet volant à 10700 mètres au-dessus de l’Alaska. Le Boeing 747 Jumbo Jet est représenté à droite du gigantesque ovni en volume de révolution qui l’a accompagné pendant 40 minutes.
Pour des engins d’une surface et d’un volume moindres, avec une énergie mise en jeu moindre lors des transferts, qui pourraient se contenter d’un rendement moindre, cette forme serait possible :
Nous obtenons un objet « en forme de "cloche" aplatie ».
Et pourquoi pas noir, pour mieux passé inaperçu, et/ou pour un meilleur refroidissement radiatif du fuselage supraconducteur, ou … :
D’autres formes seraient possibles … mais là n’est pas le sujet de la discussion.
Certains témoignages d’observations mentionnent des ufonautes aux côtés de leur engin au sol, donc il doit y avoir des passagers dans certains de ces engins, même si pas forcément dans tous.Alain02 a écrit: la première, et elle est décisive, c'est que si elle [= la MHD] est utilisée seule, les formidables accélérations qu'on voit aux ovnis (que j'ai vue personnellement à un ovni noir "obscur", au début d'octobre 2007) sont transmises aux passagers par le siège où ils sont assis.
Des accélérations de 40 à 50 g ont été déduites de certaines observations au radar que les organes d’un être vivant complexe ne peuvent "théoriquement" pas supporter.
Or de fortes accélérations par impulsions d’une durée de la milliseconde (MHD-EMP = ElectroMagnétique Pulsée) couplées à l’utilisation d’un environnement antithixotropique – l’inverse du phénomène entrant en jeu pour les sables mouvants – dans la cabine de pilotage ou la combinaison anti-g revêtue par les passagers vont dans le sens de la tolérance, de la résistance aux contraintes physiologiques subies lors de ces fortes accélérations.
Depuis plusieurs années maintenant des labos de recherches – notamment militaires – travaillent sur ces accélérations par impulsions couplées à l’utilisation de combinaisons anti-g s’inspirant de l’anatomie et de la physiologie de la libellule.
Lors de son vol saccadé, la libellule encaisse de manière naturelle 30g grâce à son sang qui coule librement dans tout son corps. Un sang remué en permanence par un cœur en forme de tube, qui flotte dans le liquide avec les autres organes. Et c’est ce "rembourrage" liquide qui rend la libellule capable d’acrobaties aériennes largement hors de portée de tout engin piloté conçu par l’homme.
Les combinaisons sur lesquelles s’axent ces recherches comportent un système antithixotropique, permettant de faire varier la viscosité d'un produit en fonction de la force d'accélération à laquelle est soumis le pilote ou passager.
Nous découvrons peu à peu cette technologie dite des matériaux "intelligents", par exemple magnéto-rhéostatiques ou électro-rhéostatiques.
Ci-dessous, image d’un tel matériau, dont la viscosité varie quasi-instantanément, passant de l’état solide à celui de liquide et inversement, pouvant également faire varier la forme d'un objet, développé dans les laboratoires du Michigan Institute of Technology :
Nous avons vu ce qu’il en est du déplacement dans le vide qui peut s’effectuer par transfert U >>> U* puis U* >>> U.Alain02 a écrit:La deuxième raison est que la MHD nécessite une atmosphère et ne fonctionne pas dans le vide, ni dans l'eau douce, ni dans l'eau de mer. Ce qui est gênant pour un véhicule censé être extra terrestre et plonger dans lacs et océans!!!
La conductivité électrique de l’eau de mer, l’eau des lacs et des rivières, l’eau potable est intrinsèquement suffisante pour la conversion MHD de sorte que, par exemple, des débitmètres magnétohydrodynamiques (plus couramment appelés électromagnétiques) fonctionnent et réalisent des mesures du type industriel avec une précision de 2 pour mille (0,2%). Des millions de ces appareils sont en fonctionnement dans le monde. Il s’agit de conversion MHD à écoulement interne.
En collaboration avec Mitsubishi Heavy Industries, Toshiba, Kobe Steel, Ltd., la firme japonaise Ship & Ocean Foundation a dans les années 1990 réalisé un navire a propulsion MHD à écoulement interne, le Yamato 1 dont voici une photographie :
Se faisant, il ne bénéficiait pas de l’annihilation des vagues d’étrave et de poupe que permet la MHD à écoulement externe, et les frottements sur son carénage ainsi que son coefficient de traînée étaient identiques à ceux d’un navire à propulsion à hélice.
Si vous souhaitiez en savoir un peu plus sur les Navires à propulsion magnétohydrodynamique : http://www.profmarine.org/fichiers/BG-propmHD.pdf
Par contre il faut nécessairement ioniser l’atmosphère pour la rendre électriquement conductrice, comme évoqué lors d’un post dans le fil de ce sujet. Ceci est l’une des possibles explications des phénomènes lumineux observés.
La MHD engendre une refonte totale de la mécanique des fluides, aussi bien en régime subsonique, que supersonique et hypersonique.
J’aurai probablement l’occasion de revenir ultérieurement sur les autres points importants et intéressants formulés dans votre message, mais je n’en ai malheureusement pas le loisir cette semaine.
Cordialement,
Jean
- Lucas.CEquipe du forum
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Re: 2008: Le 14/06 à 4h10 - Epagny a 10km d'annecy en haute savoie (74)
Mer 25 Juin 2008, 16:58
Bonjour Blanbek
Je pense que le problème est que tu commences ton post par "nous avons passé la nuit mon ami et moi à regarder des documentaires d'ovnis..." Alors forcément ton témoignage s'en trouve contesté par certains qui veulent maintenir une crédibilité sur les post de ce forum et qui se disent que tu était "conditionné" pour vivre une expérience de ce genre. Ensuite tu nous dis que ton ami est rentré car très fatigué tandis que tu décidais de te faire une séance photo. Et dans un autre post, tu nous dis que tu tombais de fatigue. Faire un séance photo à 4 heure du mat alors qu'on ne tient plus debout, excuses-moi mais cela me surprend. Et il y a aussi tes cheveux irrissés, dont tu parles bien après, ton chien qui regardait au travers de la fenêtre pendant que tu était sur ton ordi, ton trépié que tu as retrouvé après 15mn de recherches alors que tu l'avais perdu depuis 5 ans. Bon tout ça fait que l'on se pose forcément la question sur l'authenticité de ton témoignage.
Je ne suis pas entrain de douter de ton témoignage, au contraire je pense que si tu as pris le temps d'écrire un post aussi important c'est que tu as été effectivement témoin d'un "phénomène" que tu ne t'expliquais pas. Mais je pense qu'il est important à l'avenir, si du dois témoigner d'une nouvelle observation, d'éviter certaines contradictions en relisant ton post méticuleusement avant de le poster. Cela évitera de donner du grain à moudre aux perplexes.
en toute amitié
Le chat
Je pense que le problème est que tu commences ton post par "nous avons passé la nuit mon ami et moi à regarder des documentaires d'ovnis..." Alors forcément ton témoignage s'en trouve contesté par certains qui veulent maintenir une crédibilité sur les post de ce forum et qui se disent que tu était "conditionné" pour vivre une expérience de ce genre. Ensuite tu nous dis que ton ami est rentré car très fatigué tandis que tu décidais de te faire une séance photo. Et dans un autre post, tu nous dis que tu tombais de fatigue. Faire un séance photo à 4 heure du mat alors qu'on ne tient plus debout, excuses-moi mais cela me surprend. Et il y a aussi tes cheveux irrissés, dont tu parles bien après, ton chien qui regardait au travers de la fenêtre pendant que tu était sur ton ordi, ton trépié que tu as retrouvé après 15mn de recherches alors que tu l'avais perdu depuis 5 ans. Bon tout ça fait que l'on se pose forcément la question sur l'authenticité de ton témoignage.
Je ne suis pas entrain de douter de ton témoignage, au contraire je pense que si tu as pris le temps d'écrire un post aussi important c'est que tu as été effectivement témoin d'un "phénomène" que tu ne t'expliquais pas. Mais je pense qu'il est important à l'avenir, si du dois témoigner d'une nouvelle observation, d'éviter certaines contradictions en relisant ton post méticuleusement avant de le poster. Cela évitera de donner du grain à moudre aux perplexes.
en toute amitié
Le chat
- InvitéInvité
Re: 2008: Le 14/06 à 4h10 - Epagny a 10km d'annecy en haute savoie (74)
Mer 25 Juin 2008, 19:43
Parmi les nombreuses théories cosmologiques (des dizaines, sinon des centaines apparemment, si on les différencie sur leurs variables et leurs prédictions) je me suis fait cette règle de sélection: le temps et l'espace ne peuvent être distingués, au niveau fondamental, de la matière-énergie.
Or nécessairement, la théorie d'un univers en deux "feuillets" attribue ipso facto une structure à l'espace qui n'est donc plus "l'émergence" à grande échelle (comme le définit Abitbol) d'une propriété de l'irréductible existant fondamental dont le cœur est la matière-énergie, mais existe par lui-même et "contient" plus ou moins de matière (réelle ou virtuelle).
Dans la théorie qui a mes suffrages le temps et l'espace n'ont de sens et d'existence qu'à travers cette matière-énergie, comme conséquences de l'existence de cette matière énergie.
L'essence (au sens philosophique) de cet irréductible existant fondamental ne peut d'ailleurs être constituée que d'informations en tout ou rien, c'est-à-dire binaires. Bien entendu ce niveau fondamental nous est à tout jamais inaccessible directement. Nous ne pourrons appréhender que des "structures" (si l'on a une vision spatiale) ou des séquences (si on a une perception temporelle) utilisant une quantité plus grande d'information binaire. Cette conception de la réalité ultime a l'avantage de justifier que l'univers soit intelligible par les mathématiques, se prête avec autant de complaisance à la mise en équation.
Cela implique que le fondamental est constitué de "cellules" discontinues. (Naturellement il ne faut pas voir ces "cellules" comme occupant un espace préexistant. La théorie, dont j'ai survolé dernièrement l'énoncé, d'un univers "mousseux" est invalide à mes yeux si elle n'établit pas ce rapport de causalité, information-énergie d'abord, espace et temps ensuite. Chose qui n'est pas dite dans l'article explicitement.)
Or l'univers à deux "feuillets" de Sakharov (et Jean-Pierre Petit) me paraît considérer un espace infiniment divisible, un espace pour Einstein et même Newton. Cet espace peut donc contenir -théoriquement- une infinité d'informations. En mesurant bien que l'on parle d'un infini réel mathématique : toute portion, aussi petite que l'on veut donc infinitésimale, contient toujours une quantité d'informations qu'il est impossible de dénombrer.
Cela rend impossible des changements avec le temps: pour qu'une portion d'espace, aussi petite que l'on veut donc, soit affectée par un changement il faudrait que la cause de ce changement s'applique une infinité de fois en une infinité d'endroits différents, ce qui n'est pas possible en un temps fini. Un espace infiniment divisible empêche toute causalité dans le temps.
Le temps non plus ne peut pas être infiniment divisible car il y aurait potentiellement du point de vue de l'information, une durée infinie entre deux événements consécutifs et le suivant n'aurait jamais lieu. C'est pour la même raison de fond que l'éternité n'existe pas, du moins "en amont".
Dans cette conception d'un univers dont les dimensions sont finies et discontinues et émanent d'une réalité ultime d'informations, l'entropie n'est pas une sorte de perte d'énergie potentielle qui va toujours croissant mais une croissance de l'information pour décrire le réel: le désordre nécessite davantage d'informations pour être décrit complètement que l'ordre: il faut moins d'informations pour décrire la vitesse et la direction d'une troupe de soldats qui marche au pas que d'enfants qui jouent dans une cour de récréation d'école. Donc voyager vers le passé nécessite moins d'informations que vers le futur (si l'on veut dépasser du moins le "rythme" du temps). C'est peut-être l'entropie croissante qui paraît déterminer le sens de la "flèche" du temps, du passé vers le futur. Mais c'est, selon moi, une illusion qui recouvre une réalité plus fondamentale.
Le problème des théories à espaces "continus" mais divisés, tout comme les théories demandant plus de trois dimensions infinies, c'est de justifier que la matière ne puisse aller librement d'un feuillet à l'autre ou ne possède pas autant de dimensions que l'espace d'essence indépendante qui le contient.
Dans le cas de la relativité générale si la notion de géodésique explique "bien" le mouvement des corps sans avoir recours à une "force" qui se nommerait gravité, rien n'est dit sur la raison pour laquelle les protons et neutrons "n'ont" que trois dimensions d'espace dans un univers qui en a quatre.
Dans le cas de la théorie de Sakharov, on allègue, si j'ai bien compris, deux matières différentes pour chaque "espace". Mais on n'explique pas pourquoi ce qu'a de particulier l'espace 1 qui est apparemment "lisse" et indéfiniment divisible pour "accepter" de contenir de la matière ordinaire et "empêcher" l'apparition de la matière 2, improprement appelée antimatière d'ailleurs puisqu'elle n'interagit jamais avec la matière ordinaire. Même raisonnement en vice versa pour l'espace 2. Tant que je n'aurai pas d'éclaircissement sur cette "interdiction", je ne pourrai pas envisager que cette théorie soit valide. D'autant plus que la nature de la "gravitation" qui seule peut aller d'un espace à l'autre n'est pas définie dans sa nature: si les ondes de gravitation sont de l'énergie et que si cette énergie suffisamment concentrée peut se "transformer" en matière, il y a nécessairement une "essence" commune entre les deux matières...
La théorie de Sakharov-Petit me paraît "surfer" sur les inconnues et les incertitudes de la théorie standard pour se faire "une place au soleil". Il est vrai que matière noire et énergie noire ne sont guère plus satisfaisantes pour l'esprit que "matière 1" et "matière 2", "espace 1" et "espace 2". Cependant affirmer que les trous noirs n'existent pas c'est peut-être aventureux. Justement dans le magazine "Pour La Science" de ce juillet 2008, page 19, on explique qu'a proximité des trous noirs le phénomène de marée a pour résultat d'aplatir les étoiles qui passent à proximité "comme des crêpes", comme on écraserait une boule de pâte avec un rouleau à pâtisserie. On comprend bien que la force qui s'exerce a pour effet d'augmenter considérablement la pression dans le plasma stellaire et donc la température. De nouvelles réactions nucléaires s'allument près de la surface et les rayons gammas ainsi produits peuvent s'échapper en grand nombre sans avoir le temps comme d'habitude d'être transformés progressivement lors de leur "remontée" lente car aléatoire du cœur de l'étoile vers la surface en rayons de plus grande longueur d'onde. Massivement ce sont en effet des rayons ultraviolets, lumineux et infrarouges qui s'en échappent Ces rayonnements gammas signalant l'agonie de l'étoile pourrait expliquer les fameux sursauts gammas que les détecteurs repèrent quasiment chaque jour...
Un dernier mot sur la MHD: je suis fermement convaincu que les vaisseaux extraterrestres possèdent dans leur "paroi" une grande quantité de matériel miniaturisé qui leur permet le déplacement, la capture d'informations diverses, la communication avec d'autres VET et la capacité de "mettre en scène" leurs apparitions ostentatoires (en générant des bruits, des lumières, des changements apparents ou réels de forme), mais à quoi bon conserver un système "à réaction" même électro-magnétique qui vous obligerait à voler avec une certaine assiette quand on possède un système infiniment fiable qui permet toutes les fantaisies et des accélérations insensibless: autant prévoir de construire des cargos avec des postes de rameurs dans l'entrepont!
Or nécessairement, la théorie d'un univers en deux "feuillets" attribue ipso facto une structure à l'espace qui n'est donc plus "l'émergence" à grande échelle (comme le définit Abitbol) d'une propriété de l'irréductible existant fondamental dont le cœur est la matière-énergie, mais existe par lui-même et "contient" plus ou moins de matière (réelle ou virtuelle).
Dans la théorie qui a mes suffrages le temps et l'espace n'ont de sens et d'existence qu'à travers cette matière-énergie, comme conséquences de l'existence de cette matière énergie.
L'essence (au sens philosophique) de cet irréductible existant fondamental ne peut d'ailleurs être constituée que d'informations en tout ou rien, c'est-à-dire binaires. Bien entendu ce niveau fondamental nous est à tout jamais inaccessible directement. Nous ne pourrons appréhender que des "structures" (si l'on a une vision spatiale) ou des séquences (si on a une perception temporelle) utilisant une quantité plus grande d'information binaire. Cette conception de la réalité ultime a l'avantage de justifier que l'univers soit intelligible par les mathématiques, se prête avec autant de complaisance à la mise en équation.
Cela implique que le fondamental est constitué de "cellules" discontinues. (Naturellement il ne faut pas voir ces "cellules" comme occupant un espace préexistant. La théorie, dont j'ai survolé dernièrement l'énoncé, d'un univers "mousseux" est invalide à mes yeux si elle n'établit pas ce rapport de causalité, information-énergie d'abord, espace et temps ensuite. Chose qui n'est pas dite dans l'article explicitement.)
Or l'univers à deux "feuillets" de Sakharov (et Jean-Pierre Petit) me paraît considérer un espace infiniment divisible, un espace pour Einstein et même Newton. Cet espace peut donc contenir -théoriquement- une infinité d'informations. En mesurant bien que l'on parle d'un infini réel mathématique : toute portion, aussi petite que l'on veut donc infinitésimale, contient toujours une quantité d'informations qu'il est impossible de dénombrer.
Cela rend impossible des changements avec le temps: pour qu'une portion d'espace, aussi petite que l'on veut donc, soit affectée par un changement il faudrait que la cause de ce changement s'applique une infinité de fois en une infinité d'endroits différents, ce qui n'est pas possible en un temps fini. Un espace infiniment divisible empêche toute causalité dans le temps.
Le temps non plus ne peut pas être infiniment divisible car il y aurait potentiellement du point de vue de l'information, une durée infinie entre deux événements consécutifs et le suivant n'aurait jamais lieu. C'est pour la même raison de fond que l'éternité n'existe pas, du moins "en amont".
Dans cette conception d'un univers dont les dimensions sont finies et discontinues et émanent d'une réalité ultime d'informations, l'entropie n'est pas une sorte de perte d'énergie potentielle qui va toujours croissant mais une croissance de l'information pour décrire le réel: le désordre nécessite davantage d'informations pour être décrit complètement que l'ordre: il faut moins d'informations pour décrire la vitesse et la direction d'une troupe de soldats qui marche au pas que d'enfants qui jouent dans une cour de récréation d'école. Donc voyager vers le passé nécessite moins d'informations que vers le futur (si l'on veut dépasser du moins le "rythme" du temps). C'est peut-être l'entropie croissante qui paraît déterminer le sens de la "flèche" du temps, du passé vers le futur. Mais c'est, selon moi, une illusion qui recouvre une réalité plus fondamentale.
Le problème des théories à espaces "continus" mais divisés, tout comme les théories demandant plus de trois dimensions infinies, c'est de justifier que la matière ne puisse aller librement d'un feuillet à l'autre ou ne possède pas autant de dimensions que l'espace d'essence indépendante qui le contient.
Dans le cas de la relativité générale si la notion de géodésique explique "bien" le mouvement des corps sans avoir recours à une "force" qui se nommerait gravité, rien n'est dit sur la raison pour laquelle les protons et neutrons "n'ont" que trois dimensions d'espace dans un univers qui en a quatre.
Dans le cas de la théorie de Sakharov, on allègue, si j'ai bien compris, deux matières différentes pour chaque "espace". Mais on n'explique pas pourquoi ce qu'a de particulier l'espace 1 qui est apparemment "lisse" et indéfiniment divisible pour "accepter" de contenir de la matière ordinaire et "empêcher" l'apparition de la matière 2, improprement appelée antimatière d'ailleurs puisqu'elle n'interagit jamais avec la matière ordinaire. Même raisonnement en vice versa pour l'espace 2. Tant que je n'aurai pas d'éclaircissement sur cette "interdiction", je ne pourrai pas envisager que cette théorie soit valide. D'autant plus que la nature de la "gravitation" qui seule peut aller d'un espace à l'autre n'est pas définie dans sa nature: si les ondes de gravitation sont de l'énergie et que si cette énergie suffisamment concentrée peut se "transformer" en matière, il y a nécessairement une "essence" commune entre les deux matières...
La théorie de Sakharov-Petit me paraît "surfer" sur les inconnues et les incertitudes de la théorie standard pour se faire "une place au soleil". Il est vrai que matière noire et énergie noire ne sont guère plus satisfaisantes pour l'esprit que "matière 1" et "matière 2", "espace 1" et "espace 2". Cependant affirmer que les trous noirs n'existent pas c'est peut-être aventureux. Justement dans le magazine "Pour La Science" de ce juillet 2008, page 19, on explique qu'a proximité des trous noirs le phénomène de marée a pour résultat d'aplatir les étoiles qui passent à proximité "comme des crêpes", comme on écraserait une boule de pâte avec un rouleau à pâtisserie. On comprend bien que la force qui s'exerce a pour effet d'augmenter considérablement la pression dans le plasma stellaire et donc la température. De nouvelles réactions nucléaires s'allument près de la surface et les rayons gammas ainsi produits peuvent s'échapper en grand nombre sans avoir le temps comme d'habitude d'être transformés progressivement lors de leur "remontée" lente car aléatoire du cœur de l'étoile vers la surface en rayons de plus grande longueur d'onde. Massivement ce sont en effet des rayons ultraviolets, lumineux et infrarouges qui s'en échappent Ces rayonnements gammas signalant l'agonie de l'étoile pourrait expliquer les fameux sursauts gammas que les détecteurs repèrent quasiment chaque jour...
Un dernier mot sur la MHD: je suis fermement convaincu que les vaisseaux extraterrestres possèdent dans leur "paroi" une grande quantité de matériel miniaturisé qui leur permet le déplacement, la capture d'informations diverses, la communication avec d'autres VET et la capacité de "mettre en scène" leurs apparitions ostentatoires (en générant des bruits, des lumières, des changements apparents ou réels de forme), mais à quoi bon conserver un système "à réaction" même électro-magnétique qui vous obligerait à voler avec une certaine assiette quand on possède un système infiniment fiable qui permet toutes les fantaisies et des accélérations insensibless: autant prévoir de construire des cargos avec des postes de rameurs dans l'entrepont!
- blanbekLégende du forum
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Re: 2008: Le 14/06 à 4h10 - Epagny a 10km d'annecy en haute savoie (74)
Mer 25 Juin 2008, 19:57
Le chat a écrit:Bonjour Blanbek
Je pense que le problème est que tu commences ton post par "nous avons passé la nuit mon ami et moi à regarder des documentaires d'ovnis..." Alors forcément ton témoignage s'en trouve contesté par certains qui veulent maintenir une crédibilité sur les post de ce forum et qui se disent que tu était "conditionné" pour vivre une expérience de ce genre. Ensuite tu nous dis que ton ami est rentré car très fatigué tandis que tu décidais de te faire une séance photo. Et dans un autre post, tu nous dis que tu tombais de fatigue. Faire un séance photo à 4 heure du mat alors qu'on ne tient plus debout, excuses-moi mais cela me surprend. Et il y a aussi tes cheveux irrissés, dont tu parles bien après, ton chien qui regardait au travers de la fenêtre pendant que tu était sur ton ordi, ton trépié que tu as retrouvé après 15mn de recherches alors que tu l'avais perdu depuis 5 ans. Bon tout ça fait que l'on se pose forcément la question sur l'authenticité de ton témoignage.
Je ne suis pas entrain de douter de ton témoignage, au contraire je pense que si tu as pris le temps d'écrire un post aussi important c'est que tu as été effectivement témoin d'un "phénomène" que tu ne t'expliquais pas. Mais je pense qu'il est important à l'avenir, si du dois témoigner d'une nouvelle observation, d'éviter certaines contradictions en relisant ton post méticuleusement avant de le poster. Cela évitera de donner du grain à moudre aux perplexes.
en toute amitié
Le chat
Tu as raison mais je voulais tout raconter dans les details (un peu pour ne pas oublier moi-même) Ces contradictions me troublent moi aussi (comme la fatigue) mais bon... c'est reellement ce qui c'est passé! je tombais vraiment de sommeil et en racompagnant mon pote tout epuisement avait disparu... bref me justifier ne ferait qu'alimenter les dires des sceptiques... En tout cas merci de tes conseils! @+!
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Re: 2008: Le 14/06 à 4h10 - Epagny a 10km d'annecy en haute savoie (74)
Mer 25 Juin 2008, 21:04
Tu n'as de toute façon aucune raison de te justifier. Comme je te le dis dans mon post, je n'ai aucun doute sur ta sincérité. Mais si je t'ai envoyé ce message, c'est que j'avais lu toute la première page de ton témoignage et n'avais pas fais attention qu'il y avait AUSSI... une deuxième page. (je m'en suis rendu compte lorsque j'ai envoyé le post et qu'il m'a positionné sur la fin de celle-ci) Donc je t'ai répondu en fonction des commentaires que j'avais lu du membre jojoblaggi à ton sujet. Et bien que je le trouvais quelque peu indélicat voir agréssif avec toi, je comprenais ces remarques en fonction de ce que tu avais écrit. écri(s) ?... je ne sais pas. Toi qui a fais un BAC L tu pourras me renseigner. En tout cas ton témoignage a permi d'apporter beaucoup de remarques de la part des membres et nous a aussi permi d'apprécier les commentaires pointus de Jean Curnonix ainsi que de Alain02.
- blanbekLégende du forum
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Re: 2008: Le 14/06 à 4h10 - Epagny a 10km d'annecy en haute savoie (74)
Sam 05 Juil 2008, 14:16
Oui merci a nos deux scientifiques! Heureusement qu'ils prennent le temps de nous expliquer certaines choses... Sans cela ce forum ne relaterait que des observations avec des commentaires antis ou pros ovnis et cela serait loin d'etre constructif!
- Jean CurnonixCulture Scientifique
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Re: 2008: Le 14/06 à 4h10 - Epagny a 10km d'annecy en haute savoie (74)
Ven 15 Aoû 2008, 14:20
Bonjour,
Fuyant volontairement la polémique que je sentais poindre – et je pratiquerai systématiquement de la sorte – je me suis retiré du fil de cette discussion.
Néanmoins, une question qui m’est posée par message privé m’incite à revenir sur l’aérodyne MHD-gaz à écoulement externe dont peu, mais vraiment très peu de personnes comprennent le fonctionnement faute de l’étudier sans a priori.
Un événement, passé semble-t-il quasi inaperçu dans les médias français, n’a fait aucun bruit dans le "Landerneau ufologique" … français, pas davantage que dans celui de l’hexagonal microcosme de notre épistémosphère cartésienne, et rappelle, si besoin était, que "Nul n’est prophète en son pays".
Anselme Lanturlu, alias Jean-Pierre Petit, en a rêvé, les américains le font !
Plusieurs revues scientifiques américaines et internationales – aux USA, au Japon, en Allemagne, en Inde, etc., mais pas dans notre hexagone franco-français bien évidemment – se sont fait l’écho des travaux du physicien d’origine indienne Subrata Roy, réalisés sous l’égide de l’University of Florida (U.F.), dont l’objectif est de faire voler dès 2009 un premier prototype de "soucoupe volante" – « flying saucer » (sic) – d’environ 15 cm de diamètre, sustentée et propulsée par MHD, baptisée Wingless Electromagnetic Air Vehicle (WEAV) qui, traduit mot à mot, signifie : véhicule aérien électromagnétique sans ailes.
NASA et US Air Force, notamment, sont (évidemment) de la partie.
Voir par exemple :
http://news.ufl.edu/2008/06/11/flying-saucer/
Voici une vue schématique, avec coupe, du WEAV en cours de conception :
Or, afin de vulgariser ses travaux scientifiques, notamment sur la MagnétoHydroDynamique, Jean-Pierre Petit créa la BD dont le héros fut baptisé Anselme Lanturlu et jeter un œil à la page 64 (et aux suivantes) de celle intitulée "Le mur du silence", publiée en 1983 permet de vérifier que "Nul n’est prophète en son pays" :
Cette BD de vulgarisation, "Le mur du silence", publiée il y a 25 ans, est téléchargeable gratuitement via :
http://www.savoir-sans-frontieres.com/JPP/telechargeables/Francais/LE%20MUR%20DU%20SILENCE.pdf
Ceux qui feront l’effort de prendre le temps de la lire entièrement, à tête reposée, iront dans le sens d’une meilleure compréhension du mode de propulsion par convertisseur MHD-gaz à écoulement externe.
Plus de 30 ans ont été perdus face à de pseudo-sceptiques à expliquer comment l’annihilation d’ondes de choc par la MHD permet l’absence de bang supersonique. Plus de 30 ans ont été perdus à expliquer que la MHD engendre une refonte totale de la mécanique des fluides.
Mais mieux vaut tard, et ailleurs qu’en France, que … jamais !
Cordialement,
Jean
Fuyant volontairement la polémique que je sentais poindre – et je pratiquerai systématiquement de la sorte – je me suis retiré du fil de cette discussion.
Néanmoins, une question qui m’est posée par message privé m’incite à revenir sur l’aérodyne MHD-gaz à écoulement externe dont peu, mais vraiment très peu de personnes comprennent le fonctionnement faute de l’étudier sans a priori.
Et bien après les méprises dues à l’observation de satellites artificiels, ISS, par exemple, ou des flashes des satellites du Systèmes Iridium, nous allons avoir bientôt droit à celle dues aux WEAV … !Alain02 a écrit: La mode féminine est un éternel recommencement dit-on, la vie de ce forum aussi semble-t-il.
J'ai déjà expliqué précédemment que la MHD de Jean-Pierre Petit NE PEUT PAS être le mode de propulsion des VET. Je le répète encore aujourd'hui.
Un événement, passé semble-t-il quasi inaperçu dans les médias français, n’a fait aucun bruit dans le "Landerneau ufologique" … français, pas davantage que dans celui de l’hexagonal microcosme de notre épistémosphère cartésienne, et rappelle, si besoin était, que "Nul n’est prophète en son pays".
Anselme Lanturlu, alias Jean-Pierre Petit, en a rêvé, les américains le font !
Plusieurs revues scientifiques américaines et internationales – aux USA, au Japon, en Allemagne, en Inde, etc., mais pas dans notre hexagone franco-français bien évidemment – se sont fait l’écho des travaux du physicien d’origine indienne Subrata Roy, réalisés sous l’égide de l’University of Florida (U.F.), dont l’objectif est de faire voler dès 2009 un premier prototype de "soucoupe volante" – « flying saucer » (sic) – d’environ 15 cm de diamètre, sustentée et propulsée par MHD, baptisée Wingless Electromagnetic Air Vehicle (WEAV) qui, traduit mot à mot, signifie : véhicule aérien électromagnétique sans ailes.
NASA et US Air Force, notamment, sont (évidemment) de la partie.
Voir par exemple :
http://news.ufl.edu/2008/06/11/flying-saucer/
Voici une vue schématique, avec coupe, du WEAV en cours de conception :
Or, afin de vulgariser ses travaux scientifiques, notamment sur la MagnétoHydroDynamique, Jean-Pierre Petit créa la BD dont le héros fut baptisé Anselme Lanturlu et jeter un œil à la page 64 (et aux suivantes) de celle intitulée "Le mur du silence", publiée en 1983 permet de vérifier que "Nul n’est prophète en son pays" :
Cette BD de vulgarisation, "Le mur du silence", publiée il y a 25 ans, est téléchargeable gratuitement via :
http://www.savoir-sans-frontieres.com/JPP/telechargeables/Francais/LE%20MUR%20DU%20SILENCE.pdf
Ceux qui feront l’effort de prendre le temps de la lire entièrement, à tête reposée, iront dans le sens d’une meilleure compréhension du mode de propulsion par convertisseur MHD-gaz à écoulement externe.
Plus de 30 ans ont été perdus face à de pseudo-sceptiques à expliquer comment l’annihilation d’ondes de choc par la MHD permet l’absence de bang supersonique. Plus de 30 ans ont été perdus à expliquer que la MHD engendre une refonte totale de la mécanique des fluides.
Mais mieux vaut tard, et ailleurs qu’en France, que … jamais !
Cordialement,
Jean
- Albundy11Culture Scientifique
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Re: 2008: Le 14/06 à 4h10 - Epagny a 10km d'annecy en haute savoie (74)
Ven 15 Aoû 2008, 15:26
Bonjour à tous,
Sans rentrer dans une quelconque polémique, je partage l'avis d'Alain02. Je verrais plutôt la maîtrise intelligente de la gravitation par nos chers ET. C'est un sentiment, rien de plus.
Amitiés
Sans rentrer dans une quelconque polémique, je partage l'avis d'Alain02. Je verrais plutôt la maîtrise intelligente de la gravitation par nos chers ET. C'est un sentiment, rien de plus.
Amitiés
- Jean CurnonixCulture Scientifique
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Re: 2008: Le 14/06 à 4h10 - Epagny a 10km d'annecy en haute savoie (74)
Sam 16 Aoû 2008, 08:49
Bonjour Albundy11,
Le premier problème auquel nous sommes confrontés concernant l’hypothèse de l’origine extraterrestre d’engins qui n’existent pas dans la nature et que nous ne savons pas faire mais dont nous observons, détectons, mesurons les déplacements dans notre écosystème terrestre, est relatif à un modèle cosmologique qui le permette.
Notre modèle cosmologique standard ne le permet pas duquel se déduit la quasi-impossibilité du voyage interstellaire.
Un modèle cosmologique bi-feuillet, bi-métrique, bi-gravifique, permet ce voyage interstellaire outre qu’il élucide et comble nombre de problèmes et lacunes du modèle standard. J’en profite ici pour répondre à une question qui m’est posée par ailleurs : l’un des prédictifs de ce modèle bi-gravifique est le ralentissement de la vitesse (la composante radiale) d’un objet quittant le système solaire dans notre feuillet d’univers observable. Et c’est bien ce que nous constatons avec, par exemple, Pioneer 10 et Pioneer 11.
Ce modèle bi-gravifique offre d’utiliser sa géométrie, c'est-à-dire les géodésiques de chacun des feuillets conjugués pour se déplacer soit dans l’un, soit dans l’autre.
Ainsi dans notre atmosphère, par exemple, une masse effectuant des transferts hyperspatiaux successifs :
- serait positive dans notre feuillet d’univers observable et donc attirée par la Terre (suivant la loi de Newton, pour faire simple)
- serait négative dans le feuillet conjugué inobservable et donc repoussée par la Terre (suivant la loi d’"anti-Newton", pour faire simple)
>>> Elle tomberait et monterait successivement et les deux mouvements se compenseraient : l'"antigravitation" offerte pas ce modèle bi-gravifique, inexplicable aujourd’hui autrement.
Dans le fil de ce sujet, je répondais à l’affirmation selon laquelle :
Au-delà, parmi les exocivilisations qui nous visitent certaines peuvent avoir mille, d’autres 1 million, d’autres davantage encore, pourquoi pas, 1 milliard d’années d’avance sur la notre.
Une gradation dans leurs connaissances et technologies peut expliquer l’utilisation de modes de propulsion intra-atmosphérique différents (dont la MHD-gaz à écoulement externe), de géométries d’engins différentes … allant dans le sens des mystères, qu’une fois encore notre conscience nous incite à percer.
Cela fait plus de 30 ans que certains disent « les ovni ne peuvent se déplacer avec la MHD ».
Tous ne l’utilisent certainement pas, mais cette technique présente cependant l'avantage d'être "fonctionnelle" qui est probablement utilisée par certains d’entre eux.
L’affirmation, par exemple, selon laquelle « la soucoupe de JPP doit être à plat comme un avion » va à l’encontre des études réalisées dont il est nécessaire d’avoir connaissance avant de se prononcer ainsi.
Lors d’une phase d’accélération maximale suivant un axe horizontal, l’axe de révolution d’un aérodyne MHD-gaz à écoulement externe sera horizontal.
Cet aérodyne se présentera à champ, telle une roue de wagon de chemin de fer.
Plutôt que d’avec un avion, l’analogie (si il y en avait une possible à faire) est à réaliser avec un hélicoptère qui ne possède ni « intrados », ni « extrados ». La MHD engendre une refonte totale de la mécanique des fluides : il faut l’avoir étudiée avant d’affirmer quoique ce soit.
La MHD débouche sur une mécanique des fluides complètement différente de la discipline conventionnelle, à la fois en subsonique, en supersonique ou en hypersonique, où le gaz ionisé n'a pas d'autre issue que d'obéir aux puissantes forces de Lorentz qui s'exercent en son sein dans la couche limite de la surface enveloppe.
Le déplacement du gaz de plasma tangentiellement à la surface enveloppe de l’aérodyne, et son contournement tangentiel obligé (par les forces électromagnétiques) à la périphérie équatoriale de l'engin permettent à une telle machine de se déplacer de manière apparemment "anti-aérodynamique" pour la mécanique des fluides conventionnelle, présentant ainsi sa plus grande surface au déplacement, dans le silence, à des nombres de Mach atteignant dix et plus (souvent mesurée au radar), 15 000 km/h par exemple, son vecteur vitesse étant dirigé selon son axe de révolution.
Mais le déplacement horizontal (« à plat comme un avion ») est tout aussi possible qui s’effectue en modifiant l’orientation du champ de l’accélérateur de fluide, faisant filer l’appareil horizontalement, perpendiculairement à son axe de révolution. Les trajectoires peuvent être changées presque instantanément par une modification de l’orientation du champ MHD, expliquant leurs changements brutaux de direction, observés aussi bien à l’œil nu que sur les scopes de radar ou de radiogoniomètres.
La valeur de la pression magnétique, pour un champ magnétique de 10 teslas est de quatre cent fois la valeur de la pression atmosphérique, environ 400 bar sur la surface de pression magnétique maximale.
Rapportée à la surface de l’engin et à sa masse, on devine des accélérations potentiellement fulgurantes : 100 g (1000 m/s²) sont possibles !
L’aérodyne MHD réalise un moteur électrique linéaire : l’atmosphère représente le stator, l’engin est le rotor … mais ici linéaire.
Donc et pour résumer :
- le modèle cosmologique multifeuillet offre la possibilité du voyage interstellaire qui de la planète Lambda à la planète Terre, par exemple, s’effectuerait sans aucune propulsion (voir l’"effet Gulliver", rapidement évoqué par ailleurs, du à la longueur de Compton et à la conservation de l’énergie-matière) à vitesse superluminique (par rapport à la nôtre c) via géodésique du feuillet conjugué du nôtre après transfert hyperspatial
- lors d’un transfert de notre feuillet vers le feuillet conjugué, un objet semble se dématérialiser (car il devient invisible, les 2 feuillets ne communiquant que par interaction gravitationnelle et non par interaction électromagnétique)
- lors d’un transfert du feuillet conjugué vers le nôtre, un objet semble se matérialiser (car il devient visible)
- l’"antigravitation" est obtenue par des transferts hyperspatiaux successifs, oscillants
- les déplacements intra-atmosphériques ou intra-aquatiques (lac, mer) peuvent s’effectuer en utilisant la MHD
Tout ceci, Albundy11, n’est pas issu d’un "feeling" (= « sentiment ») mais de travaux scientifiques de recherche qui certes peuvent heurter l’esprit d’une "culture classique et académique", celle de notre paradigme actuel duquel, peu ou prou, des croyances sont profondément ancrées en nous à partir desquelles nous pensons une « philosophie raisonnée ».
Les sciences de la nature utilisent toutes la même démarche fondamentale que nous pouvons résumer en 5 points :
1) observation(s)
2) hypothèse(s)
3) expérience(s)
4) élaboration de lois
5) élaboration d'une théorie
Le mot "théorie" rappelle que cette construction intellectuelle n'est pas un édifice définitif, mais qu'il s'agit d'un ensemble d’éléments qui n'ont pas été infirmés (ce qui, entre parenthèses, n’est pas le cas du modèle cosmologique standard qui doit être rafistolé au quotidien de manière ad hoc … a-scientifique).
On voit donc que, partant de l'observation d'un ou plusieurs cas, le scientifique définit des principes généraux, les théories scientifiques : c'est la démarche inductive. Si les principes généraux sont valides, il est alors possible de les utiliser pour comprendre tel ou tel cas particulier qui n'a pas encore pu être expliqué : il s'agit alors d'une démarche déductive. La méthode de travail du scientifique est, à la fois inductive et déductive.
Le philosophe, lui, base son travail sur une méthode purement déductive. Il pose au départ un principe absolu, un postulat posé "a priori" (>>> cf. croyance issue de la culture). A partir de cette position initiale, il va rechercher une explication aux choses. Il effectue un travail critique sur les concepts et notions permettant de comprendre les choses.
A noter que « tout le monde » n’est pas scientifique mais est, par contre, un philosophe potentiel, ce qui se constate sur tous les forums, notamment ceux dont le sujet des discussions est l’ufologie.
Cordialement,
Jean
Le premier problème auquel nous sommes confrontés concernant l’hypothèse de l’origine extraterrestre d’engins qui n’existent pas dans la nature et que nous ne savons pas faire mais dont nous observons, détectons, mesurons les déplacements dans notre écosystème terrestre, est relatif à un modèle cosmologique qui le permette.
Notre modèle cosmologique standard ne le permet pas duquel se déduit la quasi-impossibilité du voyage interstellaire.
Un modèle cosmologique bi-feuillet, bi-métrique, bi-gravifique, permet ce voyage interstellaire outre qu’il élucide et comble nombre de problèmes et lacunes du modèle standard. J’en profite ici pour répondre à une question qui m’est posée par ailleurs : l’un des prédictifs de ce modèle bi-gravifique est le ralentissement de la vitesse (la composante radiale) d’un objet quittant le système solaire dans notre feuillet d’univers observable. Et c’est bien ce que nous constatons avec, par exemple, Pioneer 10 et Pioneer 11.
Ce modèle bi-gravifique offre d’utiliser sa géométrie, c'est-à-dire les géodésiques de chacun des feuillets conjugués pour se déplacer soit dans l’un, soit dans l’autre.
Ainsi dans notre atmosphère, par exemple, une masse effectuant des transferts hyperspatiaux successifs :
- serait positive dans notre feuillet d’univers observable et donc attirée par la Terre (suivant la loi de Newton, pour faire simple)
- serait négative dans le feuillet conjugué inobservable et donc repoussée par la Terre (suivant la loi d’"anti-Newton", pour faire simple)
>>> Elle tomberait et monterait successivement et les deux mouvements se compenseraient : l'"antigravitation" offerte pas ce modèle bi-gravifique, inexplicable aujourd’hui autrement.
Dans le fil de ce sujet, je répondais à l’affirmation selon laquelle :
Or de nombreux travaux scientifiques démontrent le contraire, et ce que Subrata Roy est en train de réaliser à l’University of Florida avec notamment la NASA et l’US Air Force le prouvera définitivement.[…] la MHD de Jean-Pierre Petit NE PEUT PAS être le mode de propulsion des VET. [VET = Véhicule ExtraTerrestre]
Au-delà, parmi les exocivilisations qui nous visitent certaines peuvent avoir mille, d’autres 1 million, d’autres davantage encore, pourquoi pas, 1 milliard d’années d’avance sur la notre.
Une gradation dans leurs connaissances et technologies peut expliquer l’utilisation de modes de propulsion intra-atmosphérique différents (dont la MHD-gaz à écoulement externe), de géométries d’engins différentes … allant dans le sens des mystères, qu’une fois encore notre conscience nous incite à percer.
Cela fait plus de 30 ans que certains disent « les ovni ne peuvent se déplacer avec la MHD ».
Tous ne l’utilisent certainement pas, mais cette technique présente cependant l'avantage d'être "fonctionnelle" qui est probablement utilisée par certains d’entre eux.
L’affirmation, par exemple, selon laquelle « la soucoupe de JPP doit être à plat comme un avion » va à l’encontre des études réalisées dont il est nécessaire d’avoir connaissance avant de se prononcer ainsi.
Lors d’une phase d’accélération maximale suivant un axe horizontal, l’axe de révolution d’un aérodyne MHD-gaz à écoulement externe sera horizontal.
Cet aérodyne se présentera à champ, telle une roue de wagon de chemin de fer.
Plutôt que d’avec un avion, l’analogie (si il y en avait une possible à faire) est à réaliser avec un hélicoptère qui ne possède ni « intrados », ni « extrados ». La MHD engendre une refonte totale de la mécanique des fluides : il faut l’avoir étudiée avant d’affirmer quoique ce soit.
La MHD débouche sur une mécanique des fluides complètement différente de la discipline conventionnelle, à la fois en subsonique, en supersonique ou en hypersonique, où le gaz ionisé n'a pas d'autre issue que d'obéir aux puissantes forces de Lorentz qui s'exercent en son sein dans la couche limite de la surface enveloppe.
Le déplacement du gaz de plasma tangentiellement à la surface enveloppe de l’aérodyne, et son contournement tangentiel obligé (par les forces électromagnétiques) à la périphérie équatoriale de l'engin permettent à une telle machine de se déplacer de manière apparemment "anti-aérodynamique" pour la mécanique des fluides conventionnelle, présentant ainsi sa plus grande surface au déplacement, dans le silence, à des nombres de Mach atteignant dix et plus (souvent mesurée au radar), 15 000 km/h par exemple, son vecteur vitesse étant dirigé selon son axe de révolution.
Mais le déplacement horizontal (« à plat comme un avion ») est tout aussi possible qui s’effectue en modifiant l’orientation du champ de l’accélérateur de fluide, faisant filer l’appareil horizontalement, perpendiculairement à son axe de révolution. Les trajectoires peuvent être changées presque instantanément par une modification de l’orientation du champ MHD, expliquant leurs changements brutaux de direction, observés aussi bien à l’œil nu que sur les scopes de radar ou de radiogoniomètres.
La valeur de la pression magnétique, pour un champ magnétique de 10 teslas est de quatre cent fois la valeur de la pression atmosphérique, environ 400 bar sur la surface de pression magnétique maximale.
Rapportée à la surface de l’engin et à sa masse, on devine des accélérations potentiellement fulgurantes : 100 g (1000 m/s²) sont possibles !
L’aérodyne MHD réalise un moteur électrique linéaire : l’atmosphère représente le stator, l’engin est le rotor … mais ici linéaire.
Donc et pour résumer :
- le modèle cosmologique multifeuillet offre la possibilité du voyage interstellaire qui de la planète Lambda à la planète Terre, par exemple, s’effectuerait sans aucune propulsion (voir l’"effet Gulliver", rapidement évoqué par ailleurs, du à la longueur de Compton et à la conservation de l’énergie-matière) à vitesse superluminique (par rapport à la nôtre c) via géodésique du feuillet conjugué du nôtre après transfert hyperspatial
- lors d’un transfert de notre feuillet vers le feuillet conjugué, un objet semble se dématérialiser (car il devient invisible, les 2 feuillets ne communiquant que par interaction gravitationnelle et non par interaction électromagnétique)
- lors d’un transfert du feuillet conjugué vers le nôtre, un objet semble se matérialiser (car il devient visible)
- l’"antigravitation" est obtenue par des transferts hyperspatiaux successifs, oscillants
- les déplacements intra-atmosphériques ou intra-aquatiques (lac, mer) peuvent s’effectuer en utilisant la MHD
Tout ceci, Albundy11, n’est pas issu d’un "feeling" (= « sentiment ») mais de travaux scientifiques de recherche qui certes peuvent heurter l’esprit d’une "culture classique et académique", celle de notre paradigme actuel duquel, peu ou prou, des croyances sont profondément ancrées en nous à partir desquelles nous pensons une « philosophie raisonnée ».
Les sciences de la nature utilisent toutes la même démarche fondamentale que nous pouvons résumer en 5 points :
1) observation(s)
2) hypothèse(s)
3) expérience(s)
4) élaboration de lois
5) élaboration d'une théorie
Le mot "théorie" rappelle que cette construction intellectuelle n'est pas un édifice définitif, mais qu'il s'agit d'un ensemble d’éléments qui n'ont pas été infirmés (ce qui, entre parenthèses, n’est pas le cas du modèle cosmologique standard qui doit être rafistolé au quotidien de manière ad hoc … a-scientifique).
On voit donc que, partant de l'observation d'un ou plusieurs cas, le scientifique définit des principes généraux, les théories scientifiques : c'est la démarche inductive. Si les principes généraux sont valides, il est alors possible de les utiliser pour comprendre tel ou tel cas particulier qui n'a pas encore pu être expliqué : il s'agit alors d'une démarche déductive. La méthode de travail du scientifique est, à la fois inductive et déductive.
Le philosophe, lui, base son travail sur une méthode purement déductive. Il pose au départ un principe absolu, un postulat posé "a priori" (>>> cf. croyance issue de la culture). A partir de cette position initiale, il va rechercher une explication aux choses. Il effectue un travail critique sur les concepts et notions permettant de comprendre les choses.
A noter que « tout le monde » n’est pas scientifique mais est, par contre, un philosophe potentiel, ce qui se constate sur tous les forums, notamment ceux dont le sujet des discussions est l’ufologie.
Cordialement,
Jean
- DamienEquipe du forum
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Re: 2008: Le 14/06 à 4h10 - Epagny a 10km d'annecy en haute savoie (74)
Sam 16 Aoû 2008, 11:34
Bonjour, je tenais à faire une petite précision au sujet de l'étoile qui clignotais et qui changeais de couleur à l'horizon, cela est du à l'atmosphère qui est beaucoup plus épaie à l'horizon qu'au Zénith cela crée des turbulence et donne un scintillement et des changement de couleurs. Une différence visuel facile a remarquer est le soleil, quand il se lève il est orange et on peut le fixer, et plus il mon et plus il reprend sa couleur jaune feu et on ne peut plus du tout le fixer. Reprenez moi Jean si je me trompe merci.
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